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© Armand Colin | Téléchargé le 13/03/2022 sur www.cairn.info par camille doucet via Université de Tours (IP: 193.52.209.134)
ISSN 0184-7732
ISBN 9782200933661
DOI 10.3917/lfa.215.0089
Article disponible en ligne à l'adresse :
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https://www.cairn.info/revue-le-francais-aujourd-hui-2021-4-page-89.htm
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Nathalie AUGER
Université Paul-Valéry - Montpellier 3
UR « Langages Humanités Médiations
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Apprentissages Interactions Numérique »
(LHUMAIN)
rticle on line
Le français aujourd’hui, n° 215, « Littérature de jeunesse et pratiques plurilingues »
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abord sur le plan sociolinguistique – dans un cas le français est minoritaire,
dans l’autre il est majoritaire –, présentent plusieurs points communs. Tout
d’abord, la place de l’immigration est notable dans les deux cas. On remarque
aussi que la langue de scolarisation demeure la seule ayant un statut légitime
même si les raisons historiques diffèrent entre les contextes. Enfin, l’insécurité
linguistique qui prévaut face aux langues des migrants dans les deux cas,
et aux langues régionales en France, représente ce que M. Francard (1993 :
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Didactisation et plurilinguisme...
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l’Ontario restent fortement ancrées dans une tradition culturelle franco-
ontarienne. Cette toile de fond complexe fige l’identité du groupe et diffracte
les agirs des acteurs scolaires ainsi que les pratiques pédagogiques auxquelles
doivent s’acculturer les élèves, quand ils y arrivent, car ils sont loin d’être
familiers avec les espaces sociaux dans lesquels ils évoluent. Malgré les
choix politiques canadiens qui prônent la reconnaissance de la diversité
dans la pluralité – le multiculturalisme –, leur application en contexte
minoritaire ne semble pas très effective. L’école francophone ontarienne
repose en effet sur un bilinguisme additif, illustration du statut des deux
langues officielles du Canada. En d’autres mots, seul le fait français est
autorisé au sein des établissements scolaires, et cette vision ethnocentrée
laisse peu de place pour envisager une francophonie plurielle. Finalement,
la peur de l’assimilation n’est pas seulement anglophone, elle vient aussi de
l’immigration. Par conséquent, on reproduit à l’égard des immigrants le
même jeu de dominant-dominé, tant reproché aux anglophones (Cardinal
1994).
En France, le monolinguisme d’État (Cerquiglini 2006) est une repré-
sentation encore largement partagée : « l’éradication des "patois" » (terme
péjoratif qui sert à désigner les langues régionales) qui s’est développée
à partir de 1794 au service de l’édification d’une République homogène
linguistiquement trouve aujourd’hui un prolongement dans le traitement
réservé aux langues de la migration qui peinent à être prises en compte
comme une ressource dans les espaces scolaires (Goï 2015 ; Auger 2019). Si
l’inclusion est un objectif de l’école depuis 2013, les élèves dits « allophones »
selon la circulaire de 2012 pour la scolarisation des élèves nouvèlement
arrivés en France (dits EANA), sont catégorisés avec les élèves à besoins spéci-
fiques, en particulier en situation de handicap. Les enseignants en formation
initiale ou continue ont très peu d’occasions d’être formés pour l’accueil
de ces publics (seules quelques heures sont prévues dans les maquettes de
diplômes pour les élèves à besoins spécifiques, où il est question aussi des
élèves malades, en situation de handicap ou encore à haut potentiel). Le
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Le français aujourd’hui, n° 215, « Littérature de jeunesse et pratiques plurilingues »
fait d’utiliser les langues des élèves comme une ressource est encore peu
(re)connu, car cela est perçu comme une remise en question potentielle de
l’unité de la République alors que, paradoxalement, les programmes prônent
le vivre ensemble et l’ouverture à l’altérité.
Étant donné le choix d’une éducation inclusive4 , en Ontario comme en
France, tous les élèves sont accueillis dans l’enceinte scolaire et sont intégrés
aux groupes classes. Cependant, comme nous l’avons souligné, les choix
politiques gravitent uniquement autour de la langue cible et se trouvent en
totale dissonance avec la réalité ethnolinguistique (Gérin-Lajoie 2020). Dans
cette volonté de « faire de l’inclusif » et de prendre en compte la diversité,
on organise ponctuellement des journées propres à un groupe concerné
(par exemple une journée dédiée à l’art africain en Ontario ou « la journée
des EANA » dans certains établissements en France). Les « cultures » sont
appréhendées comme des entités indépendantes qui ne s’actualisent pas à
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travers la communication ni la socialisation au sein de la classe ou de l’école
(Abdallah-Pretceille 2017), ce qui conduit souvent à une folklorisation
(Fleuret, Bangou et Ibrahim 2013) qui nous éloigne de l’humanisme du
divers.
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Didactisation et plurilinguisme...
Cadre conceptuel
Notre cadre conceptuel s’inscrit dans celui des approches plurielles de
M. Candelier (2003) puisque nous considérons les répertoires langagiers
des élèves comme le fondement de tout nouvel apprentissage ; ils donnent
accès à de l’implicite, à du sens inféré par l’apprenant à partir de la ou
des langues qu’il connait. À l’instar de J.-P. Bronckart, nous définirons le
fonctionnement langagier comme l’ensemble des savoir-faire dont disposent
en ce domaine tous les êtres humains socialisés et qui leur permet donc de
produire, de comprendre, de répéter et de mémoriser des énoncés d’une
(ou plusieurs) langue(s) naturelle(s) (2016 : 72). C’est en s’appuyant sur
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ces habiletés que, d’après J.-P. Bronckart, l’élève va graduellement observer
les différences entre ses répertoires langagiers et la langue de scolarisation.
Cette façon de faire rompt avec la méthode traditionnelle qui s’attache à
enseigner la norme sans tenir compte des connaissances de l’élève, dans une
approche singulière de la langue qui s’oppose aux approches plurielles.
Le choix de notre posture épistémologique repose aussi sur une volonté
de changement par rapport aux postulats éducatifs traditionnels (Dorier,
Leutenegger et Schneuwly 2013). Nous considérons que la didactisation
des savoirs à transmettre doit se faire par une pédagogie de la découverte
où les élèves sont l’élément central. Si on accorde de la légitimité à leur(s)
langue(s) et à leur histoire, à celles qui les mobilisent en dehors de l’école, les
apprentissages feront sens et conduiront les apprenants à adhérer au contexte
pédagogique proposé ; à l’inverse, si on fait le choix de laisser les élèves en
dehors de cet espace qu’ils doivent appréhender et dans lequel ils doivent
s’intégrer, le jugement qu’ils porteront, façonné par les représentations
construites, les conduira à le subir. C’est ici que l’enseignant – et plus
largement l’école comme institution sociale – a le devoir de repenser sa
mission, car la recherche a largement documenté depuis des années le hiatus
existant entre les discours politiques concernant l’inclusion des nouveaux
arrivants et leur transposition dans l’environnement scolaire. Autrement
dit, la notion de contexte 5 figure au cœur des savoirs à enseigner. Si l’on
entend favoriser les transferts entre les langues et accompagner des pratiques
langagières situées dans un contexte socioculturel donné (Fleuret 2020),
partir des connaissances que détient l’élève n’est pas un luxe mais une
nécessité, nous irions même jusqu’à dire un devoir.
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Le français aujourd’hui, n° 215, « Littérature de jeunesse et pratiques plurilingues »
La littérature de jeunesse
Même si elle peine à se frayer un chemin, car elle ne s’inscrit pas dans la
longue tradition littéraire (Poslaniec 2008) et n’est pas considérée comme
une littérature sérieuse par les « élites sociales » (Prince 2015), la littérature
de jeunesse constitue pourtant un support de choix pour penser ce renouveau
didactique, car elle propose des contextes d’apprentissage qui prennent appui
sur les habitus tant langagiers que culturels des élèves (Montesinos-Gelet
2011).
En effet, dans son usage, la littérature de jeunesse permet de convoquer les
différentes didactiques (lire-écrire, plurilinguisme et langues) à travers des
pratiques d’enseignement qui prennent appui sur l’iconographie et les traces
graphiques. « D’un point de vue anthropologique, entrer dans l’écrit, c’est en
effet accomplir pour le sujet une acculturation à des pratiques langagières et
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sociales qui diffèrent sensiblement de l’oralité » (Le Ferrec 2008 : 103-104).
Ainsi, exposés à des scripts différents, les élèves se familiarisent et s’approchent
des langues de chacun en dépassant les dichotomies traditionnelles – langue
et culture (Fleuret 2013).
Dans ce travail amorcé avec la littérature de jeunesse, les élèves prenant
place dans un espace de discussion sont invités à exprimer des points de vue
ou à relater un évènement, une histoire en collaboration avec l’enseignant
et les pairs. En d’autres mots, ils parlent des langues et sur les langues tout
en développant des savoirs langagiers dans leurs formes orales et écrites. Les
albums jeunesse plurilingues, en particulier, établissent alors la salle de classe
comme « un espace bi-/plurilingue et pluriculturel et d’ouverture à l’altérité,
où circulent et se négocient des formes diverses de savoirs qui se construisent
et s’appuient sur les expériences et les capitaux culturels et symboliques des
élèves » (Moore et Sabatier 2014 : 50).
En plus de sa portée heuristique, la littérature de jeunesse permet aux
élèves d’appréhender un matériau écrit qui ne leur est pas forcément familier,
car l’écrit n’est pas un acte naturel. Comme le souligne B. Lahire (2008),
le caractère polymorphe de la culture écrite se caractérise, dans son appro-
priation, par des variations discursives selon les groupes ethnolinguistiques
(ibid.). La variété des thématiques et des personnages permet aussi de réduire
les dichotomies entre les instances sociétales relativement à l’histoire et à la
construction des connaissances (par exemple la perspective autochtone au
Canada ou des migrants en France). Ainsi, à travers le récit, les élèves entrent
dans un processus de construction de sens qui est guidé par les différents
univers qu’ils croisent dans leur périple : univers linguistiques, culturels
et symboliques. Enfin, ce rapport à l’écrit, par la diversité des structures
textuelles et des illustrations rencontrées au fil des albums, conduit les élèves
à développer une posture lectorale6 (Tauveron, éd., 2002).
6. Cette posture se développe, chez l’élève, à partir de textes résistants, soit des textes
réticents qui engendrent des conflits cognitifs suscités par des bris de compréhension ou
encore des textes proliférants qui suscitent des problèmes d’interprétation (Tauveron 1999).
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Didactisation et plurilinguisme...
Méthodologie
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Dans le cadre d’un projet de recherche7 canado-français, nous avons
formé des enseignants de classe d’accueil ou d’UPE2A (n=8) à la littérature
de jeunesse et à l’approche interculturelle. Nous les avons accompagnés
pendant douze semaines dans l’exploitation d’albums rendant compte de
la diversité dans le but de didactiser les savoirs à transmettre à partir des
répertoires culturels et langagiers des élèves.
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Le français aujourd’hui, n° 215, « Littérature de jeunesse et pratiques plurilingues »
mal à l’aise pour les proposer à leurs élèves en raison, par exemple, de la
polémique autour des migrants en Italie9 .
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et permettaient des allers-retours entre les expériences diverses des élèves.
L’exploitation de la littérature de jeunesse visait, dans un premier temps,
à laisser les élèves réagir spontanément quand ils le souhaitaient durant la
lecture de l’histoire, au regard de ce qui leur faisait écho dans l’histoire
(exemple : un prénom, un lieu, un mot de langues déjà connues). Nous
souhaitions ainsi réduire la tension possible entre une oralité spontanée,
telle qu’elle peut être vécue dans l’environnement familial, et l’oralité plus
encadrée de l’environnement scolaire (Laparra et Margolinas 2016). Dans
un deuxième temps, en faisant le retour sur l’histoire, nous cherchions
à favoriser les transferts entre les savoirs mondains et les savoirs scolaires
(Delarue-Breton 2012). En d’autres termes, il s’agissait de créer un pont
entre les pratiques discursives familiales et la langue de scolarisation.
Résultats et discussion
Nous présentons ici une brève partie de l’analyse de la séquence didactique
qui s’appuie sur l’album de jeunesse Le Livre qui parlait toutes les langues10
écrit par A. Serres et illustré par F. Sochard aux éditions Rue du Monde
(2013).
Le choix du déroulement de la séquence a été orchestré par l’enseignante
et se présentait comme suit :
Phase 1
Collectif : version française incluant diverses langues et dire lesquelles se
recoupent avec celles de la classe pour montrer à la fois les potentialités de
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Phase 2 :
Collectif : identification des langues par les élèves lors de la première
écoute (langues connues et reconnues)
Énumération des langues et listage au tableau.
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Image 1.
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Image 2.
Phase 3
Collectif : reconnaissance des langues à l’écrit, soit par son écriture
spécifique soit par connaissance.
Chercher les langues inconnues à partir de l’album et des phrases proposées
pour en connaitre l’origine.
La reconnaissance des langues, en plus de travailler la discrimination
phonologique et visuelle, donne accès aux répertoires des élèves ou à leurs
expériences langagières en dehors de l’école. Sur la photo 2, on peut les
voir interagir et discuter sur les langues et des langues ; ils mettent en
correspondance celles qu’ils ont reconnues à l’oral avec les textes écrits. On
peut voir que certains idiomes ne sont pas encore identifiés et que plusieurs
hypothèses sont posées collectivement. On est véritablement là dans une
situation interculturelle, car les interactions engendrées par les discussions
gravitent autour des objets langagiers et non des groupes. Certains élèves
ont spontanément pris l’initiative de recopier, dans leur langue, le texte de
l’album.
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Image 3.
Image 4.
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Le français aujourd’hui, n° 215, « Littérature de jeunesse et pratiques plurilingues »
Conclusion
La formation à l’interculturel et à la littérature de jeunesse du projet
a permis aux enseignants de choisir des albums plurilingues propices à
un travail à plusieurs niveaux. Tout d’abord, celui de la reconnaissance
des langues des élèves, qui a favorisé leur mise en confiance et leur
inclusion. Le fait de solliciter les langues qu’ils connaissent et de montrer
leur présence dans les livres n’a fait qu’accroitre ce sentiment chez les élèves,
bien perceptible dans les observations participantes au cours desquelles les
apprenants étaient très engagés. Le court exemple proposé rend compte de
l’utilisation concrète des langues en présence à partir d’activités variables
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imaginées par l’enseignant (et parfois avec l’initiative des élèves à partir de
leurs langues connues et de leurs vécus culturels divers) à partir de l’album.
Cette expérience a soutenu les mises en perspectives entre idiomes ainsi que
le développement de réflexions métalinguistiques et langagières propices
aux acquisitions à la fois en français et en littérature. Le travail en groupes
de pairs a favorisé les échanges communicationnels (plan langagier) ainsi
que les échanges de savoirs, sous forme d’un tutorat réciproque.
Ce projet offre donc une réflexion sur les didactisations possibles en
situation de classes multilingues grâce à la littérature de jeunesse. Il s’agit
d’une manière renouvelée d’approcher la norme scolaire, non pas dans une
perspective singulière où le français serait la seule langue ayant droit de cité,
mais bien, à proprement parler, dans une perspective plurilingue. Cette
approche plurilingue permet en outre, paradoxalement pour les réfractaires,
de développer une réflexion métalangagière sur l’appropriation des normes
scolaires associée à l’inclusion des langues et des vécus des différents élèves.
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petite-lune-/929031> Famille restée au pays
Walid, Lenain, Albin Michel, <https://www.albin- Approche interculturelle
michel.fr/ouvrages/wahid-9782226318466> Immigration
Portrait
Biographie langagière
Machin truc chouette, Ben Kemoun, Rue du Monde, Discrimination
<https://halldulivre.com/livre/9782355046186- Stéréotypes
machin-truc-chouette-hubert-ben-kemoun- Empathie
veronique-joffre/?autreEdit=true> Déictiques
Madlenka, SIS, Babelio, <https://www.babelio. Expressions idiomatiques
com/livres/Sis-Madlenka/236246> Universaux singuliers
Le Tour du monde des bonnes manières, Fournier, Repérage des quartiers en
Rue des enfants, <https://www.ruedesenfants.fr/ fonction des cultures
catalogue/documentaires/le-tour-du-monde-des-
bonnes-manieres>
Le Livre qui parlait toutes les langues, Serres, Sensibilité phonologique
Babelio, Ouverture au monde
<https://www.babelio.com/livres/Allemand-Le-livre- Approche interculturelle
qui-parlait-toutes-les-langues/510392> Langues connues
103
Le français aujourd’hui, n° 215, « Littérature de jeunesse et pratiques plurilingues »
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com/livres/Sis-Madlenka/236246> Universaux singuliers
Repérage des quartiers en
fonction des cultures
Le Livre qui parlait toutes les langues, Serres, Sensibilité phonologique
Babelio, Ouverture au monde
<https://www.babelio.com/livres/Allemand-Le-livre- Approche interculturelle
qui-parlait-toutes-les-langues/510392> Langues connues
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