Vous êtes sur la page 1sur 3

Compréhension écrite 25 points Dossier 4 Test

www.actionssolidaires.com

Des supermarchés engagés ! La Louve à Paris, La Chouette à Toulouse, La Cagette à Montpellier et


maintenant L’Éléfàn à Grenoble… Il existe aujourd’hui une vingtaine de supermarchés coopératifs et
participatifs en France. Ils sont gérés par les consommateurs. Ils proposent des produits
principalement issus de l’agriculture biologique et de proximité. Et ils se développent très vite ! À La
Cagette, ils étaient cinq adhérents en 2015, à la création de l’association, 980 en décembre 2017 et
1 131 en mars 2018. L’association L’Éléfàn, créée en 2016, comptait initialement 80 coopérateurs et
souhaite en atteindre environ 1 200 d’ici quelques années.

Tous ces supermarchés n’existeraient probablement pas sans le modèle de la Park Slope Food Coop,
une coopérative créée dans un quartier de New York il y a déjà plus de quarante ans et qui elle, a
10 000 adhérents.

Comment ça marche ?

Ces supermarchés sont des coopératives : pour pouvoir y faire ses courses, il faut y adhérer, c’est-à-
dire investir financièrement. Ils reposent donc sur l’investissement de tous les membres. Il faut aussi
participer bénévolement, quelques heures par mois, aux tâches nécessaires à son bon
fonctionnement (caisse, rangement, etc.). C’est pourquoi on parle également de supermarchés
« participatifs ».

Les supermarchés coopératifs sont en plein développement et ils mènent une politique solidaire en
agissant pour le respect de l’environnement, des producteurs et des consommateurs.

Des expériences !

Pour le directeur de L’Éléfàn à Grenoble, il n’est pas question d’être une simple épicerie de quartier !
L’Éléfàn vise à devenir un supermarché suffisamment grand pour pouvoir proposer beaucoup de
références et tous les produits de première nécessité. D’après lui, ce modèle de supermarché
coopératif est avantageux pour tous : « le bénévolat diminue les coûts et permet d’être compétitif
sur les prix. On veut favoriser le local et rendre des produits écolo, bio et sains, accessibles à tous. »

Pourquoi un tel succès ?

Ces supermarchés sont collaboratifs : ils essayent de proposer à leurs membres une alimentation de
qualité à prix réduit (15 à 40 % moins chère que dans la grande distribution). Les prix sont
suffisamment bas pour permettre l’accès à des personnes ayant peu d’argent. Ces structures sont
également démocratiques : comme dans tout supermarché, on y trouve des produits d’hygiène et de
nettoyage, etc. mais la liste des produits peut évoluer en fonction des souhaits des coopérateurs

1. Lis le document et coche la ou les bonne(s) réponse(s). 7 points

a. Le document est... (1 point)

1.  un article dans un site Internet qui présente des projets solidaires.


2.  un article sur la consommation dans un magazine spécialisé.

3.  un article dans un grand quotidien d’information.

b. L’article présente un type de supermarché... (6 points)

1.  qui se développe rapidement en France actuellement.

2.  qui fonctionne exactement comme les autres.

3.  où le consommateur est aussi un acteur de son bon fonctionnement.

4.  qui existe depuis longtemps aux États-Unis.

2. Relis le document. Coche vrai ou faux. Justifie les affirmations fausses. 18 points

a. Pour faire ses achats dans ce type de supermarché, on doit être adhérent.

 Vrai  Faux . . . . . . .
Vrais, parceque, <<pour pouvoir y faire ses courses, il faut y adhérer, c’est-à-dire investir
financièrement. Ils reposent donc sur l’investissement de tous les membres>>. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

b. Seul un investissement financier est demandé aux adhérents des supermarchés coopératifs.

 Vrai  Faux

Faux, parceque, << . Il faut aussi participer bénévolement, quelques heures par mois, aux tâches
nécessaires à son bon fonctionnement (caisse, rangement, etc.)>> . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

c. Ces structures essaient de baisser les prix grâce à la participation de tous les membres.

 Vrai  Faux

Vrai, parceque « le bénévolat diminue les coûts et permet d’être compétitif sur les
prix>>. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
...............

d. Le directeur de L’Éléfàn ne souhaite pas agrandir son commerce.

 Vrai  Faux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Faux, parceque, Pour le directeur de L’Éléfàn à Grenoble, il n’est pas question d’être une simple
épicerie de quartier ! L’Éléfàn vise à devenir un supermarché suffisamment grand pour pouvoir
proposer beaucoup de références et tous les produits de première nécessité.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

e. D’après lui, c’est grâce au bénévolat que tous les membres profitent de ce type de supermarché.

 Vrai  Faux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vrai, parceque , ce modèle de supermarché coopératif est avantageux pour tous : « le bénévolat
diminue les coûts et permet d’être compétitif sur les prix. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

f. Ces supermarchés participent seulement à la protection de la planète.

 Vrai  Faux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Faux, parceque, On veut favoriser le local et rendre des produits écolo, bio et sains, accessibles à
tous.  . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Vous aimerez peut-être aussi