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SÉANCE 1
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Objectifs de l’unité
Résumé de l’unité :
L’Homme est en permanence en contact avec des bactéries. La diversité de ces êtres vivants les rend capable de se
développer dans de très nombreux milieux dès que les conditions sont favorables à leur multiplication.
Le respect des règles d’hygiène et l’usage de substances antiseptiques peuvent limiter la prolifération de ces bacté-
ries dont certaines sont dangereuses pour l’Homme. Toutefois, ces usages doivent être adaptés à chaque situation
car, dans le cas contraire, ils peuvent mettre en péril les relations existantes entre des bactéries et d’autres orga-
nismes vivants qui sont pourtant indispensables à leurs survies (exemple : flore intestinale de l’Homme vitale pour
l’Homme et les bactéries).
C’est notamment le cas des bactéries ! Ces dernières sont des êtres vivants unicellulaires qui sont capables de se
développer très rapidement dès que les conditions du milieu leur sont favorables.
Grâce à leurs caractéristiques, elles sont capables de nouer des relations particulières avec leurs milieux et les
autres organismes qui les entourent. Toutefois, l’équilibre établi peut être mis en péril dans certaines situations
(exemple : une hygiène non adaptée).
Séance 3 : La diversité des bactéries est à l’origine d’une diversité de fonctions dans le monde
Les relations qui existent entre les bactéries et le reste du monde vivant sont très complexes et permettent d’établir
un équilibre indispensable au fonctionnement de nombreux écosystèmes.
Ainsi, les bactéries sont essentielles au bon déroulement de diverses fonctions vitales du monde vivant.
Objectifs de la séance
— Photographie d’une culture de micro-organismes dans
• Mettre en évidence la présence de bactéries dans l’envi- une boite de Pétri
ronnement.
JE SAIS DÉJÀ
Un journaliste scientifique a cherché à vérifier l’importance d’une bonne hygiène. Pour cela, il a imaginé une expé-
rience utilisant des boites de Pétri*.
*Boite de Pétri
Gel nutritionnel
Boite de Pétri
Colonies
Puis, il a mis ces boites à incuber durant 7 jours. C’est-à-dire que durant 7 jours les boites de Pétri sont placées
dans des conditions favorables au développement de micro-organismes (37° C, gel nutritionnel appelé dans la
vidéo : « soupe » ou « gelée »).
Va sur ton espace inscrit pour regarder la vidéo qu’il a réalisée afin de vérifier l’uti-
lité d’un lavage de main et réponds aux questions suivantes sur ton cahier d’exer-
cice.
2. Pourquoi ne faut-il pas jeter les boites de Pétri contenant des cultures de micro-organismes sans précau-
tion ?
Pour se rendre compte de leur taille réelle et de leur aspect il faut utiliser un microscope.
1 micromètre
Echelle
— Photographie d’une observation au microscope optique de bactéries mises en évidence
grâce à une coloration (coloration de gram)
l’aide de l’échelle de la photographie, calcule la taille d’une bactérie en millimètres (un millimètre est mille
À
fois plus grand qu’un micromètre). Puis, coche la seule réponse correcte :
Besoin d’aide ?
l’échelle indiquée en bas de la photographie t’informe que ta barre d’échelle correspond à 1 micro-
mètre dans la réalité. Sachant que la barre d’échelle est de la même longueur que la bactérie entou-
rée en noir sur la photographie, tu peux conclure qu’une bactérie de cette colonie mesure environ 1
micromètre !
Il ne te reste plus qu’alors, à convertir ton résultat en millimètre.
Pour cela tu peux t’aider du tableau de conversion ci-dessous : par exemple 100 micromètres = 0.1 mil-
limètre.
Mètre Décimètre Centimètre Millimètre Micromètre
0, 1 0 0
Nombre
10 15 30 80 180 400 1000
de bactéries
Besoin d’aide ?
Pour t’aider à construite ton graphique sur un logiciel de tableur (Excel ou OpenOffice), tu peux regar-
der une nouvelle fois la vidéo explicative de la séance 2 de l’unité 4 qui se trouve aussi sur ton espace
inscrit..
Rappel : un graphique correct possède les qualités suivantes :
JE RETIENS
Ce que je dois retenir
• L’Homme est en permanence en contact avec des bactéries qui sont capables de se multiplier lorsque
les conditions sont favorables.
• Le respect des règles d’hygiène et l’usage de certaines substances antiseptiques peuvent limiter
la prolifération de ces bactéries.
Vocabulaire
Bactérie : organisme vivant microscopique, le plus souvent unicellulaire, qui ne possède pas de noyau.
Proliférations bactériennes : multiplication du nombre de bactéries lorsque celles-ci trouvent des substances
nutritives et des conditions favorables (ex : température, pH...).
Règles d’hygiène : ensemble des comportements préventifs qui vont limiter le développement de micro-orga-
nismes (exemple : les bactéries).
Substances antiseptiques : substances qui vont tuer les micro-organismes présents (exemple : alcool).
SÉANCE 2
Les bactéries, un groupe très diversifié
Objectifs de la séance
— Photographie d’une colonie bactérienne
• Comprendre la diversité des bactéries.
• Mettre en évidence la diversité de leurs milieux de vie.
• Mettre en évidence les relations qu’elles ont avec leur milieu de vie.
Les bactéries sont composées de plusieurs cellules.
Les bactéries sont des êtres vivants.
Il n’y a aucune bactérie sur des mains propres.
Les antiseptiques n’agissent pas sur les bactéries.
Les bactéries peuvent se multiplier très vite.
JE DÉCOUVRE
Ci-dessous tu trouveras 5 fiches qui vont te permettre de découvrir quelques bactéries et les milieux où elles ont
coutume de vivre.
À l’aide de ces fiches, justifie l’affirmation « la diversité des bactéries leur permet d’occuper des milieux très
divers ».
Pour cela, construit un tableau à double entrée qui illustrera les caractéristiques des micro-organismes étu-
diés.
FICHE n° 1 :
Bactéries
Lactobacillus
Les lactobacillus sont des bactéries de l’ordre de
l’ordre de 0,5 à 3 µm que l’on retrouve dans des
endroits très divers tels que : sur les végétaux
Cellule de et animaux, dans certains aliments, dans les
peau humaine produits fermentés (exemple : yaourts), dans les
produits en décomposition, dans les eaux usées,
dans les intestins de nombreux animaux.
FICHE n° 3 :
FICHE n° 4 :
La tique est un petit parasite animal qui peut être colonisé par la bactérie Borrelia burgdorferi responsable d’une
maladie estivale grave chez l’Homme : la maladie de Lyme.
La bactérie en question est d’autant plus difficile à combattre qu’elle est capable de passer d’une forme spiralée
à une forme de kyste (forme enroulée qui lui permet de résister à des conditions défavorables). Elle est même
capable de vivre à l’intérieur d’une autre cellule !
Besoin d’aide ?
Pour répondre à cette question, tu dois :
• Rechercher les divers milieux de vie présentés dans les documents et les bactéries qui y sont asso-
ciées.
• Comparer les caractéristiques des différentes bactéries qui leurs permettent notamment de
coloniser les milieux.
• Organiser ces informations pour les faire figurer dans un tableau à double entée.
Escherichia coli
Lactobacillus
Thermus aquaticus
Borrélia burgdorferi
Deinococcus radiodu-
rans
« Yanis, certes tu as des bactéries très nombreuses et diverses sur ta peau. Mais leur présence est tout à
fait normale et utile pour toi ! En adoptant une hygiène excessive tu perturbes ces petites résidentes et met en
péril l’équilibre de cet écosystème cutané.
Et oui, toutes ces différentes bactéries qui luttent pour trouver une place sur ta peau empêchent la prolifération
de quelques bactéries qui pourraient te rendre malade ! Pour réussir cela certaines d’entre elles sont même
capables de produire des substances appelées « toxines » qui empêchent les autres micro-organismes de colo-
niser tout le milieu. Et heureusement !
Tu dois donc faire attention à ton mode de vie (changement de climat, port de certains vêtements, utilisation
excessive de certains produits d’hygiène, lavages trop fréquents…) qui peuvent modifier de manière importante
ton microbiote cutané.
C’est bien simple, en utilisant le savon antibactérien aussi longtemps et régulièrement, tu as éliminé ou réduit le
développement de certaines bactéries qui résidaient naturellement sur ta peau, telles que les corynébactéries.
Au final, ce « trop d’hygiène » a provoqué une prolifération de certaines bactéries qui ont profité des espaces
vacants suite à l’éradication d’autres bactéries comme Staphylococcus epidermidis. Cela a même favorisé la
présence d’autres espèces qui ne sont pas présentes habituellement sur ta peau telles que Acinetobactercal-
coaceticus ou Micrococcusluteus. Or elles ne sont pas toutes inoffensives… ».
Yanis tente de rassembler les informations que lui a données son médecin, pour expliquer à ses parents la cause de
ses irritations et de ses rougeurs.
Besoin d’aide ?
Pour réussir cet exercice tu dois lire attentivement le discours du médecin pour comprendre les chan-
gements qui s’opèrent sur le microbiote cutané lorsqu’il y a une sur-utilisation de savons antibacté-
riens.
Expérience n° 1
Expérience n° 2
— Schéma d’une expérience démontrant l’impact du microbiote intestinal sur le comportement des mammifères (souris)
Probiotiques* : bactéries que l’on trouve normalement dans les intestins des souris
À l’aide des 3 fiches ci-dessus, justifie l’affirmation suivante : « Les bactéries constituant le microbiote intesti-
nal interagissent avec leur hôte (être vivant qui les héberge) ». Réponds sur ton cahier d'exercice.
• On observe une grande diversité de bactéries dans le monde qui nous entoure. Ceci leur permet de coloni-
ser des milieux aux caractéristiques très diverses, voire extrêmes.
• Les règles d’hygiène peuvent dans certains cas perturber les relations qui existent entre les bactéries.
Elles peuvent favoriser la multiplication de certaines bactéries (parfois pathogènes pour l’Homme) au détri-
ment d’autres bactéries utiles pour l’Homme.
• En effet, certaines bactéries ont établi au cours du temps des relations symbiotiques avec les êtres
humains, au point de leur devenir indispensables pour vivre.
Vocabulaire
• Relation symbiotique : association entre deux organismes différents dans laquelle les deux organismes
concernés trouvent des avantages (exemple : protection, nourriture, …).
• Bactéries pathogènes : bactéries capables de provoquer une maladie (mortelle ou non) chez un être vivant.
• Hôte : en biologie, se dit souvent d’un organisme qui abrite en lui un autre (ou d’autres) organisme(s) et lui
fournit de la nourriture.
Exemple : L’Homme est l’hôte de nombreuses bactéries qui logent sur sa peau, son tube digestif…
SÉANCE 3
La diversité des bactéries est à l’origine d’une diversité
de fonctions dans le monde vivant.
Les relations qui existent entre les bactéries et le reste du monde vivant sont très
complexes et permettent d’établir un équilibre essentiel au fonctionnement de
nombreux écosystèmes.
Ainsi, les bactéries sont essentielles au bon déroulement de diverses fonctions
vitales du monde vivant.
Objectifs de la séance
Besoin d’aide ?
Pour t’aider relis attentivement les propositions et souviens-toi des expériences scientifiques que tu as
faites précédemment. Quelles précautions et quelles règles avais-tu suivies ? Te souviens-tu pour-
quoi ?
Un problème scientifique est une question qui commence souvent par « Comment ... ? »
Tu peux émettre plusieurs hypothèses, mais chaque hypothèse ne doit vérifier qu’un seul facteur (appelé « fac-
teur variable »).
Exemple :
Hypothèse 1 testant le facteur « chaleur » : Les graines ont besoin de chaleur pour germer.
Hypothèse 2 testant le facteur « lumière » : Les graines ont besoin de lumière pour germer.
Une expérience a pour objectif de tester une hypothèse, ce qui signifie : « vérifier si l’hypothèse choisie est vraie
ou fausse ».
Exemple : Elle permet de vérifier si le facteur « chaleur » a bien l’influence attendue dans la germination
des graines.
• Imaginer les conséquences et les résultats que tu devrais observer si ton hypothèse est vraie.
• Mettre en place une expérience test : construire un montage avec le matériel disponible, en faisant
attention à ne faire varier que le facteur que tu veux tester (exemple : absence du facteur « chaleur »).
Les autres facteurs doivent rester constants.
• Mettre en place une expérience témoin qui sert de comparaison avec l’expérience test (tu construis un
montage similaire à l’expérience test dans lequel tous les facteurs sont constants y compris le facteur
testé précédemment).
Les résultats d’une expérience doivent indiquer ce que tu vois ou ce que tu mesures pour l’expérience test et
pour l’expérience témoin.
orsque le facteur « chaleur » est absent, les graines ne germent pas (expérience test).
Exemple : L
Lorsque le facteur « chaleur » est présent, les graines germent (expérience témoin).
• Cas 1 : si les résultats sont identiques, c’est que le facteur testé n’intervient pas dans le phénomène que tu
étudies alors l’hypothèse est réfutée (= fausse).
• Cas 2 : si les résultats sont différents, c’est que le facteur testé influence le phénomène que tu étudies, alors
l’hypothèse est validée (= vraie).
Exemple : Les graines ont besoin de chaleur pour germer.
Peu oxygéné
+
45 °C
FPO
Lactobacillus bulgaricus
?
�
On peut dire que Léa a raison car du yaourt est fabriqué à la suite de son expérience.
�
On peut dire que Yanis a raison car il a fait une expérience test (montage A) et également
une expérience témoin (montage B).
�
On ne peut rien conclure car aucune des propositions ne correspond à une expérimentation correcte.
Besoin d’aide ?
Pour qu’une expérimentation soit correcte, elle doit être faite en respectant certaines règles (exemple :
Un seul facteur doit varier, etc).
Vérifie pour chaque expérimentation que c’est bien le cas.
+ =
milieu peu oxygéné à 45 °C
Les végétaux ingérés par les vaches subissent d’abord une trans-
formation par les bactéries contenues dans leur panse2 (soit 1 à 10
milliards de bactéries par mL). Cette transformation microbienne
appelée « fermentation », concerne 60 à 90% des glucides conte-
nus dans la ration alimentaire.
La fermentation est d’autant plus importante que les vaches sont
incapables de digérer elles-mêmes la majorité de ces glucides.
L’énergie produite par cette transformation est utilisée par les bac-
— Photographie de vaches au pré téries pour assurer leur fonctionnement et leur multiplication.
De plus, la fermentation produit de nombreuses substances dont
1. Ruminants : animaux qui ruminent
les acides gras qui passent dans le sang et constituent la princi-
(exemple : la vache, le mouton…).
pale source d’énergie du ruminant (70 à 80% de l’énergie totale).
2. Panse : pré-estomac des animaux rumi-
nants. Les aliments ingérés par les rumi- Les bactéries sont ensuite entraînées avec les restes de la diges-
nants peuvent faire plusieurs allers-retours tion dans la caillette3 et l’intestin grêle, où ils subissent alors le
entre la bouche et la panse afin de faciliter processus classique de digestion.
la digestion des végétaux ingérés (fragmen-
tation, fermentation, décomposition). On dit
qu’ils ruminent.
3. Caillette : estomac des ruminants.
Dans le texte ci-dessus, recherche les informations qui montrent que les vaches ne pourraient vivre sans bacté-
ries et rédige un texte qui présente ces arguments.
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JE RETIENS
Ce que je dois retenir
• Les bactéries sont utilisées par de nombreux êtres vivants à leur propre profit.
• Au cours du temps, l’Homme a sélectionné des souches bactériennes qui lui étaient utiles pour transfor-
mer des aliments (exemple : bactéries utilisées pour transformer le lait en yaourt).
• Certaines espèces se sont tellement spécialisées qu’elles sont devenues dépendantes d’une association
avec des bactéries pour leur propre alimentation (exemple : les ruminants qui sont associées à des bacté-
ries pour effectuer leur digestion).
Vocabulaire
Souche bactérienne : regroupe des bactéries d’une même espèce.
Les bactéries peuvent être bénéfiques pour les animaux, mais elles apportent également leur concours à
l’agriculture en coopérant avec certains végétaux cultivés.
Le manque d’azote peut être un facteur limitant pour la croissance des plantes. Cet azote est présent en
grande quantité dans l’atmosphère, mais les végétaux ne sont pas capables de l’utiliser directement.
Certaines plantes, appelées « Fabacées », qui représentent 27 % de la production agricole mondiale (le soja,
les arachides, les haricots, etc…) peuvent s’associer à des bactéries (type Rhizobia) par l’intermédiaire de leurs
racines.
La présence de ces bactéries très particulières est facilement visible au niveau des racines des Fabacées car
elles sont responsables de la formation de structures arrondies (appelées « nodules ») sur les racines (cf
figure photographie ci-contre).
Nodules (organes
symbiotiques)
— Photographie illustrant une relation symbiotique entre des bactéries (type Rhizobia)
et les racines d’une plante (type Fabacées comme le petit pois)
À ce niveau-là, ces bactéries sont capables de capter l’azote de l’air et de le transformer sous une forme que
les plantes peuvent incorporer. En échange de quoi, la plante lui cède des subtances organiques utiles à la
croissance bactérienne. Cette relation est profitable pour les deux parties, on parle de relation « symbio-
tique ».
La connaissance de ce mécanisme permet d’envisager des techniques d’amélioration des cultures, en utili-
sant les Fabacées pour enrichir un sol pauvre en azote, ou en apportant les bactéries en même temps que les
graines.
JE M’EXERCE
Vérifie tes connaissances
À l’aide des connaissances que tu as acquises au cours des 3 dernières séances, indique les affirmations qui te
semblent justes.
Les bactéries sont des êtres vivants pluricellulaires.
Les bactéries sont des êtres vivants microscopiques.
On trouve des bactéries dans tous les types d’environnements connus et naturels..
Les bactéries peuvent être favorables pour un organisme.
Les bactéries peuvent être défavorables pour un organisme.
Les bactéries se multiplient lorsque les conditions deviennent défavorables.
Les bactéries se multiplient lorsque les conditions sont favorables.
Les bactéries sont indispensables à l’équilibre dans l’environnement.
Toutes les bactéries appartiennent à la même espèce.
Bravo, tu as terminé la 9ème et la 10ème unité de cours de Sciences de la Vie et de la Terre. Tu peux aborder
maintenant la rédaction du devoir numéro 10.
Il s’agit d’un devoir automatique que tu peux effectuer directement en ligne sur ton espace inscrit.