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Objectifs du module
► Objectif de connaissances :
► Connaître les techniques et les outils liés à la mise en place
d’une stratégie Marketing digitale pour une entreprise ;
► Objectif de compétences :
Module : Digital Marketing ► Être capable de proposer des orientations digitales utiles au
développement d’une entreprise sur Internet ;
1ère année Master Pro. Entrepreneuriat et Management de Projets ►Être capable d’élaborer et de mettre en oeuvre une stratégie
digitale cohérente et génératrice de valeur ajoutée pour
Enseignant : Rochdi Sarraj l’entreprise.
E-mail : rochdi.sarraj@gmail.com
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Plan du cours
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Introduction Introduction
► Internet et les médias numériques transforment les ► Internet est devenu un espace dans lequel de nombreux services
pratiques de marketing depuis l’ouverture du premier se sont développés (vente en ligne, réseaux sociaux…) :
site Web en 1991. ► De nouveaux modèles de vente sont apparus ou ont été
modernisés ;
► Les usages d’Internet se sont rapidement
développés au sein des populations : ► Des industries ont été bouleversées (musique, presse, édition…)
►En 2019, 58,8 % de la population mondiale utilise Internet, ► Les organisations ont besoin de responsables marketing et
soit 81 % dans les économies développées (selon UIT) prestataires qui maîtrisent les savoir-faire spécifiques au
marketing digital :
►En Europe, le taux de pénétration d’Internet s’élève à
87,7 %, contre 89 % aux États-Unis ; ► En 2016, en France, les dépenses marketing sont supérieures aux
investissements en publicité TV ;
► En 2019, la part des investissements publicitaires en digital dans le
monde est majoritaire (50,1 %, selon eMarketer)
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Introduction Introduction
► Internet et Web : quelles différences ?
Quelles sont les évolutions du Web ?
► Internet représente la structure, c’est-à-dire
le support physique du réseau, qui permet
d’acheminer différents types de Web 1.0 Web 2.0 Web 3.0
communications.
Définition
► Le Web (contraction de World Wide Web Read Write
(selon Berners- Read Only Read Write
ou www) représente, des pages accessibles
les Execute
Lee)
par une URL (Uniform Resource Locator, à Type de Web Simple Web Web social Web sémantique
savoir l’adresse web) ou par un lien en
Nombre
hypertexte renvoyant à cette adresse. Millions Billions Trillions
d’utilisateurs
?C’est un service parmi d’autres présents surr Concept de Connecter des Connecter les Connecter les
Internet. base informations gens connaissances
Années 1990-2000 2000-2010 2010-2020
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Introduction Introduction
Évolution des technologies du Web ► Big Data (méga données) présentent un fort enjeu marketing et
commercial et les outils classiques de gestion de BDD se
révèlent inappropriés. se caractérisent généralement par 5 « V » :
Volume Données trop volumineuses pour être traitées par les BDD
classiques
Vélocité Flux permanent de données
Variété Ordinateur, tablette, smartphone, capteur, puce RFID, GPS, caméra,
site Web, blog, média sociaux
Véracité Fiabilité des données
Valeur Quelle est la valeur, au sens opérationnel, de ces données : dans
quelles conditions sont-elles utilisables et dans quels cas sont-elles
utiles
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(1)Les cookies : de petits fichiers qui sont insérés sur votre ordinateur par le site web,
l’application que vous utilisez ou par la publicité que vous affichez. Ces fichiers vont enregistrer
des informations vous concernant : un pseudo, votre âge, certaines habitudes de navigation, etc.
Ces données sont ensuite collectées et analysées afin de faciliter votre navigation ou vous
proposer des publicités qui vous correspondent.
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2. Les spécificités du marketing digital 3.. Les
es ttroiss g
grands
an s ty
types
y de médias digitaux (achetés,
détenus ou gagnés)
Différences entre le marketing digital et le marketing traditionnel
Numérique et souvent en
Support Hors ligne
ligne
Demande de permission /
Interruption / préméditée /
Relation client spontanée /
unidirectionnelle
multidirectionnelle
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3.. Les
es ttroiss g
grands
an s ty
ttypes
y de médias digitaux (achetés, 4..Lee p
parcours
a u s digitall du
u consommateurr : du
u multicanal
détenus ou gagnés) à l’omnicanal
Trois types de médias pour développer une stratégie digitale :
Figure 2 : L’évolution des entreprises en termes de synergie entre
► Les médias achetés : l’organisation doit investir financièrement ses points de vente offline et online : du multicanal à l’omnicanal
(ex. : présence sur les moteurs de recherche, (SEA, ou Search
Engine Advertising), diffusion de bannières et autres formats
display, présence auprès de sites affiliés, etc.
► Les médias détenus : l’organisation en est propriétaire (réseaux
sociaux, site Web, newsletters…)
► Les médias gagnés : médias gagnés grâce à l’appui des partenaires
(ex. Les commentaires (positifs), les partages, ou encore le
bouche-à-oreille )
► Il faut trouver un bon mix entre les trois principaux axes
d’investissement possibles : « Owned, Earned et Paid Media ».
► Pas de bonne stratégie digitale sans articulation POEM.
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Introduction
Introduction
Influences internes et externes agissant sur la stratégie de marketing digital Introduction
Influences internes et externes agissant sur la stratégie de marketing digital ► La formulation d’une stratégie marketing digitale suppose
de définir la manière selon laquelle le marketing digital va
supporter l’atteinte des objectifs de l’entreprise et
notamment ceux du marketing.
► Les décisions stratégiques en matière de marketing sur
Internet sont similaires et complémentaires aux décisions
de marketing stratégique pour les entreprises dans le
monde physique.
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Less 4 grandess étapess du
u développement
ével ppe
ével t d’unee stratégie 1.L’analyse de la situation
marketing
Ø L’audit interne du marketing digital
Ø 3 mesures permettent d’évaluer la contribution du marketing
1. L’analyse de la situation digital :
Ø Efficacité commerciale : mesurer la contribution directe ou
2. La fixation des objectifs stratégiques indirecte des canaux digitaux via les leads, les ventes, la rétention et la
fidélité des clients ;
Ø Efficacité marketing : mesurer la contribution directe ou indirecte
3. La formulation de la stratégie des canaux digitaux aux indicateurs de performance marketing via la
notoriété, la préférence, la considération et la recommandation ;
4. La mise en œuvre de la stratégie Ø Efficacité du marketing digital : évaluer, via les indicateurs clés de
performance (KPI, Key Performance Indicators), notamment le
nombre de visiteurs uniques, le nombre total de visites, les visites
répétées, la durée, le taux d’abonnement, le taux de conversion, le
taux d’abandon, le taux d’attrition et le taux de clic ;
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► SMART caractérise la façon dont chaque objectif devrait ► Les 5 S du marketing digital sont une méthode qui permet
être défini : de vérifier, simplement, qu’aucun type d’objectif n’a été
►Specific (Spécifique): l’objectif doit être détaillé et précis, oublié, lors de la création de notre stratégie digitale.
►Measurable (Mesurable) : un attribut quantitatif ou qualitatif
doit pouvoir lui être donné
►Actionable (Exploitable): il doit être possible d’agir sur les
leviers permettant d’atteindre les objectifs
►Relevant (Pertinent) : l’objectif atteint doit permettre
l’amélioration de la performance globale de l’entreprise
►Time-relevant (Temporel): l’échéance doit être précise
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2. La fixation des objectifs stratégiques 3. La formulation de la stratégie
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3. La formulation de la stratégie 3. La formulation de la stratégie
► Le ciblage temporel : ► Le ciblage comportemental : une publicité est mise en avant en
fonction du comportement de l’internaute sur le site et/ou en
► Une publicité s’affiche uniquement certain jour ou à certaines fonction de sa façon de « surfer » même à l’extérieur du site
heures. éditeur.
?Un groupe de restauration peut programmer une campagne de liens ► Se fonde sur l’activité de navigation passée d’un internaute.
sponsorisés sur Google deux heures avant l’heure du déjeuner ou
du dîner, ou uniquement les jours où il reste des tables disponibles. ► Le ciblage par centres d’intérêt, mais également par le terme de
surf centric.
?Une marque de barre chocolatée peut insérer automatiquement
des bannières au moment des « petits creux » du matin. ► Repose sur la façon de « surfer » à travers le temps et non à un
instant t comme c’est le cas pour le ciblage contextuel,
► Le ciblage contextuel : concerne les publicités ciblées en
► Les données sont enregistrées grâce aux cookies (1) collectés et à
fonction du contenu textuel de la page d’autres traceurs.
► Ex : publier des annonces pour des chaussures de sport, des
Les cookies sont de petits fichiers qui sont insérés sur votre ordinateur par le site web, l’application que vous utilisez
raquettes ou des balles de tennis dans une interview d’un joueur ou par la publicité que vous affichez. Ces fichiers vont enregistrer des informations vous concernant : un pseudo, votre
de tennis) ou en fonction d’une requête effectuée par âge, certaines habitudes de navigation, etc. Ces données sont ensuite collectées et analysées afin de faciliter votre
navigation ou vous proposer des publicités qui vous correspondent.
l’internaute.
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3. La formulation de la stratégie 3. La formulation de la stratégie
Un persona n’est pas un marché ciblé, une fonction dans l’entreprise, un L’inbound marketing et le growth hacking
client réel. On le définit par les caractéristiques suivantes : « Accélérez la croissance de votre activité avec les leviers de l’inbound marketing et les hacks issus
du growth hacking. »
► Des problématiques similaires (points de douleur) à résoudre : qu’est-ce
qui conduit un persona à investir dans les produits ou services qu’on Qu’est-ce qu’une stratégie d’inbound marketing ? « Nous devons cesser d’être des
propose et qu’est-ce qui fait la différence par rapport à des acheteurs qui interruptions dans ce qui intéresse les gens et devenir ce qui intéresse les gens. »
optent pour le statu quo ou la concurrence ?
► L’inbound marketing vise à attirer les clients grâce à la diffusion de
► Des facteurs de succès : quels résultats opérationnels et personnels nos contenus de qualité qui informent, éduquent, voire qui inspirent.
cibles espèrent obtenir en se portant acquéreurs de nos solutions ?
► Marketing entrant par opposition aux techniques de marketing
► Des freins à l’achat : quels facteurs conduisent les clients potentiels à traditionnelles qui cherchent à capter l’attention des
estimer que nos solutions ne sont pas les meilleures ou les plus consommateurs de manière intrusive en utilisant notamment le
appropriées ?
canal publicitaire (marketing sortant ou outbound marketing
► Le parcours client : qu’est-ce qui va influencer le choix des cibles tout au
long de leur prise de décision ?
► Les critères de décision : qu’est-ce qui permet de gagner la confiance de
nos cibles et de conclure la vente ?
► Des données démographiques et biographiques générales.
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3. La formulation de la stratégie 3. La formulation de la stratégie
► 1. Attirer : en produisant et en partageant des contenus
pédagogiques ou informatifs il est possible d’atteindre un trafic Web ► Le funnel Marketing est un concept clé de l’inbound
de qualité. marketing :
► 2. Convertir : une fois le trafic souhaité obtenu, il faut inciter les ►permet de représenter visuellement le parcours client.
visiteurs à communiquer leurs coordonnées. C’est le rôle des
contenus premium auxquels ils pourront accéder après avoir ►La modélisation la plus courante est celle de l’entonnoir de
complété un formulaire. Les outils call-to-action et landing page conversion en trois étapes : découverte, évaluation, et
entrent ici en scène. décision.
► 3. Conclure : une fois les coordonnées des visiteurs obtenues, il
faut entretenir et approfondir la relation jusqu’à ce qu’ils ►Ce sont les phases clés du parcours de décision, depuis le
deviennent clients. C’est le rôle du lead nurturing. Le marketing moment où un client porte son attention sur une marque
automation, le lead scoring (classement des leads selon leur ou un produit, jusqu’à l’acte d’achat.
maturité dans le tunnel de conversion) et les données issues du
CRM aident à orchestrer ce nurturing. ►D’autres modelés incluent deux étapes supplémentaires : la
fidélisation et l’advocacy (le client devient ambassadeur de la
► 4. Enchanter : les contenus à forte valeur ajoutée permettent
d’enrichir la relation client et ainsi transformer les clients en marque).
ambassadeurs de marque.
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3. La formulation de la stratégie 3. La formulation de la stratégie
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Qu’est-ce que le growth hacking ? « piratage de croissance» ► Le principe du growth hacking est notamment d’optimiser
►Une stratégie de marketing digital qui vise à générer chacune des 5 étapes de conversion et de rétention des
rapidement une forte croissance, en termes de visibilité, clients :
notoriété, développement d’une base de données prospects
ou clients, contenu, chiffre d’affaires… via des techniques ou
astuces informatiques ou marketing dénommées « hacks ».
? Certains hacks peuvent se situer parfois à la frontière du
légal et de la déontologie
? Les compétences clés des growth hackers sont donc issues
des métiers du marketing et de l’informatique.
?Connaissances : techniques (codage, scripts spécifiques) +
marketing traditionnel (stratégique et opérationnel).
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3. La formulation de la stratégie 4. La mise en œuvre de la stratégie
Quelques exemples de réussites en growth hacking :
► Objectif de conquête de nouveaux utilisateurs :
► Étapes de la mise en œuvre de la stratégie
? La possibilité pour les utilisateurs de la solution Dropbox de gagner de ►Ajuster le mix marketing à l’environnement Internet
l’espace de stockage supplémentaire en parrainant de nouveaux
utilisateurs ; ►Gérer la relation client
? La possibilité offerte aux joueurs de Candy Crush de diffuser leur score
sur Facebook et de gagner des vies en invitant leurs amis Facebook à jouer. ►Délivrer une expérience en ligne
► Objectif de notoriété : ►Communiquer et développer le trafic
? L’intégration automatique par Apple de la signature « Envoyé de mon
iPhone » dans tous les messages adressés par ses utilisateurs.
► Objectif de visibilité :
? La possibilité offerte aux utilisateurs d’AirBnB de publier leurs annonces
sur des sites concurrents ;
? La possibilité offerte aux utilisateurs de LinkedIn de créer un profil
professionnel public ;
? La possibilité offerte aux utilisateurs de YouTube d’intégrer leurs vidéos
sur leur blog…
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Introduction
Comment
►es les marketeurs
entreprises en France peuvent-ils adapter le
: un ensemble mix marketing à
hétérogène
leur stratégie de marketing numérique ?
► Les éléments du mix
marketing
Chapitree 3 : Internet et le mix • Jérôme McCarthy(1960)
marketing a proposé le concept de
« mix marketing » : les
« 4 P » (Produit,
Prix, Place et
Promotion)
• Les « 4 P » ont été
étendus à 7 (Booms et
Bitner, 1981) :
Personnes, Processus
et Preuve physique
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Introduction
n: 1. La politique de produit sur internet
► Le modèle des « 4 C » qui consiste à prendre en compte ► Options visant à faire varier le noyau du produit
les 4 P du point de vue du client (Lautenborn 1990) • Le Web est un moyen de développer de nouveaux produits dits informationnels
• Ghosh (1998) évoque le développement de produits inédits :
►Customer values : besoins et désirs du client vis-à-vis du o Puis-je fournir à ma clientèle des services informationnels ou transactionnels
produit supplémentaires ?
Ex. : pour un libraire, achat en ligne
►Costs: coût pour le client
o Puis-je répondre aux besoins de nouveaux segments de clientèle
►Convenience: commodités et confort en termes de en reconditionnant mes actifs informationnels actuels ou en concevant
de nouvelles propositions commerciales au moyen d’Internet ?
distribution Ex. : créer un service de livres électroniques
►Communication : promotion o Puis-je exploiter mon aptitude à séduire les clients pour générer de nouvelles
sources de revenus, comme la publicité ou la vente de produits complémentaires ?
Ex. : Lastminute.com
o Si d’autres entreprises fournissent une partie de la valeur que je propose
aujourd’hui, cela nuira-t-il de manière significative à mon activité actuelle ?
Ex. : pour un libraire, faire face à la concurrence d’Amazon
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1. La politique de produit sur internet 1. La politique de produit sur internet
► Options relatives à la modification du produit étendu ► Réalisation d’études en ligne
► Internet permet de modifier les composantes de produit étendu de ► Parmi les options relatives à l’étude du développement de
différentes manières. Chaffey et Smith (2008) citent notamment : nouveaux produits en ligne figurent notamment :
? Utilisation par les marques de leaders d’opinion (endorsement) ?Les réunions de groupe (focus groups) en ligne
? Récompenses
?L’enquête par questionnaire en ligne
? Témoignages
?Le feedback client ou les forums de support
? Listes de clients
?Le Web Analytics
? Commentaires des clients
?Un Bulletin Board
? Garantie
? Assurance
? Offres de remboursement
? Service client
? Intégration d’outils pour aider le client à choisir et à utiliser le produit
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?La possibilité d’explorer diverses options au moyen d’une ?Le feedback client ou les forums de support
étude de marché en ligne ; ?Le Web Analytics
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1. La politique de produit sur internet 1. La politique de produit sur internet
► Rapidité de développement de nouveaux produits
► Le concept de la longue traîne(long tail)
► Développée en 2004 par Chris
►Internet fournit une plateforme qui permet de développer Anderson
rapidement de nouveaux produits en raison de :
► Le principe de Pareto
Pa : 20 % des causes
?La possibilité de tester des idées et concepts inédits ; produisent 80 % des effets.
► En analysant le modèle économique
?La possibilité d’explorer diverses options au moyen d’une d’Amazon,Anderson a constaté :
étude de marché en ligne ;
?que la majorité du chiffre d’affaires
?L’effet réseau, qui facilite la formation de partenariats. n’était pas réalisée par 20 % des
produits,
?mais que le succès d’un site e-
commerce comme Amazon reposait au
contraire sur sa capacité à proposer de
nombreux produits peu vendus
individuellement, mais dont l’addition
des ventes dépasse de loin celles des
best-sellers.
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3.La politique de distribution sur internet 3.La politique de distribution sur internet
1.1 Nouvelles structures de canaux ► La réintermédiation : la création de nouveaux intermédiaires entre
3 grands types de phénomènes nécessitent de la part des entreprises l’élaboration de
le consommateur et les fournisseurs, offrant des services comme la
stratégies adaptées : recherche de fournisseurs ou l’évaluation de produits.
► La désintermédiation : supprimer dans le circuit de distribution un ou plusieurs ► Les comparateurs de prix ou les sites d’avis consommateurs entrent dans
intermédiaires qui formaient auparavant un lien entre le producteur et le cette nouvelle catégorie d’intermédiaires
consommateur (grossiste, détaillant…).
? Si le grossiste et le détaillant sont supprimés, le producteur peut vendre et promouvoir ?Ex : Le recours à un intermédiaire, de type comparateur de prix comme
directement ses produits au consommateur via son site Internet. Si seulement un des deux Lastminute.com, dont la base de données est interconnectée avec les
types de partenaires est supprimé (grossiste ou détaillant), l’on passe d’un circuit de différentes compagnies aériennes, va permettre au consommateur de
distribution long à un circuit plus court.
simplifier la phase d’évaluation des offres et de comparaison des prix.
► Avantage : supprimer les coûts associés à la vente des produits/services à travers le
canal et répercuter éventuellement cette économie sur le prix proposé au ► La contremédiation : Un producteur s’associe avec un organisme
consommateur.
indépendant ou crée son propre intermédiaire indépendant de manière
► Inconvénient : Les intermédiaires assurent un certain nombre de fonctions à concurrencer les intermédiaires existants.
(informations sur le marché, effort promotionnel, gestion du processus de commande
et de la transaction, stockage et transport, installation et service après-vente…). ► Instaurer des barrières à l’entrée pour un nouvel intermédiaire.
? Ces fonctions devront être supportées par les autres intermédiaires voire uniquement par le
producteur dans le cas de la vente directe. ?Ex : en 2001 les grandes compagnies aériennes européennes (Air France,
? Entraîner le producteur à supporter des activités non reliées et non stratégiques, risquant de Lufthansa, British Airways…) ont fondé Opodo.com afin de concurrencer
diminuer son efficacité et d’augmenter ses coûts. les autres moteurs de recherche spécialisés dans le voyage
(Lastminute.com…)
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4.La politique de communication sur internet 4.La politique de communication sur internet
► La politique de communication a pour objectif de ► Une campagne de communication en ligne peut être mise en
transmettre le bon message, au bon consommateur, au place afin d’atteindre l’un des quatre objectifs suivants
bon moment. (Décaudin et Digout, 2011) :
► Développement d’Internet et des technologies digitales : ► Développer la notoriété de la marque, en favorisant sa visibilité
des équivalents digitaux des moyens de communication sur un ensemble de sites partenaires et/ou à fort trafic ;
traditionnels (télé, radio, presse, l’affichage, le marketing ► Créer du trafic : attirer sur le site un trafic qualifié en fonction de
direct, les relations publiques) se sont développés et ont l’objectif fixé (vente, inscription, remplissage d’un formulaire…) ;
pris de plus en plus de place.
► Convertir un visiteur en acheteur grâce à une communication sur
►Des moyens de communication on et offline élaborés dans le site délivrant un message pertinent et qui aide le visiteur dans
le cadre d’une stratégie de communication marketing la formation de ses perceptions ou dans la réalisation d’un
intégrée (CMI). résultat marketing souhaité par l’entreprise ;
►Internet ne remplace pas les canaux de communication ► Fidéliser les consommateurs actuels en mettant en place des
existants, il vient les compléter. actions l’incitant à acheter plus et plus souvent.
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1. Les caractéristiques des médias digitaux
► Du push au pull :
► Médias push : voies à sens unique où l’information circule essentiellement sur
un mode unidirectionnel (de l’entreprise au client)
Chapitre
p 4 : L’utilisation des ? Ex. : médias traditionnels comme la presse, la télévision ou la radio
médias
d ddigitaux
g en ► Médias pull : activités de marketing digital comme le marketing de contenu, de
recherche ou les médias sociaux
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1. Les caractéristiques des médias digitaux 1. Les caractéristiques des médias digitaux
► Du « one-to-many » au « one-to-some » et au « one-to-one »
►« One-to-many » : communication de masse (voir
communications traditionnelles push)
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2.Les principaux médias numériques 2.Les principaux médias numériques
► SEM (Search Engine Marketing) : référencement naturel 2.1 SEM (Search Engine Marketing)
(SEO, Search Engine Optimization) + Référencement 2.1.1. Référencement naturel (search engine optimisation, ou SEO)
payant ( le search engine advertising (SEA). ► vise à obtenir pour un ensemble de combinaisons de mots clés
(ou d’expressions) spécifiques saisies par les utilisateurs, la
► La Publicité display ; position ou le classement le plus élevé possible parmi les résultats
naturels ou organiques qui apparaissent dans le corps pages de
► L’affiliation ; résultats des moteurs de recherche (search engine results pages
► E-mailing; ou SERP).
► La technologie utilisée pour créer les pages de résultats met en
► Les réseaux sociaux ; jeu les principaux processus suivants :
► La publicité sur mobiles. ► Exploration : consiste à identifier les pages qui méritent d’être
indexées (opération effectuée par des bots)
► Web et blog
► Indexation : permet de trouver rapidement les pages les plus
pertinentes contenant la requête saisie par l’utilisateur
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2.Les principaux médias numériques 2.Les principaux médias numériques
► Avantages du SEO 2.1.2 Le search engine advertising (SEA)
► Un vecteur de trafic significatif ► Technique qui consiste à vendre des liens contextuels à des sites
► Un ciblage performant d’annonceurs en fonction de la recherche effectuée par l’internaute
sur un moteur de recherche ou lors de sa navigation sur un site ou
► Un coût d’acquisition de visiteurs potentiellement faible depuis son smartphone.
► Inconvénients du SEO ► Permet un ciblage dynamique des publicités proposées.
► Manque de prédictabilité : en comparaison d’autres médias, le SEO se ► basé sur un système d’enchères de mots clés.
révèle très peu fiable en termes de retour sur investissement. ► AdWords est le programme le plus populaire, car Google détient, en
► Lenteur des résultats France, environ 96 % du marché de la recherche sur le Web. C’est un
outil qui commercialise les liens sponsorisés.
► Complexité et nature dynamique : les moteurs de recherche tiennent
compte plusieurs centaines de facteurs, mais leurs pondérations ► CPC et PPC constituent le principal modèle de paiement des
relatives ne sont pas publiés ; résultats sponsorisés
► Investissement permanent ► Sur Google AdWords, deux types de réseaux peuvent être choisis :
► Le réseau display, constitué de milliers de sites partenaires
► Faible capacité à développer la notoriété, en comparaison d’autres
médias ► Le réseau de recherche, constitué du moteur de recherche Google
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►mais aussi sur un ensemble de sites appartenant à Google ►Les annonces peuvent être sous forme de texte, mais aussi
(YouTube, Gmail, Google Maps, Google Earth...) ou sur des graphiques et vidéo
sites de contenu partenaires grâce au réseau AdSense.
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2.Les principaux médias numériques 2.Les principaux médias numériques
2.2. La publicité display Les possibilités de ciblage
► Publicités sur Internet faisant appel à des créations graphiques (textes, ► Un ciblage contextuel permettant de diffuser le message dans un
images ou vidéos).
contexte d’exposition particulier
► Ancêtres de la publicité en ligne, les bannières ont pris le nom de ?Exemple sur un site automobile afin de toucher des personnes intéressées
« display » pour les dissocier des « annonces sponsorisées ». par l’automobile ;
► Achat d’insertions publicitaires de la part d’un annonceur sur des sites ► Sous-entend le choix du support, de l’emplacement, ce qui de la période
tiers, éditeurs ou réseaux sociaux par exemple de campagne… ;
► utilisent de plus en plus le rich media (ou média enrichi) : incorporent des
contenus à forte interactivité avec l’utilisateur (animation, sons, vidéos…) ► Un ciblage comportemental (targeting) permettant de diffuser aux
internautes des publicités personnalisées correspondant à leurs besoins
?apportent une valeur ajoutée importante dans les campagnes de publicité et attentes supposés.
en ligne.
► Une personnalisation des contenus publicitaires en fonction du
@ Exemple la bannière interactive ou vidéo : les billboards : pré, mid ou post- comportement de l’internaute (liens cliqués, articles vus, recherches
roll, diffusé au début, milieu ou fin de visionnage d’une vidéo sur Internet.
effectuées, panier d’achat…) et de ses centres d’intérêt.
► Les formats « surgissant » (pop up, pop under, site under...) sont bannis.
► Reciblage (ou retargeting) lorsqu’un site diffuse une publicité ciblée à un
?Une grande majorité d’internautes dispose de logiciels bloquants ces internaute qui a visité le site sans acheter quelques minutes ou jours
formats. auparavant (en se basant sur les cookies).
? Un effet négatif sur la perception de la marque mise en avant a cause de ?(-) intrusif (+) plus efficace (taux de clic plus élevé) offre un meilleur ROI.
leur caractère intrusif.
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2.Les principaux médias numériques 2.Les principaux médias numériques
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2.Les principaux médias numériques 2.Les principaux médias numériques
Quelques grands réseaux sociaux et leur fonction principale
2.5 Les réseaux sociaux :
Réseaux sociaux Facebook Snapchat Instagram
► développer la présence de l’organisation sur les médias sociaux, grand public
notamment les réseaux sociaux comme Facebook, les outils de Réseaux Youtube Dailymotion Vimeo
micro-blogging comme Twitter, et les autres outils sociaux qui se spécialisés (vidéo)
développent régulièrement (comme Instagram, Pinterest ou Réseaux spécialisés
Snapchat). Soundcloud Discog
(musique)
Réseaux spécialisés
► Principe de visibilité́ réside essentiellement sur le bouche-à-oreille (Images) Flickr Pinterest Imgur
(ou marketing viral), c’est-à̀-dire sur la diffusion des messages de micro-blogging Twitter Mastodon Tumblr
proche en proche. Réseaux Linkedin Viadeo
► Se rapproche de plus en plus des techniques de display ou de liens professionnels
sponsorisés (sur les réseaux sociaux, on parle plutôt de « post » Messageries WeChat Whatsapp Telegram Slack
sponsorisés) depuis le mouvement engagé par Facebook, suite à̀ son instantanées
introduction en Bourse en 2012, pour monétiser son audience. Social Delicious Scoop it
bookmarking
► Les réseaux sociaux sont premièrement des lieux où les internautes Facebook
peuvent partager, diffuser, modifier, détourner des contenus, en Streaming Twitch Periscope Live
relation avec d’autres utilisateurs. Forums/sites
communautaires Reddit 4chan Tripadvisor Wikipédia
et collaboratifs
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Introduction Introduction
► Les entreprises qui développent des stratégies digitales réussies ► Les KPI peuvent porter sur des données simples : par
partagent une caractéristique commune : elles consacrent exemple : le nombre de pages vues ou la durée moyenne des
les ressources nécessaires au suivi de leurs résultats visites sur un site web.
marketing.
►Leur intérêt est leur simplicité et leur facilité de collecte.
► Les indicateurs d’efficacité du marketing digital doivent
évaluer sa contribution à différents niveaux : ►Mais ils ne renseignent qu’assez peu sur la performance
finale d’un site web ou d’une action marketing.
► Les objectifs d’entreprise définis dans la stratégie digitale sont-ils
atteints ? ► On leur préférera donc des KPI un peu plus élaborés,
► Les objectifs du plan marketing sont-ils réalisés ? associés à des objectifs ou des événements,
► Les objectifs des communications marketing sont-ils remplis ? ►par exemple : pourcentage de visiteurs ayant visité 3 pages
ou plus d’un site web, nombre de paniers d’achat
► Les objectifs sont résumés sous forme de KPI (Key transformés, c’est-à-dire ayant généré une commande.
Performance Indicator)
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1.1 La mesure de l’efficacité des campagnes de display 1.11 La mesure de l’
l’efficacité des campagnes de display
Indicateurs quantitatifs
► Les indicateurs qualitatifs viennent compléter ceux
► La mesure d’audience : compter et identifier le comportement des
internautes (nombre de visites, nombre de pages vues, temps moyen quantitatifs :
par visite, profil des visiteurs, provenance…). ►Exemple : impact de la campagne sur le taux de
► Soit en interrogeant un panel d’internautes représentatifs de la cible, soit mémorisation (pourcentage de personnes ayant été
en traquant la navigation d’un panel d’internautes sélectionnés à l’aide
d’outils de mesure d’audience (Google Analytics,AT Internet…).
exposées au message et qui ont mémorisé au moins un
élément du message), le taux d’attribution à la marque ou le
► Le nombre de clics/taux de clic : évaluer le nombre de fois où une
publicité a été cliquée.
taux de notoriété (spontanée ou assistée) de la marque.
► On assiste à une baisse tendancielle du taux de clic moyen depuis des
années (taux de 0,1 %, parfois de 1 %).
► Le nombre/taux de clic (CPC) ou le nombre d’affichages (CPM) mesurent
plus l’étendue de la diffusion d’une campagne que son efficacité.
► Il est nécessaire de mettre en perspective ces mesures avec l’audience
du site de l’annonceur, ses ventes, la mémorisation de la marque et sa
notoriété.
109 110
1.2 La mesure de l’efficacité du site WEB 1.2 La mesure de l’efficacité du site WEB
Les principaux KPI issus du Web Analytics: Tests A/B
► Le nombre de visiteurs uniques ; ► L’A/B testing consiste à comparer deux versions A et B d’une page Web ou
d’un élément d’une page Web (CTA1, titres, images, formulaires…) afin de
► Le nombre de visites (sachant qu’un visiteur peut effectuer plusieurs contrôler les performances de chacune des versions.
visites) ;
► Le nombre de pages consultées par visite ; ► Chaque version est généralement présentée de manière aléatoire aux
utilisateurs.
► Le nombre de nouveaux visiteurs ;
► Une analyse statistique permet d’en tester l’efficacité sur différents
► Le temps passé par visite ; indicateurs comme le taux de conversion.
► Le taux de rebond1 (c’est-à-dire le pourcentage de visiteurs quittant le site ► L’A/B testing s’avère essentiel pour optimiser les taux de conversion d’un site
après avoir visualisé une seule page) Web, d’une campagne d’e-mails marketing ou encore d’une landing page2.
► Pourcentage des visites issues des moteurs de recherche. ► Lorsque plus de deux versions sont testées, on parle de tests multivariés
► Évolution du trafic en accès direct. Call-to-action (CTA): le call-to-action est un appel ou une incitation à l’action. Il prendra la plupart du temps la
forme d’un bouton ou d’une bannière cliquable qui renverra vers une landing page.
► La profondeur de navigation.
(2) Les landing pages ou pages d’atterrissage servent à accueillir les visiteurs et à les inciter à passer à
l’action : achat, inscription, téléchargement… Elles doivent être idéalement indépendantes du site Web de
(1) Le taux de rebond moyen des sites internet B2B est aux alentours de 50 %, moins élevé sur les sites l’entreprise dans le sens où elles ne sont pas liées à ce dernier via un menu de navigation traditionnel ; elles
B2C (de e-commerce) compris entre 20 % et 40 %. Un taux élevé peut être un indicateur de mauvaise sont accessibles uniquement grâce à des call-to-action (boutons d’action, liens, bannières publicitaires…)
santé de votre site, ou le signe que votre landing page a besoin d’être retravaillée. proposés à cet effet aux internautes.
111 112
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1.2 La mesure de l’efficacité du site WEB 1.4 La
1.4 a mesuree dee l’efficacitéé d’unee campagnee d’e
’e-
e-mailing
A/B testing: pourquoi en faire ? ► Analyser le nombre de NPAI (n’habite pas à l’adresse
indiquée) ;
► Le taux d’ouverture de l’e-mail (en moyenne autour de 20 %),
le taux de clic (autour de 4 %) et le taux de transformation
(défini en fonction de l’objectif de la campagne) ;
► Un suivi des désinscriptions suite à l’envoi d’un e-mail ou une
newsletter ;
► Un marquage grâce à des tags des différentes parties de l’e-mail
permet un meilleur suivi de son efficacité.
► Certains facteurs comme l’expéditeur, l’objet de l’e-mail, le degré
de personnalisation, le jour et l’heure d’envoi… favorisent les
taux d’ouverture et de clic.
113 114
2. MarTech
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es médias
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