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1- la part de résultat correspondant au droit de cet associé est déterminé selon les

règles fiscale applicable à cet associé (soit IS, BIC, ou BA) . B) l’imposition des
résultats entre les mains des associés de la société de personne : comme les
entreprises individuelles le résultat n’est pas imposable au nom de la société
mais aux noms personnels des associés même si le bénéfice n’est pas distribué et
même si il est affecté intégralement au compte de réserve. Le résultat est réparti
entre les associés et chacun déclare la quote part de bénéfice ou de déficit
correspondant à ses droits dans la société.

2- passage du résultat comptable …

L’entreprise va déterminé sont résultat comptable en appliquant les règles du


droit comptable sans se soucier du résultat fiscale des produit et des charges . A
la clôture de l’exercice une fois que le résultat comptable est calculé et chaque
fois que la règle fiscale s’écarte de la règle comptable il convient de retraiter le
résultat comptable en dehors de la comptabilité de façon a déterminé le résultat
fiscale . Pourquoi une tél distorsion entre les 2 résultats : pck la compta a pour
fonction de décrire le patrimoine de l’entreprise et de retracer les flux financiers
dans un but d’information. La fiscalité a 2 fonctions : 1 fonctions budgétaires
qui est celle de financer les dépenses de l’état et donc d’éviter que le résultat ne
soit vidé de sa substance et 2ème fonction de régulation conjoncturelle et
structurelle , la fiscalité constituant un levier en vue de modeler le
comportement dans un but incitatif et dissuasif . Le résultât fiscale sera
déterminé en apportant de manière extra comptable des corrections au résultat
comptable , certaines corrections aboutisse à majoré le résultat comptable =
réintégration extra comptable et certaines aboutisse à minoré le résultat
comptable = déduction extra comptable . Ces rectifications extra comptable
s’effectue sur un imprimé spécifique si l’entreprise relève du régime réel
normale ( c’est l’imprimé 2058A de la liasse fiscale ) si régime simplifié (c’est
2033B de la liasse fiscale) .

Chapitre 3:
1.1:
Les produits à prendre en compte sont les ventes de marchandise , travaux
effectué et service fourni sont assimilé à des ventes les opérations telle que
apport en société où les échanges , le montant imposable est le prix totale perçu
par l’entreprise en contrepartie de ses opérations . Lorsque le prix est libellé en
devise étrangère les ventes sont imposé pour la contre valeur en € de ce prix
calculé au jour de l’opération. Les produits enregistrés est définitif quelque soit
l’évolution du cours de la devise contente . Le compte de résultat devant être
présenté hors taxe les produits sont enregistrés hors TVA. Seules les entreprises
de vente au détail, peuvent enregistrer leur recette TTC et procéder à une
régularisation en fin de période pour obtenir les produits hors taxe.
Les produits sont imposables quand ils sont comptabilisés. Par application de la
règle d’indépendance d’exercice comptable chaque opération doit être rattachée
à un exercice comptable. Quel est le critère de rattachement ? Conformément
aux principes de la comptabilité d’engagement, le résultat comptable de
l’exercice n’est pas déterminé à partir des opérations qui ont fait l’objet d’un
règlement au cours de l’exercice mais à partir des produits définitivement acquis
au cours de l’exercice et des dépenses engagés au cours de ce même exercice
c’est-à-dire quand les créances et les dettes sont devenues certaines dans leur
principe et déterminées dans leur montant au cours de l’exercice. Ces règles sont
différentes selon qu’il agit de ventes, de prestations de services ou de travaux
d’entreprises.

(A rajouter dans la partie 2. Les ventes) En cas de vente sous condition


résolutoire c’est lorsque le transfert de propriété et immédiat mais la vente est
annulée si un événement futur se produit.

3. Les fournitures de service


D les revenus des immeubles
En cas de cession de l’immeuble où cession d’activité on appliquera le régime
de plus valeur et moins valeur professionnelle. L’immeuble est maintenu dans le
patrimoine privé de l’exploitant : juridiquement il n’est pas possible de
considérer que l’entrepreneur loue l’immeuble à l’entreprise. Fiscalement le
contribuable est autorisé à déduire des résultats de son entreprise la valeur du
loyer normale de l’immeuble corrélativement il doit déclarer ce montant en
revenu fonciers. Dans ce cas seul les charges locatives sont déductibles du
résultat de l’entreprise. En cas de cession de l’immeuble le produit de cession
relèvera du régime des produits de + valeur ou - value des ménages.

Article 15 II du CGI : les revenus des logements dont le propriétaire se réserve


la jouissance sont exonérés de revenu foncier ce qui signifie que l’avantage en
nature qui résulte de la jouissance d’un logement n’est pas imposable. Par
exception les revenus correspondant à l’avantage en nature de la mise à
disposition de logement le revenu peut être au BIC mais les charges ne seront
déductible qu’a dû concurrence de ce même produit. L’inscription au bilan de la
résidence principale de l’exploitant individuel ne peut plus avoir pour
conséquence de dégager un déficit fiscal. En cas de cession de l’immeuble ou de
cessation d’activité la + value est soumis aux règles des + values et - value des
particuliers.

L’immeuble est maintenu dans le patrimoine privé de l’exploitant : on applique


l’article 15-2 du CGI c’est à. Dire que l’avantage en nature qui résulte de la
jouissante de son problème logement n’est pas imposable aux revenus fonciers
en contrepartie aucune charge n’est déductible, en cas de cession de l’immeuble
on relèvera du régime de + value et - value des particuliers.

C - l’es immeubles de rapport : 1: l’immeuble est inscrit à l’actif du bilan : suite


à la suppression de la théorie du bilan l’immeuble ne se rattache pas à
l’exploitation le produit doit faire l’objet d’une déduction extra comptable et être
rattaché dans la catégorie des revenue foncier et charge déductible dans les
conditions prévu en matière de revenu foncier

2: l’immeuble est maintenu dans le patrimoine privé de l’exploitant: dans ce cas


on relève des revenus foncier les charges sont déductible dans les conditions
prévu pour les revenus foncier et en cas de vente on relève du régime des + -
values des particuliers .

La concession d’une licence d’exploitation est un contrat par lequel le titulaire


d’un brevet concède à une personne tout ou partie de la jouissance de son droit
d’exploitation moyennant le paiement d’un prix (la redevance). La concession
peut être exclusive ou pas, faisant partie de l’actif de l’entreprise les redevances
de concession constitue des produits d’exploitation imposable dans les
conditions de droit commun. Toutefois certains produits bénéficient du régime
des plus-values à long terme

• Les revenus de valeurs mobilières (voir pdf chap 3)


• Le revenu des créances (voir pdf chap 3)
• Les produits financiers (voir pdf chap 3)

• Les produits exceptionnels (voir pdf chap 3)

Subventions d’équilibre :
Elles sont accordées pour compenser tout ou une partie d’un déficit de
fonctionnement. Leur attribution a un caractère aléatoire c’est pourquoi elles
sont inscrites dans compte des produits exceptionnels 74 ou 77/15.

• Subventions d’investissement : Soit pris en compte au copte 77 du produit ou


échelonné dans le temps par le biais du compte 3. (Suite voir pdf chap3)

• Les subventions :

En principe, les subventions constituent des produits imposables et sont


rattachées au résultat de l’exercice au cours duquel elles sont acquises, c’est-à-
dire l’exercice au cours duquel intervient la décision de l’organisme attributaire.
Il en est ainsi des subventions de fonctionnement et des subventions d’équilibre
quel qu’en soit l’auteur, l’État par exemple ou aide interentreprises, et quel
qu’en soit l’objet (soit pour couvrir les charges et produits ou un déficit). Il
existe un régime spécifique optionnel pour les subventions d’investissement
accordé par l’UE ou l’État, les collectivités publiques pour l’acquisition
d’immobilisations précisément déterminées dans la décision de la collectivité
d’octroyer cet investissement ou organisme créer par les institutions de l’UE
(elles sont créées à la fois par des fonds publics et privé).

• Particularité des abandons de créances : (voir pdf chap3)

• Les indemnities : (voir pdf chap3)

Cas d’assurance vie :

Les primes annuelles ne constituent pas une charge déductible. Lorsque le


sinistre se réalise ou lorsque le terme du contrat est atteint le capital convenu est
versé et constituent un produit imposable sous déductions de l’intégralité des
primes versés pendant la durée du contrat

Chapitre 4 Les stocks et production en cours

Pour déterminer le résultat il faut tenir compte de la variation des stocks entre
l’ouverture et la clôture de l’exercice.

Déf voir pdf


• Exception : voir pdf
C’est par rapport à l’objet de l’entreprise et non à la nature du bien qu’on opère
cette distinction. Par Exemple : vente d’un immeuble.... Un immeuble est un
élément du stock s’il est acheté par un marchad de bien en vue de sa revente.
C’est une immo s’il est acquis par une entreprise industrielle pour y abriter sa
fabrication.

Chapitre 5 : Charges déductibles et exclusions


Voir pdf

III. LES AUTRES ACHATS EXTERNES


A. Les loyers et les redevances de crédit-bail
Le crédit-bail c’est une technique de crédit par laquelle une entreprise de crédit acquière un
bien mobilier ou immobilier ou fait édifier un bien en vu de le donner en location a son client
pour une durée en contrepartie de paiement d’une redevance à l’issu de la période fixé le
client disposé de 3 options soit restitué le bin soit acquérir le bien financé pour un prix qui
tient compte des redevances versé soit dernière hypothèse, demander le renouvellements
du contrat de crédit-bail.

E. Les commissions, courtages, honoraires et autres rémunérations d’intermédiaires

Ils sont compris dans les charges déductibles à condition d’être déclarés par l’entreprise dès lors que
leur montant dépasse 1200€ TTC et par bénéficiaire sur le DAS 2 avant le 30 avril de l’année suivant
la cloture l’exercice sur l’imprimé DAS-2 <<état des honoraires, vacations, commissions, courtage,
ristournes, jetons de présence, droit d’auteur et d’inventeur payés pendant l’année N>>

A défaut l’entreprise encoure 50% des charges.

2. Régime spécifique des cadeaux :

1. Les cadeaux de toute nature sont déductibles, il y a une condition de forme, ils doivent
obligatoirement figurés sur le relevé́ spécial des frais généraux si leur montant dépasse les
3000 € par an. N’ont pas à y figuré les objets qui présente 2 conditions cumulative les objets
qui comporte une inscription publicitaire apparente de l’entreprise distributrice et 2eme
condition être d’une valeur unitaire n’excédant pas 69€ TTC par an et par bénéficiaire.

Les cadeaux d’usage offert aux salarié échappe à l’impôts sur le revenu lorsque leur valeur ne dépasse
pas 5% du montant mensuel du plafond de la sécurité social 2022(le montant était de 171€) et 183€ en
2023. Ce plafond s’applique par événement et par an. Par exception pour noël ce plafond s’applique
par salarié et par enfant.

G. Les charges somptuaires IMPORTANT

Afin de tenir compte de la nouvelle méthode européenne des émissions de CO2 le plafond
déductibilité d’amortissement des véhicules de tourisme sont révisé pour les véhicules
relevant des nouveaux dispositifs d’immatriculation dès 2020.

Les véhicules relevant du nouveau dispositif d’immatriculation s’entendent des véhicules


relevant des catégories M1, M2, N1, N2 pour lequel la 1ère immatriculation en France a été
délivré a compté du 1er Mars 2020. M1=Transport de personnes avec 8 places max, M2=
Transport de personnes > 8 places mais < à 5 tonnes. N1=Transport de marchandise inferieur
ou égale à 3,5 tonnes, N2=Transport de marchandise dont le poids est compris entre 3,5 et 12
tonnes. Depuis 2020, 2 plafond distinct s’applique selon que le véhicule relève ou non du
nouveau dispositif d’immatriculation. La déduction des amortissement des véhicules de
tourisme est interdite pour la fraction de leur prix d’acquisition.
Ces limites ne sont pas applicables charge autre que amortissement et au véhicule de tourisme
strictement nécessaire à l’exercice du véhicule taxi, ambulance auto-école, et les entreprises
qui propose des stages de conduite sportive.

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