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La traction 

:
L’essai de traction permet, à lui seul, de définir les caractéristiques
mécaniques courantes des matériaux. Les résultats issus de cet essai,
permettent de prévoir le comportement d’une pièce sollicitée en
Cisaillement, Traction / Compression et Flexion.

1 Principe de l’essai est réalisé sur une machine de traction. On


applique progressivement et lentement (sans choc) à une éprouvette
cylindrique de formes et de dimensions normalisées, un effort de
traction croissant.

//scribd
L’essai de traction a pour but l’évaluation des caractéristiques d’un
matériau. L’essai à consiste exécuter sur une éprouvette de forme
cylindrique des forces croissantes qui vont la
déformer progressivement puis la rompre
//
Principe de l'essai

Cet essai destructif, pratiqué à température ambiante 20°C, consiste à


imposer une déformation croissante à vitesse constante et à mesurer
l'effort nécessaire pour imposer cette déformation.

//

Introduction L'essai de traction consiste à soumettre une éprouvette à un effort


de traction croissant jusqu’à sa rupture en vue de déterminer les caractéristiques
mécaniques du matériau. On enregistre simultanément l’allongement et la force
appliquée, que l’on convertit ensuite en déformation et contrainte dans le but
d’obtenir la fameuse courbe de traction. Il est possible de déterminer certaines
propriétés mécaniques par d’autres tests, tels que le test de torsion, flexion, etc.
Cependant, l’essaie de traction constitue le choix le plus logique grâce à sa
simplicité du montage et sa répartition uniforme des contraintes et des
déformations qui simplifie les mesures.

But La déformation de la plupart des matériaux se caractérise par un domaine


linéaire qui correspond à une déformation élastique suivie par un domaine non
linéaire qui correspond à une déformation plastique et se termine par la rupture
de l’éprouvette. Ces différentes phases nous permettent de déterminer les
principales caractéristiques mécaniques du matériau telles que le module
d'élasticité E, le coefficient de Poisson ν, la limite d'élasticité σe , la résistance à la
rupture σr , l'allongement après rupture et le coefficient de striction
(étranglement).

La méthode :

.1Préparation de l’éprouvette
- Prendre les mesures de l’éprouvette.

- Tracer un trait au marqueur en travers de l’éprouvette, à 30mm des bords

placer l’éprouvette au centre du mors inférieur et la serrer légèrement

- vérifier et corriger la verticalité de l’éprouvette

- descendre le mors supérieur pour obtenir une longueur libre.

- serrer le mors supérieur et le mors inférieur complètement.

- lancer l’essai automatique;

- surveiller le bon déroulement de l’essai ;

- stopper l’essai après rupture de l’éprouvette ou en cas d’incident (en cas de bon déroulement, l’essai
s’arrête automatiquement).
Les commentaires

Tableau de brinell :
Le tableau représente la mesure de la dureté dans la première méthode
représentée par la méthode de brinell nous avons utilisé trois matériaux
différents, à savoir (acier, cuivre et l’aluminium en plus de répéter le processus
cinq fois pour chaque matériau

Par rapport à l’acier : on remarque que les résultats obtenus sont très proches,
compris entre 197,58 et 202.

En comparaison avec l'autre cohorte, les résultats étaient similaires

Par rapport à cuivre : On remarque aussi des valeurs similaires qui oscillent entre
117 et 123, mais par rapport à l’acier elles sont inférieures à elles.

En ce qui concerne aluminium : en on remarque la convergence des valeurs, qui


variaient entre 36 et 41, mais par rapport à l’acier et le cuivre . c'est moins
qu'eux

Cette différence de valeurs est due au changement de position à chaque fois en


plus des limites des erreurs de l'expérience

La valeur moyenne calculée pour chaque matériau séparément prouve que


chaque matériau est unique dans sa valeur qui le distingue du reste des
matériaux

Commentaire vikhers :
Le tableau représente les mesures de la dureté sur l'approche de vikhers qui ont
été appliquées à trois sujets différents, à savoir : acier ,cuivre et aluminium . et
nous avons mené cinq expériences pour chaque sujet

En proportion de l’acier : On remarque des valeurs proches qui variaient entre


205 et 223, de sorte que cette différence se représente en changeant de position
à chaque fois
Pour le cuivre : De plus, les mesures étaient similaires, comprises entre 137 et
152

Par rapport à l’aluminium : On note que les mesures de l'expérience sur


l’aluminuim. ont donné une valeur proche comprise entre 42 et 48, qui était la
plus faible chez tous les sujets soumis à l’ expérience de la dureté

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