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TITRE TROISIÈME
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CHAPITRE XVI : LES FAITS ÉCONOMIQUES ET
SOCIAUX PRÉCONTEMPORAINS
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Sahara. ANTIQUITE : Pratiques économiques, Agriculture, Elevage
(Egypte), prolifération des gravures rupestres (réalisées par l'Homme sur
des rochers, le plus souvent en plein air.) au Sahara
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(Européens - Afrique de l’Ouest), activité principale des souverains et
autres princes (les luttes pour la fondation et royaumes et d’empires)
Du 11e au 15e siècle, les cauris ont servi comme instrument d’échange sur
les marchés de l’empire du Ghana, du Bas Sénégal, du Dahomey.
Lorsque le commerce arabo-africain devint important, les arabes
importateurs de cauris furent vivement concurrencés par les Anglais, les
Hollandais, les Français, les Hambourgeois qui en amenaient par
cargaisons. Concurrences entre les arabes et européens suite à
agrandissement du commerce arabo-africain
PARAGRAPHE II – LE SEL
Cette denrée de luxe faisait l’objet d’un échange contre son poids d’or
depuis l’époque du commerce silencieux.
Son importance a motivé l’attitude des habitants de l’Afrique du Nord et
les exploitants des salines du littoral Atlantique qui entrèrent en contact
avec les orpailleurs du Haut Sénégal et du Haut Niger en vue d’assurer le
monopole du sel pour celui du métal précieux.
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Divers conflits locaux naissaient à la suite des tentatives de certains
souverains pour s’emparer des gisements. Echange entre l’Afrique du
Nord et les exploitants de la côte avec naissance des conflits pour
s’accaparer des gisements
PARAGRAPHE IV-L’OR
Son rôle économique n’apparut que vers la fin du 15 e siècle. Ce fut très
apprécié des africains a fait et continue de faire l’objet de trafic entre la
région sylvestre et les Soudanais et Sahéliens.
Les poissons secs, les graisses végétales, les bandes de coton, les produits
de l’artisanat local, s’échangeait contre l’huile de palme et les fruits
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blancs et rouges du colatier. Bien sûr, ces opérations n’étaient pas loin du
troc mais la valeur qu’on accordait aux noix de cola, au moment de
l’échange, donnait à celles-ci un rôle économique proche d’une unité de
compte.
Par principe, la colonie n’a pas d’existence propre ; elle n’intéresse que si
son économie est complémentaire de celle de la puissance colonisatrice.
Celle-ci s’est adonnée non seulement à une exploitation matérielle
(ressources minières, agricoles, vivrières ou de rente, produits de
cueillette) mais également humaine (travaux forcés, traite).
La stratégie fut la recherche de l’autonomie financière coloniale par le jeu
de l’impôt et des emprunts. Un appui circonstancié était dès lors fourni
par les notables et chefs locaux au colonisateur pour la perception fiscale
et le recrutement de la main d’œuvre servile.
Les colonies ont joué un rôle privilégié dans l’expansion économique des
puissances coloniales qui ont édifié de véritables empires coloniaux.
Aussi pour éviter une véritable libération économique des colonies, la
décolonisation sera-t-elle lancé, à partir de 1950, par le truchement de la
coopération, formule plus subtile et plus élégante de colonisation.
L’économie coloniale été un fait majeur de notre temps.
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CHAPITRE XVII
Elle s’intéresse aux relations qui s’établissent entre des Etats situés dans
une même zone, ayant les mêmes affinités et parvenus presque au même
niveau de développement.
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1- Faciliter l’utilisation optimale de facteurs de production
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5- Améliorer le niveau de vie des populations
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1- Au niveau plurisectoriel l’attention peut être portée sur :
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• L’Association Africaine pour l’Administration publique et la
Gestion (AAAPG) créée en mars 1971,
• Le Centre Africain de Formation et de Recherche Administrative
(CAPRA) établi le 18 décembre 1967,
• L’Institut pour le Développement Economique et la Planification
(IDEP) installé en 1964,
• L’Office Africaine de Développement (BAD) créée le 4 août 1963
et entrée en vigueur le 10 septembre 1962,
• La Banque Africaine de Développement (BAD) créée le 4 août
1963 et entrée en vigueur le 10 septembre 1964,
• L’Association des Institutions de Financement Africaines en vue
du Développement (AIDFAD) créée le 30 septembre 1975.
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indépendants d’Afrique. Elle vise le développement économique accéléré
et le progrès social des Etats membres. En général, elle favorise
l’investissement en Afrique de capitaux publics et privés, fournit
l’assistance nécessaire aux études, à la préparation, au financement et à
l’exécution des projets et programmes de développement.
Sur son initiative, en relation avec la Commission Economique des
Nations Unies pour l’Afrique, ont été créés la SIFIDA (Société
Internationale Financière pour les Investissements et le Développement
en Afrique) et le Fonds Africain de Développement (FAD).
Elle a été instituée le 28 mai 1975 à Lagos entre tous les pays de la région
ouest africaine.
Son principal objectif est promouvoir la coopération et le développement
dans le domaine de l’activité économique, plus particulièrement de
l’industrie des transports, des télécommunications, de l’énergie, des
ressources naturelles du commerce, de l’agriculture, des questions
monétaires et de paiement, dans le domaine des affaires sociales et
culturelles.
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SECTION II- LA COOPÉRATION VERTICALE
Le maintien des liens entre les pays riches et les pays pauvres comportes
des éléments d’intérêt pour les deux parties tant sur le plan de la théorie
économique que sur le plan de la stratégie de développement.
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1- Assurer sans à coup (de façon continue) le processus de
développement
4- Obtenir des débouchés sûrs et durables pour les matières premières et les
produits élaborés ou finis d’une industrialisation jeune.
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B- Sur le plan pratique
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Le groupe ACP a pour objectif :
PARAGRAPHE I – LE PROGRAMME
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économies à une effective intégration économique au début du
3è millénaire et préparer ainsi l’ère industrielle du 21e siècle.
Ce que confirmera le sommet de l’OUA tenu à Abuja, en juin 1991 où fut
signée la Charte Economique Africaine.
Au sommet économique de Lagos en avril 1980, les chefs d’Etat et de
Gouvernement ont recommandé la voie de la CEDEAO comme seule
valable pour nous sortir du sous-développement et assurer notre place
dans l’ère industrielle du début du 3e millénaire.
Sur le plan économique, les Etats Continents émergent pour créer les
véritables économies mondes dont les centres de propulsion sont les
Etats-Unis, l’Europe et le Japon.
Une nouvelle carte politique du monde se dessine à l’aube du 3 e
millénaire et dans la nouvelle société qui se profile à l’horizon n’auront
de place que les Etats responsables faisant passer la stratégie collective de
promotion régionale avant toute stratégie industrielle de promotion
nationale.
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CONCLUSION GÉNÉRALE
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