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Introduction
Le malade imaginaire, 1673, est la dernière comédie ballet de Molière, conçue à la ville et non à la
cour, en collab avec Charpentier.
Argan (…) c choisi pour son propre intérêt, un gendre médecin, Thomas Diafoirus. Toute la scène est
consacrée à sa présentation, ici son propre père en fait son portrait.
LECTURE (1’40’’)
Plan : l1 à l4 : introduction, première image générale du caractère de Thomas. ( -> pour l’exercice de
notre art) L4 à l11, petite enfance de Thomas.(un bon jugement à venir) L11 à l18 : études
supérieures et secondaires. (les derniers recoins de la logique ) L18 à 21 : fierté du père, satire
ultime des médecins. (-> fin)
Pb : Comment Molière parvient il à élargir cet éloge paradoxal en un portrait satirique ?
Lecture linéaire
Première partie
Première phrase : idée générale. Idée de prouver l’impartialité : « ce n’est pas pk je suis son
père » : prétérition pour annuler ce qui pourrait discréditer. « tous ceux qui le voient »
argument d’autorité mais bcp trop large pour être crédible -> nouveau discrédit.
« un garçon qui n’a point de méchanceté » litote, il est juste gentil.
Deuxième phrase : portrait nn seulement entant que père mais auss en tant que médecin :
Argan a besoin d’être rassuré : il parle au nom de la caste des médecins : « notre art ».
Deuxième partie
Grande sincérité de la part du père qui vante les défauts de son fils, valorise la différence de
son fils avec les autres gosses. : dévalorise le comportement plus général : « que l’on
nomme », « que l’on applle ».
Tournure hyperbolique qui contraste avec le résultat : « on eut toutes les peines du mondes
…. = à lui apprendre à lire » (c nul). Effet comique
« doux, paisible, taciturne » énumération en gradation des pseudos « qualités de Thomas ».
« il avait 9 ans qu’il ne connaissait pas encore ses lettres », tournures emphatiqe (sintaxe)
pour mettre en avnt l’age de 9 ans.
Authentification de son propos par deus dictons populaires l’un sur la botanique l’autre sur la
minéralogie : Thomas complètement teubé –> son père s’appuie sur l’absurde pour rassurer
(raisonnement absurde)
Message : il est con donc ce sera un bon médecin
Troisième partie
thème principal : la réussite de Thomas
champ lexical de la difficulté : « peine », « travail », « battre le fer », « se raidissait » puis de
la réussite : « se levait », « glorieusement », « assiduité ». idéé de travail pénible, lbeur.
Expresion « battre le fer » : renvoie au forgeron , image de l’antidélicatesse.
Antiphrase « sans vanité » souligne l’veuglemant du père.
Expression « à outrance » : isotopie du guerrier bourin : Thomas est l’invesre de l’idéal de
l’honnete homme auquel on cherche à ressembler.
Qualitées médicales exposées mais qui font de Thomas le pire mari : champ lexcal de la
rhétorique : « ne démords jamais de son opinion », « ferme dans la dispute », …
Dernière partie
Idéé générale : Elargissement de la critiqye à tout le corps médical
Absence de déterminants : globalisation de l’opinion,
Allusion aux anciens ->
« jamais voulu comprendre » : absurde. « prétendues découvertes » : absurdes. Le père et le
fils refusent de croire et même de penser à comprendre les nouvelles découvertes
scientifiques de l’époque : image du médecin conservateur chiant, homme borné.
Conclusion