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ouverture poeme ponge : Le buffet Rimbaud

INTRO LES CARACTERES, LA BRUYERE


l’ensemble des Caracteres de La Bruyere publiés sous Louis 14 (8 editions diff pendant sa vie)

72 de regne/
le pouvoir centralisé s’installe a Versailles en 1682 pr evite la « fronde » (revolte des nobles)
avant la cour était itinérante (se deplacer dans diif lieux), elle est mtn concentrée en 1 seul lieu pr
pouvoir concentrer les nobles (et les surveiller)
il y a plusieurs objectifs dans le rassemblement des nobles a versailles
ca comtribue a en faire vitrine de gloire du roi pr ds l’europe et en plus ca maintient les nobles ds
oisiveté rempli de plaisirs/divertissement (les mondalités) de la haute societe
ca empeche idee de revolte
le roi delegue son pouvoir a des rares ministres Colbert/Louvois= monarchie absolue
societe divise en 3ordres et seul le tiers état paye impot
noblesse d’epee = la pr la guerre et fonctionne transmission heriditaires (militaires)
noblesse de robe = tache administrative, elle s’achete contre de l’argent (justice,finance)
ces differences sont surtt niveau argent que social
ce sujet est traite dans le livre « bien de fortune » de la Bruyere livre 6 les caracteres
versailles est un monde extremement ritualise le roi se met en scene autour de sa journee et a
institue tt une serie de code complexe (aller au toilette,lever et coucher du roi etc.)
c’est un monde de fete qui commemore les succes militaires
dans ce monde de spectacles il y a du theatres qui est subventione par le roi (mecene)
le compositeur Lully (mecene du roi)
Moliere
chacun a la cours cherche a etre le favori du roi, a etre parmis les Grands (titre chap la Bruyeres)
la Bruyere pient les Grands comme des « esclaves » du roi, il les trouve pitoyable
les guerres ruineuse de la 2eme parti du regne se ressente dans le livre
le baroque (fin 16s-debut 17s) est le 1er mouv qui influence l’auteur
le baroque est un mouvement culturel europeen qui reflete les incertitudes et les troubles de son
epoque, les œuvres mettent en scene un monde ds lequel regne l’instabilite et la mort
ce mouvement va mettre au premier plan les themes de l’illution, de la verite et du mensonge, le
theme du mouvement et il se caracterise aussi par la surcharge et la variete ds elements representés
pr perturbes le lecteur ( la spirale)
le theme de la vanite est egalement present (orgueil de l’homme et existence terrestre sans sens)
et on trouve le theme de l’instabilite surtt celui de l’instabilite de la fortune (la chance/l’argent)
il est facile de degringole a l’echelle social
la Bruyere ne fait pas parti mouvement baroque mais du mouv classicisme
Classicisme= mouv qui nee pr opposition au baroque
+ regles des 3 unites
passions est condamnee
honnetes homme esr celui qui ne s’abondonne pas au passion et au contraires suit la raison et sait
rester moderer pour toutes ses actions
conflit anciens (La Bruyere) contre modernes (Perrot) dans les classiques
la Fontaine traduit des fables du grecque
la Bruyere s’inspire de Théophraste IV av J.C. ( a ecrit les Caracteres)
Les Classiques se fixe un ideal : il faut plaire et instruire, la litt doit plaire et instruire
« on ne doit parler, on ne doit ecrire que pour l’instruction et s’il arrive que l’on plaise il ne faut pas
néanmoins s’en repentir si cela sert a insinuer a faire recevoir les verites qui doivent instruire »
citation de La Bruyere ds la prephase des Caracteres
une maxime= formule breve qui propose reflexion d’ordre general qui en tete un proverbe

Mme de la Fayette, autrice de la Princesse de Clevre : une moraliste


LIVRE V

Acis joue mal et ne respecte pas son rôle, La Bruyère fait, le portrait Acis

LIVRE VI

la replique 31 nous montre que les gens aiment voir les mechants punis dans le theatre mais il
n’applique pas les memes envies dans la vraie vie

remarque 83
« il s’arrete et on s’arrete, il continue de marcher et on marche » portrait de Giton
ref a du bellay

LIVRE VII

« Paris, pr l’ordinaire le singe de la Cour, ne sait pas toujours la contrefaire » Remarque 15


les parisiens essaye d’imiter la cour comme un mauvaise acteur.
Ca renvoie a Du Bellay

Remarque 3 : «
ANALYSE LINÉAIRE ARRIAS (remarque 9, livre V) :
L1 « Arrias » est le premier mot prononcé, ce qui montre l'égocentrisme du personnage
« a »: est au présent de vérité générale, marque du stéréotype
« tout lu, tout vu »: répétition hyperbolique de « tout », le personnage est excessif et démesuré
« Homme universel »: hyperbole confondu avec Dieu, démesuré
L1-2 « homme universel », « et il se donne pour tel, », « aime mieux mentir »: oxymore qui est la
marque de l'homme caméléon qui change en fonction de son entourage. L'honnête homme lui au
contraire s'adapte mais ne change pas. Ses paroles sont fausses. Il cherche l'attention, et se contredit
lui-même.
L1-3 Dès la première phrase « persuader », « se donne pour tel », « mentir », « paraître »: on a le
champ lexical du mensonge, qui démontre la fausseté du personnage, ainsi que le caractère théâtral
de la société qui privilégie le paraître. Se donner = verbe pronominal
L2 « il aime mieux mentir que de se taire » : comparatif de supériorité, où il valorise le vice (=choix
d’arrias du mensonge« mentir ») au détriment de la vertu (ca montre exces d’arrias qui prefere faire
trop que pas assez« se taire »).
Alternative « se taire ou paraître ignorer » nous oblige a faire un choix entre les deux (ou=conj de
coordination disjonctive).Ici se taire reviendrer a ne plus exister. Montre la logoré d’arrias
b) Portrait mis en action (lignes 3 à 7)
L3 « L'on », « un », « une »: les pronoms sont indéfinis, signifiant la non-importance des autres
(égocentrisme d’Arrias)
L3 « L’on »: pronom de vérité générale, qui est la marque d'une situation générale typique
L3 « table d'un Grand »: reprise des satires d'Horace et Boileau, tradition satirique de repas ridicules
connue au XVIIe siècle
L3 « cour du Nord »: éloigné des préoccupations françaises de l'époque sur un sujet de discussion
pas important.
L3-6 « il prend la parole, et l'ôte », « il en rit le premier »: la grossièreté et
manque de respect sont contraires aux règles de bienséance du XVIIe siècle. Le manque de
politesse et de savoir vivre d'Arrias sont ainsi dénoncés.
L3-4 « il prend la parole, et l'ôte à ceux qui allaient dire ce qu'ils en savent »: allitération « l » +
« p » qui appuie le flot de parole, ainsi que le ton péremptoire d'Arrias qui monopolise
autoritairement la parole, et qui transforme la conversation en monologue.
L4 « qui allaient dire »: les autres voulaient parler mais ne peuvent point. Il n'y a pas de discussions
mais un monologue, un comportement impoli et mal vu au XVIIe siècle.
L4-7 « il s'oriente », « il en était », « il discourt », « il récite », « il les trouve », « il en rit »:
répétition du « il » qui désigne Arrias, qui se met en avant avant les autres, et marque là encore son
égocentrisme.
L5-6 « discourt », « récite », « historiettes » : champ lexical du théâtre; il se met en scène avec son
récit.
L5-6 « cette », « ses » deux fois : par les déterminants démonstratifs et possessifs, il s'approprie le
récit comme s'il racontait voyage personnel et précis, montrant l'étendue de son mensonge et de sa
recherche d'attention.
L6 « historiettes »: diminutif familier qui désigne l'idée de récits de voyage et d'anecdotes donc de
mensonges et de manque d'étiquette.
L6-7 « Il les trouves plaisantes », « il en rit le premier », « éclater »: en plus du vœux d'être l'acteur
principal, il est son propre public. Il développe un amour pour lui-même et une attention qu'il se
donne lui-même.
Résumé: Présentation d'Arrias comme un metteur en scène (centralisation sur lui-même), acteur
principal (monopolisation de parole), ou encore spectateur (amour pour lui-même, rire) d'une pièce
de théâtre (ses mensonges). Mais le vrai metteur en scène reste La Bruyère qui souligne défauts du
caractère d'Arrias, anti-modèle de l'honnête homme qui va à l'encontre des idéaux classiques.
II. Deuxième mouvement: intervention d'une opposition, la morale
a) Le retournement de situation (lignes 7 à 12)
L7 « Quelqu'un »: pronom indéfini et donc désintérêt de l'autre personne.
L7-8 « contredire », « prouve », « nettement », vraies »: champ lexical de la vérité, qui s'oppose
ainsi à l'illusion, et donc Arrias.
L9 « Prend feu »: métaphore de la colère et du tempérament d'Arras qui n'est dans cette situation
pas calme et raisonné comme le serait un honnête homme.
L9 « l'interrupteur »: périphrase négative pour désigner l'autre personne. Il s'agit du point de vue
d'Arrias qui méprise l'intervenant car il le contredit (et marque ainsi sa prétention).
L9-10 « je n’avance », « je ne raconte », « je ne sache rien »: le discours direct, la répétition de
première personne « je » et la négation restrictive « ne » marquent une changement de narration,
Arrias réplique et gagne en importance car désormais narrateur à la première personne. La négation
appuie sur la mauvaise foi d'Arrias.
L9-12 « je ne sache », « je l'ai appris »,« je ne sache » « interroge », « circonstances » : on est dans
le champ lexical du savoir absolue qui vise a valider ces proposes, de l'enquête, de la rigueur
scientifique, qui donne l'illusion d'un discours de vérité, ce qui dépeint l'énormité du mensonge.
L9-12: il s'agit d'une longue phrase, destinée à persuader.
L10-11 « Sethon », « ambassadeur de France », « revenu à Paris »: apposition suivie de proposition
principale, qui est un argument d'autorité et donne de la crédibilité à son récit. La mention d'un lieu
précis donne aussi de la contenance à cette présentation.
Le nom de Sethon a une onomastique paradoxale qui laisse entendre la fausseté du
discours avec le jeu homophonie = « sait-on » comme si le masque d’Arrias se fissurer
→fragilité du discours d’Arrias qui repose sur qu’un seul argument celui de l’autorité
L11-12 « [i]que je connais familièrement, que j'ai fort interrogé, et qui ne m'a caché aucune
circonstance.[/i ]» : enchaînement de trois propositions relatives, qui donne un effet cumulatif, une
impression que les paroles d'Arrias sont plus importantes que celles de l'intervenant et que dans son
interrogatoire Arrias est à la fois proche et supérieur à Sethon, ambassadeur de France
b) Le duel verbal (lignes 12-13)
L12-13 « Il reprenait le fil de sa narration avec plus de confiance qu'il ne l'avait commencé »: avec
le comparatif et le terme « narration », La Bruyère place ironiquement le domaine d’Arrias dans la
fiction et non dans la vérité.
De plus cela fait ref au fil d’Ariane
L13 « confiance »: vocabulaire de la manipulation, ici la manipulation d'Arrias qui croit presque à
ses propres mensonges.
c) Le coup de théâtre ou la chute (Lignes 13 à 15
L13 « lorsque »: conjonction de subordination, marque d'un changement de situation.
L13 « lui dit »: rupture de l'imparfait au passé simple, là encore marque d'un retournement de
situation, action soudaine et rapide.
L14 « Sethon »: On a ici la reprise du nom donné par Arrias, et donc la révélation de l'identité de
l'intervenant qui était caché derrière les périphrases données auparavant (« interrupteur » pour
Arrias), qui est en vrai Sethon lui-même.
Le personnage qui etait critiqué est maintenant presente de maniere qui le valorise
L14-15 « C’est Sethon (...) son ambassade » : On a là encore la reprise des mots d’Arrias, ce qui est
ironique et comique, (placere) et donne la leçon à Arrias (docere)+ insistance sur la méconnaissance
d’arrias ds son mensonge
C'est la fin du portrait du fat, ridiculise jusqu'au bout. Son mensonge est désormais à découvert.

Arrias était le nom d’un général d’Alexandre le Grand


ce nom est en premiere position ds la remarque montre l’importance que arias cherche a se donnner
et sa tendance à se mettre en avant
l’honomastique constitue un indice de la strategie d’arias qui consisterat a ce mettre en avant en se
pretentant proche d’une personne connue :
il utilise le nom de Sethon pr montrer qu’il est proche des personnes connues(qu’il connait tt le
monde)
parallélisme «a tout lu, a tout vu » (L.2) + hyperbole rep « tout »
les 2 verbes employes renvoie au Savoir liuresque et au Savoir empirique (avoir de l’experience)
volonté de se presenter comme perso universel au savoir encyclopedique
« il veut le persuader ainsi » remarque decalage avec les 2iers membres de l’accumulation (on
remploie il)
le verbe vouloir modalise le sens de la phrase
le verbe persuader qui ds strat argumentative joue sur sentiments et non sur des trucs constructif
Arrias laisse ici sa place a la Bruyere qui émet un jugement sur le savoir d’arrias
+ de nouveau jugement du moraliste sur le perso
verbe pronominal insiste sur le fait que arrias c’est auto-consacre Dieu (pretention d’arrias)
l.2 « : » procede qui traduit un rapport de cause a consequence qui montre que mensonge va etre
issue ineluctable a cette position d’arrias de tt savoir
arias tent a invisibiliser les personnes qui l’entourent, il se donne tellement d’importence que les
autres sont anonymés
+ prise de parole tres breve et tres contenu contraste avec la logorrhée
imparfait d’iminance contre-carré
emploie verbe savoir pr designer les autres convives
manque savoir vivre d’arrias qui coupe la parole et met en avant le mensonge au detriment du reel
savoir et de la verite
accumulation « des femmes de cette cour, de ces mœurs et des ces coutumes »
« s’oriente, discoure, et recite » verbe d’action en &er qui montre qu’il fait valoir les choses puis 2
verbes de parole dont le dernier est juste un peroquet ou un acteur
=> appauvrissement du discours d’arrias qu’on croit de - en -
« comme s’ il en etait originaire » loc conjuctive comme si montre l’ireel
le mot « quelqu’un » montre le manque de consideration d’arrias pr les autres convives
« se hasarde » temoigne prise parole mesuré de la personne qui s’oppose a arrias par sa moderation
cela fait de se perso un anti-arrias
« prend-feu » → metaphore qui image la colere du perso, elle exprime une grande violence
« interupteur »=periphrase ironique qui nous mettre totalement absence recul d’arrias sur lui mm
puisque tt le debut de la remarque nous mettre que arrias est l’interrupteur
(L.10 à L.13) tte la parti au discours direct est marque par une parataxe qui accompagne
l’accumulation, retour de la logorrhee d’arrias, il cherche a noyer son contradicteur sous un flue
d’information
le verbe « raconte » fait reference a la fiction et donc rappel ce discours mensonger d’arrias

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