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Problématique : comment la bruyère fait t il un portrait d’arais un contre-modèle de

l’honnête homme et a travers lui une critique de la société toute en donnant une morale ?
MVT 1 :le contraire de l’homme honnête ( portait positif )
MVT2 : critique explicitement le portrait d’arias portait négatif
MVT3 : la bruyère donne une morale sur la société
L1 : « Arias » dès la premier phrase la Bruyère nomme le perso principal dont il peint le
portrait.
« a tout lu, a tout vu » parallélisme de construction et une hyperbole cela montre qu’il est
dans l’excès et qu’il ne peut pas avoir tout lu et vu.
« il » prénom personnel, La Bruyère utilise beaucoup ce pp on dirait qu’il pointe ce qu’on lui
reproche.
« homme universel » hyperbole qui désigne quelqu’un qui sait tout et montre qu’Arias se
compare a dieu.

L2 : « se donne pour tel » verbe réfléchi « se donne » indique que ce n’est qu’une apparence
et qu’il n’est pas vraiment comme cela, cela met en place un portrait négatif d’arias .
« il aime mieux mentir que se taire » comparatif de la supériorité, ou il valorise a faire le mal
au détriment du bien.

L 3 : « On », « un » sont des prénoms indefini qui signifie la non-importance des autre et qu’il
(arias ) pense qu’a lui-même ( egocentrique).
« il prend la parole et l’ôte » cela montre la grossièreté et l’irrespect qu’il a envers les autres.
L 3/4 : il prend la parole, et l'ôte à ceux qui allaient dire ce qu'ils en savent »: allitération
« l » + « p » qui appuie sur son autorite et son manque de respect , qu’ il transforme cette
conversation en monologue .
L4-7 « il s'oriente », « il en était », « il discourt », « il récite », « il les trouve », « il en rit »:
répétition du « il » qui désigne Arrias, qui se met encore en avant et marque encore son
égocentrisme.
L 5 : « de cette cour , des femmes du pays , de ses lois et des ses coutumes » énumération
des habitudes de la vie .
L 5-6 : « discourt », « récite », « historiettes » : champ lexical du théâtre cela montre que
même dans son propre portrait il joue un rôle .

L6-7 « Il les trouves plaisantes », « il en rit le premier », « éclater » cela montre un amour
qu’il a pour lui-même (narsique ) et qu’il est lui-même sont public .
L7-8 « contredire », « prouve », « nettement », vraies »: champ lexical de la vérité, qui
s'oppose au portrait d’Arrias qui lui préfère mentir que dire la vérité .
L8 : « prend feu au contraire contre l’interrupteur » il est en colère et veut toujours avoir
raison .

« Prend feu »: métaphore de la colère et du tempérament d'Arras qui dans cette


situation calme et raisonné (inteligent et qui reflechi ) c’est-à-dire le contraire de qu’il
ait.

L8-9 « je n’avance », « je ne raconte », « je ne sache rien la répétition du prenom


personnel « je » et la négation « ne » qui marquent une changement de narration,
Arrias réplique et gagne en importance car la négation appuie sur la mauvaise foi
d'Arrias.

L9-10 : « je ne raconte rien que je ne sache d'original : je l'ai appris de Sethon,


ambassadeur de France » il explique qu’il dit seulement ce qu4il entend et donc
qu’on ne peut pas dire qu’il ment et de plus il cite un ambassadeur une personne
hautement place.

L10: « revenu a Paris depuis quelques jours » CCL et CCT ? cela donne des détails sur
sethon comme si il le connaissent réellement.

L11/12: « que je connais familièrement » cela vient de "famille" c’est-à-dire qu’elle


qu’un de très proche, si les choses ne sont vrai la faute est reposé sur l'ambassadeur,
mais comme c'est une personne hautement placé on a tendance à croire tout ce qu'il
dit et donc nous pouvons pas le contredire . donne donc une crédibilité a son récit.

«que je connais familièrement, que j'ai fort interrogé, et qui ne m'a caché
aucune circonstance.» : enchaînement de trois propositions relatives, qui
donne un effet cumulatif, une impression que les paroles d'Arrias sont plus
importante que celle de Sethon .
L12 "reprenait le fil" comme si de rien été, encore plus confiant car il a réussi à bien
répondre.

« plus de confiance » voc de manipulation , il croit a ses propres mensonges et croit


s’en être sorti.

« lorsque »: conjonction de subordination, marque d'un changement de situation.

« lui dit »: rupture de l'imparfait au passé simple, là encore marque d'un


retournement de situation, action soudaine et rapide.
L13 :« Sethon »: On a ici la reprise du nom donné par Arrias, et donc la révélation de
l'identité de l'intervenant qui était caché derrière les périphrases données auparavant
(« interrupteur » pour Arrias), qui est en vrai Sethon lui-même.

« lui-même , et qui arrive franchement de son ambassade » ici on voit bien que c’est
sethon deriere ces périphrases . la bruyère place un coup de théâtre qui est agréable
pour le lecteur et humoristique.

L14/15 : « l’esprit de la conservation consiste bien moins en montrer beaucoup qu’a


en faire trouver au autres » ici la bruyère explique par « l’esprit » les valeurs de la
bienséance et du respect et ici on comprend très vite que arias et l’oppose de ce qu’il
explique .

L16 : « les hommes n’aiment point a vous admirer, ils veulent plaire » ici on voit bien
la critique de la société et de plus les hommes qui s’inclue pas dans la société. ici
aussi on voit un cote spirituelle que l’homme cherche a plaire au humains et pas au
créateur.

L15/16 : « celui qui sort de votre entretien content de soi et de son esprit, l’est de
vous parfaitement » ici aussi la bruyère explique la bienséance et l’intégration ?

L16/17 : « ils cherchent moins être instruits et même réjouis, qu’à être goutes et
applaudis » ici on voit que la bruyère critique la société car il explique qu’ils préfèrent
le mensonge et la célébrité que la vertu.

L17/18 : « le plaisir le plus délicat est de faire celui d’autrui » ici la bruyère montre le
respect de faire passer une personnel avec lui .

L19 /20: « « C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien
parler ,ni assez de jugement pour se taire » La bruyère critique ouvertement le portait
d’arias en utilisant une antithèse dans le ligne précédente .

L20 : « voila le principe de toute impertinence » on comprend bien que dans cette
dernière remarque la bruyère donne une morale sur le portait qu’il a construit et
donc une moral sur la société .
Conclusion :

La bruyère dresse un portrait positif voir il fait une éloge au début mais par
la suite un portrait arrogant et narcissique d’arias dans l’écriture satirique .

La bruyère fait parti du mouvement du classisme (moralisme )

La bruyere fait parti par la suite (remarque 16) une critique direct du portait
d’Arias en donnant tout les bons cotes et la bienséance , le respect et donc
on comprend très vite qu’il le critique ouvertement .

Enfin dans la remarque 18 il fait une moral sur la société et comment elle
devrait agir .Donc derrière ce portait il donne moral a tous .

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