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Informatique de lagestion

Préparée par Dr. MonaBazzi


Master In physicaltherapyneurology
DPT Inphysicaltherapy
MBA inprogress
MIEUX SOIGNER MIEUX GERER

 La qualité de l’organisation de l’unité de soins est en étroite liaison


avec la qualité des soins prodigués.

 L’unité de soins est constitué d’un ensemble des ressources humains


et non humains qui doivent être géré d’une façon rationnelle afin de
donner des services de santé avec plus d’efficience possible .

 Aujourd’hui , Le management de l’unité de soins est un enjeu


considérable dont le personnel medicale doit prendre conscience.
2
L’informatique de gestion

Qu’est ce que l’informatique :

 Traitement automatique de l’information


 Science du traitement automatisé de l’information
• La comptabilité, la facturation, la paie puis la suivi des commandes, la gestiondes
stocks, l’administration des ressources humain.
• Depuis long temps, l’information permet de traiter automatiquement de nombreuses
données indispensables au fonctionnement des entreprises.
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C’est ce qu’on appelle l’informatique de gestion :
Une bonne partie de l’activité d’une entreprises consiste à
communiquer, enregistrer, rechercher de l’information, effectuer
des calculs, créer des documents …
L’informatique devient un outil de gestion et de pilotage de
l’entreprise, voire un instrument stratégique apportant les
moyens d’évolution des métiers de l’entreprise.

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Informatique de gestion :

• C’est l’ensemble des moyens et des applications mis au service des organisations
• C’est le domaine de l’informatique qui se concentre sur la programmation de logiciel
tourné vers la gestion : comptabilité, finance, ressource humain, gestion des stocks,
gestion de production

5
Définition :

• L’informatique de gestion est donc l’application de l’informatique à la


gestion des administrations et des entreprises.
• L’informatique de gestion prend en charge certains aspects de la gestion d’une
augmentation.

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Rôle de l’informatique de gestion

 De transformer automatiquement des informations préalablement codées et


saisies pour faciliter le fonctionnement de l’entreprise.
Dans l’entreprise de nombreux postes de travail seront concernées par
l’informatique ceux d’où vient l’information à traiter, ceux qui profitent des
résultats obtenus et ceux qui ont pour rôle de contrôler.

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L’informatique de gestion a pour objectif d’entretenir et de faire évoluer
les logiciels destinés à la gestion de l’entreprise.

L’informatique de gestion : C’est une technique de la collecte, du stockage,


de la transmission et de l’utilisation des informations sur des ordinateurs

8
9
une unité de production, constitue un lieu
c’est à sonniveauquesont stratégique au sein de
concrétisées les missions l’établissement. lesautres
de l’établissement et que centres d’activités lui
se génèrent les dépenses servent d’appui et de
et lesrecettes. support.
10
(2)
 « C'est une unité de lieu, ou est élaboré une stratégie thérapeutique;
mise en œuvre par une équipe soignante, sous une responsabilité
définie; en consommant des moyens internes et externes et
susceptible de fournir des prestations à d'autres unités »
« Etude d’orientation sur l’informatisation de l’unité de soins directions des hôpitaux, Paris »

 « C’est une entité intégrative de l’activité hospitalière. Elle est à la fois,


le champs clos de la fonction de soins orienté selon une division de travail
coordonné. Elle est l’espace ouvert à toutes les interfaces professionnelles,
fonctionnelles et administratives de l’organisation globale de l’hôpital ». 11
« Voisin C, FAUGERE, les emploi hospitalier, une approche économique – économica 91 »
Lesystème

Elément Ensemble deséléments


1 Et un ensemble des
relations entre ceux-ci,
Elément ainsi que les relations
2 qui les lient à
Elément l’environnement
n

12
L’approchesystémique

INPUTS PROCESSUS
OUTPUTS

ENVIRONNEMENT
13
L’approchesystémique(suite)

 Ressources ou input : les éléments logistiques et les


éléments d’organisation estimés nécessaires à la
délivrancedes soins.

 Processus : C’est l’ensemble des activités conjuguées, ordonnées,


hiérarchisées pour couvrir les besoins des patients .

 Out put : Output ou sorties, qui concerne la modification apportée


par les soins à l’état de santé et au confort du patient.

 Out come : résultats, qui correspondent aux objectifs concrets visés


par le système 14
Fonctions d’évaluation etde communication

 Fonctions d’évaluation :Sont à la disposition des


acteurs de l’unité de soins pour exploiter directement
toutes les informations enregistrées.

 Fonctionsde communication : Primordiales pour que


l’unité puisse fonctionner avec le reste de l’hôpital.

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Cadre conceptuel
Approche
Approche
empirique
managériale

Fonction de
Approche Approche
chef institutionnelle
éthique

Approche Psycho Approche


sociologique professionnelle

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Dimension du rôle de chef de l’unité de soins

Gérer Coordonner Superviser

Ressources de l’unité

Satisfaction Une meilleure Meilleure


des usagers performance productivité

Mettre en place une Créer une ambiance Maintenir ,entretenir ,renforcer


bonne organisation /climat de travail les compétences du personnel

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Les composantes de la gestion de l’unité de soins
Gestion du
personnel
Gestion de Gestion du
l’environne- matériel etdu
ment patrimoine

Gestions des gestion


patients et de de l'unité Gestion des
leurs proches soins
de soins

Encadrement Gestion de
et l’information
la formation
Gestion des
médicaments
Gestiondupatient

Le patient dans l’unitéde soins :


 Fait la raison d’être de l’établissement hospitalier ;
 Le partenaire de l’équipe soignante,
 Le centre d’intérêt de l’ensemble des acteurs de
l’établissement hospitalier

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Au niveau de l'unité de soins, la gestion des patients peut
se manifester sous troisaspectsprincipaux :
 L'accueil et l'orientationdes patients;
 La communication avec les patients avant, au cours et
après laprestation;
 La gestion de l'information inhérente aux patients
(dossier du patient, fiche du traitement, le secret
professionnel, etc.).

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Pour étudier la gestion des mouvements des patients, il est
opportune de suivre simplement son circuit qui comprend :
 l’accueil;
 l'admission ;
 unité de réception;
 le séjour;
 La mutation et passage interne d’un service à un autre;
 la sorite .

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Gérer le patient = gérer l’ensemble desactivités de l’hôpital autour dupatient

MEDICO
TEHNIQUE ADMINISTRATION
SOINS
DIRECTS

PATIENT
RESSOURCES RESSOURCES
MATERIELS HUMAINES

SERVICES SERVICE
ECONOMIQUES MAINTENANCE
SOINS
INDIRECTS

SERVICE
TECHNIQUE
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GestiondesRH
Le chef est le leader de son unité. Il doit exprimer une bonne
compréhension de la personnalité des membres de l'équipe,
connaître et valoriser aux mieux les caractéristiques et talents de
chacun, potentialiser les qualités des membres de l'équipe. Pour
cela, il doit assurer un triple rôle de:

Coordinateur Leader Gestionnaire

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Gestion dessoins
La gestion des soins se base sur plusieurs composantes à savoir:
 La planification dessoins;
 La démarche de soins;
 L'évaluation de la qualitédes soins;
 Les transmissions des soins
Pour que l'ensemble de ces composantes puisse se concrétiser
dans la pratique de soins doit assurer deux fonctions
essentielles : la supervision et l'évaluation des activités en
matière de soins

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Activités de la gestion des soins

Organisation
des soins
Information Continuité
/coordination des soins

Gestion
des soins
Supervision Qualité des
des soins soins
Planification
des soins
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Systèmed’organisationdessoins

Méthodes d’organisationdes
soins

Méthode Méthode
Méthode
individuelle d’équipe
fonctionnelle
Consiste à confier à Consiste à confier
Consiste à confier à
chaque soignant la un nombre de malades à une
responsabilité chaque soignant
équipe des soignants
totale d'un groupe une tâche ou un
travaillant sous la
de malades. groupe de
responsabilité d'un
tâches. 26
chef d’équipe.
Internet Médical

• L'Internet se développe de manière explosive, en particulier son service le


plus populaire et le plus facile à utiliser, le World Wide Web (connu sous le
nom de «Web») peut fournir des informations médicales.
• Avec juste un ordinateur et un accès Internet, et quelques compétences
Internet de base, vous avez la puissante capacité d'être en contact avec des
personnes, des informations, des documents et des recherches sans les
limites des distancesgéographiques
Internet Médical

• Les sites de l’internet dans le domaine de la santé se sont fortement


développés ces dernièresannées.
• Ils s’adressent directement aux patients, ou offrent des contenus «
professionnels » qui leur restent le plus souvent accessibles.
• L’internet médical s’apparente à un espace gigantesque, dans lequel les
patients peuvent avoir accès à l’information, communiquer, et gérer des
données personnelles de santé. Il a pu être opposé à la télémédecine.
Types d’information
Les types de services offerts par l’internet dans le
domaine de la santé à ce jour consistent :
• dans le contenu des sites web,
• les communautésde soutien,
• la communication électronique entre médecin et
patient,
• les applications gérant des données personnelles
de santé.
Avantage de internetmedical
• Après l’énoncé d’un diagnostic grave, certains patients peuvent aller
sur la base bibliographique Medline et chercher les articles
contenant les dernières avancées scientifiques sur les traitements, le
pronostic.
• Le coût pour le patient correspond à l’utilisation de l’internet
(argent, temps et peine). La balance coût avantage varie avec le
type de patients (maladie, attitude face à la santé), et avec les
moyens mis à leur disposition.
• La communication électronique avec le médecin présente un
avantage élevé et un coût faible pour un grand nombre de
patients.
Moteur derecherche

Le moyen le plus simple et le plus direct de trouver des informations sur


la santé sur Internet est de passer par des moteurs de recherche
généralistes comme Google, Yahoo, MSN, Voila, Exalead etc.
Comment fonctionnent ces moteurs de
recherche ?
• Ils sont alimentés par un robot qui parcourt très régulièrement Internet
pour collecter automatiquement les informations disponibles.
• Le contenu des pages collectées est stocké dans les bases de
données des ordinateurs des moteurs de recherche et chaque mot est
considéré comme une chaîne de caractères.
• Quand on utilise un terme pour effectuer une recherche, le moteur ne
considère que la chaîne de caractères et affiche les pages de sa base
de données qui contiennent exactement la même chaîne de
caractères.
Des conseils pour mieux utiliser les
moteurs généralistes
• Effectuer d'abord une recherche simple:
Commencer par taper un ou plusieurs termes, séparés par des
espaces, dans le champ d'interrogation de la page d'accueil du moteur
de recherche.

Le moteur affichera des adresses de pages contenant ce ou ces


termes.
L’ordre de classement des pages dépend de plusieurs critères,
différents selon les moteurs ; cela peut être le nombre de fois où le
terme recherché figure dans la page, la présence du terme dans les
titres ou, pour Google, la comparaison du nombre de liens qui
renvoient vers chaque page trouvée.
• Combiner les termes et utiliser des expressions:

Lorsqu'on utilise plusieurs termes, le moteur enlève d'abord les mots


considérés comme "vides" (de, la, un…) et recherche ensuite toutes l
es pages qui contiennent l'ensemble des autres mots (comme si on
avait indiqué "ET" entre eux).

Si on recherche des pages contenant une expression significative


comme "polyarthrite rhumatoïde", il faut la mettre entre guillemets
pour trouver les documents contenant exactement cette expression et
non pas les termes de la recherche pris séparément.
•• Apprendre à relier correctement les termes d'une re cherche
 Chaque moteur de recherche propose des moyens de lancer des recherches complexes ou
plus ciblées. Ces moyens sont généralement disponibles dans le menu Aide ou Recherche
avancée.
• Rechercher sur le titre
 Accessible notamment à partir de l'écran de recherche avancée, la recherche sur le titre des
documents permet de restreindre les résultats aux pages contenant les termes de la
recherche dans leur titre.
• Essayer singulier et pluriel
 Libeller les termes d'une recherche au singulier (maladie rare) ou au pluriel (maladies rares)
modifie les résultats.
• Penser aux termes dérivés ou reliés par le sens
 De même, une recherche avec des termes dérivés (troubles de la respiration, troubles
respiratoires), ou reliés par le sens (maladies du foie, maladies hépatiques) donnera des
résultats différents.
• Préférer des mots spécifiques du langage médical:

Toute recherche sera plus efficace si les termes utilisés sont précis et appartiennent
spécifiquement au langage médical.

Effectuer une première recherche avec un langage courant permet souvent d'identifier un ensemble
de termes plus précis dans la première page de résultats; par exemple, une recherche avec problèmes
respiratoires permet d'identifier insuffisance respiratoire, infections respiratoires, troubles
respiratoires,…
• Identifier des synonymes ou d'autres mots-clés dans les pages de résultats
Le langage médical est riche et les termes médicaux ont souvent des synonymes. La lecture des
pages de résultats permet d'identifier des synonymes pouvant être utilisés pour relancer une
recherche; par exemple, maladie de kahler sera associée à myélome multiple.
• Penser aux acronymes
L'utilisation d'acronymes connus peut apporter un complément de résultats; par exemple, SLA pour
sclérose latérale amyotrophique.

•Lire les adresses URL (Uniform Resource Locator) dans les pages de résultats
Une lecture des adresses URL des pages affichées fournit des indications sur la source de
l'information, qui n’est pas toujours visible dans la page affichée.
Introduction : L’informatique de gestion (IG)
• L’informatique …
– « … techniques de la collecte, du stockage, de la
transmission et de l’utilisation des informations … sur
des ordinateurs. »

• … au service de la gestion
– Pilotage de l’entreprise
– Gestion de la production de biens et de services
– Gestion administrative de l’entreprise

3
Introduction :Définition

L’informatique de gestion est l'ensemble des


connaissances, des technologies, et des outils en
rapport avec la gestion de données, c'est-à-dire la
collecte, la vérification et l'organisation de grandes
quantités d'informations.

4
Introduction :Objectifs
• L'informatique de gestion a pour objectif
d’entretenir et de faire évoluer les logiciels destinés
à la gestion de l’entreprise.
• Les cadres de la fonction informatique de gestion
sont chargés :
– d’étudier la faisabilité technique des besoins
fonctionnels.
– de concevoir et prendre en charge tout ou partie du
développement d’un produit (progiciel, logiciel).
– d’assurer la mise en production.
– d’effectuer la tierce maintenance des applications.

5
Introduction :Applications
• L'informatique de gestion a de nombreuses
applications pratiques dans les entreprises :
– Gestion de Clients,
– Gestion de Fournisseurs,
– Gestion de Produits,
– Gestion des Salaires,
– Gestion de Paiement,
• Il est utile en plusieurs Services :
– Finance,
– Ressources Humaines,
– Logistique,
– Comptabilité, ….
4
2
C /C

En informatique de gestion, les informations sont


souvent placées dans des bases de données et
traitées par l'intermédiaire de logiciels spécialisés
que sont les SYSTÈMES D‘INFORMATION.

4
3
 Introduction
 Notion de Système Information de Gestion
 Modéliser les données
 Normaliser les données

PLAN

www.economie-gestion.com 44
NOTION DE SYSTÈME D’INFORMATION
GESTION

45
Notion de Système d’Information de Gestion

• Un système est un ensemble d’éléments matériels


ou immatériels (hommes, machines, méthodes,
recettes, règles, etc...) unis par des relations qui
transforme, par un processus, des éléments (les
entrées) en d’autres éléments (les sorties).
Notion de Système d’Information deGestion
Exemple :

• Une usine de montage de voitures.

Piècesdétachées Automobiles
Système Sorties
Entrées

• Modèle d’un atelier de fabrication :


Matières premières Produits finis
Système Sorties
Entrées
Notion de Système d’Information deGestion

• Le système correspondant à l’activité de


l’entreprise (transformation de flux) est appelé
Système Opérant (SO).

• L’entreprise a aussi besoin d’un système de prise


de décision lui permettant de réaliser les objectifs
fixés. Ce système est appelé Système de Pilotage
(SP).
Notion de Système d’Information deGestion

• Le SP procède à la régulation et au contrôle du


système opérant en décidant du comportement de
celui-ci.

Système dePilotage
Informations Décision sur le SO
sur l’état duSO

Fluxentrant Fluxsortant
SystèmeOpérant
Notion de Système d’Information deGestion

• Avec l’augmentation en quantité et en complexité


des informations échangées entre ces deux
systèmes, on a besoin d’avoir un autre système qui
stocke et traite de façon plus efficace ces
informations.

• Ce système est appelé système d’information


(SI).
Notion de Système d’Information deGestion
• Modèle d’une organisation (ou entreprise) selon la
théorie des systèmes :
Système dePilotage

Systèmed’Information

Entrée Sortie
SystèmeOpérant
Notion de Système d’Information (SI)

• Le système d’information est composé d’éléments


divers (employés, ordinateurs, règles et méthodes,
etc...) chargés de stocker et de traiter les
informations relatives au système opérant (SO)
afin de les mettre à la disposition du système de
pilotage (SP).
Notion de Système d’Information deGestion

Le SI possède deux aspects :

• Aspect statique (ou aspect données) :


– base d’information,
– modèle (ou structure) de données.

• Aspect dynamique (ou aspect traitement) :


– circulation de l’information entre les différents acteurs,
– évolution chronologique et causale des opérations
provoquées par des évènements.
Système Automatiséd’Information(SAI)
• Dans un SI, on retrouve
– des décisions (homme)
– des actions programmées (machine)
 partie automatisable du SI.

• Un SAI est un sous-système d’un SI dans lequel


toutes les transformations significatives
d’information sont effectuées par des ordinateurs.

• Un SAI permet une conservation et un traitement


automatique des informations.
Système Automatiséd’Information(SAI)

• Un SAI doit être


– intégré : une même information n’est saisie
qu’une fois en un point du système et est
récupérée dans tous les fichiers concernés.

– durable et adaptable : les logiciels de


traitement des données (programmes) sont
indépendant des données.
Le Modèle Conceptuel de données
1- DICTIONNAIRE DE DONNÉES

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Dictionnaire de Données - Identification des données
 Chaque donnée doit être identifiée par:
– Son nom/libellé
– Une description

 Les difficultés:
– La synonymie: la même donnée intervient sous des
libellés différents selon les documents
– L’homonymie: une même appellation représente des
données différents selon les documents
Dictionnaire de Données - Les différents type de données

 Numérique: entier, décimal

 Alphabétique: caractère alphabétique

 Alphanumérique: tous caractères

 Booléen: vrai, faux

 Date: jour/mois/année
L’informatique
• L'informatique est la science du traitement automatique
de l'information, héritière de la théorie de l'information
et bénéficiant de l'apport des mathématiques, de la
statistique, de la linguistique, des sciences cognitives et
de laphilosophie.
• L'informatique est aussi une technique, portée par le
formidable développement technique et industriel de
l'électronique.
• En médecine et en santé publique, l'informatique est d'abord une
méthode imposant formalisation de l'information et rigueur de
raisonnement.
• De l'application de ces principes, plusieurs bénéfices peuvent être
espérés :
 Augmenter la fiabilité de données
 Aider a la mémorisation et a la réutilisation de données complexes
Comprendre les mécanismes d’interprétation et de raisonnement
médicaux
• Informatique: science et technique du traitement de
l’information.
• Ordinateur: machine electronique de traitement
automatique de l’information, fonctionnellement stupide,
mais discpline, rapide et dotee d’une grande memeoire. On
lui fournit des donnees, sur laquelles elle effectue des
operations selon un shema prealablement etabli par
l’homme: le programme et ell fournit des resultats>
Historique de l’informatique
• L’homme a toujours besoinde compter,
• Au cours de la préhistoire, il ne savait calculer qu’à l’aide de cailloux
et de sesmains,
• Les doigts ont servi pour compter et pour effectuer toutes sortes
d’opérations arithmétiques,

• La plus naturelle et la plus répondue des numérations était celle qui


comptait en base10,

• Elle nous est parvenue à travers les siècles avec ses symboles
introduits par les indiens, modifiés et complétés par lesArabes,
• En 1614, le mathématicien écossais John Neper présenta sa
théorie des logarithmes.

• En 1642, à Paris, Pascal présente une machine qui peut


additionner et même soustraire des nombres de six chiffres.
Pascal a réalisé sa première machine :la Pascaline.
• Il faudra attendre 1673 pour voir apparaître une calculatrice capable
d’exécuter automatiquement les 4 opérations arithmétiques.

• Ce sera l’œuvre d’un génie allemand qui s’appelleLeibniz.

• Leibniz qui, avec Newton, sont à l’origine du calcul différentiel est


intégral, inventa aussi le système binaire sous sa forme moderne.
• C’est précisément en 1854 qu’un mathématicien anglais,
George Boole, conçoit un système de logique
symbolique,
• Ce système est appelé algèbrebooléenne révolutionnera
la science de la logique.

• Calculs scientifiques :Dés 1930 on voit apparaître des


machines analogiques.

• Les années 30 sont riches en développement et il faut


souligner les contributions fondamentales de Shannon et
Turing.
L’informatique
• L’informatique fait appel à du matériel et à du logiciel :

- Le matériel, c’est ce qui se touche, en anglais Hardware


(quincaillerie), abrégé en Hard ;

-Le logiciel est virtuel, c’est le programme, en anglais


Software (par opposition à Hardware) ou Soft.
LOGICI
EL

Le logiciel d’un ordinateur est composé par l’ensemble des programmesqu’il


peut exécuter. Un programme, selon le principe de Von Neuman, doit
être transféré en mémoire centrale avant son exécution.
• On distingue au sein du logiciel :

-Les logiciels d’exploitation destinés à faciliter le


fonctionnement interne de la machine et son
utilisation : système d’exploitation et utilitaires divers,
ou servant à construire des applications : langages
de programmation ;

-Les logiciels d’application ou progiciels conçus pour la


résolution d’un problème précis : traitement de texte,
gestion de fichier ou calcul.
Système
d'exploitation
• Les systèmes d’exploitation (SE) sont des programmes qui permettent à l’utilisateur
d’utiliser les ressources matérielles et logicielles de l’ordinateur : gestion des organes de
la machine (processeur, mémoire centrale, périphériques) et des travaux qui lui sont
confiés (chargement des applications, gestion des fichiers).

• Sans système d’exploitation, la machine est inutilisable et un programme d’application


ne
fonctionne que par l’intermédiaire du système d’exploitation.

• Un système d’exploitation se caractérise par les processeurs qu’il peut exploiter, sa


capacité d’exécuter plusieurs tâches en même temps (multi-tâche) et d’obéir à plusieurs
utilisateurs indépendants simultanément (multi-
utilisateur)
Progiciel

Le temps nécessaire à l’écriture et à la mise au point d’un programmeest


relativement élevé.
On trouve donc dans le commerce des programmes d’application tous faits,
correspondants aux principales utilisations d’un ordinateur :les progiciels.
GESTION DES DONNEES
MEDICALES

On distingue classiquement l'information au


sens usuel de renseignement, et la notion
de donnée, information codée et stockée sur
un support informatique en vue d'un
traitement ultérieur.
L'utilisation des données en informatique médicale tente de
répondre à deux objectifs plus ou moins
contradictoires :

• Rester proche de la structure naturelle de l'information ;


• Adopter la représentation informatique la plus efficace. Ainsi, deux problèmes doivent être
résolus :
- comment organiser les informations de façon à obtenir le système le plus efficace et le plus
informatif.
- comment représenter les informations afin d'en conserver le maximum de richesse sans
s'interdire les possibilités de traitement automatique de l'information : il s'agit d'un problème
de standardisation du langage médical.
GESTION INFORMATIQUE DES
DONNEES

Une structure de données correspond à une manière d'organiser et de


représenter les données. Les deux types de renseignements contenus dans
une structure de données sont les données proprement dites et les liens qui
peuvent exister entre elles, formalisés par leur organisation. L'organisation de
ces données en informatique est essentiellement celui de leur stockage et de
leur accès sur une mémoire secondaire.
Deux classes de systèmes peuvent être utilisées : les fichiers et les bases de
données.
FICHIE
RS
• On appelle fichier un ensemble de données organisées en vue d’une application déterminée.( un répertoire
téléphonique, un carnet d’adresses, un dictionnaire sont desfichiers.)
• Les fichiers de données contiennent des informations de même nature (un fichier est un
ensemble de fiches de même type) et surtout disposent d’une structureinterne.
ORGANISATION D'UN
FICHIER DE
DONNEES
• Les entités auxquelles on s’intéresse sont décrites par un certain nombre de caractéristiques, analogues pour tous les
éléments d’un fichier, les entités se distinguant par les valeurs qui sont affectées à ces caractéristiques.
• Soit un fichier de malades enregistré sur une bande magnétique : les informations (fiches et rubriques)
sont écrites les unes à la suite des autres :

nom1-prénom1-age1—nom2-prénom2-age2—nom3..
REALISATION D'UNE GESTION INFORMATIQUE
DE FICHES

Il peut arriver qu’un malade subisse deux interventions. Que faire dans ce cas ?
OBJECTIFS
Bases desdonnées

• La solution générale consiste à organiser les fichiers en bases de données qui regroupent de grands
ensembles de données interdépendantes, selon les critères suivants :
- support informatique ;
- absence de répétition inutile ;
- partage et utilisation des données par des applications ou des utilisateurs distincts ;
- évolution indépendante des données et des applications ;
- protection et contrôle de l'accès aux données.
CONCEPTION D'UNE BASE DE
• DONNEES
L'objectif d'une base de données est de décrire sur un support informatique une partie du
monde réel pour répondre aux besoins de certains utilisateurs.

• L’organisation et la gestion de ces bases de données, complexes, sont assurées par un


ensemble de programmes rassemblés sous le terme de SGBD (Système de Gestion
de Base de Données, Data Base Management System ou DBMS en anglais).
SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES

• un langage de description des données (LDD) permet de construire la base,


qu’il s’agisse de l’implantation physique ou de la description logique : nom et
type des données, contraintes d'intégrité.
• un langage de manipulation des données (LMD) regroupe un ensemble de
procédures assurant l'utilisation de la base : saisie d'informations,
consultation, mise à jour, ajout ou suppression.
TERMINOLOGIE

• Une nomenclature est une liste des éléments d'une collection de termes.
Il n'y a aucun agencement particulier des termes ni de définition explicite,
l'objectif étant l'exhaustivité
• Un codage est la traduction d'un message selon un code, généralement
numérique ou alpha-numérique, en vue de sa transmission ou de son
traitement. Le codage doit être biunivoque pour éviter toute ambiguïté.
INFORMATISATION DU DOSSIER DU MALADE

• Le dossier du malade est un élément fondamental de la prise en charge.


• un outil de mémorisation, de communication et le support du processus de
décision
• En fait, il existe plusieurs dossiers partiels : administratif, médical, infirmier,
social, qui sont l'objet d'une utilisation individuelle ou collective
Ce dossier, constamment mis à jour, répond en effet à plusieurs
besoins :
- outil de suivi du malade, particulièrement important dans le cas d'une affection chronique ;
- outil de synthèse de la démarche de soins ;
- outil médico-légal (conservation minimale légale de 20 ans dans les établissements publics, portée à 70
ans pour les dossiers de pédiatrie) ;
- outil de communication entre les différents intervenants ;
-outil de recherche clinique, d'étude épidémiologique ou d'évaluation des soins, s'il est standardisé dans le
cadre d'un protocole ;
- outil de gestion hospitalière ;
- outil d'enseignement.
Le dossier du malade médical (au sens large)
comprend engénéral
- l'identification du malade et ses coordonnées administratives ;
- le résultat de l'examen clinique initial et des examens successifs ;
- les résultats d'examens para-cliniques ;
- le ou les éventuels compte-rendus opératoires ;
- les prescriptions d'ordre thérapeutique ;
-le dossier de soins infirmiers comportant les données de surveillance
et les consignes de transmission ;
- le compte-rendu d'hospitalisation;
- les prescriptions établies à la sortie.
SYSTEMES D'INFORMATION

• Par système d'information, on considère ici un système qui permet


d'exécuter sur des informations, tout ou partie des actions suivantes
: recueil, archivage,extraction, traitement, interprétation,
réduction, évaluation, présentation,communication.
• Certains de ces systèmes intègrent des sous-systèmes
d'informations ou communiquent avec d'autres systèmes
COMMENT PEUT-ON RÉALISER UN SYSTÈME
D’INFORMATION ?

Voici une liste (non exhaustive) des problèmes rencontrés


dans la mise en place de systèmes d’information :
– logiciels ne fonctionnant pas ;
– logiciels ne réalisant pas la tâche prévue ;
– incapacité d’évolution ;
– informatisation rejetée par les utilisateurs
La conception de systèmes d’information est une tâche
complexe et de haut niveau qui nécessite un bon pouvoir
d’abstraction et la prise en compte d’un grand nombre de
contraintes (de coût, d’existant, ...) et d’un grand nombre de
personnes (direction, service informatique, services,
utilisateurs).
•La méthode MERISE est une méthode (française),
développée dans les années 80, formalisée, complète,
détaillée qui garantit (en principe !) une informatisation
réussie.
–formalisée : utilisation d’outils logiques : graphes (ou
modèles),règles, ...
–complète : tout le cycle, de la décision d’informatisation à la
mise en œuvreeffective,
–détaillée :toutes les étapes sont étudiées de la conception à
la technique.
Les principales caractéristiques de la méthode sont :
Une approche globale menée parallèlement sur les données et les
traitements ;
• Une description du système d’information en trois niveaux :
– le niveau Conceptuel : le QUOI ?
– le niveau Logique :QUI FAIT?, QUOI? et OU?
– le niveau Physique : COMMENT ?
Cycle d'abstraction de conception des S.I.
1.L'expression des besoins aboutit au MCC (Modèle conceptuel de la
communication) qui définit les flux d'informations à prendre compte.
2.L'étape suivante consiste à mettre au point le MCD (Modèle conceptuel des
données) et le MCT (Modèle conceptuel des traitements) décrivant les règles
et les contraintes à prendre en compte.
3.Le modèle organisationnel consiste à définir le MLD (Modèle logique des
données) qui représente un choix logiciel pour le système d'information et le
MOT (Modèle organisationnel des traitements) décrivant les contraintes dues
à l'environnement (organisationnel, spatial et temporel).
4.Enfin, le modèle physique reflète un choix matériel pour le système
d'information.
Les Phases de réalisation d’un SI

• La structure de travail comporte des informaticiens, des représentants de la


direction, des chefs de service,
• des utilisateurs finaux. Le processus de développement est découpé en 4 étapes :
1. Etude préalable : elle aboutit sur une prise de décision d’informatisation. En cas de
décision positive, elle est
suivie par
2. Etude détaillée : elle aboutit sur un cahier des charges de réalisation
3. Réalisation : écriture des programmes et implantation des bases
4. Mise en œuvre et maintenance.
Les Phases :1- Etude préalable

•Analyse de l’existant : grâce à des interviews, une


analyse de documents
• Conception de la nouvelle solution : on fait le choix des nouvelles
orientations de gestion, d’organisation, techniques.
• Évaluation : bilan quantitatif et économique.
Les Phases : 2- Etude détaillée

• Conception générale : Élaboration des MCD, MCT,


MLD et MOT. Étude préliminaire de la mise en œuvre. Étude des solutions
dégradées.
• Conception détaillée : Optimisation et validation
des modèles. Évaluation des coûts logiciels, matériels, de formation pour la mise
en œuvre de la solution.
Les Phases : 3, 4- Réalisation &
Mise enœuvre
3. Réalisation :
– description du MPD, du MPT, de l’environnement
technique
– écriture du logiciel ; tests unitaires et d’intégration
4. Mise en œuvre :
–mise en place des moyens humains, techniques et
matériels, de la documentation.
– essais, intégration.
SYSTEMES D'INFORMATION

• un système qui permet d'exécuter sur des informations, tout ou partie des
actions suivantes : recueil, archivage, extraction, traitement, interprétation,
réduction, évaluation, présentation,communication.
• Certains de ces systèmes intègrent des sous-systèmes d'informations ou
communiquent avec d'autres systèmes.
TRAITEMENT DES SIGNAUX
PHYSIOLOGIQUES

• Les signaux physiologiques que fournissent les explorations fonctionnelles ou


les enregistrements électriques : ECG, EEG, spirométrie, analyseurs de
biochimie, sont constitués de suites de nombres : de plusieurs dizaines à
plusieurs millions parseconde.
TECHNIQUES DE TRAITEMENT
• L’ intérêt de l’informatique pour le traitement tient au fait que les techniques
numériques de traitement de signaux sont plus puissantes et plus souples
d’emploi que les techniques strictement électroniques

• L'intégration des systèmes de traitement des signaux dans des systèmes d'information
plus vastes, par exemple au niveau d'un hôpital, permet de les mettre en relation avec
les données du dossier médical ou de communiquer avec les laboratoires de biologie
afin de travailler sur des informations de meilleure qualité ou d'élaborer des décisions
plus synthétiques
SYSTEME D'INFORMATION DE L'UNITE DE
SOINS

• L'unité de soins est l'entité dont la fonction est de produire des soins médicaux
à visée diagnostique, thérapeutique ou d'évaluation.
• Elle s'appuie sur une équipe soignante et prend en charge des patients
hospitalisés ou des consultants externes
La Communication professionnelle
Qu’est-ce que la communication ?

Il s’agit de l’ensemble des stratégies mises en place, par une personne ou


un groupe de personnes, pour échanger des ressources et des
représentations avec d’autres.
Communiquer ce n’est pas seulement disposer de moyens de communication,
et mettre des informations en circulation, la communication suppose
également un retour possible du récepteur vers l’émetteur.
Ce retour ou feedback peut modifier et/ou influencer l’émetteur lui-même.
Il s’agit d’une communication «organisant» qui vise, recherche, entretient,
voire maximise les inter-rétro-actions.
C’est l’intention d’un émetteur, traduite dans un message, interprétée par un récepteur et ayant un effet sur lui.
Lors de la transmission d’un message entre l’émetteur et le récepteur,
intervient un certain nombre de filtres à chacun de ces pôles. Ces filtres
sont constitués par plusieurs éléments (l’éducation, les préjugés, les
expériences personnelles, par exemple) issus du contexte.
Ils ont un rôle particulier dans le système de codage / décodage de
chacun et donc dans l’interprétation du message.
Elle met en relation différents partenaires: l’émetteur qui prend
l’initiative de communiquer et le récepteur qui écoute le message
transmis.
• Elle véhicule un ensemble d’informations (le message).
• Elle utilise une voie de circulation (le canal). Ce canal peut être écrit,
oral, visuel et nécessite des outils de communication (téléphone,
courrier, …),
• Elle transforme l’information en symboles interprétables comme les
gestes et les mots (le codage pour l’émetteur, le décodage pour le
récepteur)
Les caractéristiques de la communication

En réalité, sur le fond, la communication cherche bien à répondre à l’un


des objectifs suivants .
• Faire passer une information, une connaissance, ou une émotion
• Créer une norme commune pour se comprendre .
• Créer une relation pour dialoguer fréquemment, ou relancer le dialogue
• Obtenir une influence pour inciter l’autre à agir selon sa volonté
• Donner son identité, sa personnalité au tiers, pour être connu.
Modèle de Shannon et Weaver

Le modèle de Claude Shannon et Weaver désigne un modèle linéaire


simple de la communication: cette dernière y est réduite à sa plus simple
expression, la transmission d’un message. On peut résumer ce modèle en:

«Un émetteur, grâce à un codage, envoie un message à un récepteur qui


effectue le décodage dans un contexte perturbé de bruit.»
Modèle de Lasswell

Harold Dwight Lasswell, politologue et psychiatre américain, s’est fait un


nom en modélisant la communication de masse. Pour lui, il s’agit de la
décrire à travers les questions: «Qui, dit quoi, par quel canal, à qui et
avec quel effet ?».
Modèle de Jakobson

Ce linguiste russe développe un point de vue centré non plus sur la


transmission d’un message, mais sur le message lui-même, évitant ainsi
les dangers d’instrumentalisation technique. En effet, selon ce modèle,
quelle que soit la forme qu’elle prenne (texte, image, musique...), la
communication s’établit toujours suivant les mêmes repères
Modèle de Riley et Riley

Ce modèle considère en premier lieu l’appartenance des individus


humains à des groupes. L’émetteur rebaptisé communicateur, et le
récepteur sont donc distribués dans des groupes primaires (familles,
communauté, petits groupes…)
Types et outils de la communication

La communication verbale
La première définition que nous donnons à la communication verbale est
l’utilisation de la parole pour communiquer.

La communication verbale désigne également l’ensemble de moyens


utilisés pour transmettre des éléments d’information.
Composantes de la communication
verbale

La communication verbale est composée par six éléments clés :


• Message
• Vocabulaire / Sens des mots
• Complexité
• Clarté
• Précision
• Durée.
Les causes de difficultés de la communication verbale Quatre causes peuvent être
à l’origine des inconvénients de la communication verbale :

Le contenu: L’impression de manquer de compétences, des informations.


Les situations de groupe : Le groupe fait peur, Les impressions ne forment qu’un
seul bloc face à soi, La peur du « jugement » du groupe.
L’attitude envers les autres: Peur d’être mal jugé, Peur de ne pas susciter
d’intérêt, Par rapport au statut social (si l’on y accorde de l’importance).
L’attitude envers soi-même: Manque de confiance en soi, Image d’infériorité de
soi, Timidité ou anxiété : empêchement de parler.
Prise de parole en public
-La principale crainte de la plupart des gens est l’art de
parler en public.
-La chose la plus importante que nous pouvons faire
pour qu’une présentation soit efficace est d’être prêt.
-Ils sont venus voir ce que vous pouvez faire pour eux.
Pour cela, il faut utilisez votre énergie pour fournir la
meilleure présentation possible tout en commençant
lentement et en utilisant des phrases courtes
Principes de base de parole en public

a. Comment acquérir les techniques de base ?

• Prenez courage en vous inspirant de l’expérience des autres,


• Ne perdez pas de vue votre objectif,
• Soyez d’avance certain de votre succès,
• Saisissez toutes les occasions de pratiquer.
b. Comment développer la confiance en soi ?

• Cherchez les raisons de votre crainte de parler en public


• Préparer vous convenablement : N’essayez jamais d’apprendre votre
texte par cœur,
• Assemblez et classez vos idées à l’avance, Parler de votre sujet avec vos
amis.
• Soyez d’avance certain de votre succès : Pénétrez-vous de votre sujet,
Evitez toute réflexion négative susceptible de vous troubler, Pratiquer
l’auto suggestion.
c. Un moyen facile et rapide pour bien parler en public

• Traitez un sujet que vous connaissez par expérience ou par étude :


• Dites ce que la vie vous a appris,
• Cherchez des sujets dans votre passé.
• Traitez un sujet qui vous tient à cœur
• Ayez le désir ardent de communiquer avec vos auditeurs
« La parole peut dissimuler la réalité, alors que l’expression la révèle. »
La communication non verbale
La communication non verbale: silences, gestes, postures, expressions
La communication
faciales, ton de la voix, rythme de l’élocution, vêtements… complètent le
message auditif.
non verbale
Elle exprime les émotions, les sentiments et les valeurs.
On envoie et on reçoit en permanence des signes non verbaux qui
transitent par des expressions du visage, des gestes et postures, le ton de
notre voix, l’habillement, la coiffure, le maquillage, l’odeur, les silences
et le toucher.
Le langage non verbal permet la communication entre personnes de
langues différentes: le rire et l’expression de la douleur sont les
expressions non verbales les plus universelles.
Outils de la communication non verbale

La communication non verbale constitue un élément crucial dans le processus


de la communication, elle englobe:

Ton de la voix
Débit et volume de la voix
Articulation des mots
Rythme, intonation et accent mis sur les mots
Expression du visage
Intensité du contact visuel établi
Gestuelle et toucher
Langage corporel et position
Communication non verbale efficace

Pour communiquer plus efficacement, il faut prendre en compte:

• Le regard: Il permet d’établir un contact entre l’émetteur et le


récepteur

• Les mimiques: Il s’agit des expressions de visage

• La posture: C’est la position du corps dans un espace (debout, assis,


etc.)

• Les gestes: Ils ponctuent ou décrivent le message pour le rendre plus


puissant
La différence entre communication verbale
et communication non verbale

1. Une communication innée, et une communication involontaire


La communication verbale est acquise dès la naissance (pleurs et cris)
alors que les différents langages corporels (non verbale) apparaissent de
façon involontaire, évoluant avec l’âge et le temps.
2. Verbale et non verbale sont toutes aussi importantes
La communication par les gestes, les regards, la posture ou les
expressions accompagnent presque toujours les mots et la voix. Ce qui
signifie que la communication verbale et non verbale peut faire l’objet
d’une même étude.
La communication interpersonnelle

Le contact avec l’auditoire se fait par le regard dirige vers tous les
auditeurs: ne jamais donner l’impression de ne regarder que quelques-
uns

Aisance c’est l’image que l’on doit donner, même si l’anxiété est au fond
de nous-même. Respirer et positiver la situation. si une bonne
préparation a été faite, elle apportera la confiance en soi nécessaire.

L’enthousiasme est communicatif. Il doit apparaitre dans le


comportement pour rassurer et amener l’auditoire a se passionner avec
soi pour le sujet expose.
La voix doit être bien «posée» c’est un travail personnel à réaliser en
s’entrainant a parler clairement, articuler, et «placer» sa voix dans la
gorge ou vers le ventre pour éviter les voix «de tête».
• L’apparence vestimentaire doit être en conformité avec le
sujet et l’auditoire.
•Le sourire n’est pas indispensable mais il peut ponctuer certains
moments. ne pas oublier que l’humour n’est pas à exclure même d’un
exposé technique
La Communication en entreprise

• La Hiérarchie: la communication apparaît dans les ordres (ou contre-


ordres) et la compréhension ou non - compréhension qu’on en a.

• La Fonctionnalité: les rapports entre services et personnes qui les


représentent : affectivité ou rejet, frustrations ou jalousies vont influencer
le style de communication, l’agressivité ou la sociabilité, le langage et sa
compréhension.

• Le Groupe de Travail: les rapports entre équipiers, les réunions, les


séminaires, les groupes de recherche ou de travail, les séances de
formation, etc.
La communication virtuelle (ou digitale)

la communication virtuelle comme un mode de communication incluant


l’utilisation de la technologie, l’audio et la vidéo pour communiquer avec
des personnes qui ne sont pas physiquement présentes devant nous.
Les inconvénients des communications
virtuelles

La communication virtuelle peut progressivement remplacer la


communication réelle et devenir dominante dans la vie humaine.
Il n’y a aucune place pour les expressions faciales, les mouvements, les
contacts visuels, les tonus de la voix, le langage corporel et les positions du
corps.

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