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Introduction

On éminent différentes époques au début du 20ème siècle l’offre est considérablement


inférieure à la demande: la préoccupation essentielle des entreprises est de produire un produit
de qualité ordinaire. Puis au milieu du 20ème l’offre a développé et récupéré la demande, la
manifestation de concurrence commencent à apparaître, il ne suffisant plus d’apporter au
client un produit de qualité classique. Le prix doit être attractif, d’où une nécessité de baisser
les couts de revient. Afin de baisser le cout unitaire les entreprises ont eu recours aux
économies d’échelle.
Être à entretien de son environnement compétitif, est une attitude essentielle pour se
positionner dans une perspective de prouesse et de création. L’information permet de
consolider la décision et de susciter l’action ; l’information intelligente est une matière
première fondamentale à la vie de l’entreprise; une ressource à part entière.
  La veille stratégique devient alors une nécessité dans un monde où l'innovation et la
compétitivité sont essentielles.

I- La veille stratégique
1. Définition
« 1La Veille Stratégique est un système d’aide à la décision qui observe et analyse 4 l’environnement
scientifique, technique, technologique et les impacts économiques présents et 11 David Coudol et
Stéphane Gros futurs pour en déduire les menaces et les opportunités de développement. Elle s’appuie
essentiellement sur les informations ayant un caractère stratégique ou décisions importantes lui
associant le terme de veille stratégique »

Il existe différents types de veilles (technologique, concurrentielle, juridique, commerciale, sociétale,


etc.) Quelque soit le type de veille à mettre en place, il s’agit de collecter, d’analyser et de diffuser de
l’information qui répond aux besoins des destinataires de la veille et qui concerne les secteurs
prioritaires définis par l’organisation (ces secteurs dépendent de la stratégie de l’organisation).

2. Les acteurs de la veille


Le processus de veille n'est pas une tâche isolée d'une ou de deux personnes mais il est réellement
transversal, fondé sur des réseaux, faisant intervenir plusieurs personnes situées à plusieurs niveaux et
de manière organisée.

 Les professionnels de la recherche et de la gestion de l’information « observateurs,


recherchistes, documentalistes, etc. »
 Les spécialistes du domaine « analystes, experts »
 Les décideurs.

1
David Coudol & Stéphane Gros
Le concept de veille apparu vers le milieu des années 80, se démarque de ce dernier de deux façons
complémentaires:

 Intelligence économique = veille + protection du patrimoine + actions d’influence

L’intelligence économique intègre deux dimensions supplémentaires par rapport à la veille, que sont:

 D’une part la capacité d’influence, c’est-à-dire l’art d’utiliser l’information afin de projeter
son influence sur ses marchés;
 D’autre part la protection du patrimoine informationnel, c’est-à-dire la capacité de
l’entreprise à préserver l’information relative à ses connaissances, à ses savoir-faire, à ses
choix stratégiques... face aux risques liés à la négligence ou à la malveillance;
 Veille : connotation « collecte »

• Intelligence économique : connotation « traitement - analyse »

• au niveau macro-économique: l’intelligence économique, est en effet une démarche qui déborde
largement le cadre de l’organisation pour revêtir une dimension régionale ou nationale alors que la
veille stratégique ne concerne que l’entreprise (niveau micro-économique).

• au niveau micro-économique: il est possible de lister plusieurs éléments distinctifs permettant de


mettre en évidence le fait que l’intelligence économique soit un concept plus globalisant.

Ces éléments sont les suivants :

 la mise en œuvre d’actions d’influence et de lobbying


 la mobilisation d’un ensemble plus large d’acteurs dans l’entreprisse (pas uniquement les
veilleurs) et à l’extérieur de l’entreprise
 une culture collective de l’information
 plus que l’application d’une méthodologie. Un mode de management.

2. LES FONCTION
2.1 La fonction anticipative :

La première fonction de la veille stratégique, sa raison d'être même, est d'anticiper les
menaces et les opportunités qui surviennent dans l'environnement des entreprises. Elle doit
donc anticiper l'évolution des marchés, de la concurrence, de la législation...

Les sources de menaces et d'opportunité sont nombreuses et variées. Les menaces peuvent
provenir par exemple des concurrents, mais aussi d'une nouvelles législation à venir ou
l'obsolescence du patrimoine scientifique et technique de l'entreprise. Les opportunités
peuvent être la détection d'acquisition ou d'alliances potentielles, la conception d'un nouveau
produit, l'implantation sur un nouveau marché étranger.2
2
Corine Cohen Op.cit, p 104.
2.2 La fonction informative

L'autre raison d'être de la veille stratégique est de fournir de l'information. Cette information,
qu'elle recherche et collecte au moyen de diverses méthodes et techniques, doit être
pertinente, c'est à dire de valeur, et correspondre aux besoins des utilisateurs. L'objectif est ici
de satisfaire les besoins en informations de valeur des utilisateurs. Il peut s'agir de monter un
dossier d'informations sur un pays, sur un concurrent, à partir d'études, de monographie, etc.

La fonction informative est basique dans l'activité de la veille stratégique. L'information


fournit par le service de la veille stratégique peut être brute ou traitée. Dans ce dernier cas,
elle ressort d'une procédure d'analyse, de synthèse et de mise en forme3.

2.3-La fonction analytique et synthétique

Une autre mission 4de la veille est d’analyser les informations collectées, c'est-à-dire de les
décomposer pour en retirer les éléments essentiels. La synthèse indissociable de l’analyse :
elle permet de mettre en relation et en corrélation des bribes d’information, fragmentées,
éparses, hétérogènes pour reconstituer un puzzle signifiant. Autrement dit, la synthèse
rassemble les éléments de connaissance en un ensemble cohérent, destiné notamment à
faciliter la prise de décision. Analyse et synthèse sont des fonctions essentielles, en particulier
lorsque l’information est surabondante (autre raison d’être de la surveillance). Elles sont
souvent précédées ou accompagnées d’une opération de tri et de sélection.

2.4 La fonction de mise en forme :

La mission de la veille est également de mettre en forme l’information analysée et


synthétisée. La qualité de cette mise en forme peut jouer un rôle important dans la
compréhension des connaissances diffusées.

2.5 La fonction d’animation et de communication :

La veille doit communiquer aux bons destinataires les informations qu’elle a collectées,
analysées, synthétisées. Elle a également pour fonction d’animer ses réseaux de veille pour
favoriser les flux d’information qui les traversent.

2.6 La fonction d’identification des besoins d’information :

La littérature indique parfois l’identification de besoins en information comme l’une des


fonctions de la veille. Celle-ci doit répondre aux attentes formulées par les utilisateurs, mais
aussi deviner et satisfaire les attentes implicites.5

2. Typologies de la veille

2.1 Typologie selon l’environnement surveillé :

• Veille technologique :

3
Ibid, p 105.
4
Corine Cohen Op.cit, p 105
5
Corine Cohen
La veille technologique est l’ensemble des moyens de collecte
d’informations technologiques qui a pour but de les analyser et les
exploiter dans le but de développer l’entreprise au niveau
technologique.

• Veille commerciale :

La veille commercia6le consiste en la collecte, le traitement et la


diffusion d'informations afin de servir une entreprise dans un but de
développement commercial, ces objectifs peuvent être lancement d’un
nouveau produit ou service, les intentions d’achat.

• Veille concurrentielle :

La veille concurrentiel7, c'est rechercher, analyser et exploiter les


informations relatives à son entreprise, ses concurrents et son secteur
d'activité, dans le but d'accroître sa productivité et sa compétitivité.

• Veille sociale/environnementale
• Veille réglementaire, juridique, sanitaire…

Étapes de la veille stratégique :


1 ère étape : exprimer les besoins

L'expression des besoins en information se fait dans le cadre des objectifs stratégiques de l'entreprise.
Dans une entreprise de taille moyenne, l'équipe-projet rencontre les services intégrés dans le dispositif
de veille pour détecter leurs besoins en information. Dans une entreprise de moindre taille, c'est
l'animateur de la veille qui rencontre les personnes concernées par la démarche

2ème étape : choisir les sources d'informations ( collecte D’information)

Une fois que le besoin est identifié, il faut savoir ou trouver l’information les sources sont
nombreuses, diverses et accessibles, la collecte peut se faire par une recherche ciblée, ou par
la connaissance diffuse obtenue tout au long de l’activité courante de l’entreprise, on peut
également faire une collecte d’information automatique a l’aide des outils informatiques de
veille travaillant sur internet, il existe 3 types de sources d’informations :
- Sources internes : 
 Patrimoine : matériel, immatériel, archives
 banque de données
 collaborateurs (commerciaux, techniciens, acheteurs…)
 internet (les sites institutionnels, les blogs et forums, les réseaux sociaux…)
6
VECTEURPLUS, l’art de l’information qualifiée : quelle est l’utilité d’une veille commerciale 6 pour la
prospection, juin 2009
7
https://www.commentcamarche.net/faq/9736-la-veille-concurrentielle
- sources externes :
 publication de brevets
 salons, foires, exposition
 presse
 partie prenantes (clients, fournisseurs, concurrents, actionnaires
 manifestations, colloques, séminaires, présentation, journées portes ouvertes
- sources spécialisées :
 courtiers en information
 cabinets spécialisés 

3. traitement d’information 
Une fois la phase de collecte d’information est terminée, on passe au traitement de
l’information qui prend deux volets principaux :
a.  Volet de classification :
Le veilleur traite les informations d’origine humaine ou obtenues automatiquement en
fonction d’un plan de classement bien déterminé, il faut conserver que l’information utile
pour passer par la suite au classement, indexage et stockage de l’information dans un système
de type base de donnes, dans lequel chaque information utile sera entrée au jour le jour,
comme ça on assure la prouvabilité de l’information.
b. Volet d’analyse :
Les informations collectées, évaluées et classées, peuvent être analysées selon les
méthodologies, outils et tableaux de bord permettant :
- L’évaluation de la quantité d’informations sur un sujet donne et suivre son évolution dans le
temps 
- Découvrir l’émergence de nouveaux concepts ou sujets et de nouvelles tendances
- Identification des sources qui contiennent des informations utiles 
- Mettre en évidence les connexions entre les personnes et/ou les sujets veillés avec des outils
de cartographie
- Mettre en évidence les signaux faibles 

4. Diffusion de l’information utile


Il faut d'abord formaliser les règles de publication et d’évaluer les documents, en étroite
collaboration avec le leader. Il y a deux aspects à cette évaluation :
- Évaluation de la source : 
Le dirigeant ou le veilleur expérimenté détermine la qualité de la source. En général, les
informations publiées dans les quotidiens nationaux et les presses spécialisées sont dignes de
confiance. En revanche, les petits blogs seront plus questionnés et donc moins bien notés.
Cependant, les notes basées sur le type de source ne sont pas une règle absolue : un blog
majeur sur un secteur d’activité très pointu peut bénéficier d'une note élevée.
- Évaluer la pertinence des documents, généralement à trois niveaux :
Niveau 1 : Correspond au problème mais sans conséquence spécial
Niveau 2 : Les informations peuvent influencer la stratégie, qui doivent être diffusées aux
acteurs concernés
Niveau 3 : l’information est capitale et doit faire partie des éléments de réflexion pour
engager ou non une action  
Le destinataire peut partager tout ou partie des informations traitées selon sa confidentialité :
- avec qui il veut, qu'il soit interne ou externe, en leur demandant d'enrichir les résultats avec
d'éventuels commentaires.
- Sur les réseaux sociaux, blogs ou forums pour recueillir des avis ou poser des questions pour
enrichir ceci ou cela.

5ème étape : mémoriser le déroulement et les résultats de la veille

Le cycle de l'information fonctionne en boucle : les résultats d'une recherche peuvent


alimenter un travail ultérieur où la méthode et les questions seront affinées. La veille suit ce
processus récurrent qui peut être amélioré au fur et à mesure de la pratique. Pour profiter des
acquis antérieurs et affiner la méthode employée, il est parfois nécessaire de pouvoir revenir
sur le processus de veille.

Typologie des outils de la veille stratégique.

1. Outils de collecte et de surveillance

Ces outils représentent une véritable station de travail pour un veilleur devant surveiller
un nombre important de documents internes ou externes selon des axes de veille prédéfinis.
Ils permettent aussi d’identifier les changements de contenu des documents dans le temps. On
distingue 3 catégories :

• Outils de recherche
• Outils de surveillance
• Aspirateurs de sites

2. Outils d’analyse et de mise en forme

• Outils de classification
• Outils de résumé automatique
• Outils d’extraction de connaissance
• Outils de cartographie

3. Outils de diffusion de l’information

• Outils de groupware ou logiciel de travail collaboratif


• Outils de « push »

II- L’influence

1- Action d’influence :
L’influence consiste à modifier avantageusement l’environnement global de l’entreprise, et à
changer son profit éventuellement, la définition et la conduite des stratégies d’influence
garantit à l’entreprise un meilleur positionnement dans le marché, une meilleure image, et de
bénéficier des normes favorables , l’influence permet à l’entreprise de mieux attirer l’attention
aux produits qui répondent non seulement aux besoins des consommateurs, mais satisfont
aussi à des règles environnementales en cours d’élaboration, dans le cadre du développement
durable.
Les étapes de la stratégie d’influence :
Une stratégie d’influence repose schématiquement sur un protocole de 7 étapes élémentaire. 
1.1. Définition de l’objectif :
La première 8étape a pour objet de formuler explicitement l’objectif à atteindre, il existe
de multiples motifs susceptibles de conduire une organisation à entreprendre ou a où déléguer,
auprès d’un cabinet spécialisé, une stratégie d’influence.
La stratégie d’influence doit s’inscrire dans l’une des catégories suivantes :
- agir sur l’attitude et le comportement du public
- agir sur le cadre règlementaire du marché
1.2. Agir sur le comportement et l’attitude du public :
Le comportement 9et l’attitude de public peuvent être influencés par trois facteurs :
Facteurs personnels : âge, sexe, culture, profession, etc.
Facteurs psychologiques : état d’esprit, capacité à comprendre les informations, mentalité…
Facteurs sociaux : l’entourage, la famille, les amis (réelles et vertueux), classe sociale,
niveau d’éducation…
L’’entreprise ou bien l’organisme devront savoir comment utiliser et influencer ces trois
facteurs pour qu’ils puissent manipuler l’opinion des utilisateurs, a l’aide des réseaux sociaux,
télévision, panneaux publicitaires, les sondages etc.
1.3. Identification de la cible :

8
COUTENCEAU (Christian).  BARBARA (François), EVERETT (William), GILLERON (Alain), JACQUIN
(Xavier), POULLAIN (Muriel), Valle (Claude), Guide pratique de l’intelligence économique,  2008, France,
Edition d’organisation, 178p
9
GUILHON (Alice), MOINET (Nicolas), Intelligence économique, 2016, France, Edition Pearson, Montreuil,
353p
Une fois le l’objectif est fixe, il convient de déterminer la cible à toucher à l’aide des
questions suivants :
 quel individu ou groupe d’individus souhaite-t-on affecter ?
 qui veut-on voir changer de comportement, d’avis ou de perception sur un sujet en
particulier ?
1.4. Définition du message :
Un message adéquat à l’idéologie, culture et politique de la cible visée, il doit aussi être facile
à comprendre et à diffuser, afin de formuler des arguments clés.
1.5. Choix du moment d’action :

Le choix du moment 10d’action est très important dans le volet de l’influence, il faut toujours
choisir un moment adéquat pour lancer une compagne, un événement ou bien diffuser une
information, par exemple un anniversaire historique, durant le vote d’une loi etc.

II -L'influence dans l'ère de l'information

2.1. De la contre-culture dans les confrontations...

La nature évolutive des modèles d'opposition dans le champ de l'influence entraîne une
réorganisation des forces, dans et hors de l'entreprise. Elle induit aussi une course à
l'armement « informationnel » et à l'acquisition de moyens adaptés. Depuis quelques années,
l'influence « institutionnelle » de l'entreprise s'oppose à une contre-culture informelle qui
trouve sa pleine expression dans l'e-activisme. Que ces mouvements soient véritablement
spontanés ou le résultat d'un heureux « hasard » concurrentiel, les attaques informationnelles
témoignent d'une mécanique sociétale qui atteint une maturité certaine.

La puissance du moyen est inversement proportionnelle à son coût insignifiant et à l'anonymat


parfois coupable de ses auteurs.

2.2- hyper acteurs

Depuis quelques années apparaissent ce qu'il convient de qualifier comme des hyper acteurs
de l'influence. Bras armé des lobbies, mais aussi souvent de quelques intérêts nationaux, ces
entreprises se positionnent sur le marché de la communication stratégique. À la spontanéité de
la foule, ils opposent l'intégration stratégique, le formatage des esprits, le story telling ou mise
en récit, la « gestion » des faiseurs d'opinion, « l'accompagnement » de l'opinion publique.
Les synergies sont recherchées, les planifications militaires, les coordinations implacables.
Moins attachées à la définition et à la défense d'une image de marque, ces institutions
façonnent de véritables normes sociétales qui incluent leurs intérêts et excluent les autres, par
construction.

10
GUILHON (Alice), MOINET (Nicolas), Intelligence économique, 2016, France, Edition Pearson, Montreuil,
353p
Ils les évaluent 11et les analysent dans la recherche de signaux faibles pour prévenir des crises
informationnelles. Ils s'orientent vers l'analyse dialectique et rhétorique afin de saisir les
différents sens du discours, jusque dans ses silences. De l'analyse numérique des mouvements
d'opinion à l'aide à la décision en matière informationnelle, ces nouveaux outils vont calibrer
et organiser les fonctions d'influence dans l'entreprise.

2.3. Les réseaux d'influence et leurs moyens

Du lobbying institutionnel à la pression collective, les modèles de confrontation par


l'influence définissent des organisations et des moyens plus prégnants et actifs que jamais. À
cette fin des ensembles apparaissent et agissent de manière concertée, planifiée et en synergie.
Un groupe d'hommes ou d'entreprises qui s'associent par une communauté d'intérêts va former
un « réseau », que les outils de cartographie de l'intelligence économique vont matérialiser.

2.4. Les nouveaux visages de l'influence et ses déviances

La légitime défense économique a autant de sens et de bien-fondé que la volonté de puissance


au service de l'homme contre lui-même, lorsqu'il mène les combats nécessaires à la protection
de son humanité. Mais, que l'on soit hyper- ou alter acteur, la tentation du fou est forte. La
contrainte des mots peut être extrême. La force des signes délétère. La puissance des
interprétations malsaine. Le tout peut facilement provoquer des déviances collectives et
individuelles. Cette privatisation de la propagande, comme sa mutation sectaire en
endoctrinement, présente un risque majeur pour l'influence et doit être condamnée sans
équivoque comme hors du champ acceptable des pratiques professionnelles du domaine.

Conclusion :

La veille stratégique consiste à surveiller l'environnement de l'entreprise afin de permettre à


celle-ci de mieux appréhender et anticiper les évolutions du marché, mais également de
faciliter la prise de décisions et le développement d'innovations. Au total, une stratégie
d’influence efficace assurera, sinon des synergies, soustrayez la cohérence entre le différent
facteur qui déterminent les effets rhétorique et balistique (précision, rapidité, et impact du
message).

11
- Manuel d'intelligence économique Sous la direction de L'évolution de la doctrine (Jean-François Bianchi),
Christian Harbulot (5eme partie)
Bibliographie
 David Coudol & Stéphane Gros
 Corine Cohen la veille intelligence stratégique
 Ibid,

 VECTEURPLUS, l’art de l’information qualifiée : quelle est l’utilité d’une veille


commerciale 6 pour la prospection, juin 2009

 INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE ET VEILLE STRATÉGIQUE Défis et stratégies


pour les économies émergentes Sous la Direction de Driss GUERRAOUI et Xavier
RICHE

 //www.commentcamarche.net/faq/9736-la-veille-concurrentielle

 COUTENCEAU (Christian).  BARBARA (François), EVERETT (William),


GILLERON (Alain), JACQUIN (Xavier), POULLAIN (Muriel), Valle (Claude),
Guide pratique de l’intelligence économique,  2008, France, Edition d’organisation,

 GUILHON (Alice), MOINET (Nicolas), Intelligence économique, 2016, France,


Edition Pearson, Montreuil,

 Manuel d'intelligence économique Sous la direction de L'évolution de la doctrine


(Jean-François Bianchi), Christian Harbulot

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