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Appréciation :
- Situer l’information en fonction de ce qu’on sait déjà
Interprétation :
Créer des liens avec ce que l’analyste sait déjà et constituer ainsi un nouveau
paysage de la situation afin de le faire parler.
La dérégulation de l’activité :
Un processus de libéralisation ; il vise à limiter l’intervention de l’Etat par la
transformation des cadres de régulation.
La démarche de l’IE :
3. Les enjeux du KM :
approche processus, à les typer selon un modèle de connaissance puis de les liées
entre elles selon la logique annoncée par les personnes interviewées.
b. Dans le but de capitalisation, intégration
Dans l'objectif de mettre en place l'accompagnement adéquat, d'assurer le
transfert d’expertise, de faciliter l'intégration de nouveaux collaborateurs ou bien
l'intégration des jeunes. L'entreprise peur recourir aux techniques suivantes :
* Le tutorat : (un Tuteur et un tutoré) c'est un système dans lequel un tuteur est
chargé d'accompagner une jeune personne en formation. La mission ne consiste
pas seulement à transmettre son savoir, ainsi que sa technique professionnelle. Elle
consiste aussi à évaluer le tutoré ou le jeune formé.
* Le mentorat : (un mentor et un mentoré) : le mentor guide, conseille en se basant
sur ses expériences le mentoré.
Il incombe au mentor d'établir une relation basée sur la confiance afin que les
deux parties s'échangent librement sur leurs idées et leurs visions.
Contrairement au tutorat ou au coaching, le mentorat d'entreprise se focalise sur
l'adoption d'un savoir - être et non l'acquisition des techniques.
* Le coaching : Comme son nom l’indique, ce type de coaching se déroule au
sein d'une organisation professionnelle. C'est un accompagnement ciblé, financé
par l’entreprise, avec un collaborateur ou avec une équipe, qui répond à un
objectif professionnel de l’entreprise. Par exemple :
-Accompagner une nouvelle prise de poste,
-Accompagner un manager dans l'amélioration de sa communication ou dans
l'établissement d'un leadership inspirant,
-Accompagner une équipe dans l'amélioration de ses performances.
compétences des individus qui pratiquent l'IE et le KM, et donc créent des
communautés de pratique, des réseaux informels au sein de l'entreprise et
échappent en quelque sorte au contrôle hiérarchique.
Il est convenu dans l'économie de la connaissance qu'une horizontalisation des
structures, que la culture du dialogue et du partage devient les éléments moteurs
et favorisent l'émergence dans l'entreprise d'une démarche d'IE et de KM.
Les menaces qu'une entreprise peut en courir sont les suivantes (liste non -
exhaustive) :
• L'atteinte à la réputation
La réputation d'une entreprise désigne la façon dont elle est perçue par un
groupe social ou par le grand public dans son ensemble.
Il s'agit d'une appréciation collectivement partagée, qui implique une opinion
(positive, neutre ou négative).
La réputation est un actif essentiel pour l'entreprise pouvant représenter jusqu'à 70
% de sa valeur.
Or, la réputation des organisations est extrêmement fragile
Les dangers menaçant une entreprise peuvent émaner de plusieurs sources :
-Les activistes de groupes radicaux (des intégristes de la cause animale, les
écologistes, des ONG etc.),
• -Les concurrents,
• -Les consommateurs,
• -Les Etats,
• -Les réseaux sociaux,
• -etc.
Les attaques s'expriment généralement par des appels au boycott des produits
d'une marque (campagne la Central Laitière, par exemple) ou par des rumeurs
disséminées sur Internet, sur les pratiques de l'entreprise.
L'escroquerie est le fait, soit par l'usage d'un faux nom ou d'une fausse qualité, soit
par l'abus d'une qualité vraie, soit par l'emploi de manœuvres frauduleuses, de
tromper une personne physique ou morale afin de s'approprier des fonds, des
valeurs ou un bien quelconque.
Le développement du commerce en ligne et des messages électroniques a
fortement contribué à l'explosion des nombres d'escroquerie ces dernières années,
ce qui oblige notamment les banques à alerter régulièrement leurs clients du
risque de phishing (hameçonnage).
• La contrefaçon
Il s'agit d'imiter l'apparence d'un produit dans le but (le plus souvent) de faire
croire au consommateur qu'il achète le produit original.
La contrefaçon concerne principalement les articles de luxe et de mode, les
médicaments (à hauteur de 10% du chiffre d'affaires de l'industrie
pharmaceutique mondiale), les biens culturels piratés (enregistrements
musicaux, vidéo, films, etc.), les logiciels, les pièces détachées de téléphone
portable et le tabac.
Les conséquences de la contrefaçon sont à la fois économiques, sanitaires et
sécuritaires.
-Économiques, car elle fragilise les entreprises qui investissent dans la R & D qui
subissent des pertes considérables de leur revenu.
-Sanitaires ensuite, et c'est notamment vrai pour les médicaments, puisque les
contrefacteurs mettent en danger la santé du consommateur final.
-Sécuritaires enfin, lorsque par exemple le cas des matériaux de construction
contrefaits (ciment, etc.) sont mis sur le marché à disposition du citoyen.
La règle est ici que le temps de résistance doit être supérieur au temps de
détection et d’intervention.
-Neutraliser : si ces trois premiers objectifs ont été contournés par l’agresseur,
l'entreprise s'en remet à des objectifs d'alerte et d’intervention.
Ceux - ci doivent rester exceptionnels afin d'éviter la perturbation de la chaîne
de production.
2 - Le patrimoine informationnel
Une stratégie d'influence peut, à cet égard, être définie comme étant << une
allocation de ressources informationnelles et une mobilisation de vecteurs visant à
orienter les attitudes et comportements d'individus ou de publics en agissant sur
leur perception >> A opère une influence sur B, dès lors qu'il obtient de 8 une
action qu'il n'aurait accomplie spontanément.
Le terme action désignant ici attitude » ou « comportement ».