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cognitifs
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DOMAINES D’ÉTUDE DE LA PSYCHOLOGIE COGNITIVE
- Méthode expérimentale.
---------------------------→
E.G Tolman (1886-1959 )
stimulus
Boite réponse
noire
?
MENTALE
-Perspectives: Du cognitivisme au
connexionnisme.
Jérôme Bruner
• La fin des années 40:comment des facteurs autres que les
stimuli influencent la perception?
• Réponse: toute expérience perceptive représente le produit
final d’un processus de catégorisation; la perception
dépendrait de la construction d’un système de catégories en
fonction desquelles on classe les stimuli, leur donne une
identité et une signification plus compliquée que dans une
classification et de tels systèmes de catégories seraient
construits sur la base d’une inférence et de l’identité à partir
d’indices ou de signes.
Jérôme Bruner
2- Jérôme Bruner, travaillait à l'époque sur le processus de «catégorisation»
et va lancer lui aussi des recherches s'inscrivant dans la même perspective. En
demandant à ses étudiants de classer des cartes de couleurs et de formes
différentes, Bruner s'était aperçu que les individus utilisaient des stratégies
mentales différentes. Les uns procédaient à partir d'une carte de référence
(focusing / focalisation), d'autres effectuaient un classement fondé sur une
vue d'ensemble de la pile de cartes (scanning). Cette idée de «stratégies
mentales» changeait radicalement de perspective par rapport au
Béhaviorisme, théorie psychologique alors dominante: elle s'intéressait aux
cheminements de la pensée consciente du sujet, aux différentes étapes par
lesquelles le sujet cherche à résoudre un problème.
Bruner et Miller
- Miller et de Bruner était, à l'époque d'être révolutionnaires,
car elles mettaient l'accent sur les «états mentaux» du sujet, sur
ses capacités de raisonnement, sur la façon dont il traitait l'infor-
mation;
- G. Miller et J. Bruner créent ensemble le Harvard Center for
Cognitive Studies, dont le projet n'est rien moins que de fonder
la psychologie sur de nouvelles bases.
A partir de la fin des années 60, la psychologie cognitive prend
son envol et détrône le béhaviorisme.
L’intelligence artificielle
Relais de toutes
les informations sensorielles
Transmission d’informations
entre les deux hémisphères
Jugement et
résolution
de problème
Traitement auditif
Lobes cérébraux
Traitement de
l’information
Comparaison cerveau /ordinateur
qté d'informations limité ds mémoires quantité limités d'informations dans la mémoire court
stockage court terme
sensorielle/ court terme terme RAM
quantités d'informations non llimité dans la grande qté d'informations limités stocké dans le
stockage long terme
mémoire long terme disque dur
Activation / Coordination
Traitement
décisionnel M. Travail
Réponse
Récupération
Intégration
Organisation
R S
1- Le filtrage
La pensée opère 2- La mise en 3. Opérations
forme Les
une sélection représentations
des données. Les informations
sont associées
Ex.: pour sont intégrées
entre elles par
dans des cadres
discerner une diverses
mentaux opérations :
image, il faut (images mentales,
éliminer induction,
schémas, déduction,
d'autres stimuli catégories…) généralisation,
du champ association,
visuel analogie, etc.
(L’attention).
Etapes du traitement de l’information
Étape de
Stimulus de détection Étape de
l’environnement (sens reconnaissance
Étape de choix
réponse de réponse
Modèle d’Atkinson et Shilfrin
1. Le stimulus est capté par les organes des sens dans le
registre sensoriel (filtrage de l'information). La durée de vie
des informations au sein des registres sensoriels est très
limitée, Les stimuli encodés au niveau des registres
sensoriels passent en MCT.
2. Les informations sont transférées dans la mémoire à court
terme. (mémoire de travail) La MCT, contrairement à la MLT,
a une capacité limitée et est sans cesse stimulée par les
événements nouveaux de l'environnement qui expulse les
représentations plus anciennes. Si le stimulus est nouveau ou
" signifiant ", des processus de contrôle se mettent en place
dont l'autorépétition qui permet son maintien dans la MCT :
sa représentation est très active.
Modèle d’Atkinson et Shilfrin
3. Les informations sont transférées dans la mémoire à long
terme. Lorsque l'information passe dans la mémoire à long
terme, elle y est organisée, approfondie et intégré aux
connaissances précédentes.
4. La MCT récupère des souvenirs de la MLT pour les rafraîchir
et pour pouvoir prendre les décisions.
Modèle proposé par WELFORD en
1968.
• Selon ce modèle il ya 3 stades
Stade Stade
entrée perceptif décisionnel
sensorielle
Stade
moteur
sortie
motrice
Schéma explicatif du modèle de Théios (1975)
Entrée PS Sortie
information Capture + codage information
signal
Ajustement de la
réponse motrice
Identification et comparaison
et processus moteur
du signal avec d’autres
signaux présents en mémoire
Elaboration du
programme
Recherche d’une réponse d'action
globale associé à la situation
Modèle proposé Theios en 1975
Stade 1 :
l'entrée dans le STI se fait au niveau de
capteurs spécifiques de l'information (œil pour
l'information visuelle par exemple). Il s'agit de
processus sensoriels périphériques où le signal
est codé dans un langage qui puisse être
transmis et traité par le système nerveux
central.
Modèle proposé Theios
Stade 2 :
le signal externe ainsi codé est comparé aux autres
signaux internes codés présents en mémoire : il est
ainsi reconnu et identifié.
Stade 3 :
le résultat de cette étape permet une recherche en
mémoire de la réponse globale associée à la
situation ou la détermination d'une réponse en
termes d'objectif.
Modèle proposé Theios
Stade 4 :
ainsi définie en termes de finalité, la commande motrice
permet l'élaboration progressive d'un programme
d'action. Il s'agit de sélectionner et d'organiser les
instructions qui vont activer les effecteurs en fonction des
conditions d'exécution de l'action.
Stade 5 :
enfin, le dernier stade prend en compte les opérations de
transmission des informations codées vers les effecteurs
sélectionnés, le décodage de ces informations et les
ajustements de la réponse motrice (état des effecteurs).
La perception et la sensation
• Les constructivistes:
• la perception consiste à former et à tester des hypothèses liées
aux percepts (données sensorielles), ce qu’on sait
(connaissances en mémoire) ce qu’on peut inférer (en faisant
appel aux processus cognitifs supérieurs).
• Inférer : produire des informations nouvelles à partir des
informations existantes
L’attention
• Le contenu de l’attention,
Réponse
Les éléments de ce modèle
• - Ceux qui portent sur la perception et la
reconnaissance des stimuli, à savoir
l’enregistrement sensoriel, l’attention, la
reconnaissance des formes.
• - Ceux qui portent sur la mémorisation et le
rappel, c’est-à-dire mémoire à court et à long
terme, encodage, récupération et oubli.
• - Ceux qui se relient à la représentation des
connaissances, parlant des images mentales et
mémoire sémantique.
La mémoire sensorielle
C’est ce qui nous permet de maintenir, pendant une période de
temps très brève, les stimulations qui atteignent nos sens. Elle
conserve l’information pendant un temps très bref sous une forme
brute, non traitée dès que le stimulus physique n’est plus
disponible. En principe, il existe une mémoire pour chacune des
modalités sensorielles : visuelle, auditive, olfactive, gustative et
tactile.
• Les fonctions de la mémoire sensorielle:
- Fixer pendant un laps de temps les stimuli qui se succèdent à vive
allure et changent sans cesse;
- Opérer pendant le temps de fixation une sélection des stimuli les
plus important compte tenu des traitements à venir;
- Réaliser une synthèse rapide des informations parcellaire afin d’avoir
d’une perception unitaire.
Mémoire à court terme et Mémoire de travail
• La mémoire procédurale
Ce sont les savoir-faire : gestes, habiletés
• mémoire implicite car on peut difficilement la
verbaliser
ex : - expliquer comment on fait pour conduire sa
voiture
- expliquer comment on fait pour réaliser le geste
de ponction veineuse (quand on la maîtrise bien)
en pédagogie il existe des techniques d ’explications
de gestes qui sont appelées « l ’explicitation »
Raisonnement et résolution des problèmes
Centre de calcul:
- Les activités de l’intelligence;
- Système de traitement de l’information par
analogie avec le cerveau humain;
- La logique qui dirige notre pensée.
Deux stratégies à distinguer:
- Logique des algorithmes;
- Logique des heuristiques.
Les algorithmes et les heuristiques
Un algorithme est une suite de règles qui nous permet
certainement de résoudre un problème. Les algorithmes types
sont ceux du calcul arithmétique (+; - ;×;÷…).
Une heuristique est un ensemble de règles exploratoires qui
permettent de mettre en œuvre une démarche de recherche
dont on tient pour plausible, mais non certain, le fait qu’elle
conduira à la solution du problème (tâtonnements, essais et
erreurs): les inférences.
Exemple Newell et Simon (1974): résoudre le problème suivant:
trouver la valeur de chaque lettre D O N A L D
sachant que chaque lettre représente +
un chiffre entre 0 et 9. G E R A L D
- D= 3
Ou D= 5 R O B E R T
Algorithme et heuristique
Un algorithme est un procédé qui garantit tôt ou tard l’accès à une
solution. Une des possibilités des algorithmes consiste à faire une
recherche exhaustive, càd à essayer toutes les solutions possibles par le
biais d’un système spécialisé.
« une heuristique est une stratégie cognitive simple (comparée à celles
que le scientifique considère comme les "les bonnes") qui permet, dans
la vie ordinaire, de faire des inférences acceptables même si elles
peuvent être fausses. Ainsi en est-il de l’heuristique de
représentativité… : un objet ou un événement est attribué à une
catégorie ou à un concept dans la mesure où il présente des traits qui
correspondent à ceux de cette catégorie ou de ce concept. Une autre
heuristique est celle de disponibilité : un objet ou un événement sera
jugé comme un agent causal d’autant plus efficace qu’il est
cognitivement ou perceptivement disponible. Ces heuristiques sont
Dans l’une de ces études les plus célèbres, les sujets étaient informés que des
psychologues ont interviewé 70 ingénieurs et 30 avocats. Puis on leur lisait
certaines fiches d’identification qui ne précisaient pas la profession de l’individu.
Par exemple : « Jean est un homme de 39 ans. Il est marié et il a deux enfants. Il
s’occupe activement de politique locale. Son passe-temps préféré est la collection
des livres rares. Il aime la compétition, la discussion et s’exprime bien ». Après, on
demandait aux sujets de dire la profession de l’individu identifié. Les résultats ont
montré que la majorité des sujets ont pensé que Jean avait plus de chances d’être
avocat que d’être ingénieur (Beauvois & Deschamps, 1990). Contrairement au
raisonnement statistique qui aurait conduit les sujets à une autre inférence en
termes de probabilités (70% d’être ingénieur à l’encontre de 30 % d’être avocat),
les sujets ont préféré adopter une autre stratégie en se demandant si Jean était ou
non représentatif de l’idée qu’ils se faisaient un avocat : il s’exprime bien, il
s’occupe de la politique, donc il est représentatif du concept, ou de la catégorie
des avocats. De ce fait, ils ont plus de chances de se tromper qu’en se comportant
comme des statisticiens, mais ce sera là une erreur tolérable dans les mœurs
courantes de l’échange social (Beauvois & Deschamps, 1990). En fait, la
conclusion que nous pouvons tirer des études de Kahnaman et Tversky repose
sur l’idée selon laquelle le traitement permettant de déterminer la valeur
numérique n’est pas une donnée intangible du monde extérieur, au contraire, il
repose sur un jugement global de représentativité de la situation actuelle par
rapport à des différentes situations connues antérieurement
Les stratégies de résolution du problème:
1. le raisonnement déductif
Ce raisonnement part des propositions prises pour
prémisses et, en vertu de règles logiques, formule
une conclusion: c’est un raisonnement
algorithmique:
- Le syllogisme;
Ex: Tous les hommes sont mortels
Socrate est un homme
Donc Socrate est mortel.
- Le raisonnement conditionnel;
Ex : Si...Alors
Les stratégies de résolution du problème:
2. le raisonnement inductif
- L’approche inductive d’un problème est une heuristique.
- Les lois des sciences de la nature relèvent de l’induction.
Ex: indiquer les deux nombres qui complètent la série:
2 4 6 8 10 …
L’induction ici consiste la loi qui régit cette suite de
nombres.
- L’induction est donc un raisonnement ampliatif: la
conclusion va au-delà des prémisses. Elle consiste à passer
de quelques cas particuliers à une règle plus générale.
Les stratégies de résolution du problème:
3. le raisonnement analogique
L’approche analogique constitue une autre heuristique. Elle
permet de résoudre un problème nouveau en se référant à un
problème antérieur. Ce raisonnement consiste à :« transférer un
ensemble structuré de propriétés de la situation de base à la
situation cible, puis à inférer si cela est nécessaire de nouvelles
propriétés à la cible« (Bourrely et Chouraqui, 1992). Selon ces
deux auteurs, ce processus se décompose en cinq étapes:
1. Le rappel des informations stockés en MLT concernant la situation de
base;
2. Le calcul des propriétés analogiques, fondés sur des processus inductifs;
3. Le transfert analogique;
4. Le calcul de la réponse au problème posé;
5. La validation du résultat obtenu.
La prise de décision
- Décider: traiter des informations selon des
stratégies déterminées.
- La prise de décision est un processus
cognitif complexe visant à la sélection d'un
type d'action parmi différentes alternatives.
Chaque processus de la prise de décision
produit un choix final. Le résultat peut être
une action ou une opinion d’un choix.
Les étapes de prise de décision
Toute prise de décision implique 5 étapes:
1. Dresser la liste des différentes possibilités;
2. Évaluer les probabilités de choix des diverses
éventualités;
3. Associer à chacune des éventualités et à leurs
probabilités respectives les avantages et les
inconvénients qui sont inhérents à leur choix;
4. Combiner les probabilités et les conséquences;
5. Prendre la décision définitive.
Le contexte décisionnel
Il y a trois situations de décision:
• Décision sous certitude : une décision dont nous connaissons et
nous sommes certains des conséquences: si nous décidons de ne
pas prendre un parapluie pour sortir, nous savons que nous serons
mouillés en cas de pluie.
• Décision à risque: décision à risque sont des décisions dont les
conséquences sont connues et ont une probabilité connue aussi.
• Décision sous incertitude: sont des décisions dont nous ignorons la
probabilité du résultat. Cette probabilité peut aller de 0 à 1. la
situation où si nous travaillons beaucoup, nous avons plus de
chances de réussir notre examen. Dans cette situation, la
probabilité de réussir est inconnue en plus d’être incertaine;
Théorie de la décision rationnelle
La TDR ou théorie classique
• Premier postulat: pour chaque décision que nous avons à prendre,
nous sommes complétement conscients des conséquences des
différentes options entre lesquelles nous devons faire notre choix.
• Deuxième postulat: nous prenons une décision en combinant la
probabilité d’obtenir un résultat et notre intérêt pour ce résultat.,
chaque résultat associé à une décision est pondéré par la valeur
que nous attribuons à ce résultat.
• Troisième postulats: parmi l’ensemble des options, nous
choisissons celles qui nous permettra d’obtenir le maximum de
bénéfices. Prendre une décision revient à maximiser les utilités
subjectives( maximiser nos intérêts).
Vers des modèles cognitifs de la prise de
décision
Les critiques des Principes de la TDR
- Le principe d’ordre des préférences
- Le principe de la transitivité des préférences
- Le principe d’invariance
- Le principe de la chose certaine
- Le principe de l’amélioration limite
La TDR a deux faiblesses: d’abord, les données montrent que les
sujets ne se conforment pas aux prédictions de la théorie.
Ensuite, la théorie est une théorie normative et non descriptive.
C’est une théorie normative dans le sens où il décrit comment
les sujets devraient prendre une décision non comment ils la
prennent réellement.
Les modèles cognitifs de la prise de
décision
1. Le modèle par élimination (Tversky ,1972)
Dans le modèle par élimination, le sujet sélectionne d’abord une
dimension sur laquelle les différentes options se distinguent.
Cette première dimension est l’une des dimensions les plus
importantes pour le sujet. Toutes les options qui ont une faible
valeur par rapport à cette dimension sont éliminées.
Ensuite, une autre dimension est sélectionnée. D’autres options
sont éliminées. Le processus est répété jusqu’à ce qu’il ne reste
plus qu’une seule alternative.
• Les limites du choix par élimination
L’exemple de louer un appartement: Certains critères qui sont
exclus s’avèrent plus importants que d'autres: le critère
luminosité, aération, etc.
Les modèles cognitifs de la prise de décision
1. Le modèle du prospect (Tversky et
Kahneman,1972)
Kahneman et Tversky ont tenté de proposer une théorie descriptive
de la prise décision sous risque.
- Le résultat est incertain -Estimation la probabilité de ce
résultat
Les mêmes postulats de la théorie classique avec deux
modifications: la première concerne le référentiel, la seconde
concerne la valeur des probabilités aux extrêmes.
Le référentiel: La perte est ressentie comme plus importante que le
gain. Si vous avez une diminution de salaire de de 1000 dh, la
tristesse sera plus grande que votre joie si vous avez une
augmentation de salaire de 1000dh.
L’estimation des probabilités: Il y a une tendance que individus
surestiment les faibles probabilités et à sous estimer les probabilités
élevées (évaluation biaisée).
Biais / heuristiques dans la prise de
décision
Une heuristique est une stratégie de résolution de problème qui
peut aboutir ou non à la réponse correcte. Les heuristiques
permettent d’aboutir à un résultat rapide, mais pas forcément
correct.
L’heuristique de représentativité: C'est la tendance à ne pas prendre
en compte les informations sur les probabilités d'évènements. Les
informations stéréotypiques sont privilégiées. (Kahneman et Tvesky,
1973)
L’heuristique de disponibilité: est la tendance à évaluer la probabilité
associée à un évènement en fonction de la facilité avec laquelle des
exemples d’un tel évènement nous viennent à l’esprit.
L’heuristique d’ancrage: survient lorsque les individus tiennent
compte d’une valeur numérique arbitraire pour estimer une
quantité quelconque inconnue.
Emotion et cognition: le cas de stress
— la perception du stresseur est influencée par les expériences antérieures avec des
stresseurs similaires, le soutien social et la religion ;
— les efforts conscients : mise en place de plans d'action, recours à diverses techniques
(relaxation, exercice physique, médication).
Ces différents filtres agiraient comme des médiateurs de la relation événement
stressant - détresse émotionnelle (Folkman et Lazarus, 1988).Ainsi , deux processus
médiatisent la relation entre l'environnement et l'individu : l’évaluation et le coping
a) L'évaluation
En effet , l'évaluation d'une perte ou d'une menace génère des émotions négatives telles que la
honte, la colère ou la peur tandis que l'évaluation d'un défi engendre des émotions positives telles
que la passion, l'euphorie .
- L’évaluation secondaire par laquelle l'individu se demande ce qu'il peut faire pour remédier à
la perte, prévenir la menace ou obtenir le bénéfice. Différentes options de coping sont alors
envisagées : le changement de la situation, l'acceptation, la fuite, l'évitement, la recherche de plus
d'informations. Cette évaluation oriente les stratégies de coping qui sont utilisées pour faire face à
la situation stressante :
• http://www.unige.ch/cyberdocuments/theses2003/Hazanov-
BoskovitzO/these_body.html