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Mise en situation
Tu vas découvrir un roman.
3h30 en audiolib
Atelier
Qui ?
Où ?
Quand ?
Quoi ?
Nom :
Prénom : Date :
Classe : /25
Fiche de lecture
Identification du roman: /2
- Nom de l’auteur :
- Titre du roman :
Sujet du roman:
Personnage principal :
- description physique : /4
- description morale/psychologique : /4
Explication du titre : /2
- Une de ces critiques t’a-t-elle donné l’envie de lire le livre dont elle parle ? Oui ? Non ? Pourquoi ?
Oui, il est là, il arrive, enfin. Le nouveau Gavalda. Et vous savez quoi? C'est du pur et dur... du pur et dur
Gavalda. Dans la foulée d'Ensemble, c'est tout, quoi! Ensemble, c'est tout: une bande d'éclopés qui s'en sortent
grâce à l'entraide, la fratrie. Vous vous souvenez? C'était il y a quatre ans. Le livre, adapté au cinéma avec
Audrey Tautou, s'est vendu à plus de deux millions d'exemplaires. En passant: le premier roman d'Anna
Gavalda, Je l'aimais, qui dépasse le million d'exemplaires vendus, est en cours d'adaptation. Daniel Auteuil et
Marie-Josée Croze se partageront la vedette dans le film, dont le tournage commence à la fin du mois. En tout,
Anna Gavalda a vendu cinq millions de livres. Dans la francophonie seulement. Traduite en 38 ans langues, elle
connaît un succès impressionnant en Russie et en Allemagne, notamment. Autant dire que La consolante (Le
dilettante) était un livre attendu. Paru il y a quelques semaines en France, où l'ex-enseignante de 37 ans figure
parmi les auteurs les plus lus, le livre se vend comme des petits pains chauds. Mais divise la critique. Parmi les
détracteurs de Gavalda, beaucoup lui reprochent encore une fois de faire dans les bons sentiments, d'en faire
trop, tout simplement. Qu'en est-il exactement?
On suit un architecte de 47 ans, Charles, qui a réussi sur le plan professionnel, mais pas dans sa vie privée,
sentimentale. Il est au bout du rouleau, au bord de la dépression. Très vite, les choses vont se précipiter. Une lettre
lui apprend que la mère de son meilleur ami est morte. Il y a longtemps, Charles a eu avec cette femme, beaucoup
plus âgée que lui, une relation privilégiée. Il se demande maintenant si elle n'était pas la femme de sa vie...Et
voilà qu'il remonte le fil de son histoire à elle, cette Anouk qu'il a perdue de vue depuis 20 ans. Une infirmière,
toute dévouée aux autres, quitte à s'oublier elle-même. Une consolante, donc, qui avait les valeurs à la bonne
place. Sans tout dévoiler, on peut indiquer que le héros rencontrera sur sa route une autre consolante, plus jeune,
qui a pris sous son aile de petits éclopés. Une consolante d'aujourd'hui, avec qui il pourrait bien refaire sa vie.
Même si la première partie du livre est très sombre, le happy end est au rendez-vous. Comme Ensemble, c'est tout,
La consolante a des allures de conte de fées pour adultes. Et encore une fois, la petite musique Gavalda se fait
entendre. Bon, il y a bien quelques effets de style qui font tiquer: des phrases sans pronoms, des verbes sans sujets,
beaucoup de points de suspension. Beaucoup de digressions aussi, les descriptions se multiplient, s'éternisent par
bouts. Pour tout dire, l'intérêt baisse un moment, l'action n'avance plus. Mais, mais, mais: les dialogues sont
savoureux, vivants. Et l'émotion nous gagne, nous prend à la gorge plus d'une fois. Il y a cette touche d'humour,
aussi. Cette touche de magie à la Gavalda. Magie du quotidien, des petites choses. Et il y a, oui, les valeurs
d'entraide, d'humanité profonde, derrière. Surtout, il y a les personnages. À commencer par les deux consolantes,
plus grandes que nature, mais auxquelles on croit, auxquelles on veut croire, absolument.
Anna Gavalda elle-même est une consolante. Elle écrit en quelque sorte pour consoler. Et n'en déplaise à ses
détracteurs, c'est ce qui fait son succès.
Partie 1 :
Partie 2 :
Partie 3 :
Le terme critique désigne un texte contenant un jugement sur une œuvre d’art (cela peut être un
roman, une chanson, un film…). Il désigne également l’auteur de ce texte (ainsi, Jacques Cheesex
est critique littéraire à la revue Le magazine littéraire).
Quel est l’objectif d’un critique ? Le texte qu’il écrit est-il purement informatif ou
persuasif ?
Que contient une note critique ?
Quels autres éléments peuvent apparaître dans une critique sans toutefois être
indispensables ?
Quels sont les critères sur lesquels se basent les critiques pour porter un jugement sur
Comme d’un article de presse, la critique communique une information. Son auteur a lu un
roman, et il nous en parle. La prise en compte du destinataire est donc très importante, il faut, en
effet, que la critique soit à la portée de tous. Produire un texte accessible est donc un impératif.
Comment doit se présenter une critique ? Quelles doivent être ses caractéristiques ?
Soulignons également qu’un critique qui parle d’une œuvre littéraire va tâcher de soigner sa
prose, faire attention à son style.
Une phrase de type « J’ai été ébloui par ce roman » aura plus d’impact sur le lecteur que «J’ai bien aimé ce
roman ».
« Ce trésor a été écrit par A. Gavalda » , « ce livre a été écrit par A. Gavalda »
on ne peut être qu’estomaqué devant- des effets de style qui font tiquer*-
des dialogues qui s’éternisent- un goût très excessif pour les dialogues-
une palette narrative qui perd en couleurs*- un total délice- saveur du langage et des situations- une parodie
désopilante*- un roman dont on sort grandi- son indéniable talent de conteuse- sa plume acérée*- d’un
réalisme poignant*.
- l’accroche : première phrase d’un article qui doit donner au lecteur l’envie de continuer sa lecture ;
- la chute : derniers mots d’un article, qui le concluent si possible brillamment, par une formule ou un
argument percutant. Le mot de la fin est très intéressant, car il restera dans la tête du lecteur…
Considère les accroches et chutes ci-après. Par quels moyens les accroches attirent-elles l’attention du
lecteur ? Comment les chutes concluent-elles brillamment la critique?
« Oui, il est là, il arrive, enfin. Le nouveau Gavalda. Et vous savez quoi ? » (accroche)
« Anna Gavalda elle-même est une consolante. Elle écrit en quelque sorte pour consoler. Et n'en déplaise à ses
détracteurs, c'est ce qui fait son succès. » (chute)
« Qui ne le sait ? Philippe Jacottet est l’un des très grands poètes de notre langue… » (accroche)
« alors pourrait-on, sans déchoir, crier enfin : gloire aux cocus… » (chute)
UAA6
UAA6
Mise en situation
Tu vas découvrir l’adaptation de ce roman en film d’animation.
Appariez correctement
le terme à la bonne
définition
1. Un produit
2. Une histoire
a) un scénario 1) Sorte de bande dessinée qui illustre le découpage d’un film, indique la
position des comédiens, prévoit les mouvements,…
b) le synopsis 2) Retour en arrière dans un film
c) le découpage 3) bref exposé du sujet du film, constituant l’ébauche du scénario
d) le story-board 4) scène finale sentimentale et optimiste en guise de conclusion à un film
e) la séquence 5) C’est une unité dramatique du scénario, c’est-à-dire une suite de scènes
formant un tout
f) la scène 6) Suite d’images tournées sans discontinuité de prise de vue
g) le plan 7) Partie de séquence se déroulant dans un même décor avec les mêmes
personnages
h) le happy end 8) C’est l’histoire à filmer, décrite dans tous ses détails en vue du tournage
i) le flash-back 9) C’est l’opération qui consiste à découper le film en plans ou unités de
tournage, en étudiant toutes les questions techniques et artistiques soulevées
par la réalisation des images et des sons.
4. Les acteurs
6. L’image
/10
L’histoire du cinéma commence il y a à peine plus d’un siècle et pourtant nous venons de
constater que nous ne la connaissons pas vraiment bien.
Situations Couleur(s)
Une petite fille et sa mère qui pleurent devant une tombe. ………………………………
…………
Une forêt traversée par une brise légère qui fait bruisser les feuilles ………………………………
des arbres. ……………
Une pièce vide, sans meuble ni habitant, où règne un profond silence. ………………………………
……………
Confronte maintenant tes réponses avec ton voisin. A-t-il répondu sensiblement la même chose que toi ?
Selon toi, que cela signifie-t-il ? Cherchons une définition ensemble puis notons-la ci-dessous.
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……………………………………………………………………………………………………………………
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Dynamisme ……………………………………………………………………………
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« Troie »W.Petersen
« La Boum » C. Pinotteau « Marie-Antoinette » S. Coppola
« Braveh
« Autant en emporte le vent »
« Grease » R..Kleiser
V.Fleming
Epoque : ……
Epoque : ……………….......
Epoque : ……………….......
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Apparition du Christianisme.
Couronnement de Clovis.
Bataille de Hasting.
Croisades.
Construction de cathédrales.
Révolution française.
Bataille de Waterloo.
Premiers vaccins.
Guerre 40-45.
Indépendance du Congo-Belge.
Dans un film, les costumes peuvent indiquer autre chose que l’époque où l’histoire se déroule. Que peuvent-ils
indiquer d’autre ?
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
Essaye de retrouver le ………………………… des films suivant en te basant sur les costumes.
« Full metal Jacket » S.Kubrick « Le seigneur des anneaux” P.Jackson « Le cinquième élément” L.Besson
* types de plan
Prénom :
- Nom du film :
Sujet du film :
Personnage principal :
- description physique : /4
- description morale/psychologique : /4
Appréciation personnelle : /8
Justifie ton point de vue dans un texte rédigé qui comptera au moins 3 arguments
correctement construits et suffisamment développés.
2. Le volume
4. L’accent d’insistance
5. Le ton
6. L’articulation
Exercice 1
Contenu :
Sut Internet, tu peux trouver divers dossiers t’expliquant dans le détail comment réaliser un
PowerPoint efficace en fonction de la version du logiciel sur laquelle tu travailles
(Microsoft ou OpenOffice, LibreOffice…).
Un exemple ci-après.
Source :
Généralités
Fonction : assurer un maximum de lisibilité, voire d’intelligibilité au texte.
Statut : codes largement partagés par les utilisateurs et non pas règles imposées par une autorité supérieure indiscutable.
Règles générales :
- simplicité, sobriété des codes mis en œuvre évitant la surcharge ;
- objectifs visés : lisibilité, homogénéité et cohérence.
Mise en page
Paragraphes
- Privilégier la justification (texte aligné tant à gauche qu’à droite).
- Séparer par le double interligne (plutôt que par l’alinéa).
Éviter une ligne isolée en tête ou en fin de page (« veuve » ou « orpheline »).
Polices de caractères
- Éviter dans un même document de multiplier les polices (pas plus de deux, voire trois) et utiliser des polices bien distinctes
pour montrer la variation de sens.
- Privilégier les polices facilement lisibles.
Styles/variation de formes de caractères
Taille
- Adopter dix ou douze points par défaut selon les polices pour le corps de texte.
- À ajuster au format et au support (papier/numérique et facteur de zoom choisi pour l’affichage). Privilégier la lisibilité.
- À ajuster au niveau hiérarchique d’information : taille supérieure à celle du corps de texte pour les titres et inférieure pour
les notes de bas de page.
Graisse (caractères gras)
- À utiliser pour mettre en valeur l’information.
- À réserver en priorité aux titres et sous-titres
- Éviter sa multiplication dans le corps de texte et préférer l’italique.
Italique (italique – incliné vers la droite/droit – romain)
- À utiliser dans le corps de texte pour attirer l’attention du lecteur sur un mot ou un passage du texte ainsi que pour les titres
d’oeuvre, de publication, les citations et les mots étrangers.
- Éviter de placer entre guillemets un mot ou une expression qui se trouve déjà en italique. Tout comme l’italique, les
guillemets sont utilisés en général pour faire ressortir un mot ou une expression. On privilégie généralement les guillemets
pour encadrer des citations et des dialogues.
Souligné
- À déconseiller. Hérité des machines à écrire, il coupe les jambages des lettres et occasionne une perte de lisibilité. Il crée
aussi une confusion avec les mots sur lesquels sont insérés des liens hypertextes.
Capitales (capitales/bas de casse)
- Distinguer capitales et bas-de-casse/majuscules et minuscules : les premières relèvent de la typographie et expriment
une différence de forme, tandis que les secondes relèvent de l’orthographe et signalent une différence de fonction.
- Réserver le « toutes capitales » aux titres et aux patronymes (pour distinguer notamment le nom du prénom) et ne pas
l’utiliser pour mettre en évidence un mot ou une expression dans un texte (préférer l’italique). Écrire en majuscules peut
en effet être considéré comme une marque d'agressivité.
- Utiliser de préférence la capitale/majuscule initiale accentuée, voire des capitales accentuées, l’accent influant sur le
sens des mots et la compréhension.
Couleurs
- Préférer des supports blancs et clairs pour accentuer le contraste avec le texte et donc la lisibilité.
- Éviter la multiplication des couleurs dans les caractères (« effet sapin de Noël »), favoriser les contrastes entre la couleur
du support et celle du texte (noir sur fond blanc ou clair par exemple).
- Réserver une signification unique à un changement de couleur du texte (lien hypertexte par exemple).
Espace et ponctuation
L'espace, c'est-à-dire l'intervalle entre deux signes, est le principal signe de ponctuation.
Espace sécable/espace insécable : l’espace sécable (ou espace mot) est celui que l'on obtient, en appuyant sur la barre
d'espacement. À la différence de l'espace sécable, l'espace insécable reste collé aux signes (voire aux mots) qui
l'entourent : le retour automatique à la ligne ne peut s'effectuer entre eux. L'espace insécable est utilisé notamment entre
les chiffres (2 370 000) afin qu'ils ne soient pas éclatés sur plusieurs lignes, et, en français (en France), avant certains signes
de ponctuation.
Les conventions régissant les espaces varient selon les langues et/ou les pays.
Mettre un et un seul espace entre les mots d’une phrase et entre les phrases.
crochet ouvrant 1 sécable [ 0 espace Mon frère Paul [son ainé] m’a écrit.
crochet fermant 0 espace ] 1 sécable Mon frère Paul [son ainé] m’a écrit.
degré (seul) 0 espace ° 1 sécable Il fait 32° à l’ombre. L’angle de 90° est droit.