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TITRE I
DISPOSITIONS GENERALES
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TITRE II
ORGANISATION DU TRAVAIL
Les travailleurs sont recrutés individuellement selon leur profil et leur efficience,
en fonction des besoin de l’entreprise. Conformément aux principes de l’égalité
des chances, le candidat le plus qualifié et retenu.
L’embauche au sein du CREMIN-CAM se fait par voie d’affichage interne ou
externe selon le cas .
Est retenu comme candidat, tout individu jouissant de ses aptitudes physiques et
intellectuelles et âgé de 18 ans révolus. La demande d’emploi des postulants doit
être adressée à monsieur le Directeur général du CREDIT MUTUEL
D’INVESTISSEMENT DU CAMEROUN accompagnée des pièces ci-après :
- Une demande manuscrite et une lettre de motivation ;
- Un curriculum vitae ;
- Une photocopie de carte Nationale d’Identité ;
- Deux photos 4x4 ;
- Une photocopie du diplôme ou son équivalent.
- Un extrait de casier judiciaire bulletin n°3 datant de moins de trois mois.
- Les photocopies de certificats de travail (le cas échéant)
L’engagement à l’essai est constaté soit par une lettre d’engagement à l’essai à
durée déterminée et renouvelable une fois, signée de deux parties .
Si l’essai est concluant , un contrat de travail en trois exemplaires dont une copie
est remise au travailleur , une autre à l’inspection du travail et la troisième
conservée dans son dossier en entreprise. Ce contrat comporte les indications ci-
après :
- Les noms et prénoms, sexe, date et lieu de naissance, résidence habituelle,
nationalité.
- La nature de l’emploi ,la catégorie ,l’échelon.
- La date de prise d’effet de l’engagement ;
- Le montant du salaire ;.
- Le lieu d’embauche et d’exécution du contrat.
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La durée légale du travail hebdomadaire est de 40 heures pour tous. Cependant
La fixation de l’horaire de travail journalier et la répartition de la durée hebdomadaire du
travail, de même que leur révision éventuelle font l’objet d’une décision de l’Employeur
après consultation des délégués du personnel.
- Le personnel employé aux opérations de sécurité, de surveillance et d’incendies
Samedi : 9h-13h.
Chaque employé bénéficie d’une pause de 1h.
N.B: conformément aux dispositions de l’article 4 alinéa 1 du décret N 95/677/ PM
relatif aux dérogations de la durée légale du travail, une prolongation de la durée de
travail peut être effectuée au vu du degré de travail à accomplir dans l’entreprise et les
horaires de travail sont fixés par Note de Service.
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Le travail à effectuer doit se faire conformément aux prescriptions du descriptif du
poste de travail contenu dans son contrat de travail et à celles qui seront portées à sa
connaissance par Note de Service.
Par ailleurs, d’autres instructions et recommandations pourront lui être données
par son supérieur hiérarchique ou par son employeur, dans le cadre professionnel.
Le repos hebdomadaire est pris en principe le dimanche et ne peut en aucun cas être
remplacé par une indemnité compensatrice, sauf dérogation exceptionnelle et expresse
accordée par l’inspecteur du travail. Cependant selon les nécessités de service, le repos
peut être pris un autre jour que le dimanche.
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Article 11 : Absences injustifiées
Toute absence du travailleur non justifiée dans les 6 jours ouvrables qui suivent l’arrêt de
travail, sauf cas de force majeure peut entrainer une sanction disciplinaire.
TITRE III
LA DISCIPLINE ET SANCTION
Tout salarié est tenu d’être à son poste de travail conformément aux horaires
définis par la Note de Service.
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- Employé malade sur le lieu de travail et regagnant son domicile ;
- Evènement familial grave survenu inopinément ;
- Convocation impérative d’une Administration ;
- Soins médicaux réguliers ;
- Visite médicale sur rendez-vous chez un médecin ;
- Autres sur appréciations de la hiérarchie.
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- De causer des troubles de l’ordre public ou interne à l’entreprise dans le cadre de
son activité professionnelle, d’instiguer des mouvements d’humeur en violation de
la procédure requise pour la grève ainsi que de laisser faire ou de susciter tout
acte de nature à troubler la bonne marche du travail ;
- De dormir sur le lieu de travail ;
- De s’épancher en dehors des lieux indiqués;
- D’introduire toute substance illicite ou drogue ;
- De refuser d’obéir à des ordres donnés par la hiérarchie dans le cadre de l’activité
professionnelle ;
- De refuser de répondre à une demande d’explication écrite ou encore d’en signer
la décharge ;
- D’exercer le harcèlement sexuel ou moral sur ses collègues ou ses
collaborateurs ;
- De commettre des actes criminels, malhonnêtes, immoraux ou scandaleux ou tout
autre acte susceptible de ternir l’image de l’entreprise ;
- De provoquer ou de participer à des rixes (bagarres et actes de violence) et voies
De faits sur le lieu de travail et pendant l’exercice de sa fonction ;
- D’occuper les locaux de l’entreprise pour des occupations professionnelles et
contraire au service ;
- De participer et collecter des fonds ou biens liés au service au sein de
l’entreprise ;
- D’introduire dans les espaces de l’entreprise, des personnes étrangères au
service, sans motif professionnel ni autorisation préalable de la hiérarchie ;
- D’introduire des marchandises pour vente au sein de l’entreprise ;
- De se livrer au sein de l’entreprise à toute autre tentative de discussions à
caractère politique, religieuse ou autre… ;
- D’empêcher ou de gêner l’application des mesures d’hygiène et de sécurité ;
- De neutraliser tout dispositif de sécurité ;
- D’introduire des armes de toute nature et de détenir des objets dangereux sur le
lieu de travail ;
- De prendre des repos en dehors des heures et lieux indiqués à cet effet ;
- De détériorer ou distraire le matériel, des matières ou documents appartenant à
l’entreprise ;
- De conduire un véhicule sans l’autorisation de la hiérarchie ou d’y transporter des
personnes autres que celles désignées par la hiérarchie. Le transport des
usagers est strictement interdit et passible de sanction disciplinaire ;
- De sortir de l’enceinte du lieu de travail avec les objets, matériels, fournitures ou
somme d’argent appartenant à l’entreprise sans autorisation préalable ou de les
emporter ;
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- De signer des pièces ou des lettres au nom de (insérer le nom de la structure)
sans y être expressément autorisé
Les mesures disciplinaires peuvent revêtir une quelconque des formes ci-après :
1- Rappel à l’ordre ;
2- Demande d’explication ;
3- Avertissement ;
4- Blâme ;
5- Mise à pieds de 1 à 8 jours sans solde ;
6- Retard d’avancement ;
7- Ajournement de la promotion ;
8- Abaissement d’échelon ;
9- Licenciement.
Comme procédures disciplinaires :
L’employé soumis à une procédure disciplinaire a la possibilité de se défendre ou
de contester toute accusation portée contre lui.
Il est accordé au moins 48 heures pour se défendre. Passé ce délai, la sanction
disciplinaire prévue sera appliquée sans délai.
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4) La mise à pied (de 1 à 8 jours): elle est prise lorsque l’une ou l’autre des fautes ci-
dessus mentionnées présente un caractère récurent, ou est d’une plus grande
gravité, ou que le travailleur aura reçu au préalable un blâme pour le même motif à
moins de trois mois d’intervalle ;
5) Le licenciement : Il est infligé pour faute grave ou lourde et le motif est de nature à
rendre impossible le maintien du lien contractuel. Il peut concerner :
Toute faute professionnelle d’ordre pénal ;
La rétention, vol, détournement des valeurs, des fonds et matériels de travail;
Falsification des documents ;
Fraude, fabrication, rétention volontaire des documents de l’entreprise ;
Abus de confiance ;
Escroquerie ;
Falsification ou présentation des faux diplômes ;
L’insubordination caractérisée ;
Refus d’exécuter un travail prescrit ;
Les insultes, menaces, voies de fait envers le personnel, les partenaires, la
clientèle ;
Les rixes et propos injurieux dans les locaux de l’entreprise ;
La participation à des activités faisant concurrence à l’entreprise ;
La mise en péril délibérée des intérêts du CREMIN-CAM
Divulgation du secret professionnel ;
L’absence prolongé et non justifiée allant au-delà des délais prévus ;
Tout manquement à l’obligation de respect de la loi sur le secret professionnel ;
Etat d’ébriété sur le lieu du travail ;
Réduction volontaire du rendement ou de la production ;
L’incitation du personnel à la désobéissance et au désordre ;
Simulation de maladie et sommeil au lieu de travail ;
L’inobservation des règles de sécurité ;
Abandon de poste sans raison valable ;
Propagation des fausses informations pouvant ternir l’image de l’entreprise ;
Déclenchement de grève ;
Condamnation devant tout tribunal pour crime, délit ou turpitude morale.
Article 21 : le CREMIN-CAM peut mettre fin au contrat d’un employé moyennant un
préavis conforme à la réglementation en vigueur, sauf cas de faute lourde.
TITRE IV
HYGIENE ET LA SECURITE DU TRAVAIL
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Article 22: Conditions d’hygiènes
TITRE V
DISPOSITIONS FINALES
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