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Les actes non – décisoire

« Sous l’ancien régime, le droit public était largement un droit contractuel. La


souveraineté était négociable voire patrimoniale. Néanmoins, depuis l’arrêt
Huglo de 1982 le caractère extra patrimonial de la puissance publique a été
affirmée, octroyant ainsi à celle-ci « la possibilité de décider unilatéralement ».
C’est la naissance des actes administratifs unilatéraux, qui se voient légitimer
pour des intérêts d’ordre général se conjuguant avec la nouvelle conception de la
souveraineté de l’État. »

- le droit administratif c’est un droit qui a pour but la protection de


l’intérêt général . Il régit les relations entre les administrations et les
relations entre l’administration et les administrés.

- L’acte administratif est l’acte juridique adopté unilatéralement par une


autorité administrative qui modifie ou refuse de modifier les droits ou les
obligations des administrés indépendamment de leur consentement.
(dallozfr)

- les actes administratif décisoire ceux sont les actes qui affect l’ordonnance
juridique et qui sont sujet pour un REP.

- Les actes administratif non – décisoire sont les actes qui ne change pas
l’ordonnance juridique , il n’ont pas un effet normatif .

- Les circulaires sont des actes qui expliquent un régle du droit par un
superviseur à ses subordonnés.

- Les directives ce sont des actes unilatérales assortie d’une autorité


administrative qui n’a aucun pouvoir règlementaire pour définir les
orientations générales en assurant la cohérence entre les décisions prises
dans un domaine déterminés par les subordonnés.

- Le recours pour excès de pouvoir c’est un recours en opposition d’un


acte administratif qui a causé un dommage dont on veut une
indemnisation ou l’annulation de l’acte .
Dans le droit administratif il se trouve des differents actes qui se varient par
leur objet et leur nature quelques qui sont contestable et des autres qui ne sont
pas sujet d’être contesté. A la début du droit administratif il n’y avait pas le
droit de contester un acte administratif en dépit que l’Etat ne commise rien
faute , elle est toujours sur le chemin juste .

Après quelques revirement de jurisprudence , il apparait l’idée de contester les


actes assortie des administrations de l’Etat.
Donc , il s’émane la distinction entre les actes administratifs décisoires et les
actes administratifs non-décisoires . L’objet de cette distinction est la
détermination de la contestabilité de l’acte administratif , lorsque l’acte
administratif décisoire est un objet d’un REP et on peut le contester s’il a causé
un dommage , tandis que les actes administratif non-décisoire ne fait pas
l’objet d’un recours pour excès de pouvoir à cause de sa nature régalienne.

Notre sujet de la dissertation est les actes non-décisoires qui font partie des
actes administratif unilatéraux et qui sont des actes différents qui différent soit
par leur objet soit par leur nature mais tous ses actes se rencontre dans le
caractère d’incontestabilité .

Mais quel est l’idée d’avoir des actes qu’on ne peut pas contester ?

On va répondre à cette question par deux grands titres les rapports entre les
actes (Ⅰ) , les raisons d’incontestabilité (Ⅱ)

(Ⅰ) Rapport entre les actes

L’article 200-1 du code des relations (CRPA) a fait une distinction entre les
actes administratifs unilatéraux qu’on va la présenter en distinguant l’acte
administratif décisoires (a) , et l’acte administratif non-décisoire (b) .

A) L’acte administratif décisoires

Ceux sont les actes qui font grief et objet d’un recours pour excès de pouvoir
lorsque il affect et maintenir ordonnancement juridique . Il s’impose aux tiers
à cause de sa critère impérative .
Il y a des différents actes administratifs décisoires comme par exemple les
mesures d’ordre intérieur qui ont pour objet d’assurer une certaine cohérence
à la vie interne de divers services .
Aussi, il y a l’acte individuel qui édicte des normes dont les destinataires sont
nominativement désignés .
Encore, on a l’acte réglementaire c’est l’acte qui édicte des normes decaractére
génerales et impersonnel. Il s’adresse à une catégorie indéterminée.

D’ une autre coté il a un autre type des actes administratifs qu’on va traiter qui
sont les actes non-décisoires.

B) l’acte administratif non-décisoire

ceux sont les actes qui n’affect pas les droits et les obligations des administrés ,
ils visent les agents de l’administration. Ces actes ne fait pas l’objet d’un REP .
Il ne peut pas être attaqué.

Un des plusieurs actes non-décisoires, que l’ arrêt (CE Ass, 29 janvier 1954,
Notre Dame du Kreisker, le régime juridique des circulaires) nous repose ,est
Les circulaires interprétatives qui n’est pas considérées comme des décisions
car elles n'apportaient aucune règle nouvelle. Elles sont inopposables aux
administrés et insusceptibles de recours devant le juge, parce qu’ il ne change
rien dans la loi ils sont des actes prisent par un chef de service destinés à ses
subordonnés pour interpréter ou préciser les disposition des lois ou des
règlements.

Aussi , il y a Les directives sont des actes de portée générale par le biais
desquelles les chefs de service indiquent aux personnes qui sont sous leur
autorité les décisions qu’ils doivent prendre dans un domaine précis, elles les
orientent. Pour être légale, la directive ne doit pas avoir un caractère impératif
pour l’administration, elle doit seulement lui servir de guide. Ce qui diffère de
la circulaire interprétatives parce que les directives peuvent être invoquée par
l’administration pour fonder une décision et par l’administrés pour motiver
leurs demandes.
Il y a aussi des mesures d’ordre intérieur qui sont non-décisoires co,,e les
propositions , les avis simple , les décisions assimilées à des mesures d’ordre
intérieur.

Dans cette partie on a distingué les types d’actes administratif décisoires et


non-décisoires et on les comparés .
On va maintenant traité la deuxieme partie dans notre sujet qui est les raisons
d’incontestabilité des actes.

(Ⅱ) Les raisons d’incontestabilité des actes

Les actes non-décisoires ne font grief c’est-à-dire qu’ ils ne font pas l’objet
d’un REP , donc on ne peut pas les contester. Les raisons se varient quand on
parle de ces actes et pourquoi ils sont restreint d’être attaquer. On trouve dans
quelques actes des raisons politique (A) , et des autres parce qu’ils ne change
rien dans la lois en étant interprétatives (B) .

A) Les raisons politiques

Les raison ici se varient et on ne les trouvent que dans les actes de
gouvernement .

Ces actes peut toucher les rapports entre les pouvoirs publics constitutionnels
comme par exemple les décrets de promulgation des lois qui concernent les
relations entre la pouvoir exécutif et la pouvoir législatif.
Par ailleurs , il y a la décision du président de la république de mettre en
vigueur l’article 16 de la constitution . Encore , l’abstention de l’usage de
l’article 61 de la constitution par la décision du président de la république ne
peut pas être contester .

Tels actes peut être non détachable a la conduite des relations internationales
de la France qui sont des actes qui concernent les rapports d’Etat à Etat ,
comme la ratification ou l’approbation d’un accord international . la vote de la
représentant de la France dans une organisation internationale . autre exemple
l’exercice du droit de protection diplomatique des ressortissants nationaux.

Comme on a présenté les raisons politiques se changent d’une situation a


l’autre et d’une disposition à l’autre ce qui démontre les motifs
d’incontestabilité des quelques actes non-décisoires . cette démonstration nous
permet à traiter notre deuxième sous-titre les actes interprétatives.

B) Les actes interprétatives

La raisons cette fois n’est pas politique mais elle est d’une autre nature.
lorsque la raison d’incontestabilité c’est que l’acte ne donne pas du nouvelle a
la disposition interprétée , il est seulement une méthode de préciser ou de
clarifier l’ambiguïtés de tel ou tel disposition .
c’est par exemple comme les circulaires interprétatives qui n’ont un but que
l’interprétation des dispositions des lois et des règlements par le chef du
service a ses subordonnés .
Et par un autre exemple les directives qui n’ont que le but de définir les
orientations générales en assurant la cohérence des décisions prises dans un
domaine déterminé , et qui peut être utiliser comme un motif pour les décisions
et les demandes .
Ces actes ne fait l’objet d’un REP parce que la disposition interprétée c’est la
problème pas l’interprétation , donc on doit contester la disposition elle méme
devant le juge administratif.

À la fin , la diversité dans les actes administratif sert toujours à un meilleur


fonctionnement pour le droit administratif .

Et Après vous , Est – ce que les actes non- décisoires sert à mieux fonctionne du
droit administratif ?

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