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Chapitre I
INTRODUCTION
1. Approches définitionnelles
2. Approches générales
Carl Roger, un professeur américain dit que la Relation d’Aide est une
relation dont l’un de deux protagonistes cherche à favoriser chez l’autre la
croissance, le développement, la maturité, un meilleur fonctionnement et une
meilleure capacité d’affronter sa vie.
Selon Carl Roger, un professeur américain, la R.A., est une relation dans
laquelle l’un de deux protagonistes cherche à favoriser chez l’autre la
croissance, le développement, la maturité, un meilleur fonctionnement et une
meilleure capacité d’affronter la vie. Elle est une relation permissive structurée
de manière précise qui permet au patient de comprendre lui-même afin de
prendre une nouvelle direction.
Sur ce, le soignant doit favoriser chez le soigné deux choses : D’abord, une
appréciation des ressources internes à l’individu. Ensuite, une grande
possibilité d’expression. A ce propos, Dr. Hildegarde Peplau dit qu’une relation
d’aide est un système de lien révélant une représentation du monde et un
processus d’intégration des besoins.
Chapitre 2
- Les relations
- Les conflits
- Et les blessures du passé
Ces thérapies ont beaucoup de respects pour l’être humain et ses capacités.
Elles le considèrent comme étant foncièrement bon, mais face aux difficultés, il
peut devenir défensif ou peut s’affirmer par l’actualisation du vrai « Moi ».
Chapitre 3
LA PSYCHOTHERAPIE ET LA LOGOTHERAPIE
Le modèle de Jésus
Le discernement de Jésus
Jésus ne juge pas la femme samaritaine. Mais, il la félicite d’avoir dit la vérité.
La relation d’aide chrétienne n’accuse pas les gens. Elle les accepte telle qu’ils
sont. Le Seigneur confronte la femme à la vérité. Celle-ci, l’avoue et change sa
théologie en disant qu’elle vient de rencontrer un prophète qui lui a dit tout ce
qu’elle a fait.
Chapitre 4
Si une personne vient nous demander de l’aide relationnelle, voici les objectifs
que nous avons à atteindre :
Nous ne cesserons sans cesse de clamer que la mort de Chris sur la croix nous a
donné la victoire dans tous nos combats. Il est donc bien séant d’avoir un cœur
qui n’a ni rancune, ni soucis. Les soucis sont réellement la semence de l’enfer.
Ils sont comme un venin du serpent ou une flèche empoisonnée.
7. La soutenir, l’accompagner.
Bien que nous appelions ce qui précède comme des objectifs, ils sont, au fait,
des devoirs revenant au conseiller. La relation d’aide est une discipline qui
nécessite l’acquisition des plusieurs techniques. Si non, il sera donc difficile
d’en être couronné du succès.
Chapitre 5.
pensée est la source de toutes nos actions. Si les pensées d’une personne sont
en harmonie tant avec la Bible qu’avec le standard éthique de la société, cette
personne posera des actes qui construiront la grandeur de sa personnalité. Les
disfonctionnements comportementaux proviennent des pensées. Si les pensées
sont cohérentes, les comportements seront cohérents et approuvables par la
société.
Ainsi, l’aidant est censé tenir compte de vérifier si les besoins fondamentaux de
l’aidé ne sont pas satisfaits.
4. Le concept de l’identité, du « JE ».
Le « Moi », est fondamental pour chacun. La relation d’Aide vise la
construction de cette identité : son passé, son avenir et son milieu de vie.
Tout travail psychothérapeutique aborde successivement trois domaines : le
savoir, l’avoir et l’être.
Une femme vient au près du conseiller chrétien. Elle lui annonce qu’elle
est en ceinte de son mari. Ensuite, ce même époux a profité de la prise
en charge de la famille de l’épouse et a rendu aussi grosse la mère et la
petite sœur de l’épouse en question. Trois grossesses à la fois. Comment
aider une pareille femme à garder l’unité de sa famille et de son
mariage ? Quel remède peut-on apporter à cette femme ?
Un groupe des trois sœurs d’une église, pendant plus de quinze ans
séduisent toujours les frères de l’église. Chaque fois qu’un nouveau
couple arrive à l’église, elles s’attachent à la femme. Après elles font
tomber l’époux et le nouveau couple quitte l’église. Même après qu’elles
aient été mises sous discipline, elles recommencent toujours cette
opération. Comment les guérir ?
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Chapitre 6
A. La Psychologie
Le mariage est un engagement pour la vie. Alors qu’il commence par les
fiançailles. Cette période permet à ce que les deux futurs conjoints cherchent à
s’étudier, à se connaitre. Dans cette étude, il y a certains critères que l’on se
fixe. Certes, cela est souvent subjectif et dépend d’une personne à une autre,
d’un groupe des gens à un autre, d’une tribu à une autre. Pour les chrétiens
certains critères sont standards tel que ne se marier qu’entre les enfants de
Dieu. Il est aussi déconseiller de chercher à connaître son comportement, son
caractère, sa conduite, etc.
SANGUIN. COLERIQUE.
MELANCOLIQUE. FLEGMATIQUE.
I. L’Amour.
o Dieu.
o Son prochain.
o Ses ennemis (Mt 22.37-39 ; Lc 6.27).
C’est à cause de cet amour que l’on saura que nous sommes enfants de Dieu
(Jn13. 35).
II. La Joie.
III. La Paix.
Cette paix concerne notre relation avec Dieu. Dieu hait le péché. Sa sainteté et
sa justice ne lui permettent pas de vivre en paix avec celui en qui le péché
habite. C’est pourquoi le pécheur ne peut jamais vivre en paix avec Dieu. Sa
propre conscience lui dit que le châtiment est pour le méchant. Mais le croyant
vit en paix avec Dieu parce que ses péchés ont été pardonnés, il est réconcilié
avec Dieu, il y a réparation de la communion. Cette paix est la résultante de :
La paix de Dieu.
La Paix de Dieu est l’antidote à nos inquiétudes. Elle nous aide à rester sereins
face aux difficultés. Le fait de devenir chrétien ne nous épargne pas pour autant
des difficultés de la vie. Mais que le Saint-Esprit nous donne la capacité de vivre
en paix dans un monde agité.
Le quatrième trait de l’homme rempli de l’Esprit est la patience. Elle peut être
aussi appelée la résistance devant les épreuves. C’est la capacité à supporter
les blessures, les chocs, les reproches, les critiques, les afflictions, etc.
V. La Bonté ou la Gentillesse.
C’est la capacité de s’offrir soi-même et ses biens. C’est la bonté dans son
sens le plus pure et profond. Elle comprend l’hospitalité, la libéralité, la
générosité, etc. (Ti 3.8 ; Ac 20.35). Du grec, « agatosumé » veut dire avoir du
zèle pour la vérité et la justice, détesté le mal.
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VIII. La douceur.
3. Le conseiller laïc.
o La psychologie laïque est fondée sur le fait que l’homme est bon par
nature et que la réponse en ses problèmes se trouve en lui-même.
b. La Relation d’aide.
Introduction.
Mais, c’est Antiphon (460-421 av. J.C.), son contemporain qui semble
être le plus proche de la relation d’aide. Il faisait parler ses patients de leurs
souffrances. L’enseigne de sa maison à Corinthe, près de l’Agora, annonçait
qu’il avait le pouvoir de guérir par les mots.
Chapitre 7.
1. L’approche spiritualiste.
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Pour les participants de cette théorie, tous les problèmes personnels sont
causés par le péché. Pour cette approche, toute psychothérapie est
catégoriquement contre-indiquée pour un chrétien. C’est-à-dire n’utiliser
aucune technique qui provient des sciences humaines, en occurrence, de la
psychologie.
Sonder le patient.
Comprendre ses difficultés.
L’exhorter à changer son comportement pécheur.
Le réconforter après la confession de ses péchés.
L’aider, lui donner les directives pour régler ses problèmes.
2. L’approche directive.
3. L’approche non-directive.
La dernière s’appelle la technique non directive. Elle est celle que nous
préférons. Le client y joue un rôle principal dans l’élaboration du diagnostic et
des solutions envisageables par lui-même. Le conseiller avec ses connaissances
se met à la disposition du conseillé pour l’aider à se comprendre et le stimuler à
trouver les solutions à lui-même. Cette méthode est cohérente avec la Parole
de Dieu et fait aussi appel aux sciences.
Chapitre 8.
Alfred Adler dit : « la loi fondamentale de la vie est donc le triomphe sur
les difficultés ». L’instinct de conservation, l’équilibre physique et psychique, le
développement somatique et la tendance à la perfection lui sont soumis. Dans
l’instinct de conservation il y a :
Freud compare l’esprit humain à un iceberg dont les six septième sont
immergés et invisibles. Le dernier septième est la partie consciente de l’Esprit,
mais elle est soumise à l’influence ou au pouvoir de l’autre, de la partie plus
grande (inconscient) qui se trouve enfouie.
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Le mécanisme de défense.
Chapitre 9.
L’EXPERTISE DE LA RELATION D’AIDE.
La relation d’aide est une relation dont l’un des protagonistes cherche à
favoriser chez l’autre :
o la croissance,
o le développement,
o la maturité,
o un meilleur fonctionnement,
o et une meilleure capacité d’affronter la vie.
- L’écoute active.
- La congruence : le fait d’accepter l’autre tel qu’il est.
- La considération positive inconditionnelle.
- L’attitude empathique.
-
Chapitre 10.
LES PRINCIPES DE LA RELATION D’AIDE.
Les principes de ce cours sont comme des clés qui ouvrent le cadenas et
laissent sortir de leur prison des personnes qui ont des problèmes.
3. L’Ecoute active.
4. L’attitude empathique.
5. Refléter et répondre.
Souvent le pasteur reflète verbalement ce que dit la personne pour lui faire
savoir qu’il comprend ses sentiments. De la sorte, il encourage à continuer de
parler de son problème. Le pasteur essaie de refléter ses sentiments
paraphrasant ce que la personne ressent. Il faut souligner que refléter ne
signifie pas seulement répéter ce que dit la personne mais ressentir ce qu’il
ressent.
Le pasteur écoute, pose des questions lorsque cela est nécessaire, en vue
d’encourager la personne à parler de ses sentiments et à explorer les aspects
importants du problème. Puis, ensemble, ils coopèrent afin que la personne
trouve la solution du problème.
Chapitre 11.
Il n’y a aucune théorie qui réussisse à tous les cas ni même pour
certaines situations. C’est pourquoi il n’existe pas des méthodes uniques pour
la Relation d’Aide. Il convient que le pasteur connaisse les différentes
méthodes et choisisse la technique la mieux adaptée à chaque cas particulier,
tel que nous l’avons dit ci-haut.
1. Le soutien.
2. La technique directive.
4. Information et orientation.
Le pasteur n’est pas un expert universel qui connait tout. Il doit accepter
humblement son ignorance dans certains domaines. Si la personne cherche les
renseignements sur les fiançailles et mariage, le travail ou quelque chose à
laquelle le pasteur n’a pas la maitrise, il convient d’indiquer à l’intéressé où il
peut obtenir l’information.
Nous venons de dire que le pasteur n’est pas un expert universel. Dans
certains cas, il peut recommander la personne à aider au près des spécialistes
professionnels ou des personnes plus compétentes et expérimentées.
Chapitre 12
INTRODUCTION
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La Relation d’aide est un cours qui équipe les conseillers chrétiens à aider
les autres afin qu’ils grandissent et soient murs dans leurs vies personnelles,
familiales et communautaires. En soi, elle n’est pas née dans l’Eglise. Elle vient
de la psychothérapie. La Relation d’Aide a prouvé ses prouesses dans le
séculier.
Le conseiller chrétien
Chapitre 13
a. La Parole de Dieu
6.15). Le seul remède sur lequel l’on est sensé fixer nos regards, c’est l’Evangile
de la rédemption de Christ. Ainsi, le conseiller chrétien mettra de l’emphase sur
la Parole de Dieu.
b. La prière
c. Le Pardon
même, mais plutôt pour ses bourreaux. Le pardon est une source de plusieurs
vertus.
d. La réconciliation
e. La libération apportée par le Saint-Esprit.
Chapitre 14
CAUSES SPIRITUELLES DES TROUBLES PSYCHIQUES
6. L’humilité du conseiller
7. La patience
8. L’espérance
Selon Dr. Samuel Pfeifer, dans son livre « Entourer le Faible » où il parle de
la psychiatrie moderne et relation d’aide biblique écrit : « Si l’on en croit
certains psychothérapeutes et leurs écrits, chaque homme est plus ou moins
malade psychique et comme tel nécessite des soins appropriés. Mais on néglige
très souvent de faire la différence entre simples troubles et maladies
sérieuses ».
Chapitre 15
Chapitre 16
LA REPENTANCE : LE JALON DE LA RELATION D’AIDE (Je 6. 16)
Bruno Schaer : Cure d’âme intensive
Pour être délivré de nos infirmités, le seul moyen d’y parvenir, c’est la
repentance. Sans elle la délivrance des infirmités tant psychiques que
psychosomatiques devient inaccessible. La repentance du grec « metanoia »
signifie avoir un autre esprit ou changer d’esprit (Eph 4.22). Une
repentance est toute différente d’un sentiment de repentance. Mais elle
plutô t une ferme décision, un changement de direction (Lu 15.11-32 ; Mt
21.28-29).
LA MORT DE CHRIST
Bruno Schaer : Cure d’âme intensive la
Le point de départ de toute repentance et toute délivrance est la mort
de Christ en vue de l’expiation de nos péchés. C’est pourquoi dit-on que cela
ne devient possible qu’à ceux ou à celle qui reçoivent Jésus Christ comme
Seigneur et Sauveur.
I. Le questionnement
Il est à préciser, à clarifier, à approfondir ce qui est dit par l’interlocuteur ou
le consulté. Il aide aussi au consultant d’évoluer. Ici, il y a trois niveaux
d’information.
Les faits : Saisir ce qui a été entendu et compris par le consulté.
L’émotion : Permet de comprendre ce qui a été ressenti.
L’opinion : Ce qui a été pensé et réfléchi par le consulté.
II. La reformulation
Le consultant se mettra à redire ce qui a été dit par son interlocuteur avec
des termes plus concis et plus explicites. C’est dans le but de bien savoir ce qui
a été compris. La reformulation aide le consulté à se sentir écouté, compris et
respecté dans ses ressentis favorisant alors un peu plus d’envie de perler.
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III. La synthèse
Elle aide à marquer une pause dans le discours et dans l’écoute avant de
passer à la suite de l’entretien. Elle permet de faire une forme de résumé de ce
qui a été dit. Cela permet à notre interlocuteur que nous l’avons compris. C’est
rassurant parce que le consulté comprendra qu’il ne reste aucun mal entendu.
L’EMPATHIE
Relation d’Aide selon Rogers Carl, psychologue américain.
Né en 1902 et auteur du célèbre livre : « Conseil en psychothérapie »..
C’est une capacité à percevoir et à comprendre les sentiments d’une autre
personne. « Je n’essaie pas d’amener la personne quelque part, de la consoler,
de trouver une solution pour elle, de lui donner un conseil. Je fais confiance
que si cette personne est bien accompagnée, elle trouvera suffisamment des
ressources en elle-même pour trouver ses propres solutions ». L’objectif du
consultant consiste à ce qu’il soit toujours disponible pour le consulté. Le
patient n’a pas besoin qu’on réagisse à sa place.
Les problèmes :
affectifs relationnels Familiaux sexuels Abus
La L’amour Les parents La Les sévices
culpabilité La crise dictateurs pornographie sexuels
L’anxiété affectionnelle Les parents La Le viol
La colère L’amitié irresponsables masturbation Enrôlement
La solitude Le choix de Les parents Le dans l’armée
Le deuil fiancé non-chrétiens lesbianisme
L’estime de Le célibat Le divorce La convoitise
soi L’influence parental L’inceste
Le suicide Les Famille Les relations
La mauvaises monoparental sexuelles
dépression compagnies e avant le
Le rejet La famille mariage
La recomposée Les
persécution L’immixtion de grossesses
la belle famille non désirées
Issue de la L’avortement
polygamie Le sida
Le rivalité Les infections
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fraternelle microbiennes
TABLEAU 2
Les problèmes de :
dépendances Troubles Scolaires physiques Orientation
L’alcool attention Abandon des Handicap Connaitre la
La drogue Anorexie études Une longue volonté de
Jeux d’hasard La boulimie Echecs maladie Dieu
scolaires Choix de
Les ministère ou
performances de métier
scolaires Choix d’une
exceptionnelles université ou
d’une faculté
Chapitre 9
- La clarification.
Dans cette phase, le conseiller évalue :
- La maitrise du problème.
- La situation déclenchant.
- La gravité du problème.
- Les éléments en cause.
- Les difficultés et les ressources de la personne.
3. Le repérage de l’enchainement.
Le conseiller doit chercher à sa voir comment ces éléments se suivent :
Conviction-besoin-sentiment-comportement.
L’essentiel du travail sur soi est effectué non durant les entretiens, mais
dans l’intervalle des temps qui les sépare.
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Avantage :
1. Il diminue la dépendance de la personne et favorise son autonomie.
2. Il prépare les changements.
3. Il freine le vagabondage du client vers les autres conseillers pendant
l’intervalle.
4. Il aide à réunir les informations sur le client.
5. Il continue l’œuvre thérapeutique entre les deux séances.
6. Le temps est un bon partenaire précieux dans la Relation d’aide.
7. Il est donc une source d’encouragement.
8. Il crée un bon point de départ pour l’entretien suivant.
Ces exercices doivent être :
- Précis.
- Pratique.
- Souples.
- Positifs.
Exemples de ces exercices :
- Rechercher des souvenirs enfuis.
- Prier.
- Se mettre à l’écoute de Dieu.
- Evaluer les difficultés et les progrès.
- Rechercher ce que dit la Bible en rapport avec son problème.
- Ecrire une lettre au conseiller, aux parents, à Dieu.
- Tenir un journal.
- Faire une activité, etc.
C. LE TRAVAIL DE DEUIL
Faire le deuil d’un problème, c’est la réalité de la perte. C’est tout un processus
pour l’élimination systématique et définitive du problème. Cette acceptation
est précédée par quatre étapes : déni, colère, marchandage et tristesse. Il est
comparé à la cicatrisation d’une plaie jusqu’à fin de la douleur.
Dans la relation d’aide le conseiller est appelé à accompagner son client dans la
traversée des étapes jusqu’à l’acceptation. Il peut y avoir des cicatrices qui
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Les événements qui arrivent dans notre vie sont classés dans notre
mémoire. Une grande partie de celle-ci est inconsciente. Mais nous en avons
accès qu’à l’aide des souvenirs. Le temps soulage les souvenirs douloureux
mais ne guérit pas les blessures graves, surtout celles subies dans l’enfance.
Ainsi, le conseiller rencontrera parfois des clients adultes, mais leurs émotions
sont restées celles d’un enfant. Si l’on trouve les symptômes des souvenirs
douloureux, il convient mieux d’en faire l’investigation dans le passé du client.
Le bon entretien commence par un bon accueil, une bonne écoute, une
clarification, une focalisation et une bonne fin.
G. LA FLEXIBILITE DU CONSEILLER
Le chapitre V
LA CONCLUSION