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INTRODUCTION
PARTIE I : Présentation théoriques des différentes étapes qui constituent le
SEDIAC (Stratégies d’Elaboration et de Diffusion d’une Action de Communication)
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INTRODUCTION :
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PARTIE I :
PRESENTATION THEORIQUE DES DIFFERENTES ETAPES QUI
CONSTITUENT LE SEDIAC
efficace.
L’enjeu est ce qui est mis en jeu, c’est-à-dire ce que l’on a à gagner ou à perdre dans une
action quelconque. Il constitue aussi les risques ou bien ce qui motives les participants.
a. Les enjeux opératoires : enjeux qui visent à obtenir ou à céder un bien, à accorder ou
à solliciter un service. C’est-à-dire quelque chose de concret.
b. Les enjeux symboliques : enjeux qui valorisent l’image de soi. Il est aussi question de
valeurs et de notoriété.
Mais selon Alex MUCCHIELLI, nous avons cinq types d’enjeux de la communication :
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II- Détermination des objectifs de la communication :
• La fonction expressive : elle consiste par l’émetteur à faire sortir de soi ses sentiments,
opinions, émotions, …
Exemple : Invitation
• La fonction phatique : elle est utilisée pour établir, maintenir ou interrompre le contact
physique et psychologique avec le récepteur.
On distingue :
Exemple : « ensuite »
Exemple : « Au revoir »
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Il faut noter que dans un seul message on peut avoir la réalisation de deux ou plusieurs
fonctions.
Fonction
Informative Conative
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III- Analyse de la situation de communication :
Dell HYMES nous propose comme outil scientifique le modèle SPEAKING et Alex
MUCCHIELLI la Théorie Sémio Contextuelle pour analyser une situation de communication.
De SPEAKING de situation
Communication
1) Paramètre S ou setting :
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Pour cela, le temps et le lieu sont les paramètres à identifier. En gros, il faut bien choisir
le « bon moment, au bon endroit ». Le temps qu'il fasse est un paramètre très important.
Le lieu peut varier de formel à informel. Il y a des endroits qui nécessitent des
contraintes particulières comme un tribunal par exemple, qui est un endroit formel.
Le temps est aussi très important pour la réussite d’un échange. Par exemple, pour
l’organisation d’un événement en mois d’octobre, par rapport au climat à Madagascar, il
n’est pas trop conseillé d’opter pour un style champêtre, un événement à l’extérieur.
b- Le cadre socioculturel :
2) Paramètre P ou Participants :
Lors d’une communication, on peut avoir plusieurs interlocuteurs. Mais les participants
ne sont pas seulement ceux qui participent directement aux échanges. Dell Hymes dans
son étude a confirmé qu’on qualifie de participants ceux qui participent directement ou
indirectement à la communication. En effet, on peut distinguer plusieurs types de
récepteurs dans l’analyse du modèle SPEAKING.
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a- Les types de récepteurs :
Pour être plus claire, voyons un exemple : lors d’une annonce écrite pour la distribution
d’appareil auditif gratuit au sein d’une commune, on cible ceux qui ont un problème auditif.
Mais tous ceux qui passent peuvent lire l’annonce, même s’ils ne sont pas ciblés. On peut
donc dire que ces personnes sont des récepteurs non allocutaires.
On peut aussi distinguer le récepteur ratifié et non ratifié. On qualifie de ratifiées les
personnes dont la présence est acceptée pendant la communication. Les récepteurs non
ratifiés sont ceux qui reçoivent la communication sans y être invités. Par exemple, lors
d’une réunion administrative au sein d’une entreprise ou au sein d’une société, une
décision est prise par les responsables administratifs. Ces personnes sont des récepteurs
ratifiés. Mais à ce moment, la femme de ménage passe et entend cette décision à travers
la porte, donc c’est un récepteur non ratifié.
Le récepteur peut aussi être anonyme ou personnalisé. Un récepteur est dit anonyme
lorsqu’il ne présente aucune relation personnelle avec l’émetteur du message. Même si
cette relation existe, on le qualifie d’anonyme lorsque la relation n’est pas manifestée. Par
exemple lors du discours du président de la République, le peuple est un récepteur
anonyme, car personne ne manifeste aucune personnalisation de la communication.
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Pour la répartition, il y en a aussi trois sortes :
c- La présence et la non-présence :
La présence détermine les situations de face à face, c’est-à-dire quand les interlocuteurs
se voient directement. Tandis qu’on parle de non-présence les situations qui nécessitent
des intermédiaires.
La situation de non- présence est définit par rapport à la présence, cela signifie que l’une
au moins des conditions de la présence n’est pas remplie d’où la nécessité d’utilisé un
support (le téléphone, les lettres…).
Les relations jouent un rôle capital dans la communication. On peut affirmer que la nature
des relations influent d’une façon décisive sur le déroulement de la communication.
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3) Paramètre E ou Ends :
Dans une communication d’entreprise, l’objectif contribue beaucoup aux enjeux. C’est
pourquoi le modèle SPEAKING prend en compte les objectifs de la communication. Pour
cela, nous avons les 6 fonctions de communication établies par Roman JACKOBSON que
l’on avait déjà citées dans l’étape précédente : « objectifs ».
4) Paramètre A ou Acts :
Le terme « acts » est un peu implicite pour ce paramètre. En effet, il s’agit des différentes
séquences de la communication par ordre chronologique. Ce paramètre prend aussi en
compte le fond et la forme de la communication. On peut distinguer pour cela la
communication ritualisée et la communication non ritualisée, les deux faces du signe.
La communication ritualisée est celle qui suit un cours logique et qui nécessite quelques
rituels à suivre. Par exemple lors d’une inauguration, il y a un programme à suivre qui ne
sera pas interrompu par d’autres. Par contre, lorsque la communication est libre, on la
qualifie de non ritualisée. Par exemple lors d’une réunion entre amis, plusieurs sujets de
discussion peuvent avoir lieu et en couper d’autres.
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5) Paramètre K ou Key :
- La tonalité positive lorsque l’atmosphère est détendue, voire joyeuse comme lors d’une
fête de fin d’année
- La tonalité neutre comme lors d’une simple discussion ou d’une réunion d’information
- La tonalité négative lors d’un conflit.
Il ne faut pas confondre tonalité et intonation.
6) Paramètre I ou Instruments :
C’est l’ensemble des instruments qu’on peut utiliser pour communiquer. Il y a plusieurs
instruments, mais il faut noter que dans une communication, on peut utiliser
simultanément plusieurs instruments. On peut distinguer :
- La communication non verbale qui n’emploie pas le langage. Par exemple les gestes,
les attitudes, la posture, etc.
7) Paramètre N ou Normes :
Il s’agit des règles à suivre lors des échanges. En termes de normes, on peut en
distinguer 3 sortes de normes communicationnelles :
- Les normes interactives ou appelées normes d’interactions qui est la connexion et les
effets conatifs des uns envers les autres.
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- Les normes d’interprétation qui est surtout présent au niveau du récepteur. Il s’agit du
sens du message. On peut inclure la connotation et la dénotation dans ces normes
d’interprétation.
La connotation : est l’ensemble des éléments de sens qui peuvent s’ajouter à ce sens
littéral (et qui peuvent se trouver ou non dans le dictionnaire).
La dénotation : est le sens littéral d’un terme, que l’on peut définir (et trouver dans le
dictionnaire).
Exemple : « voiture », « caisse » ont la même dénotation, mais ils ont des connotations
différentes : voiture est le terme le plus courant, il est neutre. En revanche caisse a une
connotation familière.
8) Paramètre G ou Gender :
Il renvoie aux typologies de la communication selon les secteurs d’activités ainsi que les
communications qui sont rattachés à ces secteurs.
affiché des intentions, des projets et des enjeux des acteurs en présence. Il prend en
compte le système interactif des enjeux des acteurs de la situation.
5- Le contexte temporel :
Ce qui est communiqué prend un sens par rapport à ce qui s’est dit avant.
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6- Le contexte spatial :
Ce qui est communiqué prend un sens par rapport à la disposition du lieu et ses contraintes
s’imposant à tous.
• Le découpage :
• Le regard :
Découpage Interprétation
Regard communication
Le sens n’est pas donné, c’est un construit. Paul WATZLAWICK a distingué deux
niveaux :
Le constructivisme :
Selon les SIC, une communication « c’est ce qui fait un sens pour l’autre ou pour les
autres. On part du fait que l’individu ne perçoit pas la totalité de ce qui se passe autour
de lui : la réalité, il ne perçoit qu’une partie et va construire l’ensemble à partir de cette
partie.
V- Elaboration de la communication :
Cette étape consiste à élaborer le contenu que nous voulons transmettre. Il est
indispensable de tenir compte des enjeux, des objectifs et de la situation de communication
ainsi que des normes de référence mais aussi des types de communication qui dégagent
de cette situation.
Exemple : La peinture
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• La distinction entre la communication par signes et la communication par
symboles :
Exemple : Poésie
Il est important de prendre compte les supports de diffusion à utiliser ce qui renvoie à la
notion de communication généralisées qui étudie les différents moyens de
communication utilisés.
« Une interaction a lieu lorsqu’une unité d’action produite par un sujet A agit comme
stimulus d’une unité réponse chez un autre sujet B et vice-versa ».
Selon Erwin GOFFMAN, l’interaction c’est « l’influence réciproque que les partenaires
exercent sur leurs actions lorsqu’ils sont en présence physique immédiate les uns les
autres ».
Une interaction est une action mutuelle et réciproque. On a plus de vecteur linéaire,
on quitte le model EMEREC.
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Les différents types d’interactions :
Les implications :
• La notion de rétroaction : amène une quelque chose ou notion qui n’a pas idée de
la linguistique ou de la sociolinguistique. A partir de là, on parle de la notion
d’échange.
Les interactions produites par les participants forment un système, une notion de
système d’interaction signifie qu’une communication fait toujours partie d’un ensemble.
Il y a deux auteurs :
- La loi de sincérité
- La loi d’intérêt
- La loi d’informativité
- La loi d’exhaustivité
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➢ La notion d’influence :
C’est une action que l’on exerce soit sur des objets soit sur un être vivant (en particulier
les humains), et qui transforme l’état initial des objets ou des êtres vivants en question.
L’élaboration de la communication consiste à agir sur un ou des contextes pour donner
du sens par l’utilisation de différents signes.
Cette étape consiste à distinguer les supports de diffusion adéquates selon la nature des
communications à établir, les objectifs à atteindre et se fait en fonction de la cible c’est -à-
dire du destinataire et de la nature de la communication.
On distingue :
- Les supports traditionnels : les journaux, les affiches, les panneaux, les animations en
milieu public et les médias tactiques ou médias de proximité .
Cette étape consiste à évaluer les effets et les impacts de l’Action de communication
après sa diffusion d’où la notion de rétroaction ou de « feed-back » sera impliquée. La
rétroaction est l’action en retour vers l’émetteur initial suite à une communication établie.
Pour pouvoir identifier ces conséquences, nous pouvons distinguer deux étapes à
suivre :
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VIII- Confrontation avec les objectifs de la communication
La communication efficiente :
Une communication qui a un effet quelconque sur l’autre ou les autres. Une
communication est toujours efficiente.
La communication efficace :
IX- Recadrage :
Il s’agit ici de redéfinir la situation dans le but de changer le sens des rapports entre
les acteurs. Il faut alors revenir à l’étape de la construction du cadrage pour adopter un
meilleur cadrage.
Cette étape consiste à faire une nouvelle analyse de la situation avec le ou les
cadrages possible(s).
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Partie II : APPLICATION DU MODELE SEDIAC SUR UNE ACTION DE
COMMUNICATION
Dans cette deuxième partie, nous allons passer à l’application du modèle SEDIAC.
Le 09 aout 2021, l’ouverture d’une nouvelle agence de l’ONG Vahatra, s’est tenue
à Ankazomiriotra. Cette manifestation a été réalisée grâce à la contribution de tout
l’équipe de l’ONG.
Ce projet d’extension a été déjà prévue en 2020. Cela signifie que cette Action de
Communication avait des objectifs bien défini en avance et que des stratégies ont été
mises en place prématurément afin de passer aux processus de réalisation.
Dans cette partie, nous allons analyser cette action de communication suivant les
étapes constituant le modèle SEDIAC présenté dans la première partie de ce devoir.
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B- Application
1. Enjeux de la communication
• Enjeux identitaires :
La valeur et l’image de l’ONG est mise en jeu à travers l’ensemble des organisations :
manière d’accueillir les visiteurs, animation, communication.
• Enjeux informatifs :
• Enjeux d’influence :
• Enjeux relationnels :
• La fonction expressive :
Les différentes personnalités ayant pris la parole ont informé et sensibilisés les gens
sur les services offertes par l’ONG.
• La fonction impressive :
Durant l’animation, les intervenants ont diffusé le message à travers une chanson
humanitaire composées spécialement pour décrire l’ONG Vahatra , ainsi la qualité
du message va servir pour attirer l’attention de la cible.
• La fonction phatique
L’objectif est de créer le contact pour que le message soit vu. Durant cette animation
d’ouverture, la fonction phatique a joué un rôle très important. La fonction phatique
d’appel se reflète dans l’ouverture de la communication suivie par le discours de
représentation de l’ONG auprès des cibles sensibilisés. Pour la fonction phatique de
maintien, elle s’établit par la préservation de la communication avec l’interlocuteur ou
le groupe d’interlocuteurs à qui l’on s’adresse. La fonction phatique de clôture
correspond à la finalité du message de partage d’information et de donner rendez-
vous aux intéressées.
Il est important de noter que la fonction conative visant à influencer les futurs
partenaires de l’ONG était tout de même présente.
- Faire connaitre l’objectif et les principes de l’ONG dans cette nouvelle zone
d’intervention.
➢ Le lieu : Les sensibilisations ont été faites dans les rues alors il n’y a pas eu de
contrainte particulière sauf le respect des règles linguistiques, on est appelé à
utiliser le niveau de langue soigné.
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➢ Le moment :
Il s’agissait d’un jeudi dans la matinée, d’où une communication opportune. C’était la
journée de marché de la ville donc il y a beaucoup de monde qui se déplace.
- Le cadre socioculturel :
Participants :
Nous sommes face à une communication directe puisque les participants se trouvent
dans une situation de face à face c’est-à-dire qu’ils sont en présence physique
immédiate les uns les autres.
Une communication interpersonnelle : se passe entre deux individus lors des différents
discours pour la sensibilisation.
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Ci- après des images illustrant les différents participants à la communication :
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Communication proprement dites :
- D’abord, avant tout la mise en œuvre d’un plan de communication a été indispensable,
cela consiste à faire une liste et planification des actions préconisées par la stratégie de
communication, ce plan a permis de définir les actions à réaliser, la période de réalisation,
le timing, les personnes à mobiliser, les moyens associés.
- Ensuite, il y a une réunion d’équipe, rituel clé pour faire un point d’activité, partager
l’information, résoudre les difficultés, réguler le fonctionnement de l’équipe sur
l’animation.
- Enfin la partage des informations auprès des personnes cibles, cela implique des
procédures : d’abord on commence par la présentation de l’ONG et l’explication de ses
activités, ensuite rester attentif pour les questions, à la fin de la communication
Dans cette situation, il faut respecter les différentes normes pour pouvoir atteindre les
objectifs :
D’abord, pour le premier contexte qui est le contexte expressif des identités des
acteurs, on a comme acteurs : le directeur de branche d’Antsirabe de l’ONG Vahatra,
les différents responsables opérationnels au sein de l’ONG, les animatrices sociales de
l’ONG, les visiteurs et les personnes cibles.
Ensuite, le deuxième contexte qui est le contexte culturel de référence aux normes et
règles collectivement partagées.
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Pour cette cérémonie d’ouverture officielle de l’agence, des règles imposés par les
autorités de la ville d’Ankazomiriotra doivent être suivies par les équipes de l’ONG
comme la demande d’autorisation qui se fait au préalable.
Puis, le troisième contexte qui est le contexte des positions respectives des acteurs.
Toutes les personnes qui ont participé à l’organisation et la mise en œuvre de cet
évènement sont les émetteurs. Les personnes cibles qui sont des résidents à
Ankazomiriotra sont les récepteurs.
4. Construction du cadrage :
5. Elaboration de la communication :
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La présence de ces personnes(récepteurs) est alors une réaction qu’ils ont
renvoyée aux Responsables de l’ONG avec qui ils ont échanger des informations
(émetteur initial).
• Le système d’interactions :
L’interaction symétrique et complémentaire ont été tous les deux présents dans
cette situation. Parce que tout le monde ne se trouve pas au même niveau.
• La notion d’influence :
Cette animation d’ouverture est relative à l’influence, c’est- à-dire que par
l’intermédiaire de cette évènement les équipes de l’ONG Vahatra essaye d’attirer
un grand nombre de personnes vers la nouvelle agence. Elle est perçue comme
nécessaire pour atteindre les objectifs.
6. Diffusion de la communication :
Les moyens de communication adaptés précisément ici ont été choisi en fonction des
différentes cibles, chaque support répond à un objectif à atteindre.
- L’animation en micro était un moyen d’attirer la foule, de lui rappeler ce qui se passe.
- Le flyer, c’est un outil de communication efficace, simple moderne qui peut véhiculer
rapidement un message à un grand nombre de personnes. Le principal atout du flyer
est de donner envie aux personnes qui tombent dessus, de s’intéressés par les services
proposés par l’ONG.
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7. Impacts et effets de la communication :
Par l’observation, il est évident que cette action d’ouverture a eu des conséquences.
9. Recadrage :
En général, les objectifs de chaque communication lors de cette ouverture ont tous
été atteints. Cela dit on n’a pas besoin de revenir à la construction du cadrage.
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CONCLUSION :
Pour conclure, le modèle SEDIAC ou Stratégies de d’Elaboration et de Diffusion
d’une Action de Communication a permis de découvrir et d’acquérir un certain nombre
de connaissances afin de maitriser la situation de communication et de mieux établir
des stratégies convenables pour une meilleur efficacité de la communication.
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BIBLIOGRAPHIE :
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