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Histoire et Diversité

Bibliographie :

Troger, V . J.-C. (2017)


Rousseau→ L’émergence d’une « contre culture pédagogique »
Jules Ferry , Ministre de l’Instruction publique (1879/1882)
Diversité ou hétérogénéité ?

la diversité renvoie une échelle individuelle , par rapport a la capacité ,


diversité linguistique et des modalités d’apprentissage.

Diversité des publics/ individus :


1→ sexes et genres
2→ capacités (corporelle et intellectuelle )
3→ socio-économique (Delahaye , 2015)
4→ culturelle (Bourdieu , 1979)
5→ linguistique (Berstein, 1975 ; Labov , 1978)

2→ Bourdieu distingue des capitales culturelles , le diplôme des parents


(capitale culturelle internationale ) ; le capitale culturelle objective renvoie
a des pratiques (ex : réussi mieux si il a une bibliothèque chez lui ou
autour de lui ) donc son environnement rentre en jeu ainsi que les
pratiques culturelles de ses parents. La capitale culturelle incorporée , parle
des comportements individuels , sa manière d’être , de se comporter avec
les autres ( rester assis , se taire , respecter les autres), on apprends cela
aussi chez soi (donc l’apprentissage à l’école peut aussi beaucoup servir
pour des cas assez compliqués…)
une personne allophones , ne parlent que quelques mots de français car née
dans un autre pays , leurs foyers est particuliers car les parents ne parlent
pas forcement français eux aussi. Il y a une diversité linguistique à
l’intérieur de la langue française.

3→ Delahaye pense qu’entre un milieu favorisé, le langage va être très


fortement élaboré au contraire dans des milieux défavorisés ont le langage
peu structuré. Cela va servir lors de l’apprentissage des comportements ,
de la politesse , et des manières.
La question de la diversité a été très longtemps considéré comme non
social car l’école à été destiner aux garçons , il n’y a pas non plus de mixte
social car école surtout réservé aux garçons aisés et respecter les normes
sociales.
On s’y intéresse seulement après Révolution Française , à la question de
l’égalité ( tous les enfants doivent pourvoir aller à l’école).
Point de vue géographique très restreint , la diversité beaucoup plus forte
dans territoires d’outre-mer ( Guyane , plurilinguisme extrêmement fort ;
Mayotte). La diversité dépend aussi du quartier où on habite.un objectif
politique , nécessité de réfléchir à ce que veut la société , on peut voir
tensions , car volonté de mixer et réduire cette diversité et de l’autre coté ,
les parents qui veulent garder une certaine homogénéité. Cette objectif de
diversité est une passe d’être réalisé dans les écoles mais ne permet pas de
tout faire , donc l’égalité des chances restent partiel et donc discrimination.

Chronologie :
1529→ De l’éducation précoce et libérale de l’enfant (Erasme)
1684→Institut des Frères des Ecoles chrétiennes (Jean -Batiste de la Salle)
1762→Emile ou de l’éducation (Rousseau)
1833→ François Guizot impose une école primaire par commune
1882→ L’instruction est obligatoire , gratuite et laïque
1938 → Jean Zay propose des méthodes pédagogiques actives

Cette diversité renvoie vers la sphère privée et sphère publique. Inconteste


politique (enjeux de l’éducation) mais aussi enjeux géographique
(accueillir la diversité de partout). La Notion d’élite et la notion de
démographisation ce confronte ,ce qui créer une massification.

L’Humanisme
°un projet pédagogique fondé sur l’éducabilité de l’enfant.
Pendant longtemps a été construire sur les modèles grecques et romains ,
une école d’élite destiné aux mâles riches (car école coûte cher ) mais aussi
code et destiné sociale (donc ceux qui ont le pouvoir ont besoin d’école
mais pas ceux qui travaillent).
La société va évoluer car plus de besoin donc plus de diversité , les
sociétés se développent du coté économique , sociétale et politique vont
avoir besoin de plus de gens formés. Donc les écoles vont s’ouvrir à un
public plus large (mais encore qu’aux garçons).
1ère fois qu’on a un éducateur qui veut fondé un projet pédagogique→
Erasme va dans la pensée que tous les enfants sont éducables (du moins
c’est possible et donc que tout les enfants peuvent aller à l’école). C’est
l’idée qu’il faut travailler avec les parents , donc confiés les enfants à des
gens formés (arrêter de donner les enfants aux maîtres stupides) mais ne
pas confier les enfants des nourrisses incultes donc c’est les parents qui
doivent aussi les éduquer. L’enfant devient un sujet intéressant et devient
centre du monde.

Le XVIIème siècle
°Les écoles des Frères des Ecoles chrétiennes : une nouvelle « forme
scolaire »

La nouvelle forme scolaire c’est l’idée qu’il ne faut pas mettre tous les
enfants dans une même classe , regroupés enfants par âges et créer des
programmes pour leurs niveaux. Mêmes les familles riches vont mettre
leurs enfants dans ces écoles , il pose l’ancien programme de LSU (livret
scolaire unique). Donc il invente le livret scolaire. Il va demander aux
enseignants d’avoir une connaissance de l’élève donc prise en compte de
la diversité. Dans le contexte de la classe , il commence à penser aux
matériels scolaire , aux affiches … il va apprendre aux enfants à lire dans
leur langue maternelle (du moins celles qui parlent ) ce qui fait que ça à
beaucoup de succès et ils vont donc se développer tout au long du 18ème
siècle.

Le tournant du XVIIIème siècle


° Le « sentiment de l’enfance »
° Place de l’enfant et normes éducatives

Au XVIIIème siècle émerge un nouveau sentiment de l’enfance selon


Ariès. Tous les auteurs sont d’accord pour dire que c’est au XVIIIème
siècle que cela change. L’émergence familiale (la famille moderne au
contraire de l’ancien famille) va prendre l’enfant comme individu. On va
prendre seulement le père , la mère et les enfants (famille nucléaire) plutôt
qu’avoir les grands parents ainsi que le reste de la famille ; grâce au
mariage d’inclination ( mariage par amour =La place des enfants dans la
famille plus importantes). Ce changement familiale pousse la réussite des
enfants car on va s’occuper un peu plus d’eux, ils deviennent des objets
d’affection.Pour Ariès , l’enfant devient un sujet qu’il faut s’occuper ,
prendre soin. Ce sont d’abord des modèles pédagogique qui replace les
modèles contre pédagogique (punition , châtiment , obeissance…).
L’enfant a un besoin psychologique , arrêter de le considéré comme un
petit adulte mais qui est considéré comme un individu.

Idéaux éducatifs aux XVIIIème siècle et XIXème siècle


→civilisation et progrès
→ une nouvelle conception de l’enfance
→ Education et idéal démocratique
→ Un individu émancipé par la connaissance

faut-il formater les enfants ou les laisser ce développer ainsi que leurs
personnalité ?

Rousseau ne veut pas éduquer les enfants du peuple car si ils apprennent a
lire ils pourront prendre le pouvoir , donc c’est une question de classes
sociales. Laisser les enfants se développer pour qu’ils puisse devenir un
être sociale avec leurs qualités et compétences.

Les philosophes et auteurs pensent qu’ils ne manquent rien aux enfants


mais qu’ils faut juste les aider et les accompagner vers ces ressources. Il y
a une... démocratique . Former des citoyens éclairés , capable de décider ,
raisonner. Aider l’enfant à se développer mais l’aider à s’intégrer dans la
société. Pour fonder une société démocratique , il faut accueillir tout le
monde (donc écoles pour tous) toujours ce débat en question.

L’idéal d’universalisme débattu avec l’idée de séparer l’école du peuple et


l’école de l’élite. Un cursus de Jules Ferry (gratuite et obligatoire ) donc
école pour enfants du peuple. Les individus sont émancipés par la
connaissance. Ce qui va se former c’est une sorte de sécularisation , les
enlever des traditions de religions. Veulent extraite les enfants de
l’influence de l’Église .
L’Émancipation par école extrait les traditions de religions , donc
évolution politique et culturelle, ça renvoie une idée de liberté. La société
évolue d’un point de vue économique , administratif et les familles ont
une demande scolaires pour que les enfants aient une éducation plus
longue.

Le XIXème siècle : Démocratisation scolaire

°Premiers projets à la Révolution : Talleyrand (1791) , Condorcet (1802)


Que veulent Ferry et les premiers républicains de la IIIème République ?

L’enseignement secondaire reste payant , ce qui freine leurs espoirs et leurs


mobilités. Ferry va prolonger l’école jusqu’à 13 ans. Plus on prolonge
l’école, moins on a d’inquiétude que leurs enfants soient embaucher dans
des usines ou autres …

Le XIXème siècle : politique scolaire et la naissnace de l’école


contemporaine

→ IIIème République et lois Ferry : une idéologie égalitaire et


émancipation
→ L’etat « éducateur » (Jacquet-Francillon et alii ,2015)
→ Le « rationalisme constructiviste » (Hayek,1964)

On utilise l’école pour construire une société.

Remédier à l’inégalité sociale ?

Le tour de France par deux enfants , ils font le tour de la France , qui
apprennent et découvrent , ils sont orphelins et travaillent en usine . A la
fin livre ils retournent travailler en usine ce qui montre que malgré ce que
tu fais tu reste dans ta classe sociale.

La même école pour tous ?


Une nouvelle reflexion sur l’organisation de l’école

° le projet Buisson
°Une nouvelle idée : l’école unique (1927)

Les associations des anciens combattants vont venir militer pour une seule
école de la primaire au collège. → (Jean Zay et l’ambition du Front
Populaire ).
Il voulait proposer un tronc commun mais le projet n’aboutit pas à acuse
de la Seconde Guerre Mondiale.

La rupture des années 1960


°Réforme Berthoin(1959)
°Réforme Fouchet (1963)
°Réforme Haby (1975)

Conclusion

°Massification ou démocratisation ?
°l’enfant au centre
°quelle prise en compte de la diversité ?

La massification va faire que tout le monde va aller jusqu’à la fin du


collège.

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