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Thème 1 – management

Chapitre 7 – les styles de management

A partir d’enquêtes auprès de directeurs de grandes compagnies d’assurances, Rensis Likert observe
que ceux qui ont les résultats les plus médiocres présentent des traits communs. Leurs conceptions
du commandement les conduit à se focaliser sur les tâches à accomplir, leur mission est avant tout
orientée vers la surveillance et le contrôle, ils adoptent les principes de l’organisation taylorienne du
travail (travail prescrit, aucune autonomie, salaire au rendement).

Ce mode de management est dominant après la seconde guerre mondiale aux Etats Unis. Pour
autant, il relève que certains dirigeants semblent obtenir de meilleurs résultats car ils ont une autre
attitude vis-à-vis des hommes en situation de travail. En effet, ils ont la conviction qu’il est nécessaire
de comprendre les attentes et les valeurs personnelles des salariés afin d’améliorer leur degré de
motivation et d’implication du travail.

Dans son ouvrage consacré au gouvernement participatif des entreprises, Rensis likert formalise à
partir d’enquêtes de terrain 4 styles de direction dans une conception assez normative de ce que
devrait être le mode de commandement idéal.

Rensis Lkert (1903-1980) : psychologue américain. Il est connu pour apport à la psychométrie et à la
mesure des attitudes. Il a atteint une certaine renommée dans le milieu du management pour son
travail sur les styles de direction.

I - Comportements et styles de leadership

A – le manager autoritaire

Des rapports distants avec les salariés et une absence de confiance.

Un management par la peur

N’encourage par l’esprit d’équipe

La prise de décision est centralisée au sommet de l’organisation

Le système de délégation se réduits à sa plus simple expression et les objectifs sont imposés sans
être explicités.

B – le manager paternaliste

Assez proche du précédent

Des relations de proximité entre le dirigeant et ses subordonnées

Le contact et les relations hiérarchiques sont directs

Un système de motivation et de récompense particulièrement arbitraire.

C – la manager consultatif

Des relations étroites avec ses collaborateurs

Un climat de confiance et d’échange

Une délégation de pouvoir limitée.


D – le manager participatif

Un mode de commandement non directif.

Des relations de confiance fortes avec ses collaborateurs

Un système de motivation et de rémunération particulièrement incitatif (participation et


intéressement)

Un esprit d’équipe et une dynamique de groupe fortement encouragés.

II – le management participatif, comment ça marche ?

En terme simple, le management participatif est une politique de gestion qui se veut d’intégrer tous
les employés, sans tenir compte du statut et du grade, dans la vie générale de l’entreprise, surtout
les prises de décisions.

Le management participatif repose sur une concertation et exige 4 principes fondamentaux :

- La mobilisation du personnel
- La mise en place d’une communication
- La délégation du pouvoir
- La mise en place d’une régulation.

III – D’autres visions du style de management

Robert Blaket et Jane Mouton ont été les premiers à réaliser dans les années 1960, une analyse du
comportement des dirigeants. Ils proposent une grille managériale dans laquelle ils intègrent 2
variables :

- L’intérêt porté aux hommes et aux problèmes humains


- L’intérêt port é à la production .

La conduite du manager dépendra de son pouvoir, de la nature du travail, de ses subordonnés et des
relations qu’ils entretiennent avec eux.
IV – les styles de direction selon R Tannenbaum et W schmidt

Style de direction centré sur le supérieur Style de direction centré sur le subordonné
Autorité du supérieur Liberté d’action du subordonné
Le Le Le dirigeant Le dirigeant Le dirigeant Le Le dirigeant
dirigeant dirigeant présente ses présente une présente le dirigeant laisse le
prend les vend ses idées et décision problème , définit des groupe
décisions décisions demande à conditionnelle obtient les limites et libre de
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l’intérieur respectées.
de ces
limites
QCM – thème 1 – l’intégration de l’entreprise dans son environnement

1 – les fonctions principales des ménages sont :

 Consommer
 Epargner
 Financer l’activité économique
 Produire des biens et services

2 – la fonction d’allocation de l’Etat intègre les actions suivantes :

 La mise en place des règles en matière de droit de la concurrence


 Le versement des prestations sociales
 Les mesures de politiques économiques
 La production des services non marchands

3 – les revenus du capital (ou du patrimoine) des ménages intègrent :

 Les salaires
 Les prestations sociales
 Les loyers tirés d’investissement locatif
 Les intérêts tirés de la détention d’action

4 – sur un marché concurrentiel, la hausse des prix d’un bien peut provenir :

 D’une pénurie d’offre


 D’une offre abondante
 D’une demande dynamique
 D’une demande fragile

5 – la compétitivité hors prix d’une entreprise repose sur :

 Sa maitrise des couts


 Sa capacité à vendre des produits à un prix inférieur à ceux de la concurrence
 Sa capacité à proposer des produits innovants
 Sa capacité à se différencier par l’image de marque

6 – l’existence des barrières à l’entrée d’un marché :

 Rend ce marché pleinement concurrentiel


 Correspond à une asymétrie d’information
 Correspond à une externalité
 Tends à faire baisser les prix du marché
 Aucune réponse de convient

7 – les écotaxes :

 Sont une réponse possible aux problèmes d’externalité positive


 Sont une réponse possible aux problèmes d’externalité négative
 Sont une réponse possible aux problèmes d’asymétrie d’information
 Obéissent au principe du pollueur - payeur

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