FICHE 7 RÉVISION DEC : LA CESSATION DES FONCTIONS DE

L'EXPERT‐COMPTABLE
AVANT DE DÉMARRER : QUELS SONT LES TEXTES FONDAMENTAUX QUI FONDENT CETTE
FICHE DE REVISION ?

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Résumé
Date

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Code civil, titres III, IV et IV En tant que contrat, la lettre de mission est principalement régie par le
bis Code civil

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Décret n° 2012‐432 du 30 Dispositions réglementaires relatives à la profession (« Code de déontologie

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mars 2012 »)

co
Normes professionnelles NPMQ, NPLAB et normes spécifiques applicables à chaque mission

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Dans le cas des missions prévues par la loi ou un règlement, la fin de mission est aussi prévue par le texte. Par
contre, dans le cadre des missions contractuelles, des conditions particulières doivent être respectées.
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1. RUPTURE DU CONTRAT PAR L’EXPERT‐COMPTABLE

pt

Le terme normal de la mission est celui prévu dans la lettre de mission. Toutefois, elle peut s’arrêter pour
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d’autres raisons :

● motifs justes et raisonnables tels que la perte de confiance manifestée par le client ou la
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méconnaissance par celui‐ci d’une clause substantielle du contrat (article 156 du code de déontologie)
;
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● survenance d’un événement susceptible de la placer ou de placer des personnes intervenant dans la
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mission dans une situation de conflit d’intérêts ou de porter atteinte à l’indépendance (article 157 du
code de déontologie) si des mesures de sauvegarde appropriées n’ont pu être mises en place.
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Dans le cas d’une mission conclue avec des particuliers, l’expert‐comptable doit informer le consommateur par
écrit, au plus tôt 3 mois et au plus tard 1 mois avant le terme autorisant le rejet de la reconduction, de la
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possibilité de ne pas reconduire le contrat.

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2. RUPTURE DU CONTRAT PAR LE CLIENT

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Le client peut également mettre fin à la mission selon les clauses prévues dans la lettre de mission, en respectant,
le cas échéant, le préavis (généralement 3 mois avant la date de clôture de l’exercice). Sans précision dans la
lettre de mission, le client peut rompre la relation sans formalité, sous réserve que la rupture ne soit ni brutale
ni abusive.
 La lettre de mission peut également prévoir le versement d’une indemnité de rupture, dans le cas où les
conditions de rupture ne sont pas respectées.

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Pour en savoir plus sur les conditions d’établissement de la lettre de mission :

● La lettre de mission, en pratique, CSOEC, édition 2022, disponible sur

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Bibliordre

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3. AUTRES CAUSES DE CESSATION DES FONCTIONS

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La mission peut également s’arrêter pour d’autres raisons :

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● cessation provisoire : demande adressée au Conseil régional de l’Ordre par lettre recommandée avec

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accusé de réception. La demande doit être motivée (préciser la nouvelle activité et la date à laquelle
elle va débuter) ;
● radiation pour départ à la retraite.
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