Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Introduction
. La psychologie des apprentissages est un champ de la psychologie qui
s’intéresse aux processus par lesquelles l’élève acquière des connaissances. Elle
permet de comprendre et expliquer les pratiques pédagogiques. Ainsi, la
pratique de toute pratique pédagogique il y’a une théorie psychologique qui la
soutant ; d’où on peut noter le cognitivisme. Ce dernier est un courant de la
recherche scientifique concernant le domaine des capacités à connaitre, agir,
parler, qui s’est amorcé au milieu du XXe siècle. Le cognitivisme propose
comme le Behaviorisme une vision de l’être humain, de l’enseignement et de
l’apprentissage. Il s’intéresse avant tout au fonctionnement de l’esprit et de
l’intelligence ainsi qu’à l’origine de nos connaissances.
C’est dans ce sciage qu’il sera nécessaire de définir le cognitivisme avec son
contexte historique ensuit, dégagez ses principes de base ; ses connaissances et
registre mémorielles. De ce fait ce sera d’une importance capitale de donner le
rôle de l’enseignant et de l’élève pour terminer par les apports et limites du
cognitivisme.
La mémoire sensorielle
L’être humain possède la capacité particulière de retenir brièvement une part
relativement importante de l’information qu’il perçoit. Le résultat de
l’expérience réalisée par SPERLING en 1960, largement confirmés depuis, ont
démontré que les informations présentées de façons visuelle sont enregistrée
pendant une vingtième de seconds sous forme d’une copie littéral du stimule
original, mais que cette « icone » s’estompe en un tiers de second, puis
disparait après une seconde. Outre la mémoire sensorielle iconique, traitant
des informations visuelle, d’autres mémoires sensorielles ont été distinguées
selon le type de l’information sensorielle. La mémoire « échoïque », par
exemple, enregistre et maintient les stimulus auditifs pendant une durée de 2
(deux) à 4 (quatre) secondes. Les mémoires prolongent en quelque sorte le
stimulus initiale afin de rendre possible son traitement ultérieur dans la
mémoire de travaille.
2 ) le rôle de l’apprenant
Le rôle de l’élève dans le cognitivisme c’est de traiter l’information dont l’élève
actif et engager consciemment dans le traitement de l’information.
Il est aussi constructif c’est-à-dire qu’il conçoit, intègre et réutilise des
connaissances. Il a besoin d’être aidé pour arriver à une stratégie efficace de
traitement d’information. L’approche est alors cognitiviste et procède par la
mobilisation de la compétence.
CONCLUSION
En définitive, l’étude cognitivisme se révèle comme une occasion de dévoiler
une contribution plurielle de discipline scientifique comme la biologie, la
psychologie, la neurologie, la physiologie pour ne citer que celle-ci dans
l’œuvre d’études des mécanismes de la connaissance en tant qu’étude de ces
mécanismes, ils constituent avec les autres théories comme le Behaviorisme le
bloc les théories de la connaissance. Le cognitivisme se constituant en courant
pédagogique ou encore en mouvement pédagogique qui s’est affirmé et à
détenir le Behaviorisme dans les années 1970.les mécanismes cognitifs étant
déformé bien connus grâce au développement de l’informatique, le
cognitivisme demeure incontournable dans le processus d’apprentissage et
doit cheminer avec le Behaviorisme pour donner davantage du tonus aux
stratégies d’apprentissage surtout avec l’avènement de la pédagogie de
l’intégration et non scolaire : l’entrée par les compétences. Cependant il faut
souligner les stratégies cognitives attendues chez les élèves par le cognitivisme
demeurent insuffisantes pour évaluer l’objectivité du travail de l’apprenant ;
car c’est seulement le comportement mesurables, sautant à l’œil nu, qui sont
les plus propres à l’évaluation. Même s’il faut accorder de l’importance à la
métacognition, il faut plus attendre l’apprenant dans l’action et dans le résultat
attendu pour des raisons que nous connaissons tous : parfois on est grand
théoriciens et grands concepteurs dans les projets, mais petits dans l’action.