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Etudiante : 11710668

Matière : Droit constitutionnel II – La Ve République

Etudiant étrangère

Dissertation :

Faut-il supprimer le Conseil Constitutionnel ?

Le Seconde Guerre Mondiale a provoqué des grands changements part tout et la France
n’est pas une exception. Le Charles de Gaulle devient le dernier président du Conseil de le IV
République et par la loi du 3 juin 1958 a réussi procéder à une rêvions constitutionnel. La
Constitution de Gaulle est adoptée par le referendum du 28 septembre 1958 et proclame le 4
octobre 1958. De cette façon il met fin à la IVe République et fait née la Ve République, le
régime plus stable et qui est au pouvoir et maintenant.
La nouvelle Constitution met en place un régime semi-présidentiel et détermine
l’organisation des organes comme le Président de la République, le Gouvernement, le
Parlement et aussi le Conseil Constitutionnelle.
Le Conseil constitutionnelle est donc l’organe par la Constitution de 1958 pour assurer le
contrôle de constitutionalité. Son organisation est prévue par les articles 56 à 63. Le rôle de
gardien de la Constitution est vraiment important. Grâce à ça un peut éviter les dérives des
organes, le non-respect des droit fondamentaux. Les pouvoir de quelle il dispose lui permet
d’avoir un rôle de plus en plus important. Tout ça fait que le Conseil devient aussi de plus en
plus critique.
On peut se demander alors es que le rôle du Conseil constitutionnelle est primordial et
légitime aujourd’hui.
Bien sûr que le Conseil a un rôle de gardien de la Constitution (I) est important mais est
qu’il peut assurer aujourd’hui un contrôle efficace et légitime (II).
I. Conseil Constitution – gardien de la Constitution.
Le rôle de gardien est déterminé par son organisation, compétences et nécessite (A) mais
es que on comprend bien son rôle entier (B).
A. Conseil constitutionnel : organisation, compétences et nécessite.
Le Conseil constitutionnelle est composé de 9 membres nommes pour un seul mandat de
9 ans, avec renouvellement par tiers tous les 3 ans. Le président de la République, le président
de l’Assemblée nationale et le président du Senat, désignent chacun 3 juges. Les anciens
présidents de la République sont membres de droit et a vie du Conseil constitutionnel, toutes
fois le projet de loi constitutionnelle de 2019 prévoit d’y mettre fin. Le Président de la
République nomme le président du Conseil constitutionnelle.
Le Conseil dispose des nombreuses compétences. Il a des compétences relatives à
l’exercice du suffrage. Aussi il peut statuer sur la régularité des élections des députes et des
sénateurs et jusqu’à le fait qu’il peut intervenir dans les élections présidentielles. Le Conseil
dispose des compétences sur statut des titulaires des certaines mandats.
A pars ça leur statut le permet certaines indépendances. Le mandat des membres du
Conseil constitutionnel n’est pas renouvelable. De plus, les membres du Conseil
constitutionnel ne peuvent pas être révoqués. Mais aussi existe certaines incompatibilités
comme : Les fonctions de membre du Conseil constitutionnel sont incompatibles avec celles
de ministre ou de parlementaire (art. 57 de la Constitution). Plus généralement, les fonctions
de membre du Conseil constitutionnel sont incompatibles avec l’exercice d’un mandat
électoral, y compris local. Enfin, les fonctions de membre du Conseil constitutionnel sont
incompatibles avec l'exercice de toute fonction publique et de toute autre activité
professionnelle ou salariée.
En plus de ces compétences, le Conseil a dans ses mains le contrôle de constitutionnalité.

B. Le rôle attribue au Conseil constitutionnelle


La mission principale du Conseil Constitutionnel est le contrôle de constitutionnalité des
lois. L’article 61 de la Constitution dispose que le contrôle est obligatoire pour les lois
organiques et les règlements des assemble parlementaire. Celle permit d’éviter que le
Parlement puisse modifier l’équilibre des pouvoirs et aussi que le chambres s’octroient des
pouvoirs que la Constitution ne prévoyait pas.
Ce contrôle de constitutionnalité peut être réalise a priori (avant la promulgation de la loi)
ou a posteriori (après la promulgation de la loi).
Le Conseil constitutionnel ait des nombreuses compétences qui sont en croissance depuis
les révisions de 1974 et 2008, mais il comporte des limites et son rôle devient de plus en plus
critique.

II. Conseil constitutionnel – un contrôle limite et légitime.


Certes, le Conseil dispose des pouvoir et compétences en grande quantité. Mais ces
compétences sont limites (A) et posse beaucoup des questions sur la légitimité de ses
compétences (B).
A. La limitation du contrôle de constitutionnalité
Si le contrôle pour les lois organiques et règlements parlementaires est automatique, on
parle d’un contrôle facultatif en cas de lois ordinaires et traites internationales. L’article 62
alinéa 2 de la Constitution 1958 dispose que les lois ordinaires peuvent être déférées au
conseil constitutionnel avant leur promulgation. L’article 54 qui concerne les traites
internationales rend possible la saisine du Conseil par les mêmes personnes que pour les lois
ordinaires.
De plus pour les lois référendaires, les lois de révision (article 89) et traites internationaux
le Conseil est incompétent.
B. La légitimité du Conseil Constitutionnelle
Les plus grandes critiques qui reçoivent a s’adresse au Conseil parle de un mode de
désignation contestable et la procédure secrète et non contradictoire.
La loi organique du 19 janvier 1995 a rendu la fonction de juge constitutionnel
incompatible avec l’exercice de tout mandat électoral. Mais les autorités de nomination
disposent d’une entière liberté dans le choix des personnes : aucune exigence d’expérience, de
compétence juridique, de limite d’âge. L’absence de ces limites accentue le caractère
politique et permettant la désignation de proches du Président de la République et des
Présidents des Assemblées.
Le procès constitutionnel est écrit –sans intervention d’avocat et les requêtes ne peuvent
être motivées- et secrète, le public n’était pas admis aux audiences, ce qui est contraire au
principe selon lequel la justice doit être rendue au public. Même après certaines modifications
comme la publication du nom des membres ayant participé à la délibération et la publication
au Journal Officiel des lettres, le Conseil est toujours critique et compare à une troisième
chambre ou à un gouvernement des juges.
La composition même du Conseil constitutionnel est remise en question. Beaucoup
dénoncent leur inutilité. Un autre problème est que les membres de droit peuvent choisir
quand ils seront présents pour un sujet en particulier, ce qui risque d’avoir une certaine
influence dans une décision importante. Alors que les membres nommés ont des compétences
juridiques et savent être impartiaux.

Au condition de évolution du Conseil Constitutionnel et l’adaptation des divers


modification et une élection plus rigoureuse sa utilité en qualité de Gardien de la Constitution
vas être justifie après la adaptation d’un politique plus transparente.

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