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destinataire. Il souligne également l'importance de ne pas abréger les titres de civilité et de les utiliser
correctement dans la correspondance.
IX-FORMULE DE POLITESSE OU DE COURTOISIE
Ce chapitre explique l'importance de la formule de politesse à la fin de la lettre pour répondre aux règles de
civilité. Il présente différentes formules de politesse en fonction du destinataire et de l'objet de la lettre. Il
met en garde contre l'utilisation de formules inappropriées ou incorrectes.
X- LE PLAN
Ce chapitre explique l'importance de structurer la lettre en utilisant un plan clair. Il présente les différentes
parties d'une lettre, y compris l'introduction, le développement et la conclusion. Il souligne l'importance de
limiter chaque lettre à un seul objet.
XI-PROTECTION DES DOCUMENTS
Ce chapitre aborde les différentes mentions utilisées pour garantir la protection des documents
administratifs. Il explique les différentes classifications des informations en fonction de leur degré de
confidentialité. Il présente également les différentes mentions usuelles telles que "urgent" ou "rappel" à
utiliser sur les documents.
XII- STRUCTURE DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS
Les documents administratifs doivent comporter une en-tête avec les informations de l'administration, le
titre du document, la référence et la date. Les documents peuvent être divisés en différentes parties telles
que l'introduction, le corps, la conclusion et les annexes. Certains documents administratifs ont des formats
préétablis, tels que les procès-verbaux et les rapports.
XIII- RÈGLES DE RÉDACTION
Les rédacteurs doivent être précis, clairs et concis dans leur écriture. Les phrases doivent être courtes et
les paragraphes bien structurés. Il est important d'utiliser un vocabulaire compréhensible et d'éviter les
termes techniques ou juridiques complexes.
XIV- LA PRÉSENTATION DES PROCÈS-VERBAUX
Les procès-verbaux:
- peuvent être intégraux, analytiques ou synthétiques en fonction de leur contenu ;
- peuvent être présentés sous forme de tableau avec des colonnes pour l'ordre du jour, la synthèse
des débats, les décisions, etc.
- doivent comporter une introduction, un corps, une conclusion et une formule finale avec les
signatures.
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Il convient de noter que ces exemples ne couvrent pas tous les types de documents administratifs, mais ils
illustrent quelques-uns des documents couramment utilisés dans le contexte administratif.
a. Émetteur : C'est l'acteur qui produit et envoie le message. Il peut s'agir d'une personne ou d'une entité dans
divers secteurs de la vie, tels que le secteur privé ou le secteur public.
b. Récepteur : C'est l'acteur qui reçoit et interprète le message. Comme l'émetteur, le récepteur peut être une
personne ou une entité dans différents secteurs.
c. Lieu : C'est l'endroit physique où se déroule la communication. Il est nécessaire pour l'énonciation du
message.
d. Moment : C'est le moment précis où la communication a lieu. Il est également nécessaire pour l'énonciation
du message.
Ces quatre éléments sont indispensables dans une situation de communication et contribuent à influencer la qualité
et la nature de la communication qui se déroule.
2. Quelles sont les qualités attendues dans les écrits administratifs ?
Les qualités attendues dans les écrits administratifs sont les suivantes :
a. Dignité : Les écrits administratifs doivent être rédigés avec une certaine gravité et respect. Ils doivent refléter
l'autorité et la compétence de l'administration.
b. Respect de la hiérarchie : Les écrits administratifs doivent respecter la hiérarchie en utilisant des formules de
politesse appropriées et en suivant les procédures établies.
c. Sens des responsabilités : Les rédacteurs administratifs doivent être conscients de l'impact potentiel de leurs
écrits et prendre leurs responsabilités en garantissant la véracité des informations et en évitant les erreurs ou
les omissions.
d. Objectivité : Les écrits administratifs doivent rester neutres et impartiaux, en se basant sur des faits et des
informations vérifiables, sans émettre de jugements personnels ou de préjugés.
e. Courtoisie : Les rédacteurs administratifs doivent faire preuve de courtoisie et de politesse dans leurs
communications, en utilisant des formules de politesse et en évitant tout langage offensant ou désobligeant.
f. Prudence : Les écrits administratifs doivent être rédigés avec prudence, en prenant soin de ne pas divulguer
des informations confidentielles ou sensibles, et en évitant de compromettre la sécurité ou la confidentialité
des personnes ou des institutions.
g. Précision et exactitude : Les écrits administratifs doivent être précis et exacts dans la formulation des faits,
des chiffres et des informations. Ils doivent éviter toute ambiguïté ou interprétation erronée.
h. Clarté, concision et efficacité : Les rédacteurs administratifs doivent utiliser un langage clair et simple, évitant
le jargon administratif et les phrases complexes. Les informations doivent être présentées de manière
concise, sans digressions inutiles. Ils doivent être efficaces dans leur objectif de communication, en
transmettant les informations de manière claire et compréhensible, en évitant les redondances et en
fournissant les actions ou les prochaines étapes nécessaires.
En résumé, les écrits administratifs doivent être dignes, respecter la hiérarchie, avoir un sens des responsabilités,
être objectifs, courtois, prudents, précis, clairs, concis et efficaces. Ces qualités garantissent une communication
administrative de qualité et contribuent à l'efficacité de l'administration.
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3. Comment le respect de la hiérarchie se manifeste-t-il dans la rédaction administrative ?
Dans la rédaction administrative, le respect de la hiérarchie se manifeste de différentes manières. Voici quelques
exemples :
a. Utilisation de formules de politesse appropriées : Les rédacteurs administratifs utilisent des formules de
politesse et de respect en s'adressant à des supérieurs hiérarchiques dans leurs écrits, telles que "Veuillez
agréer, Monsieur/Madame, l'expression de ma respectueuse considération" ou "Je vous prie de bien vouloir
trouver ci-joint...".
b. Respect des procédures et des circuits de validation : Les écrits administratifs doivent suivre les procédures
établies et être soumis aux différents niveaux hiérarchiques pour validation. Ainsi, ils ne sont pas publiés ou
envoyés sans l'approbation des responsables concernés.
c. Intégration des recommandations et des corrections des supérieurs : Lorsque des corrections ou des
recommandations sont faites par les supérieurs hiérarchiques, il est attendu que les rédacteurs administratifs
les prennent en compte et les intègrent dans leurs écrits.
d. Respect des niveaux de langage appropriés : Dans les écrits administratifs, il est important d'utiliser un
langage adapté au niveau hiérarchique de chaque destinataire. Ainsi, les subordonnés utilisent un langage
respectueux et formel en s'adressant à leurs supérieurs.
e. Hiérarchisation et présentation des informations : Les écrits administratifs doivent être structurés de manière
à mettre en évidence l'ordre hiérarchique des informations. Par exemple, les décisions et les
recommandations des supérieurs hiérarchiques sont présentées avant les informations provenant des
subordonnés.
f. Respect des délais et des priorités : Les rédacteurs administratifs doivent respecter les délais fixés par les
supérieurs hiérarchiques et donner la priorité aux tâches et aux demandes qui leur sont assignées.
En résumé, le respect de la hiérarchie dans la rédaction administrative se traduit par l'utilisation de formules de
politesse, le suivi des procédures et des circuits de validation, l'intégration des recommandations des supérieurs,
l'utilisation d'un langage approprié, la hiérarchisation des informations et le respect des délais et des priorités fixés
par l'autorité hiérarchique.
1. Quels sont les problèmes courants dans la rédaction administrative et comment peuvent-ils être
améliorés ?
Les problèmes courants dans la rédaction administrative peuvent inclure :
a. Manque de clarté et de concision : Les rédacteurs administratifs peuvent avoir tendance à utiliser un langage
complexe et des phrases longues, ce qui rend la communication difficile à comprendre. Pour améliorer cela, il
est recommandé d'utiliser un langage simple, des phrases courtes et d'éviter les termes techniques ou
jargons.
b. Manque de structure : Les lettres administratives doivent être bien organisées et suivre une structure claire.
Les rédacteurs peuvent améliorer cela en utilisant des paragraphes clairement définis pour chaque point ou
argument, en utilisant des titres et sous-titres pour guider le lecteur et en ajoutant des espaces ou des alinéas
pour faciliter la lisibilité.
c. Utilisation incorrecte de la ponctuation et des majuscules : Une mauvaise utilisation de la ponctuation et des
majuscules peut entraîner une confusion ou changer le sens d'une phrase. Il est important de respecter les
règles de ponctuation et d'utiliser les majuscules de manière appropriée pour mettre en évidence les noms
propres et les titres.
d. Manque de propositions de solutions alternatives : Dans certains cas, l'administration peut rejeter une
demande ou prendre une décision défavorable pour l'usager. Cependant, il est important d'offrir des solutions
alternatives ou de donner des instructions sur les mesures à prendre pour contester la décision. Cela peut
être amélioré en incluant des suggestions ou des options pour résoudre le problème.
Pour améliorer la rédaction administrative, il peut être utile de suivre les conseils suivants :
- Se mettre à la place de l'usager et utiliser un langage simple et clair.
- Structurer la lettre de manière logique et en utilisant des titres et sous-titres si nécessaire.
- Respecter les règles de ponctuation et d'utilisation des majuscules.
- Proposer des solutions alternatives ou des mesures à prendre pour faire appel ou contester la décision.
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- Relire et réviser la lettre pour vérifier la clarté, la cohérence et l'exactitude des informations.
2. Quelles sont les règles de ponctuation les plus importantes à respecter dans la rédaction
administrative ?
Les règles de ponctuation les plus importantes à respecter dans la rédaction administrative sont :
a. Utilisation du point (.) : Le point est utilisé pour marquer la fin d'une phrase déclarative ou informative.
b. Utilisation du point-virgule (;) : Le point-virgule est utilisé pour séparer des éléments dans une énumération ou
pour séparer deux phrases indépendantes mais étroitement liées.
c. Utilisation de la virgule (,) : La virgule est utilisée pour séparer des éléments dans une énumération, pour
séparer des clauses ou des propositions dans une phrase complexe, et pour séparer des mots ou des
groupes de mots dans une liste.
d. Utilisation des deux points (:) : Les deux points sont utilisés pour introduire une liste, une explication, une
citation ou une démonstration.
e. Utilisation du point d'interrogation (?) : Le point d'interrogation est utilisé à la fin d'une phrase interrogative
directe.
f. Utilisation du point d'exclamation (!) : Le point d'exclamation est utilisé pour exprimer une émotion intense,
une surprise ou une exclamation.
Il est important de noter que la ponctuation dans la rédaction administrative doit être utilisée de manière appropriée
pour faciliter la compréhension et la clarté du message. Il est conseillé de ne pas surutiliser la ponctuation et de
suivre les règles de ponctuation générales de la langue française.
3. Pourquoi est-il important de mettre en valeur les titres et sous-titres dans les écrits administratifs et
comment le faire de manière appropriée ?
Il est important de mettre en valeur les titres et sous-titres dans les écrits administratifs pour plusieurs raisons :
a. Faciliter la lecture et la compréhension : La mise en valeur des titres et sous-titres aide les lecteurs à repérer
rapidement les différentes sections d'un document, ce qui facilite la navigation et la compréhension globale
du contenu.
b. Structurer l'information : Les titres et sous-titres bien mis en valeur permettent de structurer l'information de
manière claire et logique. Ils servent de repères visuels pour organiser les différentes parties du document et
aider les lecteurs à se repérer dans le contenu.
c. Hiérarchiser les informations : En utilisant différents niveaux de titres et sous-titres, on peut établir une
hiérarchie des informations présentées. Cela permet aux lecteurs de comprendre quelles sont les idées
principales et les sous-thèmes abordés, et permet une lecture sélective en fonction de l'intérêt ou du besoin
spécifique du lecteur.
Pour mettre en valeur les titres et sous-titres de manière appropriée, voici quelques conseils :
a. Utilisation de la mise en forme : Les titres principaux peuvent être mis en valeur en étant centrés ou en
utilisant une police plus grande ou en gras. Les sous-titres peuvent être alignés à gauche, avec une taille de
police légèrement plus petite. Il est important de maintenir une cohérence dans la mise en forme pour que les
lecteurs puissent facilement identifier la hiérarchie des informations.
b. Choix de mots clés : Les titres et sous-titres doivent être concis et précis, en utilisant des mots clés qui
reflètent le contenu de chaque section. Évitez les titres trop longs ou ambigus qui pourraient prêter à
confusion.
c. Respect de la logique et de la structure du document : Les titres et sous-titres doivent suivre une progression
logique et refléter l'organisation du contenu. Il est recommandé de découper les titres par unités de sens et
de ne pas surcharger une seule section avec trop de sous-titres.
En résumé, la mise en valeur appropriée des titres et sous-titres dans les écrits administratifs facilite la lecture,
structure l'information et hiérarchise les idées. Elle peut être réalisée en utilisant des éléments de mise en forme
clairs et cohérents tout en choisissant des mots clés précis pour chaque section.
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4. Quelles sont les différentes parties d'une lettre administrative et quelles informations doivent être
incluses dans chaque partie ?
Dans une lettre administrative, il existe différentes parties qui doivent être incluses :
a. En-tête : Cette partie comprend généralement le nom de l'organisation ou du service émetteur, l'adresse
postale, le numéro de téléphone, l'adresse e-mail et éventuellement le logo officiel.
b. Date : La date d'envoi de la lettre est importante pour la traçabilité des échanges.
c. Destinataire : Il s'agit du nom complet, du poste occupé et de l'adresse du destinataire de la lettre
administrative.
d. Objet : Cette partie énonce clairement l'objet de la lettre et doit être concise et précise.
e. Salutation : C'est la formule de civilité utilisée pour adresser la lettre au destinataire. Elle peut varier en
fonction du niveau hiérarchique du destinataire et de la relation avec celui-ci.
f. Corps de la lettre : C'est la partie principale de la lettre dans laquelle sont développés les faits, les
informations ou les demandes spécifiques. Il faut être clair, précis et concis dans l'expression des idées.
g. Conclusion : Cette partie remercie le destinataire pour son attention et peut éventuellement inclure une
invitation à une action ou à une réponse.
h. Formule de politesse : La formule de politesse est utilisée pour conclure la lettre de manière respectueuse.
Elle varie en fonction de la relation avec le destinataire.
i. Signature : La lettre doit être signée par l'auteur ou une personne habilitée, avec mention du titre ou de la
fonction exercée.
j. Pièces jointes : Si des documents supplémentaires sont inclus, ils doivent être mentionnés dans la lettre et
répertoriés en annexe.
Il est important d'adapter la formule de politesse en fonction du niveau de familiarité et de formalité de la relation
avec le destinataire. Il est préférable de rester professionnel et respectueux dans tous les cas.
6. Quelles sont les mesures de protection des documents administratifs et quelles sont les mentions
utilisées pour indiquer leur degré de confidentialité ?
Les mesures de protection des documents administratifs peuvent inclure différentes mentions utilisées pour indiquer
leur degré de confidentialité. Voici quelques exemples :
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a. Mention "Confidentiel" : Cette mention est utilisée sur une lettre en forme administrative pour indiquer au
destinataire qu'il ne doit communiquer cette lettre à personne. Elle indique un niveau élevé de confidentialité.
b. Mention "Personnel" : Cette mention est utilisée sur une lettre en forme personnelle pour indiquer au
destinataire qu'il ne doit pas la divulguer à d'autres personnes. Elle est utilisée dans un contexte plus restreint
que la mention "Confidentiel".
c. Mention "Diffusion restreinte" ou "Diffusion limitée" : Ces mentions sont utilisées sur un document pour
indiquer que sa diffusion est limitée et qu'il ne peut être communiqué qu'à des personnes soumises aux
mêmes obligations de discrétion professionnelle.
d. Mention "Très secret défense (TSD)" ou "Secret défense (SD)" : Ces mentions sont réservées aux
informations dont la révélation pourrait nuire à la sûreté nationale. Elles indiquent un niveau extrêmement
élevé de confidentialité.
e. Mention "Confidentiel défense (CD)" : Cette mention concerne des informations qui, bien qu'elles n'aient pas
à être secrètes en elles-mêmes, peuvent conduire à un secret lorsqu'elles sont combinées avec d'autres
informations.
Ces mentions de degré de confidentialité indiquent la nécessité de protéger les documents administratifs et de
restreindre leur accès à un cercle restreint de personnes autorisées. Elles veillent à ce que les informations
sensibles ne soient pas divulguées à l'extérieur de l'administration ou à des tiers non autorisés.
7. Quelles sont les règles de rédaction à suivre pour améliorer la qualité des documents
administratifs ?
Les règles de rédaction à suivre pour améliorer la qualité des documents administratifs sont les suivantes :
a. Définir des règles simples de présentation et de rédaction.
b. Se montrer impartial en évitant les appréciations personnelles des faits.
c. Offrir la possibilité d'utiliser un procès-verbal intégral ou analytique (qui inscrit toutes les interventions) ou
synthétique (qui inscrit les idées essentielles et les décisions prises).
d. En cas de choix d'un procès-verbal synthétique, il peut être réalisé sous forme de tableau comportant les
colonnes suivantes : ordre du jour, synthèse des débats, décisions, responsable, délai, observations.
e. Mentionner les éléments de l'introduction sur la page de garde, ainsi que la formule finale et les signatures
sur la dernière page du procès-verbal.
f. Utiliser une introduction qui comprend le cadre administratif, l'objet, la date, l'heure, le lieu, la qualité, la date
de convocation et le titre de l'agent chargé de rédiger le procès-verbal.
g. Pour les réunions, inclure également les présents, les absents, l'identité du président et éventuellement le
quorum.
Il est important de noter qu'il n'y a pas de plan type pour la rédaction d'un procès-verbal, sauf pour ceux qui sont
rédigés sur des formulaires préétablis.
8. Quels sont les différents types de documents administratifs et leurs utilisations spécifiques?
Voici quelques exemples de types courants de documents administratifs :
a. Lettre : Utilisée pour la correspondance officielle, les demandes, les réponses ou les notifications.
b. Note de service : Utilisée pour diffuser des informations, des instructions ou des consignes à l'ensemble du
personnel d'une organisation.
c. Rapport : Document détaillant les observations, les analyses ou les résultats d'une étude ou d'une enquête.
d. Convention : Document juridique établissant les droits et les obligations entre parties, telles qu'un contrat ou
un accord.
e. Procès-verbal : Résumé formel des débats, des décisions prises et des actions entreprises lors d'une réunion
ou d'une assemblée.
f. Circulaire : Document diffusé à un groupe spécifique de personnes à des fins d'information ou d'instruction.
g. Demande/Formulaire administratif : Document standardisé utilisé pour soumettre des demandes ou fournir
des informations dans le cadre de procédures administratives.
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9. Points communs et différences entre compte-rendu et procès-verbal
Les points communs entre un compte rendu et un procès-verbal sont les suivants :
a. Objectif de communication : Les deux documents ont pour objectif de transmettre des informations sur une
réunion, une conférence ou tout autre événement. Ils permettent de rapporter les propos échangés, les
décisions prises, les actions à entreprendre, etc.
b. Structure narrative : Tant le compte rendu que le procès-verbal sont généralement rédigés de manière
narrative, en suivant un ordre chronologique des événements. Ils comprennent des introductions, des
développements et des conclusions pour rendre compte de manière claire et compréhensible ce qui s'est
passé lors de l'événement.
c. Source d'information : Les deux documents sont basés sur les observations directes ou les notes prises lors
de l'événement. Ils doivent refléter de manière objective ce qui s'est réellement passé, sans ajouter de
commentaires personnels ou de jugements de valeur.
Malgré ces similitudes, il y a quelques différences spécifiques entre un compte rendu et un procès-verbal :
d. Niveau de détail : Le compte rendu peut être moins détaillé et se concentrer sur les informations les plus
importantes et les points clés de l'événement. En revanche, le procès-verbal est plus exhaustif et peut inclure
toutes les interventions, les discussions et les décisions prises lors de la réunion.
e. Caractère officiel : Le procès-verbal a généralement un caractère officiel et juridique, car il peut être utilisé
comme preuve ou support pour prendre des décisions ultérieures. Le compte rendu, quant à lui, peut avoir un
caractère plus informel et être utilisé principalement pour garder une trace des événements.
f. Destinataires : Le compte rendu est souvent destiné à un public plus large, tandis que le procès-verbal est
principalement destiné aux personnes qui ont participé à la réunion ou à l'événement. En raison de son
caractère plus officiel, le procès-verbal peut également être transmis à des tiers ou à une autorité
compétente.
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En somme, tant le compte-rendu que le rapport ont pour but de communiquer des informations, mais le compte-
rendu est généralement plus concis et factuel, tandis que le rapport peut être plus détaillé, analytique et comprendre
des avis et des recommandations.
11. Points communs et différence entre le rapport et la note technique
Les points communs entre un rapport et une note technique sont les suivants :
a. Objectif d'information : Les deux documents ont pour objectif de transmettre des informations spécifiques à
un destinataire. Ils sont utilisés pour présenter des faits, des résultats de recherche, des analyses ou des
recommandations sur un sujet précis.
b. Rigueur et précision : Tant le rapport que la note technique exigent un niveau élevé de rigueur et de précision
dans la présentation des informations. Ils doivent être basés sur des données fiables et être rédigés de
manière claire et compréhensible.
c. Structure : Les deux documents suivent généralement une structure formelle qui comprend une introduction,
des sections de développement et une conclusion. Ils peuvent également inclure des tableaux, des
graphiques ou d'autres éléments visuels pour soutenir les informations présentées.
Malgré ces similitudes, il y a quelques différences spécifiques entre un rapport et une note technique :
a. Nature des informations : La note technique se concentre principalement sur des sujets techniques ou
scientifiques spécifiques, tels que des problèmes de conception, des spécifications techniques ou des
procédures détaillées. Le rapport, quant à lui, peut couvrir une gamme plus large de sujets, y compris des
analyses, des études de marché, des propositions de projets, etc.
b. Profondeur d'analyse : Le rapport est généralement plus détaillé et approfondi dans son analyse et ses
conclusions. Il peut consister en une évaluation approfondie, une synthèse de données ou des
recommandations basées sur une analyse approfondie. La note technique, en revanche, peut être plus
concise et se concentrer sur des informations techniques spécifiques.
c. Destinataires : La note technique est souvent destinée à des personnes ayant une expertise technique dans
le domaine concerné, comme des ingénieurs, des scientifiques ou des professionnels spécialisés. Le rapport,
quant à lui, peut être destiné à un public plus large, y compris des décideurs, des dirigeants d'entreprise ou
d'autres parties prenantes qui souhaitent obtenir une vue d'ensemble et des recommandations sur un sujet
donné.
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a. Destinataire : La lettre de service est destinée à un autre service, une organisation ou une personne
travaillant au sein de l'administration, tandis que la lettre à forme personnelle est habituellement adressée à
une personne spécifique dans un contexte personnel ou professionnel non administratif.
b. Contenu : La lettre de service est généralement utilisée pour communiquer des informations liées aux
procédures administratives, aux décisions officielles ou aux demandes entre les services, tandis que la lettre
à forme personnelle peut aborder une variété de sujets personnels, tels que les relations amicales, les
félicitations, les remerciements, etc.
c. Ton et style de rédaction : La lettre de service adopte généralement un ton formel et utilise un langage objectif
et impersonnel, tandis que la lettre à forme personnelle peut être plus informelle et adaptée au lien personnel
avec le destinataire.
d. Mentions obligatoires : La lettre de service doit inclure certaines mentions obligatoires, telles que les
références légales, les coordonnées du service émetteur, etc., en fonction des réglementations internes de
l'administration. En revanche, la lettre à forme personnelle n'a pas de mentions obligatoires spécifiques, bien
qu'il soit courant d'inclure les coordonnées de l'expéditeur pour faciliter la correspondance.
e. Formalités finales : En conclusion d'une lettre de service, on peut utiliser des formules de courtoisie
spécifiques, telles que "Veuillez agréer, Monsieur/Madame, l'expression de mes salutations distinguées".
Dans une lettre à forme personnelle, les formules de courtoisie peuvent varier en fonction de la relation entre
les personnes concernées.
14. Pourquoi dit-on que la signature est une condition de validité d’une lettre administrative ?
On dit que la signature est une condition de validité d'une lettre administrative pour plusieurs raisons :
d. Authentification : La signature permet d'authentifier l'auteur de la lettre. Elle atteste que la personne qui a
rédigé la lettre est bien celle qui prétend l'avoir envoyée, et confirme donc l'identité de l'émetteur. Cela évite
toute confusion ou usurpation d'identité.
e. Engagements officiels : La signature sur une lettre administrative implique que l'auteur assume la
responsabilité et la véracité du contenu de la lettre. Cela donne une valeur officielle au document, car la
signature engage l'auteur sur les informations ou les décisions qui y sont exposées.
f. Preuve juridique : La signature est importante pour établir une preuve juridique de la réception ou de l'envoi
de la lettre. En cas de litige ou de contentieux, la signature peut servir de preuve matérielle de l'existence et
de l'authenticité de la correspondance.
g. Respect des règles administratives : Dans de nombreux pays, les lois et les règlements administratifs exigent
que les lettres officielles portent la signature de l'autorité compétente. En l'absence de signature, la lettre peut
être considérée comme invalide et non conforme aux exigences légales.
h. Suivi de la chaîne hiérarchique : La signature permet également de suivre la chaîne hiérarchique au sein de
l'administration. Chaque personne responsable de l'examen ou de l'approbation de la lettre peut apposer sa
propre signature, indiquant ainsi son implication et son accord formel.
En résumé, la signature est une condition de validité d'une lettre administrative car elle authentifie l'auteur, engage
sa responsabilité, constitue une preuve juridique et respecte les règles administratives et la chaîne hiérarchique.
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c. Instructions et directives : L'autorité supérieure donne des instructions et des directives à l'autorité
subordonnée concernant l'exercice de la compétence déléguée. Ces instructions peuvent inclure des lignes
directrices, des procédures à suivre, des objectifs à atteindre, des limites à respecter, etc.
d. Responsabilité partagée : Bien que la compétence puisse être déléguée, l'autorité supérieure reste
responsable des résultats et des conséquences de l'exercice de la compétence déléguée. Cela signifie que
l'autorité supérieure doit superviser et contrôler l'exécution des tâches et peut révoquer ou modifier la
délégation si nécessaire.
e. Niveau hiérarchique : La délégation de compétence s'effectue généralement entre différentes autorités
hiérarchiques. Cela peut inclure des responsables de niveaux différents dans l'organisation ou des autorités
subordonnées d'un service à un autre au sein d'une même administration.
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La lettre entre services est un type de correspondance utilisé pour communiquer entre différents services au sein
d'une organisation ou d'une administration publique. Elle peut servir à transmettre des informations, des demandes,
des rapports ou des instructions entre les différents services.
Différences :
Il est important de noter que, bien que la délégation de signature et la délégation de compétence partagent ces
points communs, elles diffèrent par nature et par objet. La délégation de signature vise principalement à déléguer le
pouvoir de signer des documents, tandis que la délégation de compétence concerne le transfert de responsabilités
décisionnelles et d'exécution de tâches spécifiques.
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