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B.P. 202
MBANZA-NGUNGU
Directeur :
Prof.MASAMBA LULENDO MPANDA Val
Rapporteur :
C.T. KIMFUTA KIKANDA Franck
Présenté par :
KIATOKO SOLI Murphy
EPIGRAPHE
«Il n’y a qu’avec une totale immaturité qu’on peut accomplir des
grandes choses ; celles que les gens qui sont trop matures et trop sérieux ne
pourront jamais accomplir, même pas imaginer tellement qu’ils ont l’esprit étriqué ».
ii
IN MEMORIAM
Notre mère était une femme formidable qui a influencé
d’innombrable vie. A notre regrettée maman Mimi MILAMI SOLI, que vous soyez
immortalisée par ce travail. Vos empreintes restent à jamais marquées dans le
souvenir de nos pensées. C’est aujourd’hui plus que jamais que nous apprécions la
valeur de vos efforts, la justesse de votre éducation et le caractère précieux de vos
conseils.
DEDICACE
REMERCIEMENTS
Nous rendons grâce au tout puissant pour la vie et la bonne santé qu’il nous a
accordées au moment de l’élaboration dudit travail. Nous remercions, avant tout, les
autorités académiques et scientifiques de l’université Kongo, pour leur dévouement à
notre formation.
Nous remercions également nos frères et sœurs, Oncles et tantes: Junior NLEMVO
SOLI, Sandrine SOLI, Alida SOLI, Hermine SOLI, Corneille MANDA, Verro LEMA, Pascal
MUDJIKONDA, Mony MANENE, Divine BAZOLANA, Plamedie NYOTA, pour votre
amour fraternel et soutien matériel.
Nous ne pouvons clore ce point précis sans remercier tous nos camarades et
compagnons de lutte en général, et particulièrement à Merveille MIANKODILA,
Therance BANZUZI, ALDO NZUIKI, Louange TEKADIOMONA, Gloire MAKIESE, Glody
LUKAU, Japhet LUKEBA, KABUNGULU SADIKI, Onyx LOMAMI, Jonathan N’GOY,
Vandrish DIASIVI, Ronish DIAKOTA, Isaac TSHIKUMA, Shekinah MANTEZOLO pour
avoir partagé ensemble les difficultés et épreuves de tout genre.
Que tous ceux qui ne sont pas cités ici, mais qui d’une façon ou d’une autre ont
contribué à la réussite de ce travail, trouvent à travers ces lignes l’expression de
notre profonde gratitude.
KIATOKO SOLI Murphy
v
1
0. INTRODUCTION
0.1. Problématique
Les PME sont l'épine dorsale de l’économie. Elles constituent la plus
grande partie du tissu économique et représentent plus de 90 pourcent
de toutes les entreprises. Elles sont la source la plus importante d’emploi
dans tous les secteurs économiques et dans les zones rurales et
urbaines et contribuent à la réduction des écarts de développement.
Elles favorisent un développement équitable sur une large base et offrent
plus de possibilités pour les femmes et facilite la participation des
jeunes dans le développement économique du pays. Avec la
mondialisation, le secteur des PME est non seulement considéré comme
un secteur de « protection et de promotion», mais aussi comme une
force pour "la croissance et le développement" (SNPME : Stratégie
Nationale des Petites et Moyennes Entreprises).
Actuellement les PME se lancent dans un défi d’entreprendre dans
toutes branches de l’activité économique. D’où ses financements, ses
outils de gestion etc. sont considérés par la littérature managériale
comme un moyen permettant aux PME de faire face au contexte d’un
environnement de plus en plus complexe mais aussi à ceux de sa propre
performance (Manika j.p, 2011).
Dans la plupart des pays en voie de développement et des pays les
moins avancés, les PME font face à d‘importantes contraintes
financières pour leur développement et leur croissance.
Le secteur des PME, cependant, est confronté en RDC à un large éventail
de défis institutionnels, financiers et autres parmi lesquels un accès
limité aux finances, aux technologies et aux marchés. S’y ajoutent aussi
la question de l'esprit d'entreprise, et les compétences de gestion au sein
des PME.
Par ailleurs, à la base du développement de tout secteur privé se trouve
la création d’entreprises dont l’entrepreneuriat devient ainsi un choix
prioritaire des politiques publiques africaines, un champ de recherche
essentiel qui attire de plus en plus des chercheurs dans les pays
développés et ceux en voie de développement et un domaine de
formation privilégié (Miambutila M, 2017).
L’activité entrepreneuriale est l’action de créer de la richesse et/ou de
l’emploi par la création ou la reprise d’entreprise. L’entrepreneuriat
2
3
ShombaKinyamba et alii, 2014, P.71
4
Selon la Banque Mondiale, les PME sont des entreprises engagées dans
les activités comportant les difficultés d'accès sous la forme
d'infrastructures et de ressources humaines et qui n'ont pas d'accès aux
4
J.P et C. BRUYET, entrepreneur, revue organisation, paris, 1990, p56
7
Une PME est une micro entreprise qui traduit la réalisation des activités
économiques et doit intégrer les principaux éléments de la culture
5
d’entreprise ou du moins celle qu’on cherche à atteindre.
Pour Gingembre Léon, les PME sont celles qui sont exploitées par des
patrons qui risquent dans leurs affaires, dans leurs propres capitaux et
qui exercent dans ces affaires, une administration et des techniques
effectives, et qui ont des contacts directs et permanents avec leur
6
personnel.
Au Japon : la PME est définie en se servant des critères comme le
nombre des travailleurs, le capital et le secteur d'activité, c'est-à-dire
considère comme PME une sorte d'entreprise qui n'emploie pas plus de
300 personnes et qui a un capital inférieur à 50 personnes et qui a un
capital inférieur à 10 millions (de gens), pour celles qui ont des activités
dans les secteurs du commerce et de services.7
Concernant la définition de la PME en RDC, plusieurs définitions sont
formulées, soit en fonction du capital financier ou de l'effectif employé,
soit en fonction de la nationalité du propriétaire ou du mode de gestion
spécialisé. Nous avons retenus quatre définitions suivantes (Camilleri, J-
L, 1996) :
à réserver le secteur des PME aux seuls entrepreneurs nationaux. Et, elle
insiste sur la concentration de la gestion au niveau de chef d'entreprise.8
- Le décret-loi n° 086 du 10 juillet 1998, portant régime fiscale
applicable aux PME en matière d'impôt sur les revenus professionnels et
d'impôts sur le chiffre d'affaires à l'intérieur tel que modifié à ce jour,
définit la PME comme toute entreprise quelle que soit sa forme juridique,
qui emploie un personnel de moins de 200 personnes et dont la valeur
totale du bilan ne dépasse pas 448 millions de francs Congolais. Cette
définition, qui repose sur des critères bien définis vient remédier au
caractère sommaire et inapproprié de la première définition. Elle ouvre
les portes du secteur de PME aux étrangers.
1982).
9
Revue, les PME au japon «in japon économique», spécial n°53, p.2
10
Ayant pratiquement une taille similaire avec celle des PME informelles,
les PME formelles sont d’une forme un peu plus purifiée des PME
informelles. Elles sont soumises aux règles contractuelles, à des
autorisations fiscales. Elles représentent toute activité enregistrée qui
suit la réglementation de l’Etat et bénéficiant des facilités d’accès au
crédit et aux technologies modernes pour sa meilleure productivité.
Les PME informelles :
Il est important de rappeler que les PME informelles relèvent du
rendement du secteur dont la définition reste toujours contextuelle car
variant selon les auteurs et les points de vue considérés suite au
fonctionnement d’une base extralégale.
Pour Monsieur Verhaegen Guy, une PME informelle est toute activité
économique spontanée à caractère individuel, échappant en grande
partie au contrôle de l’administration, évoluant en marge souvent des
obligations légales et non recensées par les statistiques officielles, ne
bénéficiant pas des avantages de l’Etat. (VERHAEGEN, 1985)
Le secteur informel en RDC occupe à l’heure actuelle 25% de la
population active. Le reste de cette population active, soit 75% se
réfugient dans d’autres activités parmi lesquelles, les activités agricoles
d’autosuffisance.
Le secteur informel comprend les activités ci-après (NDUBA, 2000, p.31) :
12
11
1.1.5. Difficultés et faiblesses des PME
Certaines faiblesses et difficultés handicapent le fonctionnement
harmonieux de ces entreprises. Elles sont d’ordre interne et externe.
1.1.5.1. Au niveau interne
a) L’insuffisance des capacités de gestion
Elle s’explique par la maîtrise très limité ou la méconnaissance des outils
de gestion comme la tenue de la comptabilité, le calcul du coût de
revient, l’élaboration d’un plan de trésorerie et la confusion entre la
caisse de l’entreprise et la poche de l’initiateur.
b) L’atrophie de la fonction marketing
Beaucoup de propriétaires des PME se préoccupent plus des questions
de production, de crédit que du marché et ne fournissent aucun effort
pour faire la promotion de leurs produits.
c) Le manque de formation et d’information
Les responsables de PME ne se soucient pas, en tout cas moins de leur
propre formation ou de leurs collaborateurs et ne créent pas des réseaux
d’information pourtant utiles à la vie de l’entreprise.
d) L’insuffisance de respect des normes de qualité
Le non-respect de normes de qualité place les produits de PME à des
positions peu compétitives par rapport aux produits concurrents
importés.
e) L’ignorance de textes juridiques
Cette ignorance les expose à des tracasseries diverses et pertes
énormes en temps et en argent.
12
1.1.5.2. Au plan externe
a) L’insuffisance des structures d’appui et d’encadrement
Les structures sensées appuyer ou encadrer les PME ont elles-mêmes
besoin d’appui ou d’encadrement et ne remplissent donc pas leur rôle.
b) Les difficultés d’accès au marché extérieur
Les contraintes d’accès au marché extérieur, notamment une législation
assez lourde, d’énormes frais à l’exportation, constituent des barrières
pour les PME.
11
MAKUNZA KEKE(E), la performance des entreprises problématiques et stratégies des PME en
RDC, P.U Laval 2001
12
MAKUNZA KEKE(E),Op.cit, P.56
14
c) Le manque de crédit
Les PME éprouvent d’énormes besoins en fonds de roulement ou
d’investissement mais, il n y a plus de structures de financement
adaptées à leurs conditions. Le manque de moyens les oblige à utiliser
des machines souvent obsolètes et rendant donc une qualité moindre
des produits.
d) Le manque de politique claire en faveur des PME
Alors qu’elle devait bénéficier d’un régime particulier en matière de
formation, de fiscalité ou parafiscalité, d’accès à l’énergie,
d’encadrement, etc. il existe souvent un vide en cette matière et les PME
sont soumises aux mêmes conditions que les grandes entreprises.
Nonobstant ces difficultés et faiblesses, les PME développent des
mécanismes de survie et s’adaptent mieux au contexte actuel. De ce fait,
elles peuvent jouer un rôle important pour l’intégration économique et la
lutte contre la pauvreté.
La PME est d’une importance capitale en ce sens qu’elle permet la
résolution des problèmes fondamentaux de développement par
l’intégration de la population au processus de développement
économique.
1.2. Sources de financement des PME
1.2.1. Définitions
Est l’opération qui consiste, pour celui qui finance à consentir des
ressources monétaires pour celui qui est financé à se procurer des
ressources monétaires nécessaires à la réalisation d’un projet (« lever
des fonds »).
Par financement, il faut entendre l’ensemble des ressources tant internes
qu’externes à disposition d’une entreprise (société, indépendant ou
ASBL).
1.2.2. Types des sources de financement
Il s'agit essentiellement :
13
Op.cit.
18
financements bancaires.
Quant à Songolo Lukeba (2006), dans son travail portant sur : « les
sources de financement des PME de la ville de Bukavu », cherche à
analyser les sources de financement des PME de la ville de Bukavu, et
conclue comme tel : les PME de la ville de Bukavu font recours exclusif
aux fonds propres, aux dons et héritage, à l’épargne personnelle et au
crédit avec une faible proportion.
Mulinda Amani F., dans son travail portant sur : « Le choix de mode de
financement et la pérennité des PME de la ville de Bukavu ». L’objectif
majeur était de dégager l’impact du choix de mode de financement sur la
pérennité des PME de la ville de Bukavu. Il aboutit au résultat selon
lequel la pérennité des PME est expliquée par l’autonomie financière, le
coût de financement, la liquidité générale, la solvabilité à coût terme ou
financement par dettes et conclut que le choix de mode de financement
a un impact significatif sur la pérennité des PME de la ville de Bukavu.
1.1. Historique
La ville de Mbanza-Ngungu a vu le jour depuis la colonisation sous
l’ancienne appellation de « Thysville ». Elle a été créée le 25 juillet 1934
par l’arrêt N° 107/AIMO du Gouvernement central. L’initiative de création
d’une ville à cet endroit est l’œuvre du colonel Albert THYS qui, attiré par
un climat favorable aux Européens et une eau de la source de très bonne
qualité, s’est résolu de procéder à une mutation de tous les bureaux de la
compagnie du chemin de fer et d’y bâtir un sanatorium pour les
employés de ladite compagnie. C’est pour dire que Mbanza-Ngungu est
née dans les sillages de la création des Ateliers Centraux des chemins
de fer, l’actuelle Société Commerciale de Transport et de Ports(SCTP),
qui a donné naissance à cette entité
En 1904, il opéra les transfères de l’administration du district des
cataractes de TUMBA à 70km en virons vers le Sona Qongo, qui part la
suite, pris le nom de Thysville en 1905, en mémoire de l’initiateur du
projet, puis MBANZA-NGUNGU, sous le régime du recourt à l’authenticité
prônée par le Maréchal MOBUTU pendant la deuxième République.
En regard du décret-loi N° 081 du 02/07/1998, portant organisation
territoriale et administrative de la RDC, la ville de Mbanza-Ngungu est
une entité administrative du territoire du même nom, déconcentrée et
dépourvue de l’autonomie financière, compétence réservée aux entités
Administratives décentralisées et les villes à l’heure actuelle.
Celle-ci deviendra officieusement en 2017 la troisième ville de la
province du Kongo-Central, mais jusqu’à ce jour son administration
officielle reste un non-événement.
24
Total
Population Congolaise Population Etrangère
N° Général
Quartiers Homme Femme Garçon Fille Total Homme Femme Garçon Fille Total
2 Disengomoka 10490 8 229 8 950 9 087 36756 817 1 139 600 593 3 149 39 905
3 Ngungu 3220 3 083 3 460 3 693 13 456 170 248 305 552 1 275 14 731
4 Noki 2 897 3 191 3 382 3 383 12 853 198 252 301 318 1 069 13 922
20 1
5 Révolution 10 043 12 660 17 042 60 619 803 1 295 1 487 5 030 65 649
874 445
6 Loma 6 130 6 944 8 235 8 940 30 249 253 330 210 370 1 163 31 412
47 159 3
Total 34110 35 370 42 496 2 241 3 264 2 903 11 686 170 972
310 286 278
Source : Bureau du Territoire de Mbanza-Ngungu, Rapport annuel 202
28
Population
Ebeya
3%
Loma
18%
Disengomoka
23%
Revolution
39% Ngungu
Noki 8%
8%
Nombre d'habitants
180000
160000
140000
120000
100000
80000
60000
40000
20000
0
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
2019
2020
Le service
Transport
La route Kinshasa-Matadi communément appelé « la nationale n° 1 », est
la plus exploitée pour les transports des biens locaux et étrangers.
Le parc automobile de la ville de Mbanza-Ngungu comprend plus de 100
voitures, exploitant un espace de circulation de 12Km. Le tronçon
Mbanza-Ngungu est fréquenté par des taxis. Le trajet le plus long est
celui utilisé par les véhicules qui desservent les marchés des localités
environnantes de la ville de Mbanza-Ngungu sur des routes de desserte
agricole. En vue de développer le secteur de transport de cette ville,
l’association des chauffeurs du Congo (ACCO) avait été mise en place.
Communication
Pour faciliter la communication entre ces citoyens, la ville de Mbanza-
Ngungu a vu s’implanter des entreprises de téléphone cellulaire
suivantes : VODACOM, ORANGE, AIRTEL et AFRICELL. Sans oublier
l’internet, la phonie et la presse écrite, la ville dispose aussi des radios
telles que : Radio GKV ; Radio NTEMO, Radio VUVU KIETO, Radio
NGUNGA, Radio RATELKI, et deux chaines de télévision : VKV et RTMB.
3.6. ACTIVITE EN RAPPORT AVEC LES PME
2.1.1. Sexe
Le tableau ci-dessous reprend la répartition des propriétaires selon le
sexe.
2.1.2. Age
Dans le tableau suivant, nous répartissons les propriétaires selon leur
âge.
2.2.1. Ancienneté
La répartition selon l’ancienneté des PME est reprise dans le tableau ci-
dessous :
39
L'analyse de ce tableau nous montre que sur 100% des PME enquêtées,
56% estiment qu’elles ont un niveau de rentabilité moyen ; 26% pensent
qu’elles ont une rentabilité faible ; et 10% déclarent qu’elles ont une
rentabilité élevée et enfin 8% ont une rentabilité très élevée.
2.2.8. Principales difficultés
Ici, nous présentons les différentes difficultés des PME dans le tableau
suivant :
Tableau n°12 : Répartition des enquêtés selon lesprincipales difficultés
Conclusion
BIBLIOGRAPHIE
1. OUVRAGES
FOURNIER C., (1995) Technique de gestion des PME, approche pratique, les
éditions d’organisations, paris
J.P et BRUYET C., (1990) Entrepreneur, revue organisation, paris
KINZONZI V.P (1995), Comptabilité analytique pour les PME, Ed. VIENNE
ONUDI
MAKUNZA K.E., (2001) La performance des entreprises Africaines :
problèmes et Stratégies de PME en RDC, Pulaval
2. COURS ET REVUES
3. TFC ET MEMOIRES
ANNEXES
QUESTIONNAIRE D’ENQUETE
Nous voulons mener une étude sur les sources de financement de PME dans la ville
de Mbanza-Ngungu. Ainsi, nous prions d’avoir l’amabilité de répondre aux questions ci-dessous pour
nous permettre d’atteindre ce but. Nous vous promettons que le traitement de ces données sera fait
en toute confidentialité. Veuillez pour cela encercler le chiffre correspondant à la réponse ou inscrire
la réponse sur les pointillés.
1. Caractéristiques du propriétaire-dirigeant
1. Masculin 2. Féminin
2. Caractéristiques de la PME
1. Epargne personne 2. Aide des membres de la famille 3. Aide d’une association, dune
ONG ou d’un organisme 4.Crédit d’une banque 5.Crédit d’une institution de micro finance
6.Endettement 7.Autres :…………………………………
Q13. Quelles sont les sources de financements de la PME actuellement (c’est-à-dire pendant
son fonctionnement) (on peut cocher plus d’une réponse)
Q14. Aviez-vous bénéficié d’un crédit bancaire au cours de trois dernières années :
1. Oui 2. Non
6. 6000$ et plus
Q17. Aviez-vous bénéficié d’un crédit d’une institution de micro finance au cours de trois
dernières années ?
1. Oui 2. Non
6. 6000$ et plus
EPIGRAPHE i
IN MEMORIAM ii
DEDICACE iii
REMERCIEMENTS iv
0. INTRODUCTION 1
0.1. Problématique 1
0.2.0bjectifdel'étude 3
0.3. Hypothèse de l'étude 3
0.4. Choix et Intérêt du sujet 3
0.5. Méthodologie de recherche 4
0.6. Délimitation du sujet 4
0.7. Ossature du travail 4
CHAPITRE 1. CONSIDERATIONS THEORIQUES 5
Section 1 : Analyse des concepts 5
1.1. Petites et moyennes entreprises 5
1.1.1. Définitions 5
1.1.2. Rôles de la PME 7
1.1.3. Classification des PME 9
1.1.4. Caractéristiques des PME congolaises (Manika J.P, 2014). 11
1.1.5. Difficultés et faiblesses des PME 11
1.2. Sources de financement des PME 13
1.2.1. Définitions 13
1.2.2. Types des sources de financement 13
1.2.3. Choix de mode de financement 15
1.3. Contraintes de financement des PME 16
1.4. Besoins de financement des PME 17
1.4.1. Les besoins liés au cycle d'investissements 17
1.4.2. Les besoins liés au cycle d'exploitation 18
1.4.3. Besoins en matière d’innovation. 19
Section 2 : Approche Empirique 19
2.1. Etude Empirique sur les sources financement des PME 19
58