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Université Catholique d’Afrique Centrale

École des Sciences de la Santé

Protocole de recherche pour la demande de clairance


éthique

PROFIL DE L’HEMOGRAMME CHEZ LES PERSONNES HIV N’ETANT PAS


SOUS TRAITEMENT

Cycle de formation : CLASSIQUE

Nom et adresse du responsable de la recherche : ANDONG MBUNTO ESTHER


LAURENCE
a.mbunto@gmail.com

Nom et adresse du directeur de recherche : DR TCHOULA

Date prévue de début de la recherche sur le terrain :

Date prévue de la fin de la recherche sur le terrain :


1. Équipe de recherche .

Andong Mbunto Esther Laurence : Étudiante ayant pour rôle le recrutement des participants,
faire la collecte des données,

Dr TCHOULA : Directeur de mémoire ayant pour rôle d’expliquer la recherche.

S'agit-il d'un projet multicentrique?


Non ce projet a un seul centre d’intérêt qui est de déterminer le profil de l’hémogramme chez
les personnes hi n’étant pas sous traitement.

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2. Projet de recherche

2.1 Résumé

L’infection par le VIH s’attaque aux différents systèmes de l’organisme dont le système
hématopoïétique. En effet, au cours de l’infection par le VIH, les anomalies hématologiques
sont fréquentes ; c’est ainsi que les premières observations de pancytopénie associée au SIDA
sont décrites dès 1983 (L MONTAGNER, 1998). Au Mali, Talom d’après son étude faire e
2005 au centre hospitalier universitaire de Bamako rapporte les anomalies de l’hémogramme
et leur fréquence chez les patients atteints du VIH/SIDA et naïfs de traitement antirétroviral.
Par ailleurs, au Cameroun les données sur les personnes vivant avec le VIH sont inexistantes.
Au vu de toutes ces insuffisances, nous nous proposons d’étudier le profil de l’hémogramme
chez des personnes ayant le VIH n’étant pas sous traitement.

Mots clés : Hémogramme, traitement, hématopoiétique, antirétroviral

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2.2 Éléments du contexte, problème, recension des écrits et repères théoriques1 s’il y
a lieu

Le Sida, syndrome de l’immunodéficience acquise, révélé en 1981, est dû à un virus


appartenant à la famille des rétrovirus, qui sont définis par un mode de réplication passant par
une étape de rétro transcription de leur ARN en ADN (MANDEL GL). En Afrique, tous els
pays sont touchés par cette maladie. L’Afrique subsaharienne compte à elle seule 25 millions
de personnes vivants avec le VIH/SIDA, soit plus de 60% du nombre total de personnes
infectées dans le monde (OMS, 2004).

Selon l’OMS, 35,5 millions de personnes dans le monde souffrent de cette pandémie
et l’Afrique subsaharienne est la région la plus touchée (OMS, 2004). Au Cameroun, la
prévalence du VIH/SIDA est évaluée à 4,3% avec de nombreuses disparités entre les régions
et selon l’âge et le sexe (EDC, MICS, 2011). En 2012, on estime le nombre de personnes
vivant avec le VIH à 550,000, dont plus de 43000 enfants, et plus de 32000 décès enregistrés
selon l’apparition de la maladie (OMS, 2004).

2.3 Questions, hypothèses (s’il y a lieu) et objectifs de recherche

QUESTION DE RECHERCHE
Quel est l’importance de profil de l’hémogramme chez des personnes ayant le VIH
n’étant pas sous traitement ?

HYPOTHESE DE RECHERCHE

Le profil de l’hémogramme est un paramètre important pour le suivi des personnes


ayant le VIH n’étant pas sous traitement.

OBJECTIFS DE RECHERCHE

Objectif général

Etabli le profil de l’hémogramme chez les personnes ayant le VIH n’étant pas sous
traitement.

Objectifs spécifiques

Donner la NFS des personnes ayant le VIH recensés ;

Comparer les valeurs de la NFS de ces personnes avec la NFS normale.


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2.4 Intérêt de l’étude / ou retombées anticipées sur les plan théorique et pratiques
Certaines infections peuvent entraîner un dysfonctionnement du système
hématopoïétique nous avons par exemple le cas du VIH. En effet, au cours de l’infection par
le VIH les anomalies hématologiques sont fréquentes (MONTAGNER, 1998). Après
contamination, le VIH dans le sang à pour principales cibles les lymphocytes T CD4 qui ont
pour valeur normale 600-1200/mm3 (GARRAIT ET MOLINA J.M, 2000). La survenue des
manifestations cliniques est directement liée à la baisse du nombre de lymphocytes CD4 ont
(GARRAIT ET MOLINA J.M, 2000). La lymphopénie est donc autant un marqueur
d’immunodépression qu’un marqueur du risque de survenue d’infections opportunistes et de
mortalité (GARRAIT ET MOLINA J.M, 2000). En dehors de la lymphopénie, modification
biologique classique par le VIH, de nombreux auteurs observent que des perturbations de
l’hémogramme sont constamment observées chez les personnes infectées par le VIH.
(STEPHANE TALOM, 2005). Nous nous proposons donc d’étudier le profil de
l’hémogramme chez des personnes ayant le VIH n’étant pas sous traitement selon le plan
suivant ; le chapitre un parlera de la problématique et le chapitre deux de l’approche
méthodologique.

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2.5 Revue de littérature sur les concepts de l’étude et cadre conceptuel/théorique

Dans le but de respecter l’éthique de la recherche biomédicale, nous nous


proposerons de bénéficier du consentement du Directeur Général de l’Hôpital ,du Directeur
de l’école des Sciences de la Santé, celui du patient à qui nous expliquerons l’objet de notre
étude en lui rassurant de la confidentialité de ses résultats.

Pour mener à bien notre étude dans le respect de l’éthique, le protocole sera soumis à
un comité d’éthique pour évaluation avant la mise en œuvre.

L’autorisation de recherche du Directeur de l’ESS de l’UCAC et du Directeur de


l’hôpital concerné nous permettra d’effectuer la descente sur le terrain pour la collecte des
informations.

Il sera lu par chaque participant à l’étude la fiche de consentement. Les patients


seront invités à dire s’ils acceptent ou refusent de participer à l’étude. Tous les participants
seront informés sur le but de l’étude et la confidentialité, leur consentement sera obtenu avant
leur inclusion.

MATERIEL

Matériel de collecte des données

 Rame de papier
 Un questionnaire
 Stylo
 Bloc note
 Crayon
 Gomme
 Internet.

Matériel biologique

 Des tubes EDTA


 Les gants
 Des aiguilles vacutainer
 D’un corps de pompe
 Coton,

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 Alcool à 70°

Matériel et résultat pour analyse

 Automate à NFS
 Lames portes objets
 Colorants (MGG)

Analyse des échantillons

Contrôle qualité

 Les tubes qui contiennent des caillots seront rejetés.


 Les contrôles de l’automate à NFS sera fait
 Les frottis seront vérifiés par les encadreurs.

Numérisation à l’automate

La numérisation sanguine analyse le nombre des différentes cellules sanguines pour


un volume de sang par mm3 (dictionnaire médical, 2007).

Comme mode opératoire, la NFS sera fait sur l’automate :

Après homogénéisation nous introduirons l’identité du patient dans l’automate,

Nous passerons l’échantillon et un volume de sang est prélevé par l’automate,

Les résultats seront donnés par l’automate et imprimé.

Après la numérisation sanguine à l’automate, nous confectionnerons des frottis


sanguin et les colorerons.

Confection du frottis

 Principe

Nous étalerons une goutte de sang sur une lame de verre, de façon uniforme, de telles
sortes qu’il y aura une seule épaisseur de globules (ETIENNE LEVY LAMBER).

 Mode opératoire
 Nous recueillerons une goutte de sang dans le tube EDTA que nous
poserons sur une lame,
 Nous déposerons les bords d’une autre lame en avant de la goutte de
sang,

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 Nous ferons glisser la lame jusqu’à ce qu’elle touchera la goutte de sang
 Nous laisserons le sang se répartir tout au long du bord de la lame,
 Nous pousserons la lame jusqu’au bout de la lame d’étalement, d’un
mouvement doux et régulier (tout le sang doit être réparti avant que l’on
atteigne le bout de la lame).

Coloration du frottis

La coloration se fera au May-Grunwald Giemsa.

 Principe

Avant d’être coloré, le frottis devra être fixé. La fixation s’effectue au contact du
méthanol dans lequel sera dilué le colorant de May-Grunwald.

La coloration de May-Grunwald-Giemsa reposera sur l’action complémentaire de


deux colorants neutres et sur l’affinité des éléments cellulaires pour des colorants acides
(éléments acidophiles) ou basiques (éléments basiques).

Deux colorants neutres sont utilisés.

 Le colorant de May- Grunwald neutre

Il contient :

 Un colorant acide : l’éosine


 Un colorant basique : le bleu de méthylène sous forme d’éosinate de bleu de
méthylène.

Le colorant de Giemsa neutre

Il contient :

 Un colorant acide : l’éosine


 Un colorant basique : l’azur de méthylène sous forme d’éosinate d’azur de
méthylène.

Ces deux colorants seront solubilisés dans le méthanol et seront inactifs dans cette
solution : ça sera l’adjonction de l’eau qui leur donnera leur pouvoir colorant : les sels seront
alors dissociés en colorant acide (éosine) et en colorant basique (bleu de méthylène ou azurs
de méthylène)

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Technique

Les réactifs

 Le colorant de May-Grunwald (fixation et première coloration).


 Le colorant de Giemsa (deuxième coloration).
 L’eau neutre (eau de Volvic).

Les différentes étapes

- La fixation
 Nous placerons la lame du frottis sur un support horizontal au-dessus d’un
bas de coloration
 Nous verserons sur la lame le May-Grunwald pur de façon à recouvrir
complètement le frottis.
 Nous laisserons agir 3 minutes
 Nous ajouterons autant de gouttes d’eau que de gouttes de colorant, le
mélange sera rapide.
 Nous laisserons agir 2 minutes
 Nous préparerons la dilution du colorant de Giemsa pendant ce temps
 Nous rejetterons le colorant par un jet d’eau.

La coloration au Giemsa

 Nous préparerons la dilution au 1/10ème du colorant de Giemsa pendant les 2


minutes précédentes :
 Nous introduirons 180ml d’eau neutre dans une éprouvette graduée.
 Nous ajouterons 20ml gouttes de colorant de telle manière que celui-ci
restera à la surface de l’eau neutre.
 Dès que la lame sera prête, nous verserons le contenu de l’éprouvette dans
une boîte.
 Nous mélangerons en agitant doucement afin que le pouvoir colorant soit
maximum.
 Nous déposerons la lame (frottis en dessous) dans la boîte.

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 Nous laisserons agir 20 minutes (coloration lente) ou 15 minutes (coloration
rapide)
 Nous rincerons sous un jet d’eau neutre
 Nous laisserons sécher la lame à l’air, en position inclinée, après avoir
essuyé la face inférieure de la lame avec du papier filtre.
 Nous attendons au moins 5 minutes avant l’examen microscopique du frottis.
 Lecture des lames
Le frottis sera observé à l’immersion à l’objectif 100. Un frottis bien réalisé et bien
coloré se présentera comme suit :
 Cellules bien séparés mais pas trop
 Noyaux rouge violet à rouge
 Cytoplasmes acidophiles roses (granulocytes et hématies)
 Cytoplasmes basophiles bleus (lymphocytes)
 Cytoplasmes polychromatophiles gris (monocytes)
 Granulations acidophiles ou éosinophiles orangées
 Granulations basophiles violet foncé
 Granulations neutrophiles violet lilas
 Granulations azurophiles rouges (monocytes et gros lymphocytes).

RESULTATS ET INTERPRETATION

Les résultats seront donnés sous forme d’histogramme ou de tableau

DISCUSSION

Nos résultats seront comparés à ceux des différents auteurs.

2.6 Méthodologie

METHODE

Type d’étude

Nous utiliserons une méthode différentielle de type quantitative.

Echantillonnage

Taille de l’échantillon

Nous travaillerons sur 50 patients.

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2.7 Outils ou instruments de collecte des données

Nous avons utilisé une fiche de collecte qui se présente comme suit :

FICHE DE COLLECTE

QUESTIONNAIRE

I- Identification du patient

1) N° d’identification _______________________________________________

2) Sexe : Masculin Féminin

3) Age : 0-20 21-30 31-40 41-50 51 et plus

4) Situation matrimoniale : Marié célibataire

5) Quel est votre niveau d’étude ?

6) Primaire Secondaire Supérieure Non scolarisé

7) Dans quel secteur d’activité travaillez-vous ?

Elève ou étudiant

Secteur formel (agent de l’Etat, salarié)

Secteur informel (commerçant, taximan, call-box, mototaxi, ménagère)

Sans emploi

II- Données relatives à l’hémogramme.

1) Depuis quand connaissez-vous votre statut ? 1-6 mois 7-12mois


12 mois +
2) Avez-vous connaissance du traitement antirétroviral ? Oui Non
3) Avez-vous déjà fait une numération formule sanguine ? Oui Non

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4) Si oui, avez-vous été satisfait des résultats ? Oui Non
5) Etiez-vous anémié avant votre maladie ? Oui Non
6) Pensez-vous que votre maladie à une influence sur votre numération formule
sanguine ?
……………………………………………………………………………………
………………………………………………………

3. LES PARTICIPANTS

3.1 Technique d’échantillonnage ou de recrutement / Nombre de participants requis ou


souhaités
Notre échantillon a été recueilli à l’aide d’un prélèvement veineux et dans les tubes EDTA.
Il consiste à recueillir du sang veineux chez le patient. Pour cela nous avons besoin d’un bon
nombre de matériels entre autre : le coton, le tube EDTA, l’alcool, l’aiguille, le corps de
pompe, un haricot pour les déchets, une boite de sécurité pour les aiguilles souillées, une
poubelle, un portoir.
Après avoir préparé le matériel, nous identifions notre patient en sa présence et le tube y
compris. Nous aseptisons nos mains et enfilons nos gants, repérons le site de prélèvement et
passons à l’acte de prélèvement proprement dit.

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3.2 Critères de sélection (inclusion et exclusion s’il y a lieu) des participants

Critères de sélection

Critères d’inclusions

 Personnes ayant le VIH et n’étant pas sous traitement


 Personnes ayant le VIH et n’étant pas sous traitement et ayant accepté de
participer à la collecte.

Critères de non inclusions

 Personnes n’ayant pas le VIH


 Personnes ayant le VIH étant sous traitement
 Personnes ayant le VIH et n’étant pas sous traitement et n’ayant pas accepté
de participer à la collecte.

3.3 Modalités de recrutement


Pour entrer en contact avec les participants on utilise la fiche de collecte.

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4. CONSIDÉRATIONS ÉTHIQUES

4.1 Populations vulnérables

4.1.1 Mineurs, majeurs inaptes et population carcérale

La recherche inclut les majeurs aptes à donner un consentement libre et éclairé.

4.1.2 Liens de dépendance


Non la recherche n’inclut pas des personnes ayant une relation client-professionnel, étudiant-professeur,
employés-employeur ou affective avec nous ou un membre de votre équipe de recherche.

4.1.3 Implication de la communauté d'appartenance


Non l’implication de la communauté d’appartenance n’est pas nécessaire.

4.2 Compensation-incitatif-rémunération
Le projet ne prévoit aucune compensation pour les participants.

Le projet ne prévoit aucune rémunération pour les participants.

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4.3 Risques et inconvénients
Comme inconvénient dans notre recherche nous pouvons avoir des patients refusant de
dévoiler leur statut sérologique ou refusant de suivre un traitement, nous pouvons avoir le
manque de matériel tel que l’appareil de NFS.

4.4 Avantages
Donne l’avantage aux patients atteints du VIH n’étant pas sous traitement de venir contrôler leur numération
formule sanguine afin de savoir quel est leur charge virale pour une espérance de vie meilleure.

4.5 Divulgation partielle


Oui les informations concernant la recherche doivent être cachées aux participants car c’est
pour notre propre recherche c’est juste pour une étude.

4.6 Informations aux participants


Non les informations ne seront pas communiquées au participants car c’est pour nos propres
recherches ils nous aident juste à collecter nos données et avoir une base sur laquelle on
puisse travailler.

4.7 Consentement écrit ou verbal


Oui on obtiendra un consentement écrit des participants.

4.8 Protection des données à caractère personnel


Les données seront conservées dans un support numérique, dans une clé USB et dans une
machine; et aussi dans un support manuscrit. Les personnes qui auront accès sont ceux qui
font la recherche et le directeur de mémoire.

4.9 Utilisation ultérieure des données

Les données pourraient être accessibles sous support numérique et les participants seront
informés grâce à leurs numéros de téléphone.

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5. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

 MANDELL GL.. Introduction à l’étude du VIH et des troubles qui lui sont dus.
In : CECIL, traité de médecine interne. Paris : Flammarion 1996 ; 1837-41.
 OMS 2004. 4ème rapport ONU/SIDA sur l’épidémie mondiale du SIDA : Fin
2004 [on-line]. Consulté le 08 Août 2005. Available from internet :
www.who.org
 MONTAGNIER L. SIDA et infection par la VIH. Paris : Flammarion, 1998 ;
63p.
 GARRAT et MOLINA J.M. Infection par le VIH. Rév Prat 2000 ; 50 : 1003-10
 TREILLE R D (2005) Hémogramme laboratoire de cytologie hôpital Edouard
Herriot.

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6. DOCUMENTS À JOINDRE

 Une demande adressée à la Présidente du CEIRSH


 Reçu des frais de soumission (10 000 Fcfa à déposer à la caisse de l’ESS)
 Curriculum vitae de l’étudiant, du directeur de recherche et du codirecteur, le cas échéant
 La notice d'information et le formulaire de consentement pour les participants

 La notice d'information et le formulaire de consentement pour les parents ou les tuteurs (s'il y
a lieu)

 Copie de la correspondance attestant des autorisations données par les différents partenaires
(institutions, organismes, établissement, etc.) dont la collaboration est nécessaire à la
réalisation de la recherche
 Copie des outils de recherche (inclure tous les outils mentionnés à la section 2.7) :
 Questionnaires/Échelle
 Schéma d'entrevue
 Grilles d'observation
 Test / Mesure
 Autres

 Copie des outils de recrutement (affiche, teneur du courriel ou du message téléphonique)

 Copie de la demande de subvention, le cas échant, si le chercheur postule à un financement

 Dans le cas d'une recherche basée sur l'utilisation de données secondaires comprenant des
renseignements nominatifs, joindre :
 Copie du certificat éthique du projet primaire
 Copie de la lettre autorisant l'accès aux données
 Copie du formulaire de consentement utilisé pour recueillir les données

 Autre(s) document(s) jugé(s) pertinent(s)

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