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7.5. Forme de contraction auxotonique.

Elle a été découverte par WEINECK, qui l'illustre par une interaction naturelle et permanente entre
les formes de contraction dynamique et statique que l'on peut retrouver dans la majorité des gestes
sportifs.

Dans toute technique gestuelle, le muscle subit à certains degrés d'amplitude de mouvement des
moments d'inertie engageant la forme de contraction statique.

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7.1. Forme de contraction dynamique :

Durant la contraction musculaire qui s'accompagne d'une production de mouvements, le muscle


excité provoque un déplacement des leviers osseux sur lesquels il s'insère et développe une tension
qui varie selon l'angle articulaire. La forme de contraction dynamique a deux modes d'expression :

- le mode concentrique où le muscle se racourcit ce qui fait se rapprocher les


points d'insertion tendineux.
- le mode excentrique où le muscle résiste à son étirement en développant une
tension active ce qui fait s'éloigner les points d'insertion tendineux.

7.2. Forme de contraction statique :

Au cours de cette forme de contraction il n'y a pas de production de mouvement.


Le muscle excité développe une tension tout en gardant la même longueur pour un angle articulaire
choisi.
Le levier reste statique dans un angle précis tout le temps de la contraction.

7.3. Forme de contraction stato-dynamique.

Le pratiquant peut provoquer volontairement une contraction statique dans la contraction


dynamique. Il s'agit de marquer un ou deux2 temps d'arrêt dans le travail dynamique de la
contraction musculaire.

7.4. Forme de contraction pliométrique :

C'est une interaction mettant chronologiquement en jeu les modes excentriques et concentriques de
la contraction dynamique ; Interaction conditionnée par un cycle d'étirement-racourcissement du
muscle le plus rapide possible.

Elle se retrouve dans des situations de type pliométrique faisant appel à des techniques de rebonds.
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6.2. La durée de stimulation de la charge d'entraînement :

Elle correspond à la durée d'action d'une stimulation isolée.


Elle s'exprime en méthodologie par les notions de série ou de répétition.

6.3. Le volume de stimulation de charge :

Il correspond au nombre total de stimulations isolées par unité d'entraînement ce qui permet
d'évalué la durée totale de stimulation de charge.

En méthodologie cela se traduit par une évaluation du temps de travail effectif dans une séance ou
dans un cycle hebdomadaire.

6.4. Densité de stimulation d'entraînement :

Elle correspond au rapport entre la durée totale de stimulation et la durée totale de récupération
dans l'unité d'entraînement.

C'est la densité de stimulation qui détermine les différents processus d'adapatation de l'organisme à
l'effort sur les plans :

- cardio-vasculaire et pulmonaire {% de la FCMT et du VO2 max}


- énergétique {filières 1 à 7}
- neuromusculaire {sollicitation des unités motrices}

Elle se traduit en méthodologie par la notion de fréquence de l'effort.

7. Les formes de contraction musculaire.

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6. Différentes composantes de la charge d'entraînement.

Pour optimiser les effets de la charge d'entraînement sur le développement de la capacité de


performance il est indispensable d'en définir les paramètres.
La charge d'entraînement se définit selon 4 paramètres :

- l'intensité de stimulation de charge


- la durée de stimulation de charge
- le volume de stimulation de charge
- la densité de stimulation de charge

6.1. L'intensité de stimulation de charge :

6.1.1. Sur le plan neuromusculaire.

Elle correspond au degré de tension que peu développé un muscle ou un groupe musculaire
en recrutant un nombre plus ou moins important de fibres.
Elle peut s'exprimer en pourcentage du degré de tension musculaire maximum.

6.1.2. Sur le plan cardio-vasculaire.

Elle correspond au degré de sollicitation de la F.C. à l'effort par rapport au seuil maximal
théorique {FCMT => 220 - l'âge}.

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5.3. Les signes précurseurs du surentraînement :

Signes observables :

5.3.1. Semaine 1 :

- yeux cernés
- sudation inhabituelle à l'effort
- pâleur du teint
- Tremblements nerveux inhabituels
- F.C. à l'effort, au repos et récupération plus élevée que d'habitude

5.3.2. Semaine 2 :

- Fatigabilité à l'effort inhabituelle


- irritabilité aiguë
- hypersensibilité auditive

Signes révélés par le pratiquant, par une investigation:

5.3.3. Semaine 3 :

- démotivation
- tendance à la céphalée {maux de tête}
- perte d'appétit {de poids}
- trouble du sommeil

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5.2. Le surentraînement :

Il ne faut pas confondre surentraînement et surcharge d'entraînement.

La surcharge correspond à un accroissement progressif de la charge d'entraînement gérer selon les


critères D.I.F. de l'effort et adapter au potentiel psycho-physique du pratiquant.

Selon VOLKOV {1972}, si la surcharge est inadaptée, l'effort de surentraînement peut-être atteint
entre 2 et 4 semaines selon le niveau d'entraînement.

Le surentraînement est le résultat d'une accumulation de fatigue non compensée au fil de


l'entraînement, qui est dûe à une surcharge trop importante pour être normalement supportée par le
pratiquant.

Les causes de surentraînement sont dues le plus souvent à une mauvaise gestion de la charge
d'entraînement notamment au niveau de l'accroissement qualitatif ou quantitatif, au niveau de la
récupération, au niveau de l'exigence technique par rapport aux capacités d'analyse et au niveau
affectif du pratiquant et de son répertoire gestuel acquis.

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5. Capacité d'adaptation de l'homme à l'effort

et capacité de performance.

5.1. Origine de l'évolution de la capacité de performance :

L'évolution de la capacité de performance dans les différentes aptitudes physiques s'explique par
les efforts positifs du processus physiologique d'adaptation de l'organisme à l'effort.

Une stimulation de charge d'entraînement bien dosée selon les critères D.I.F. de l'effort doit
conduire à :

- Une amélioration de la capacité de fonction des différentes aptitudes de


l'organisme.
- Une meilleure capacité de récupération à l'effort.
- Une meilleure tolérance à la douleur.

Les effets de l'adaptation de l'organisme à une même stimulation de charge d'entraînement


s'atténuent avec le temps de pratique.

Sur un plan physiologique ce phénomène s'explique par l'accoutumance de l'organisme à la


répétition d'une même stimulation de charge d'entraînement occasionnant dans le temps une
stabilisation de la capacité de performance.

Pour bénéficier d'une façon constante de l'adaptation positive de l'organisme à l'effort il faut
procéder à une augmentation cyclique de la charge d'entraînement en tenant compte de l'état
psycho-physique du pratiquant.

L'augmentation de la charge d'entraînement s'appelle la surcharge d'entrainement.

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4.3.7. Vitesse de récupération selon le niveau de musculature mise en jeu.

Plus l'entraînement met en jeu un pourcentage élevé de la musculature à des degrés de


musculation importants plus le délai de récupération sera important.

4.3.8. Vitesse de récupération selon le cadre et la qualité de vie.

Le surmenage professionnel, le stress de la vie quotidienne, les problèmes de la vie


personnelle et l'hygiène de vie alimentation-sommeil sont des facteurs nuisibles à une bonne
capacité de récupération de la fatigue générale et de la fatigue spécifique à l'effort physique.

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4.3.4. Vitesse de récupération selon les prédispositions génétiques.

La capacité de récupération peut-être différente entre 2 individus selon leur constitution


génétique notamment sur les fonctions cardio-vasculaire, pulmonaire et musculaire.

Selon l'héritage génétique l'aptitude à capter et à transporter l'oxygène vers le muscle actif
peut-être différent d'un individu à l'autre {seuil de VO2 max} . Les prédispositions génétiques
conditionnent donc le seuil de PMA ainsi qu'un seuil de fréquence cardiaque maximale.

La génétique influe sur la répartition des types de fibres présentes dans la musculature.
Selon cette répartition, le muscle peut présenter des aptitudes différentes à l'effort en terme
de fatigabilité ou en terme de force.

4.3.5. Vitesse de récupération selon l'âge.

La capacité de performance dans les différentes aptitudes physiques diminue avec l'âge. Ceci
est dû notamment au processus de dégénération cellulaire par voie de conséquence, la
capacité de récupération faiblie au fur et à mesure des années pour les mêmes raisons.
Selon les aptitudes physiques les capacités de performance et de récupération baisse plus ou
moins vite avec l'âge.

4.3.6. Vitesse de récupération selon le niveau d'entraînement.

Plus le niveau de l'entraînement est élevé plus les capacités de récupération sont importantes
à condition que la charge d'entraînement soit bien adaptée aux capacités physiques du
pratiquant.

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4.3.3. Tableau Fréquence :

Alternance travail / Alternance travail / récupération

repos

Effort à dominante 0 - 25'' -> 1T = 3R Elle correspond au repos entre 2 séances d'entraînement

anaérobie alactique la fréquence hebdomadaire d'entraînement {FHE}

dépendra des capacités d'adaptation et de récupération de

l'organisme à l'effort et du pratiquant.

2 séances développant les mêmes aptitudes devraient

être séparées d'un temps optimal de récupération si la

FHE est très élevée il faudra alterné les différentes

séances dans le meilleur ordre de succession possible.

Effort à dominante 30'' - 1'10'' -> 1T = 3R

anaérobie lactique 1'10'' - 1'30'' -> 1T = 2R

récup. active

Effort mixte 1'30'' - 2' -> 1T = 2R

anaérobie/aérobie 2'50'' - 3' -> 1T = 1R

récup. active ou passive

Effort aérobie 3' - 4' -> 1T = 1R

4' - 5' -> 1T = 1/2R

récup. passive

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4.3.2. Tableau Durée-Intensité :

Type d'effort Etat de déficience Récupération / Compensation

Effort d'intensité max. de très Epuisement {total} des 70% des réserves dépensées en 30'' à 1'

courte durée. réserves d'A.T.P. intra- 95% des réserves dépensées en 3'

Anaérobie Alactique musculaire 100% des réserves dépensées en 5'

100% -> 10''

Effort d'intensité submax. en Epuisement partiel des 40% des réserves dépensées en 2h

durée. réserves de glycogène 60% des réserves dépensées en 5h

Anaérobie Lactique intra-musculaire. 100% des réserves dépensées en 24h

30'' à 2' Production d'acide lactique

{Effort de type résistant}

Récupération passive -> 1 à 2h

Récupération active -> 30' à 1h

Effort de type PMA {puissance Epuisement quasi-total des Alimentation normale Régime hyperglucidique

max. aérobie} réserves de glycogène Compensation 48h Compensation 24h

Seuil critique du VO2 max. intra-musculaire Surcompensation 72H Surcompensation 48H

5' à 8'

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4.3. Les facteurs influençant la vitesse de récupération :

La vitesse de récupération après l'effort dépend d'un certain nombre de facteurs. Un individu
récupère plus ou moins vite selon :

- son âge
- son héritage génétique
- le type d'effort
- le niveau d'entraînement
- le cadre et la qualité de vie

4.3.1. La vitesse de récupération selon le type d'effort réalisé.

Selon la durée, l'intensité et la fréquence des stimulations de charge d'entraînement la vitesse


de récupération sera plus ou moins longue.

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4. Importance de la récupération à l'effort.

4.1. Définition de l'état de fatigue à l'effort :

Au cours de l'effort, il se crée un état de fatigue ou une baisse de la capacité de fonctionnement de


l'organisme correspondant plus précisément à :

- un épuisement des réserves énergétiques du muscle


- une production d'acidose musculaire
- une destruction des éléments protéiques contractiles de la myofibrille
- une lésion des tissus conjonctifs du muscle
- une perte hydrique par phénomène de sudation accompagné d'une perte de sels
minéraux
- création d'une dette d'oxygène

4.2. Le mode de restauration :

La principale source énergétique de restauration de l'effort de l'état de déficience fonctionnelle


occasionnée par l'effort est assurée par le système aérobie dans la phase de récupération et de
repos.

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Graphe de la surcompensation.

1/ Phénomène de fatigue accompagnant la séquence de stimulation.


2/ Phase de compensation de l'état de fatigue.
3/ Phase de surcompensation, augmentation de la capacité de performance au delà des valeurs
initiales.
4/ Retour aux valeurs initiales = Sous-entraînement dû à un repos trop long.

Graphe de la surcompensation par un entraînement dit "de choc".

Les temps de repos incomplets entre les stimulations de charge répétés au sein d'une séance
d'entraînement n'empêche pas une évolution de la capacité de performance se entre 2 séances le
dosage du délai de surcompensation est optimal.
Phénomène confirmé par Matveiv en 1972 dans un entraînement par intervalle d'efforts intenses de
courte durée à fréquence élevée.

Graphe du surentraînement.

Les phases de récupération entre les stimulations de charges d'entraînement répétés ne permettent
pas une compensation de l'état de fatigue et cela provoque une baisse de la capacité de
performance.
Selon Wolkow 1971 après 2 à 3 semaines de ce type d'entraînement, pour l'athlète cela peu devenir
un phénomène de surentraînement.

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3. Les différents processus d'adaptation de l'organisme.

"Les lois de l'entraînement" selon HARRE 1971

"Le processus d'adaptation de l'organisme à l'effort est positif à condition que soit aménagé des
intervalles de repos optimaux dans l'entraînement."

"La charge au sein d'une certaine unité d'entraînement provoque un épuisement de potentiel
énergétique et le fonctionnement de l'organisme, c'est-à-dire un phénomène de fatigue qui réduit
provisoirement la capacité de performance de l'organisme. La stimulation, qui commande le
processus d'adaptation positif de l'organisme, se déclenche essentiellement dans la phase de
repos."

Selon HARRE, pour compenser l'état de fatigue :

- Il est nécessaire de placer des temps de repos dans l'entraînement qui seront
gérés selon la durée, l'intensité de la stimulation de la charge d'entraînement et le
niveau général d'entraînement de l'individu.
- Dans la gestion de l'alternance entre le temps de travail et le temps de repos,
trois cas de figure peuvent se présenter pour compenser l'état de fatigue.

L'importance de bien gérer l'alternance travail-repos ou la fréquence de l'effort, pour garantir le


bénéfice de l'adaptation physiologique positive de l'organisme, a été développé en 1980 par Jurgen
WEINECK dans un traité sur l'entraînement optimal.

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2. L'adaptation de l'organisme à la charge d'entraînement.

"Des stimulations nerveuses répétés issues d'une charge d'entraînement entraînent une adaptation
physiologique positive sur le fonctionnement de l'organisme et plus précisément sur les plans
neuromusculaires cardio-vasculaire et respiratoire." NOCKER 1966

En clair, la pratique des A.P.S. a des effets positifs sur la santé.

"En augmentant de plus en plus les charges d'entraînement l'adaptation physiologique de


l'organisme reste positive pour le fonctionnement des grands systèmes." NOCKER 1966

"Les différentes formes de travail musculaire entraînent des modes d'adaptation de l'organisme
différents."

Selon des régimes de contractions musculaires, le développement des propriétés mécaniques du


muscle est différent.

"L'évolution de la capacité de performance physique varie selon :

- la fréquence
- la durée
- l'intensité de la stimulation de la charge d'entraînement
- l'âge
- le sexe
- l'héritage génétique de l'individu."

Par des stimulations de charge bien dosées, selon les critères différents de l'effort, et bien adapté au
potentiel du pratiquant l'entraînement a pour fonction, selon NOCKER, d'engager des processus
d'adaptation d'organisme améliorant sa capacité de fonctionnement.

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1. Définition de la charge d'entraînement.

D'un point de vue physiologique la charge d'entraînement correspond à la création de stimulations


neuromusculaires appropriées à une technique gestuelle particulière liée aux A.P.S.

En clair, cela correspond à la façon de stimuler l'organisme sur le plan neuro-moteur {nerf-muscle}

par l'intermédiaire des systèmes nerveux : central et périphérique.

Le processus d'acquisition d'un geste commence pour le pratiquant par un besoin d'informations
qu'il pourra analyser avant de concevoir un projet gestuel. Une fois ce projet définit,
intellectuellement parlant, il ne reste au pratiquant qu'à déclencher volontairement l'exécution du
geste {mouvement volontaire}.

-4-
6. Différentes composantes de la charge d'entraînement. ................................17

6.1. L'intensité de stimulation de charge : ......................................................... 17


6 . 1 . 1 . S u r l e p l a n n e u r o m u s c u l a i r e . .........................................................17

6 . 1 . 2 . S u r l e p l a n c a r d i o - v a s c u l a i r e . ........................................................17

6.2. La durée de stimulation de la charge d'entraînement : ...................................... 18

6.3. Le volume de stimulation de charge :......................................................... 18

6.4. Densité de stimulation d'entraînement : ...................................................... 18

7. Les formes de contraction musculaire. ...............................................18

7.1. Forme de contraction dynamique : ........................................................... 19

7.2. Forme de contraction statique : ............................................................... 19

7.3. Forme de contraction stato-dynamique....................................................... 19

7.4. Forme de contraction pliométrique :.......................................................... 19

7.5. Forme de contraction auxotonique............................................................ 20

-3-
Table des matières :

1. Définition de la charge d'entraînement. ................................................4

2. L'adaptation de l'organisme à la charge d'entraînement................................5

3. Les différents processus d'adaptation de l'organisme...................................6

4. Importance de la récupération à l'effort.................................................8

4.1. Définition de l'état de fatigue à l'effort : ........................................................ 8

4.2. Le mode de restauration : ........................................................................ 8

4.3. Les facteurs influençant la vitesse de récupération : .......................................... 9


4 . 3 . 1 . L a v i t e s s e d e r é c u p é r a t i o n s e l o n l e t y p e d ' e f f o r t r é a l i s é . ..........................9

4 . 3 . 2 . T a b l e a u D u r é e - I n t e n s i t é : .............................................................10

4.3.3. Tableau Fréquence : ...................................................................11

4 . 3 . 4 . V i t e s s e d e r é c u p é r a t i o n s e l o n l e s p r é d i s p o s i t i o n s g é n é t i q u e s . ..................12

4 . 3 . 5 . V i t e s s e d e r é c u p é r a t i o n s e l o n l ' â g e . ................................................12

4 . 3 . 6 . V i t e s s e d e r é c u p é r a t i o n s e l o n l e n i v e a u d ' e n t r a î n e m e n t . .........................12

4 . 3 . 7 . V i t e s s e d e r é c u p é r a t i o n s e l o n l e n i v e a u d e m u s c u l a t u r e m i s e e n j e u . ...........13

4 . 3 . 8 . V i t e s s e d e r é c u p é r a t i o n s e l o n l e c a d r e e t l a q u a l i t é d e v i e . ......................13

5. Capacité d'adaptation de l'homme à l'effort..........................................14

et capacité de performance. .............................................................14

5.1. Origine de l'évolution de la capacité de performance :...................................... 14

5.2. Le surentraînement :............................................................................ 15

5.3. Les signes précurseurs du surentraînement : ................................................ 16


5 . 3 . 1 . S e m a i n e 1 : .............................................................................16

5 . 3 . 2 . S e m a i n e 2 : .............................................................................16

5 . 3 . 3 . S e m a i n e 3 : .............................................................................16

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Méthodologie de l'entraînement

Les processus d’adaptation


de l'organisme à la charge d'entraînement.

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