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Problématique : « la capitalisme, c’est la civilisation de l’inégalité ». Faut-il accepter ces inégalités ou bien essayer de les réduire ?
Transferts sociaux : versés afin de réduire le coût de certains risques supportés par les ménages
Dépenses sociales prises en charge: régime de sécurité sociale, caisses d’assurance chômage…
Versement de prestations sociales : allocations familiales, allocation logement…
théories libérales :
Augmentation du coût du travail et ses conséquences (risque de délocalisation des entreprises, substitution par le facteur
capital)
Situation d’assisté (incite à l’oisiveté…)
Chacun devrait avoir ce qu’il mérite par son travail
Empêche le marché de jouer librement
6. Quels sont, selon LAFFER « trop d’impôt, tue l’impôt », les effets d’un trop fort taux de prélèvement fiscal ?
Si trop d’augmentation des prélèvements obligatoires, il y a baisse des recettes fiscales perçues
En France, l'état providence (politiques keynésiennes) a développé ses interventions depuis la fin de la 2° guerre mondiale.
Selon cette conception assez élargie du rôle de l'état, il s'agit avant tout de réduire les inégalités de revenus et d'influencer la
conjoncture économique. L'état intervient donc non seulement au niveau de la répartition primaire mais également au
niveau de la redistribution des revenus.
2 logiques :
logique d’assurance : bénéficier de droits sociaux (ex. remboursement des soins) contre versement de cotisations
logique d’assistance : bénéficier de droits en fonction de la situation de chacun (ex. RMI, CMU…) : solidarité nationale
14. et la CMU ?
couverture maladie universelle
Dépenses de santé :
en augmentation constante
augmentation du nombre de bénéficiaires et des progrès médicaux
donc augmentation de l’offre de soins
Est-elle efficace ?
Toujours l’exclusion des plus pauvres
marginalisation et exclusion : la fracture sociale
En réalité, peu de redistribution : 10 % des ménages sont au seuil de pauvreté (- de 530 € par mois)
Problème de l’équilibre dépenses et recettes (« trou » de la sécurité sociale)
Le financement prélève des richesses sur la production
Augmentation de la part des charges sociales dans la valeur ajoutée de l’entreprise :
augmente le coût du facteur travail
donc baisse de productivité du travail
d’où ralentissement de l’effort d’investissement car trop de charges
donc les prélèvements obligatoires sont un frein à la compétitivité des entreprises
Egalité discutable devant l’impôt : Les impôts indirects (TVA, TIPP) ne tiennent pas compte des revenus et sont donc injustes
19. Quelles sont les composantes de la crise de légitimité de la redistribution des revenus ?