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AGABI Mohamed
USTHB, 2017/2018
Sommaire :
Introduction……………………………………………………………………………………………………………3
Le schéma de fonctionnement……………………………………………………………………………………………4
La nomenclature du moteur……………………………………………………………………………………5
Le principe de fonctionnement……………………………………………………………………………….6
Le couplage……………………………………………………………………………………………………………..6
Variateur électronique…………………………………………………………………………………………….7
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Introduction :
Les progrès technologiques de ces dernières années ont permis la généralisation des
actionneurs électromécaniques à base de machine asynchrone dans les systèmes de grande
taille dans notre cas c’est les MOCN.
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Le schéma de fonctionnement :
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La nomenclature du moteur :
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Le principe de fonctionnement :
Le stator supporte trois enroulement décalé d’un angle de 120° et alimenté par une
tension alternatif triphasé. Ces trois bobines produisent un champs magnétique variable qui
a la particularité de tourner au tour de l’axe du stator suivant la fréquence de la tension. Ces
champs tournant statorique induisent des courants dans le rotor, leur interaction entraine la
rotation du rotor suivant une fréquence inferieur à celle de champs magnétique tournant.
Le glissement
L’origine des courants rotoriques réside dans la différence des vitesses NS et N. On introduit
une grandeur fondamentale, sans dimension, le glissement G définit par :
𝐍𝐬 − 𝐍
𝐆=
𝐍𝐬
Et Ꙍ c’est la vitesse de rotation du rotor, elle est exprimée en rad /s
Pour trouver cette vitesse :
Ꙍ =2πN (si N : tour /s) W=2πN/60(si N tour/min)
On dit que
N=0 g=1 le cas de démarrage
N=Ns g=0 le cas de synchronisme
0<N<Ns, 0<g<1 le cas de moteur
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Dans le cas d’un couplage en étoile U=400V le courant de linge I=1.9 et cosα=0.86
Pa= U.I.cosα Pa=400.1.9.0.86=1.132 Kw
Pa= 1.13 Kw
Pour trouver le rendement de moteur η= pu/pa=0.75/1.13=0.66
Et pour trouver le moment du couple utile Mu=Pu/W=0.75/(2πN/60)
u=293N.m
La fréquence de synchronisme
Ns=f/p p=2 f=50 donc Ns=1500tr/min
G=1500-2800/1500=0.86%
Le couplage :
Cette plaque ci-dessus donne des informations sur la petite tension qui se trouve au
borne des enroulements suivants le réseau triphasé utilisée, le couplage sera en étoile ou en
triangle.
Si la petite tension du moteur (c.-à-d. la tentions max supporter par un enroulement de
stator) est égale à la tension simple du réseau, le rotor sera couplé en étoile.
Si elle correspond à la tension composée du réseau, on couple le stator en triangle.
Si la machine est couplée en triangle, les deux bobines sont montées en série. La
tension aux bornes de chaque bobine vaut U/2.
Si la machine est couplée en étoile, les deux bobines sont montées en parallèle. La
tension aux bornes d’une bobine vaut U/√3. Le couple sera donc plus important que dans le
cas précédent.
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• Contrôle précis du couple, de la vitesse en régime statique et/ou dynamique.
• Réglage/asservissement des flux de production à la demande.
Variateur électronique:
Avec les progrès de l’électronique de puissance, beaucoup de moteurs sont pilotés
par un variateur type. L’avantage est que l’on maîtrise parfaitement et à tout instant la
vitesse de rotation de l’arbre, en particulier au moment du démarrage, et en plus le
variateur surveille courant, tension et échauffement du moteur.
Le moteur asynchrone tourne à une vitesse légèrement inférieure à la vitesse de
synchronisme. Il suffit donc de faire varier la fréquence d’alimentation du moteur pour
commander sa vitesse.
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Exemple sur un variateur de vitesse :
Le montage des variateurs sur semelle Les variateurs ATV 11 peuvent être montés sur (ou
dans) un bâti de machine en acier ou en aluminium, en respectant les conditions suivantes :
• le variateur doit être fixé au centre d’un support (bâti) d’épaisseur 10 mm mini et
de surface de refroidissement carrée (S) minimale 0, 12 m2 pour l’acier et 0,09 m2
pour l’aluminium, exposée à l’air libre,
• surface d’appui du variateur (mini 142 x 72) usinée sur le bâti avec une planéité
de 100 μm maxi et une rugosité de 3,2 μm maxi,
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Bilan énergétique du moteur :
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