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La microéconomie est consacrée à l’infiniment petit.

consommateur producteur marché


macroéconomie: le niveau de production d’un pays (consommation, épargne, investissement,
dépenses publiques, emploi, chômage)
Le consommateur cherche à maximiser son utilité(sa satisfaction)
Le producteur cherche à maximiser son profit
La révolution marginaliste:
L’école de Cambridge
L’école de Vienne
L’école de Lausanne
Les économistes classiques et Karl Max: Qu’est-ce qui permet objectivement de définir la valeur
de tel ou tel bien ?
Des théories objectives de la valeur: la valeur d’un bien est liée au travail
à la quantité de travail d’autrui que ce bien me permet de commander (théorie la valeur-travail
commandé de Smith)
à la quantité de travail nécessaire pour produire ce bien dans les conditions les plus défavorables
(théorie de la valeur-travail incorporé de Ricardo)
à la quantité de travail nécessaire en moyenne, dans la société, pour produire ce bien (temps de
travail socialement nécessaire de Marx)
Les marginalistes: la théorie subjective de la valeur: un bien n’a pas de valeur en soi
Le consommateur
Les consommateurs maximisent leur utilité
L’utilité: La satisfaction personnelle (subjective) que ressent le consommateur lors qu’il
consomme un bien ou un service
Les producteurs maximisent leur profit
La théorie de l’utilité cardinale: le consommateur était capable de donner une valeur mumérique à
tous les biens qu’il consommait ou qu’il désirait consommer
La théorie de l’utilité ordinale: le consommateur n’a pas besoin d’attribuer une valeur numérique à
tous les biens qu’il consomme, mais il doit simplement être capable de classer ses préférences
la relation de préférence:
le panier A est préféré au panier B:
A ≻ B (une préférence stricte)
le consommateur est indifférent entre le panier A et le panier B:
A∿B
le panier A est au moins aussi désiré que le panier B:
A≿B (une préférence non-stricte)
Le pré-ordre complet:
l’axiome de totalité: le consommateur doit toujours être capable de classer deux paniers de biens
l’axiome de réflexivité: tout panier étant indifférent à lui-même
l’axiome de transitivité: si A≿B et B≿C: alors A≿C
La fonction d’utilité mesure l’utilité totale(la satisfaction totale)
la relation de préférence du consommateur
l’utilité marginale est fonction décroissante de la quantité consommée d’un bien
le principe de l’utilité marginale décroissante:
la grandeur d’une jouissance donnée diminue progressivement jusqu’à la satiété quand nous
consommons cette jouissance de façon continue
courbes d’indifférence:

la convexité des préférences: la moyenne est préférable aux extrêmes


le taux marginal de substitution(TMS) est un taux d’échange entre les biens x et y à utilité
constante, le long d’une courbe d’indifférence.
le taux marginal de substitution est toujours positif
deux courbes d’indifférence ne se coupent jamais
Il y a deux cas particuliers:
les biens strictement complémentaires: on ne peut pas consommer l’un sans consommer l’autre
(les courbes d’indifférence sont des droites perpendiculaires)
les rbiens parfaitement substituables: les deux biens se valent parfaitement pour le consommateur
(les courbes d’indifférence sont des droites décroissantes)

le bien y est un bien neutre(ni satisfaction / utilité, ni insatisfaction / désutilité):

le bien y procure de la satisfaction / de l’utilité, le bien x provoque de l’insatisfaction / de la


désutilité

la contrainte budgétaire:
A,B,C: des paniers de biens inatteignables
D,E,F: des paniers de biens inefficaces
On considère que le consommateur est rationnel lorsqu’il sature sa contrainte budgétaire
la droite de budget est une droite décroissante de pente et d’ordonnée à l’origine
le sentier d’expansion du consommateur correspond à la courbe qui passe par tous les points
d’équilibre du consommateur quand son revenu augmente

Les élasticités:
Une élasticité mesure l’intensité d’une relation de cause à effet

Trois types d’élasticité:


l’élasticité revenu: mesure la façon dont évolue la quantité consommée d’un bien lorsque le
revenu du consommateur varie

Trois types de biens:


les biens inférieurs
Les biens inférieurs sont les biens qui correspondent aux besoins primaires des individus: se
nourrir, se vêtir, se loger

les biens normaux


Les biens normaux sont les biens qui correspondent aux besoins secondaires des individus: se
déplacer, soins de santé

les biens supérieurs


Les biens supérieurs sont les biens qui correspondent aux besoins《de luxe》des individus: biens
de luxe, voyages, accès à l’enseignement supérieur, à la culture

l’élasticité prix (l’élasticité prix directe): mesure la façon dont évolue la quantité consommée d’un
bien lorsque le prix de ce bien varie

Deux types de biens:


un bien typique est un bien pour lequel une hausse de prix entraîne une baisse des quantités
consommées

un bien atypique est un bien pour lequel une hausse de prix entraîne une hausse des quantités
consommées

Trois types de biens atypiques:


les biens Giffen
les biens Alkerlof
les biens Veblen
l’élasticité croisée (l’élasticité prix croisée): mesure la façon dont évolue la quantité consommée
d’un bien lorsque le prix de l’autre bien varie

Les biens x et y:
des biens substituables:
Les biens substituables sont des biens que l’on peut remplacer l’un par l’autre

des biens complémentaires:


Les biens conplémentaires sont des biens qui sont consommés ensemble

des biens indépendants:


Les biens indépendants sont des biens qui n’ont pas de rapports directs. La consommation d’un
bien n’a absolument aucun impact sur la consommation de l’autre bien.

Le producteur
Deux types d’agents économiques:
Les consommateurs, qui maximisent leur utilité
Les producteurs, qui maximisent leur profit
Profits = Chiffre d’affaires - Coûts de production
Profits = Recette totale - Coût total
Le chiffre d’affaires: correspond à l’ensemble des sommes d’argent qui rentrent dans l’entreprise,
suite à la vente des biens et services aux consommateurs
Les coûts de production: correspondent à l’ensemble des sommes d’argent qui sortent de
l’entreprise, pour payer les facteurs de production(le capital et le travail), les matières premières,
les produits semi-finis vendus à l’entreprise par ses fournisseurs et sous-traitants.
Pour maximiser son profit, le producteur ne peut pas jouer sur le prix du bien qu’il vend, mais
uniquement sur les quantités vendues.
Les productivités marginales:
La fonction de production:

Le taux marginal de substitution technique est le taux d’échange entre les utilités de travail et de
capital le long d’une isoquante de production, à quantité d’output produite inchargée.
La contrainte budgétaire:

La contrainte budgétaire du producteur:

Mathématiquement, à l’équilibre, le taux marginal de substitution technique est égal au rapport des
prix des facteurs de production.

Le sentier d’expansion du producteur correspond à la courbe qui passe par tous les points
d’équilibre du producteur quand son revenu augmente.
La fonction Gobb-Douglas:
Les rendements d’échelle
Trois situation sont possibles:
Les rendements d’échelle sont constants (a + b = 1)
Les rendements d’échelle sont décroissants (a + b < 1)
Les rendements d’échelle sont croissants (a + b > 1)

Les coûts de production sont l’ensemble des dépenses générées pour la production d’un bien ou
d’un service.
Des coûts fixes: ce sont les coûts qui ne dépendent pas des quantités produites
Des coûts variables: ce sont les coûts qui dépendent des quantités produites

le coût moyen correspond au coût unitaire de production


Le coût marginal correspond au coût de la dernière unité produite.
Dans la zone 1, l’entreprise fait des profits
Dans la zone 2, l’entreprise fait des pertes, mais couvre ses coûts fixes
Dans la zone 3, l’entreprise fait des pertes, mais ne couvre pas ses coûts fixes

La recette totale correspond au chiffre d’affaires de l’entreprise

La recette moyenne correspond au rapport de la recette totale et de la quantité produite

La recette marginale correspond au supplément de recette apportée par la production d’une unité
supplémentaire.
Le marché
la croix de Marshall

le tableau de Stackelberg:

la CPP:
l’atomicité
l’homogénéité des produits
l’information parfaite
la fluidité
la libre circulation des facteurs de production
Le couple rendement-risque
A: une obligation d’État
B: une action d’entreprise
le risque est un événement probabilisable: les événements futurs sont connus et probabilisables
le résultat: inconnu
la distribution de probabilités conduisant à ce résultat: connue
l’incertitude est un événement non-probabilisable: les événements futurs ne sont pas connus et
probabilisables
le résultat: inconnu
la distribution de propabilités conduisant à ce résultat: inconnue
Deux grandes façons de financer les opérations d’investissement ou les activités économiques
Le financement interne:
le financement interne des entreprises correspond à ce que l’on appelle l’autofinancement
Le financement externe:
Les entreprises n’ont pas la capacité de s’autofinancer. Elles ont besoin de financement externe
Deux sources de financement externe:
le financement externe intermédié: les entreprises peuvent solliciter des crédits auprès des
institutions financières
le financement externe désintermédié: les entreprises peuvent émettre des titres sur les marchés
financiers, et notamment sur le marché primaire qui constitue le marché de l’émission des titres
nouveaux

économie d’endettement: les agents économiques se financent principalement par financement


indirect, en contractant des crédits auprès des institutions financières
économie de marchés financiers: les agents économiques se financent principalement par
financement direct, en émettant des titres sur les marchés financiers
le marché primaire:
les nouvelles actions sont émises à l’occasion d’introduction en bourse: l’entreprise n’était pas
encore sur le marché financier
les nouvelles actions sont également émises à l’occasion d’augmentations de capital: l’entreprise
veut augmenter ses fonds propres, son capital
les nouvelles obligations sont émises quand les entreprises et les États lancent de nouveaux
emprunts obligataires (l’obligation>l’action)
le marché secondaire: garantir la liquidité des titres
les actions anciennes et les obligations anciennes sont échangées chaque jour, quotidiennement,
pendant les heures d’ouverture des bourses
le private equity désigne les entreprises qui ne sont pas sur le marché boursier, les entreprises dont
les actions ne sont pas publiquement échangées sur le marché financier
le private equity désigne les entreprises qui ne sont pas cotées en bourses, une entreprise privée est
une entreprise non-cotée
le public equity désigne les entreprises qui sont sur le marché boursier, les entreprises dont les
actions sont publiquement échangées sur le marché financier
le public enquity désigne les entreprises qui sont cotées en bourse, une entreprise publique est une
entreprise cotée en bourse
une entreprise privée est une entreprise détenue par des actionnaires privées
une entreprise publique est une entreprise détenue par l’État, par la puissance publique
bullish: les opérateurs de marché qui anticipent des hausses de cours (optimistes)
bearish: les opérateurs de marché qui anticipent des baisses de cours (pessimistes)
Les marchés financiers:
New York Stock Exchange
NASDAQ
Shanghai Stock Exchange
Euronext
Japan Exchange Group
Shenzhen Stock Exchange
Hongkong Stock Exchange
London Stock Exchange
National Stock Exchange of India
TMX Group
Deux types de risques:
le risque non-systématique désigne le risque propre à chaque titre, spécifique à chaque actif
le risque systématique(risque de marché / volatilité de marché) affecte une entreprise particulière,
sans pour autant affecter l’ensemble du marché
le risque systématique est un risque général et global
dépendre d’éléments exogènes
pouvoir toucher tous les investisseurs, à des degrés différents
les valeurs mobilières: les actions et les obligations
les actions sont des titres de propriété
les obligations sont des titres de créances

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