SHERBROOKE jeudi 28 février 2013 | 32 pages |
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PARC ÉOLIEN

STOKE
CIBLÉE
PAR UN IMACOM, JOCELYN RIENDEAU

PROMOTEUR
LOUIS-JOSÉ HOUDE
PAGE 3 L’HUMORISTE
DANS UNE
CLASSE À PART
PAGE 13

Passez chercher votre chèque

Emploi Québec
convoque
500 bénéficiaires
de l’aide sociale
— La chronique de
Luc Larochelle

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5
LA TRIBUNE, RENÉ-CHARLES QUIRION

À MAINS NUES SUR UN CÂBLE DE 2400 VOLTS

Un électricien perd la vie
2
à Sainte-Catherine-de-Hatley PAGE 3 PAGE 31
 2 [ ACTUALITÉS ]
TRANSPORT EN COMMUN
Non à une réduction de tarifs aux aînés
DAVID BOMBARDIER
david.bombardier@latribune.qc.ca
Spéciaux de Février
BOUTIQUE
Western
Grande varitété de chapeaux,
chemises, manteaux western
Chemises western
Ceintures, boucles, bolos.
Bottes boulets
pour femmes 250 $
maintenant
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LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
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2
...........................................................................................................................................................
SHERBROOKE — Plutôt que à Sherbrooke, l’Association de (AQDR Sherbrooke) demande
d’exiger la gratuité du trans- défense des droits des person- qu’on diminue de moitié les
port en commun pour les aînés nes retraitées et préretraitées tarifs pour tous les usagers d’ici
dix ans afin de contrer la pau-
vreté et l’exclusion sociale de
l’ensemble des citoyens.
Une telle diminution, bien
que louable, aurait des effets
catastrophiques sur le réseau,
répond le président de la Société
de transport de Sherbrooke
(STS), Marc Denault.
La semaine dernière, la
conseillère Mariette Fugère
puis la FADOQ-Estrie ont
réclamé la gratuité du trans-
port en commun pour les aînés
après l’annonce que les jeunes
Cordonnerie de 11 ans et moins bénéficieront
désormais d’une telle mesure,
au coût annuel de 25 000 $ pour
Spécialité fermetures éclair la Ville. L’abolition des tarifs
Réparation générales pour les personnes âgées prive-
rait la STS d’au moins 800 000 $
e raba
is Grappins à glace par année.
35% d L’AQDR Sherbrooke propose
%
20 Plusieurs
modèles
à partir de
que la STS réduise d’abord de
moitié, dès maintenant et pour
trois ans, les tarifs des jetons
Marc Denault
%
50
et le paiement comptant. Ces de quelque 2,4 M $ convenues
à 5$
tarifs sont présentement fixés avec les institutions sherbroo-
Moccasins d’hiver Ne vous laissez pas
pour femmes prendre par la glace à 3,10 $ et 3,25 $. Cette diminu- koises pour les passes univer-
tion de 50 pour cent toucherait selles, prévient le président de
tous les usagers, ce qui évite- la STS, Marc Denault. De plus,
Bottes western rait de stigmatiser les person- les détenteurs de passes men-
pour homme 200 $ BOUTIQUE nes à plus faible revenu peu suelles seraient tentés de payer
importe leur âge ou leur statut au comptant leurs passages
maintenant
Amérindienne social, fait valoir l’organisme de puisque les coûts deviendraient
14995$
défense des droits des retraités sensiblement les mêmes.
Beaucoup de nouveautés dans et préretraités. En coupant tous ses tarifs de
les mocassins d’hiver moitié d’ici dix ans, comme le
demande l’AQDR Sherbrooke,
•Bijoux indiens « Comment convaincre la STS se priverait de revenus
(colliers, bracelets) de 4,5 M $ par année et aug-
le gouvernement menterait son achalandage sans
•Encens amérindienne pouvoir répondre à la demande,
Mocassins indiens, de nous donner plus fait valoir M. Denault. Avec
•Chapeaux Davy Crockett
capteurs de rêve en fourrure de des revenus en baisse, la STS
renard blanc et coyote d’argent si on baisse devrait réduire ses services.
Or les Sherbrookois veulent
•Raquettes nos tarifs ? » plutôt que la STS augmente la
traditionnelles fréquence de ses autobus et
neuves et usagées Cette mesure représenterait offre un meilleur service dans
- Kits de réparation disponibles
un manque à gagner d’environ certains quartiers résidentiels,
•Bottes en peau de loup marin, castor, 600 000$ par an, évalue l’AQDR insiste Marc Denault.
vache et chat sauvage Sherbrooke. « Nous savons que « Comment convaincre le
plusieurs sociétés de transport gouvernement de nous don-
de la province appliquent des ner plus d’argent si on baisse
réductions de tarifs de ce genre nos tarifs? » demande-t-il. Les
depuis longtemps », souligne contribuables sherbrookois
Robert Tremblay, responsa-
ble du comité transport de
paient déjà 46,4 pour cent des
coûts du transport en commun
l’organisme. et on peut difficilement leur en
Une telle diminution remet- demander davantage, estime
trait en question les ententes M. Denault.
819 346-4141 3146039
Les
SOMMAIRE MÉTÉO
Annonces classées 18 à 21 Laurianne, 10 ans
École La Samare
AUJOURD’HUI nouvelles
Arts et spectacles
Décès
13 à 15
22 à 24
FAIBLE NEIGE
SE CHANGEANT
de l’heure...
Économie 16 et 17 EN PLUIE
Horoscope 20 MAX.: 4° MIN.: -3° latribune.qc.ca
Loterie 6
Lever du soleil: 6 h 26
Monde 12 Coucher du soleil: 17 h 32
Mots croisés 20 LE CLIN D’OEIL DE
Opinions 10 STÉPHANE LAPORTE
VENDREDI neige intermittente, SAMEDI nuageux et neige,
Sports 26 à 31 max.: -1° min.: -3° max.: 0° min.: -4° Benoît XVI va maintenant
rester dans sa bulle.
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JOURNALISTES, ÉCRIVEZ À redaction@latribune.qc.ca OU APPELEZ AU 819 564-5454
........................................................................................................................................................................ [ ACTUALITÉS ] 3

Stoke ciblée pour un projet éolien

La muncipalité assure qu’elle n’ira pas de l’avant sans consulter les citoyens
JÉRÔME GAUDREAU
jerome.gaudreau@latribune.qc.ca
SHERBROOKE — Est-ce que le
mont Stoke accueillera bientôt
entre 15 et 20 éoliennes? Les
citoyens peuvent être rassu-
rés : la municipalité n’a pas
l’intention d’aller de l’avant
dans ce projet sans consulter
la population.
La compagnie Ivenergy a en
effet rencontré les élus de Stoke
mardi soir afin de poursuivre
une discussion entamée à la fin
de l’automne dernier.
Mais le maire de Stoke, Luc
Cayer, croit que le succès de
ce projet repose avant tout sur
son acceptation par les gens
qui habitent ou fréquentent
l’endroit.
« Nous avions déjà reçu un
premier appel de la part de
cette compagnie éolienne et
mardi, on a pu faire connais-
sance et mieux connaître leur
idée. Nous avons aussi eu la
chance de poser nos ques-
tions. On souhaitait avant tout
connaître le terrain visé et le
nombre d’éoliennes qui pour-
raient y être construites. Mais
un projet ne peut réussir si on
n’obtient pas d’abord l’appui de
la population », affirme-t-il tout
en précisant que cette rencontre
n’implique aucun engagement
de la part des élus.
Histoires d’amour
ou d’horreur
Avant de poursuivre les
échanges, Luc Cayer et son
équipe s’informeront davan-
tage sur les projets québécois
existants.
« Nous avons déjà vu les
autres installations de l’entre-
prise Ivenergy et on consultera
aussi les élus des municipali-
tés qui possèdent un complexe
du même genre afin de savoir
quels sont les avantages et les
désavantages. On sait que dans
plusieurs cas, ça se passe bien
ailleurs. Mais on ne jouera pas
à l’autruche : d’autres instal-
lations amènent leur part de
problèmes! » confie M. Cayer.
ARCHIVES LA TRIBUNE
Luc Cayer, maire de Stoke
Sa principale préoccupa-
tion demeure la quiétude des
citoyens.
« Est-ce que la distance entre
les éoliennes et les résidences
est suffisante? La compagnie
parle de 500 mètres. Il faudra
être certain que ce projet ne
brime pas nos citoyens. Parce
qu’au mont de Stoke, même
si ce n’est pas très habité, on
parle d’un très beau coin pour
prendre des marches par exem-
ple. L’endroit est magnifique et
on souhaite conserver le beau
paysage. »
Les avantages
Bien que le maire de Stoke
répète que le tout est embryon-
naire, Luc Cayer concède que ce
projet pourrait contenir quel-
ques avantages pour la ville ou
la région.
« Est-ce qu’on recevrait des
redevances ou un pourcentage
grâce à notre participation?
Pour l’instant, il est encore tôt
pour le savoir. Ce que j’entre-
vois comme autres avantages,
c’est que ce projet entraînerait
des retombées indirectes. Nous
habitons une région agrofores-
tière et il y aurait beaucoup
de déboisement à faire, ce qui
donnerait de l’emploi à des tra-
vailleurs d’ici, sans parler des
infrastructures de ciment à
installer. »
Et le terrain lui?
« Il ne nous appartient pas.
Ce sont les terres de la compa-
gnie Domtar qui sont visées
pour l’instant », explique le
maire Luc Cayer.
Si la muncipalité obtient
l’appui des citoyens, des tests
de vents seront réalisés à cer-
tains endroits sur le territoire.
Et si Hydro Québec lance un
appel d’offres et que les pro-
moteurs obtiennent le contrat,
Stoke compte entamer les autres
étapes qui mèneront vers la
construction d’éoliennes.
Un prochain entretien est à
prévoir bientôt entre les deux
groupes. Aucune date n’est
déterminée pour l’instant. Selon
le maire, le sujet ne devrait pas
se retrouver à l’ordre du jour de
la prochaine séance du conseil
municipal. Il le sera lorsque le
moment sera plus opportun,
dit-il.

ACCIDENT DE TRAVAIL MORTEL À SAINTE-CATHERINE-DE-HATLEY

Un électricien foudroyé par

une décharge de 2400 volts
RENÉ-CHARLES QUIRION
rene-charles.quirion@latribune.qc.ca
SAINTE-CATHERINE-DE-HATLEY
— C’est en voulant déplacer un
fil électrique qu’il croyait inac-
tif à mains nues que Philippe
Picard de Magog a perdu tra-
giquement la vie mardi soir à
Sainte-Catherine-de-Hatley.
À l’emploi de l’entreprise
Services électrique Larochelle
de Sherbrooke, l’homme de
32 ans complétait ses tâches de
la journée lorsque l’événement
tragique est survenu.
« L’équipe d’électriciens
était responsable de remplacer
une ligne électrique aérienne
par une ligne souterraine »,
explique la porte-parole de
la Commission de la santé et
« À l’arrivée des paramé-
dics, la victime était inanimée.
Malgré les manoeuvres et trois
chocs, ils n’ont pas réussi à le
réanimer. Le décès de l’homme
de 32 ans a été constaté à son
arrivée au centre hospitalier de
Magog », explique le chef aux
opérations aux Ambulances de
l’Estrie, René Provençal.
La CSST a ouvert une
enquête.
« Nos inspecteurs ont été
dépêchés sur les lieux pour faire
la lumière dans cette affaire.
Ils tenteront de déterminer ce
qui s’est passé », indique Julie
Fournier de la CSST.
Sur les lieux du drame hier,
les trois camions des Services
électriques Larochelle, dont
celui identifié au prénom de
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE

sécurité au travail (CSST), Julie la victime, étaient encore sur

Fournier.
Le camion s’apprêtait à quit-
ter le chemin privé où il s’af-
fairait lorsque le travailleur a
voulu soulever le fil électrique
qui était coincé dans le mât de
la nacelle.
« Le travailleur croyait vrai-
semblablement qu’il n’y avait
plus de courant. Il a pris le fil
électrique de 2400 volts à mains
place. Il était possible de perce-
voir que la hauteur du camion
nacelle était à peu près la même
que celle du fil électrique par-
courant le chemin privé.
La tragédie est survenue
dans un chemin permettant de
relier une résidence au chemin
du Brûlé.
Certains détritus ayant servi
à la réanimation et les cordons LA TRIBUNE, RENÉ-CHARLES QUIRION

nues », mentionne la porte-
parole de la CSST.
Le travailleur a été électro-
cuté par le fort courant de la
ligne toujours active.
Les collègues de Philippe
Picard ont tenté des manoeu-
vres de réanimation en atten-
dant l’arrivée des ambulanciers
paramédicaux.
de sécurité jaunes des policiers
témoignaient des événements
survenus vers 16 h 50, mardi
soir.
« Les lieux de l’accident
étaient difficiles d’accès. Le
véhicule ambulancier a dû recu-
ler pendant plus d’un kilomètre
pour revenir au chemin avec la
victime. Ils ont quitté vers le
Le camion de l’entreprise Services électrique Larochelle, de Sherbrooke, s’apprêtait à quitter un chemin
privé de Sainte-Catherine de Hatley, mardi soir, lorsque l’électricien Philippe Picard a voulu soulever
un fil électrique qui était coincé dans le mât de la nacelle. Il a subi une décharge de 2400 volts à mains
nues.
centre hospitalier vers 17 h 55 », rencontré ses employés au Un coroner a été avisé de cet
mentionne René Provençal cours de la journée d’hier. Il a accident de travail mortel et
d’Ambulances de l’Estrie. aussi dû soumettre sa version devrait rendre public son rap-
Le propriétaire des Services de l’événement aux enquêteurs port sur cette tragédie au cours
électriques Larochelle a de la CSST. des prochains mois.
3
 4 [ ACTUALITÉS ]
ATTENTAT À TROIS-RIVIÈRES EN 2010 ET VANDALISME PRÈS DE COATICOOK EN 2004
La GRC arrête un suspect
LA PRESSE CANADIENNE
ET LA TRIBUNE
SHERBROOKE — Un homme
de la région des Laurentides a
été arrêté par la Gendarmerie
royale du Canada (GRC) en lien
avec l’attentat à la bombe com-
mis en 2010 dans un centre de
recrutement des Forces armées
canadiennes à Trois-Rivières.
La bombe avait causé des
dégâts, mais n’avait pas fait de
blessé.
Depuis lundi, une Équipe
intégrée de la sécurité nationale
réunissant des policiers de la
GRC, de la Sûreté du Québec et
du Service de police de la Ville
de Montréal a mené des perqui-
sitions à Montréal, Saguenay,
Longueuil et dans les locaux
de l’association étudiante du
Collège Lionel-Groulx à Sainte-
Thérèse. Elles ont permis la sai-
sie de preuve documentaire qui
sera analysée par les policiers.
Les informations obtenues
pointent vers une organisa-
tion nommée l’« Initiative de
résistance internationaliste »,
qui avait aussi revendiqué des
gestes de vandalisme contre
un pylône d’Hydro-Québec en
Estrie en décembre 2004.
Des explosifs avaient été
utilisés pour endommager le
pylône d’Hydro-Québec, près de
Coaticook. Lors de l’explosion,
Sept ans de prison pour Steeve Larrivée
YANICK POISSON
ypoisson@latribune.qc.ca
VICTORIAVILLE — La procu-
reure de la Couronne Me Valérie
Michaud demandait 78 mois de
prison pour Steeve Larrivée, cet
homme accusé de multiples
méfaits sur une ferme familiale
de Tingwick; elle en a finale-
ment obtenu 84 du juge Guy
Lambert.
« M. Larrivée est un homme
intelligent et doté d’un bon
potentiel, mais le risque de
récidive est toujours présent
et il le sera tant qu’il ne suivra
pas une thérapie afin de cor-
riger son obsession. Dans un
cas comme celui-ci, une longue
peine d’emprisonnement s’im-
pose », a indiqué le magistrat
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
au moment de rendre sa sen-
tence, hier, au palais de justice
de Victoriaville.
La procureure s’est évidem-
ment dite satisfaite de la déci-
sion, elle qui martelait qu’il
était crucial de protéger les vic-
times, Mélanie Larochelle (son
ex-conjointe) et Alain DeSerre.
Appuyée par les conclusions
favorables du rapport présen-
tenciel, elle a indiqué que l’ac-
cusé était aux prises avec une
« fixation » qui faisait en sorte
qu’il retournait toujours sur
les terres de M. DeSerre, et ce,
même si la Cour le lui interdisait
depuis 2008.
Me Michaud a également axé
son argumentaire sur le fait que
Larrivée avait un imposant
dossier judiciaire comptant
4
...........................................................................................................................................................
La GRC a procédé hier à l’arrestation d’un individu en lien avec un attentat à la bombe commis en
2010 dans un centre de recrutement des Forces armées canadiennes à Trois-Rivières, revendiqué par
une organisation nommée « Initiative de résistance internationaliste ». Cette organisation avait aussi
revendiqué des gestes de vandalisme contre un pylône d’Hydro-Québec près de Coaticook, en 2004.
le pylône avait été soulevé et
déplacé de quelques pieds.
En août 2006, le groupe aurait
également revendiqué la res-
ponsabilité de l’explosion de
la voiture d’un porte-parole de
l’Institut canadien des produits
pétroliers.
nombre de bris de conditions,
ainsi que la préméditation des
gestes de l’accusé. Ce dernier a
effectivement loué des voitures
pour commettre ses crimes et
il a même vêtu des bottes de
différentes grandeurs afin de
tromper les policiers.
« M. Larrivée savait que
l’endroit était isolé et il a tou-
jours réussi à commettre ses
crimes sans se faire prendre.
C’est grâce à la solidarité des
voisins et à l’initiative du maire
de Tingwick si on a pu l’attra-
per », a ajouté le juge Lambert.
Puisque l’accusé a déjà purgé
31 mois de détention préven-
tive, il devrait passer les 53 pro-
chains derrière les barreaux,
à moins d’être admissible aux
libérations conditionnelles.
Une peine sévère
L’avocat de la défense,
Me René Duval, qui avait sug-
géré à la Cour un emprisonne-
ment de 36 mois, a qualifiée la
peine imposée à son client de
« sévère ». Il compte examiner
les options qui s’offrent à lui et
il n’est pas écarté qu’il fasse
appel.
« La Couronne demandait
48 mois de plus et on est rendu
à 53. Il est possible d’aller en
appel, mais les critères sont
très exigeants. Il faut démontrer
que la peine est déraisonnable.
Pour l’instant, je la considère
sévère », a-t-il dit.
L’avocat a rappelé que Steeve
Larrivée pourrait revoir la
lumière du soleil plus tôt que
« L’enquête pourrait mener
à d’autres perquisitions, ainsi
qu’à des arrestations et à des
accusations criminelles », a
indiqué mercredi le caporal
Luc Thibault, de la GRC.
Les recherches sont
menées dans le cadre d’une
Après avoir vécu l’enfer pendant trois ans, Alain DeSerre et Mélanie
Larochelle ont accueilli avec satisfaction, hier, la sentence de sept
ans de prison imposée à Steeve Larrivée qui s’est livré à de multi-
ples méfaits sur leur ferme familiale de Tingwick.
prévu puisque sa condamna-
tion fait actuellement l’objet
d’un appel. Il devrait présenter
son dossier à la Cour au cours
des prochains mois et il est pos-
sible qu’on entende la cause au
cours de l’automne.
Soulagés… pour l’instant
Le couple DeSerre-Larochelle
s’est dit heureux de constater
que le juge Lambert est par-
venu à bien comprendre la
situation et n’a pu que se réjouir
de sa décision. Après avoir vécu
l’enfer pendant trois ans, ils ont
finalement obtenu une certaine
quiétude depuis l’arrestation de
Larrivée, le 1er septembre 2010.
ARCHIVES LA TRIBUNE
vaste enquête lancée en
juillet 2010.
L’objectif des Équipes inté-
grées de la sécurité nationale
est de réduire toutes formes
de menace à la sécurité des
infrastructures au Québec et
au Canada.
LA TRIBUNE, YANICK POISSON
« Nous ne sommes pas sans
y penser, mais nous avons
retrouvé un rythme de vie à
peu près normal. Ça va aussi
faire du bien que le processus
judiciaire soit terminé », a men-
tionné l’agriculteur.
Même s’il a causé pour
800 000 $ de dommages sur
leurs terres, les victimes n’ont
pas paru en colère contre l’ac-
cusé, ils semblaient davan-
tage avoir pitié de cet être
bouleversé.
« On ne lui veut pas de mal,
tout ce qu’on espère, c’est qu’il
comprendra et qu’il ne recom-
mencera pas en sortant de pri-
son », a conclu Mme Larochelle.
Un étudiant
du Cégep
de Sherbrooke
intercepté
par la GRC
CLAUDE PLANTE
claude.plante@latribune.qc.ca
SHERBROOKE — Un étudiant
du Cégep de Sherbrooke n’a
pu se rendre à la manifestation
nationale de Montréal organisée
par l’ASSÉ contre l’indexation
des frais de scolarité, mardi
après-midi.
Le jeune homme a été inter-
cepté par des policiers de la
Gendarmerie royale du Canada
(GRC) alors qu’il se dirigeait vers
la métropole.
L’intervention policière a eu
lieu en début d’après-midi sur
l’autoroute 10 à la hauteur de
l’Ange-Gardien, en Montérégie.
Selon le caporal Luc Thibault,
les membres de l’Équipe inté-
grée de la sécurité nationale,
dont fait partie la GRC, avaient
de bonnes raisons de croire que
l’individu aurait pu nuire à la
sécurité lors de la manifestation
qui s’est déroulée au centre-ville
de Montréal.
« Nous avions reçu des infor-
mations à son sujet, dit-il sim-
plement. Il aurait pu être une
menace à la sécurité lors de la
manifestation. »
Le suspect, dont on ne sait pas
l’âge, a été interrogé et puis relâ-
ché par les policiers. Son dossier
sera analysé. « Si des accusa-
tions sont portées, nous allons
publier un communiqué », ajoute
M. Thibault.
La GRC ne dit pas si des
objets illégaux ont été trouvés
sur lui. L’étudiant n’a pas offert
de résistance.
Selon un porte-parole de l’As-
sociation étudiante du Cégep de
Sherbrooke (AÉCS), l’arrestation
avait toutes les allures d’un enlè-
vement. L’intervention policière
a semé l’émoi parmi les 250 cégé-
piens présents dans les autobus,
affirme Étienne Leclerc.
« C’est arrivé lors d’une
pause au cours du trajet entre
Sherbrooke et Montréal. Quand
l’étudiant est sorti, des policiers
habillés en civil et à bord de voi-
tures banalisées sont arrivés
et l’ont embarqué, raconte-t-il.
C’est inacceptable! »
« Ça s’est déroulé sous nos
yeux. Les gens ont eu peur et se
demandaient ce qui se passait.
Nous ne comprenons pas ce qui
s’est passé. »
Selon M. Leclerc, aucun signe
de violence, de projet mal-
veillant ou de menace n’était
dans l’air. Le jeune homme
était présent avec le groupe
depuis le matin. « Il était avec
nous lors de la manifestation du
matin à Sherbrooke. Tout s’est
bien déroulé, pacifiquement »,
assure-t-il.
« C’est un étudiant que nous
côtoyons quotidiennement.
Nous ne comprenons pas ce qui
a pu pousser les policiers à agir
de la sorte. »
L’AÉCS n’a pas l’intention
de porter plainte contre la GRC
dans cette affaire, mais si l’étu-
diant a besoin d’information
sur les démarches à suivre, on
pourra lui fournir des conseils,
note Étienne Leclerc.
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Passez chercher votre chèque

une rencontre individuelle
avec un agent », m’a résumé
LUC Mme Morel.
J’ai fini par apprendre
LAROCHELLE qu’autour de 16 000 Estriens
bénéficient de l’aide de
PERSPECTIVES dernier recours, dont 5000
n’ayant pas de contrainte au
travail. Ceux-ci appartien-
luc.larochelle@latribune.qc.ca nent à la catégorie ciblée par
« la démarche de mobilisa-
envoyé tant qu’il n’y aura
pas eu, à tout le moins, un
contact téléphonique », pré-
cise Mme Morel.
Ce branle-bas de combat
est l’initiative de qui ?
500 avis de convocation
ont été postés
fin de journée hier l’existence
de toute politique ministé-
rielle contraignante à l’égard
des prestataires. Quoiqu’il en
soit, Agnès Maltais aurait sû-
rement préféré se tenir loin de
toute polémique sur le sujet.
Mme Maltais était hier à
Ottawa pour plaider la cause
des Québécois susceptibles
d’être touchés par la réforme

J
’avais deux questions
relativement simples pour
la direction régionale
d’Emploi Québec: à combien
de personnes avez-vous fixé
l’obligation de passer à vos
bureaux pour recevoir leur
chèque du mois et pourquoi
ce grand dérangement ?
Dans la conjoncture où
le gouvernement fédéral
est bombardé de critiques
pour avoir lancé une unité
de « Harper macoutes » aux
trousses de chômeurs dans
les Maritimes, vous devinez
que ce n’est pas avec enthou-
siasme et empressement que
les autorités provinciales
m’ont vanté leur procédure
pouvant s’apparenter à un
contrôle de masse des pres-
tataires de « l’aide de dernier
recours ».
« Je peux vous parler du
pourquoi, mais je n’ai pas
l’autorisation de vous dévoi-
ler de chiffres », de me répon-
dre l’une des gestionnaires
du Centre local d’emploi de
Sherbrooke, Caroline Morel.
Aaaaaah, le pourquoi ?
L’essence du geste de soli-
darité, cette noble intention
de remettre « une personne
en mouvement » afin qu’elle
puisse retrouver la dignité
du travail, cette dignité qui
fera qu’elle n’aura plus que la
dépendance comme recours.
« Il y a malheureusement
un écart entre la qualifica-
tion de plusieurs personnes
sans emploi et les besoins de
main-d’œuvre. Ce sera l’occa-
sion de présenter l’éventail
de nos programmes de sou-
tien, d’informer nos clients
sur l’existence du Guide de
l’impôt et de leur proposer
tion ». Les personnes ayant
des contraintes sévères ou
des contraintes temporaires
(liées à l’âge ou d’autres par-
ticularités spécifiques dont
un accouchement récent)
toucheront leur allocation
mensuelle sans avoir à se
déplacer.
Grosso modo, 500 avis de
convocation ont été postés
comme préalable à l’encais-
sement de l’aide provinciale.
Pour éviter la cohue, des heu-
res ont été prédéterminées
pour chacun des prestataires.
« Une fois qu’elle s’est
identifiée, une personne peut
repartir immédiatement avec
son chèque. Elle n’a aucune
obligation de participer à
une rencontre individuelle
avec un agent. Si par contre
le bénéficiaire ne se présente
pas, le chèque ne lui sera pas
comme préalable
à l’encaissement
de l’aide provinciale.
« C’est une directive minis-
térielle. D’autres régions ont
procédé de la même façon
sans que cela soulève de
questions sur la place publi-
que. Dans le passé, certaines
convocations de masse ont
été des opérations de contrô-
le. Nous ne sommes plus
du tout dans cette dynami-
que. Nous avons un mandat
d’accompagnement », affirme
la porte-parole du bureau
régional.
Dans l’entourage de la
ministre de l’Emploi et de la
Solidarité sociale, on niait en
sur l’assurance-emploi, jugée
trop sévère envers certaines
catégories de chômeurs.
Qu’il y ait eu directive
ministérielle ou pas, la cabale
politique en cours pour inflé-
chir la position fédérale orien-
te l’attention médiatique vers
la condition des personnes
exclues du marché du travail.
Cette offensive expose la
ministre Maltais à un regard
plus critique face aux prati-
ques provinciales, dont celle
qui sera mise en application
au cours des deux prochains
jours à Sherbrooke. Ce qui a
déjà passé sous silence est
plus susceptible d’être ques-
tionné.
Si l’obligation de venir cher-
cher son chèque n’est pas
un geste de contrainte, alors
est-ce juste une rencontre de
courtoisie ?

DÉLIT DE FUITE MORTEL

L’enquête de Martin Nadeau fixée à la fin mai

RENÉ-CHARLES QUIRION
rene-charles.quirion@latribune.qc.ca

SHERBROOKE — Accusé d’avoir

causé le décès de Roxanne
Bouffard-Cyr et causé des
lésions à Bohémie Drouin,
Martin Nadeau subira son
enquête préliminaire à la fin
mai au palais de justice de
Sherbrooke.
Son avocat Me Jean Leblanc
et la procureure aux poursuites
criminelles Me Émilie Baril-Côté
ont fixé cette étape menant au
procès les 30 et 31 mai 2013.
Martin Nadeau est accusé
de conduite avec les facultés
affaiblies causant la mort de
Roxanne Bouffard Cyr et des
lésions à Bohémie Drouin,
d’avoir quitté les lieux de la colli-
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE

sion dans l’intention d’échapper

à sa responsabilité criminelle
et sans offrir d’aide aux deux
victimes à la suite de l’accident
et de bris de probation.
La poursuite devrait assigner
une vingtaine de témoins lors de
cette enquête préliminaire où
l’objectif est de déterminer s’il y
a suffisamment de preuve pour
que l’accusé soit cité à procès
sur les chefs d’accusation portés ARCHIVES LA TRIBUNE, JESSICA GARNEAU

contre lui.
Martin Nadeau a renoncé à
être remis en liberté jusqu’au
moment de l’enquête préli-
minaire. Tout dépendant du
résultat de cette étape, l’accusé
pourrait reconsidérer sa déci-
sion et demander de subir son
enquête sur remise en liberté.
Au volant d’un véhicule
Martin Nadeau, qui s’était voilé le visage lors de sa comparution, subira son enquête préliminaire à la fin mai au palais de justice de
Sherbrooke.
Infiniti noir 2004, Martin
Nadeau aurait happé les deux
jeunes femmes devant le 1977
de la rue Prospect, vers 3 h
dans la nuit. Les deux amies
se rendaient au dépanneur
situé à l’angle du boulevard
Jacques-Cartier et de la rue
Prospect, lorsque la tragédie
est survenue.
Dans la nuit du 11 au 12 février
dernier, les autorités policières
ont procédé à la reconstitu-
tion des événements survenus
le 23 janvier 2013 sur la rue
Prospect à Sherbrooke.
Le même véhicule, qui a
été saisi par les autorités, a
servi aux policiers lors de la
reconstitution. Le véhicule
a circulé sur la rue Prospect
où des mannequins ont été
utilisés dans le cadre de la
reconstitution.
L’avocat de la défense Me Jean
Leblanc attend toujours le rap-
port de l’expert en reconstitutions
d’accidents dans cette affaire.
5
 6 [ ACTUALITÉS ]
FONDS DE DIVERSIFICATION À ASBESTOS
Les démarches vont bon train
YVAN PROVENCHER
yvan.provencher@latribune.qc.ca
ASBESTOS — Quatre mois après
que le gouvernement Marois lui
a promis un fonds de diversifi-
cation économique de 50 mil-
lions $ répartis sur cinq ans
pour pallier la fin de l’industrie
de l’amiante, la région d’Asbes-
tos vient de déposer sa vision
stratégique au ministère des
Finances et de l’Économie ainsi
qu’au Conseil du Trésor.
À la demande de la ministre
déléguée à la Politique indus-
trielle et à la Banque de dévelop-
pement économique du Québec,
Élaine Zakaïb, ce document
devait être déposé pour la fin
mars. Après son analyse par les
ministères mentionnés, le rap-
port aboutira sur le bureau de la
ministre pour son approbation
finale, prélude à l’adoption d’un
décret créant officiellement le
fonds.
Composée de représentants
LE MAIRE HUGUES GRIMARD OPTIMISTE
« On travaille sur l’avenir de notre communauté »
ASBESTOS — La commande
est grosse, mais le maire d’As-
bestos Hugues Grimard est
optimiste pour l’avenir de sa
communauté. « Tous les espoirs
sont permis avec des investisse-
ments importants qui pointent
à l’horizon, assure-t-il. Il faut
poursuivre notre travail, sans
ne jamais rien tenir pour acquis.
Depuis l’annonce d’un fonds de
diversification économique de
(819) 564-0470
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
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du milieu des affaires et d’ex-
perts en développement écono-
mique de la région, la table de
diversification de la MRC des
Sources qui signe ce rapport
avait pour mandat de proposer
une vision de développement
et des mesures concrètes pour
faire progresser l’économie de
la région.
« Il y a eu une vingtaine de
réunions de travail, dont sept
formelles avec des représen-
tants gouvernementaux, pour
environ 35 heures de pourpar-
lers. Une entente de confiden-
tialité a été signée par tous les
participants », précise le prési-
dent de ce comité, l’industriel
François Gouin.
« Dans l’ensemble, ce fut très
positif. Même si au début ce
n’était pas évident, il y a eu une
certaine ouverture du gouverne-
ment du Québec. Nous aurons
des outils intéressants pour
travailler à notre diversification
économique, et ce, dès le mois
50 M$ du gouvernement du
Québec, plusieurs promoteurs
ont pris contact avec nous,
pour des projets intéressants
et dans des créneaux variés. On
travaille sur l’avenir de notre
communauté. »
Selon les informations obte-
nues, des projets en pharma-
cologie, métallurgie, énergies
renouvelables et bioalimen-
taires sont sérieusement à
Cette
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semaine venez
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entendre
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fêtes !!!
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LA TRIBUNE, YVAN PROVENCHER
François Gouin
l’étude. « C’est surprenant le
nombre de contacts effectués
par des promoteurs. Certains
projets sont plutôt farfelus, mais
dans l’ensemble, on retrouve
une grande majorité de projets
bien structurés, avec des plans
d’affaires existants ou à venir,
à la fois sérieux et crédibles »,
rapporte M. Grimard.
Le maire d’Asbestos consi-
dère que le fonds de 50 M $ est
facilitant. « De notre côté, on
essaie de faciliter également la
venue d’entreprises, et ce, en
agissant rapidement. La table
de diversification existante n’a
pas un caractère politique. La
présence de gens d’affaires et
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Jour
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En cas de disparité entre cette liste et la liste officielle de Loto-Québec, cette dernière a priorité.
d’avril, nous l’espérons, consi-
dérant que notre rapport a été
déposé un mois à l’avance sur
l’échéancier initial. La compo-
sition du comité a permis d’as-
surer une couleur bien locale,
d’impliquer des entrepreneurs.
« À la suite du décret, conti-
nue M. Gouin, nos intervenants
socioéconomiques devront se
placer en quatrième vitesse!
Il y a des projets sur la table,
on va mettre du tangible à nos
efforts de diversification dès ce
printemps. »
François Gouin a accepté
de révéler quelques pistes
d’actions à La Tribune, qu’il a
également partagées hier soir
avec les membres des cham-
bres de commerce d’Asbestos
et de Danville lors d’un souper
tournant axé sur la diversifica-
tion économique de la MRC des
Sources.
« Nous allons faire de la diver-
sification en premier lieu avec
des entreprises de chez nous,
de professionnels du secteur
économique favorise et assure
des projets structurants pour
l’avenir de notre communauté. »
« Mon rôle comme maire est
de rencontrer les promoteurs, de
leur assurer des ressources d’ac-
compagnement, de présenter
notre région comme un milieu
propice à leurs investissements.
Je tiens à préciser que ma pré-
occupation est non seulement
pour ma ville, mais pour l’en-
semble de la MRC des Sources,
en considération des besoins
des divers promoteurs. »
Le maire reconnaît que les
attentes de la population sont
élevées. « Notre démarche de
Résultats des tirages du : 2013-02-27
22 05 21 33
compl. 36 40 41
17 19 28 32
25 000 $ 2 50 000 $ 3 100 000 $
La Poule Plus
755634 177721 358103 Numéro boni
décomposables
419249 585720 817326
non décomposables
AUCUN
Numéro « Votre participant »
01 05 07 08 11 16 17 22 25 31
05 10
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auxquelles nous espérons
voir s’ajouter d’autres petites,
moyennes et grosses entrepri-
ses. Un développement indus-
triel proactif implique d’être à
l’écoute des entreprises en place
et d’anticiper leurs besoins pour
mieux les soutenir dans leurs
projets. Le soutien peut pren-
dre plusieurs formes : conseils,
offres de formation, aide à la
recherche de financement, mise
en relation avec les entreprises
locales, etc. », dit-il.
Viennent également des
objectifs comme mobiliser
le potentiel entrepreneurial,
accueillir des projets d’entre-
prises procurant des emplois
durables, rendre le territoire
propice aux investissements,
acquérir une vision positive et
solide de notre région et déve-
lopper une culture entrepreneu-
riale et enfin, faire la promotion
selon un axe de communication
professionnel et soutenue dans
le temps.
diversification économique a
débuté il y a quelques années,
la roue est déjà lancée. Mais il
importe de bien faire les choses,
de prendre le temps d’agir avec
discernement. Dans la MRC des
Sources, c’est plus de 620 000 $
qui ont été investis en 2011 dans
les projets de promoteurs via les
services du Centre local de déve-
loppement (CLD) des Sources. Il
y a des projets d’investissements
d’envergure. Sans oublier la pré-
sence de Danville et de Wotton
dans le palmarès des villes les
plus entrepreneuriales de l’Es-
trie… Avec la Ville d’Asbestos,
c’est trois municipalités sur
sept qui inspirent des projets
d’affaires. »
Le maire conclut en émettant
un souhait : « Que les citoyens
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et les gens d’affaires d’ici déve-
31
compl. loppent le réflexe de voir le verre
à moitié plein plutôt qu’à moitié
vide. Que les gens d’Asbestos
constatent et réalisent qu’on
est dynamique et que le « on »
inclut la personne qui parle !
Nos citoyens se doivent d’être
nos meilleurs ambassadeurs. »
42
Fonds fédéral
lotoquebec.com
Par ailleurs, le député de
Richmond-Arthabaska, André
Bellavance, presse le gouverne-
ment fédéral de préciser, dans
07 les plus brefs délais, les critè-
res et la répartition du Fonds
de diversification économi-
que annoncé à l’automne pour
Asbestos et Thetford Mines.
« La région d’Asbestos mérite
d’être soutenue. J’en ai fait
part au ministre de l’Industrie,
lotoquebec.com
Christian Paradis, qui doit main-
tenant transformer son annonce
en mesures concrètes. » La
concrétisation de cette annonce
0294445 se fait toujours attendre.
— Yvan Provencher
........................................................................................................................................................................ [ ACTUALITÉS ] 7

COATICOOK

Le maire Lamoureux sollicitera un autre mandat

CAMILLE DAUPHINAIS-PELLETIER a transpiré tout au long du dis- sur l’avenir de la ville avec les depuis 25 ans… j’ai donc été
cdauphin@latribune.qc.ca cours. « Par les temps qui cou- citoyens. Pour les prochaines présent pendant le un sixième
rent, ce n’est pas facile de faire années, les projets ne man- des 150 ans de Coaticook! »
COATICOOK — Le maire de la politique municipale. quent pas : de nouveaux amé- a d’ailleurs lancé le maire en
de C oat ic o ok , Ber t ra nd Mais je suis passionné et je nagements seront faits au parc riant. D’autres projets encore
Lamoureux, n’a pas fait durer veux laisser une ville en santé Laurence, qui accueillera les à préciser sont aussi dans les
le suspense très longtemps aux prochaines générations, Jeux du Canada en 2013; un préoccupations du conseil.
lors de son souper annuel hier a-t-il souligné. Quand je vois plan d’aménagement global « J’aimerais qu’il y ait plus
au Club de golf de Coaticook. la belle harmonie qui règne à sera mis en branle pour ren- d’activités au centre-ville l’été
Dès le début de son allocution, la MRC… c’est le fun de siéger dre le centre-ville encore plus et qu’il y ait du night life », a
il a annoncé qu’il se représen- avec les gens, de discuter avec attrayant; le réservoir Cutting dit M. Lamoureux, en préci-
terait aux prochaines élections les autres maires et de marcher sera reconstruit afin de respec- sant que de l’activité en ville
municipales. main dans la main pour qu’on ter les nouvelles normes et un le soir renforcerait également
« C’est ma 25 e année au soit plus prospères. » nouveau site web municipal le sentiment de sécurité des
conseil municipal. Quand je sera lancé. citoyens.
me regarde dans le miroir et De nombreux Il faut aussi noter que l’an- À plus court terme, la muni-
que je vois mes rides, je me projets en vue née 2014 marquera les 150 ans cipalité recevra la chanteuse
dis qu’il faudrait que j’arrête. LA TRIBUNE, CAMILLE DAUPHINAIS-PELLETIER
Le Souper du maire est de la ville. Ce sera donc l’occa- Johanne Blouin en mai dans
Cependant, quand je vois la Le maire Bertrand Lamoureux l’occasion chaque année pour sion pour la municipalité de le cadre de l’émission La petite
ville et ses projets, ses inves- M. Lamoureux de faire le point célébrer. « Je siège au conseil séduction.
tissements, les membres conviction, tout en précisant
du conseil, je ne peux pas qu’il s’agirait de son dernier
dire autrement que oui, je mandat.
reviens », a-t-il mentionné avec Son amour pour son métier

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TRAFIC DE COCAÏNE

Trois arrestations au bar le Riverain

RENÉ-CHARLES QUIRION
rene-charles.quirion@latribune.qc.ca
SHERBROOKE — Une courte
enquête du Service de police de
Sherbrooke a permis de frapper
des vendeurs de cocaïne allé-
gués hier au bar le Riverain à
Sherbrooke.
Les enquêteurs du SPS
assistés de ceux de l’escouade
régionale mixte -Drogue sont
intervenus au bar situé au 1676
de la rue Roy. Les policiers ont
aussi frappé sur la rue Florence
à Sherbrooke ainsi que sur la
route 143 à Waterville.
Ils ont procédé à l’arrestation
de deux hommes de 50 et 58 ans
et une femme âgés de 43 ans.
L’individu de 58 ans serait le
propriétaire de l’établissement
et les deux autres personnes,
des employés du bar.
« Les perquisitions ont eu lieu
dans le bar de la rue Roy et dans
deux résidences. Le bilan des
substances saisies sera fait au
cours des prochaines heures »,
explique le porte-parole du SPS,
Martin Carrier.
Les trois personnes arrê-
tées étaient bien connues des
milieux policiers.
« Cette courte enquête nous
a permis de mettre fin au trafic
de cocaïne qui se déroulait à ce
bar », mentionne le porte-parole
du SPS.
Des accusations de posses-
sion de stupéfiants dans le
but d’en faire le trafic seront
vraisemblablement portées
aujourd’hui contre les person-
nes arrêtées au palais de justice
de Sherbrooke.

DES RÉSULTATS CONCRETS POUR S’ENGAGER

ENSEMBLE VERS UNE SOCIÉTÉ DU SAVOIR

Le Sommet sur l’enseignement supérieur a rétabli le dialogue. Les discussions ont permis
d’arriver à des résultats bien tangibles. L’enseignement supérieur au Québec pourra
désormais s’appuyer sur des bases solides tout en respectant la capacité
de payer des contribuables québécois.
Pension
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Dorénavant:
• Les universités pourront compter sur un De plus, afin de poursuivre les de compagnie
réinvestissement; efforts déployés depuis plusieurs mois,
• Le rôle de nos cégeps en région sera le gouvernement ouvre cinq chantiers
de travail sur des enjeux majeurs
Séjour de
de rêve!
mieux reconnu;
• La reddition de comptes des universités concernant l’enseignement supérieur. Venez nous rencontrer!
sera allégée et plus transparente; Avec un enseignement supérieur Portes
• La recherche dans les cégeps et dans de qualité, c’est tout le Québec qui ouvertes
les universités sera mieux soutenue; en profite. aux visiteurs
• Les droits de scolarité seront raisonnables
et prévisibles; mesrst.gouv.qc.ca
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013

• L’endettement étudiant sera limité;

• Le nombre de professeurs, de chargés
de cours et de professionnels augmentera;
• Et l’accessibilité à l’enseignement
supérieur sera assurée.
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VERSEMENTS DE POTS-DE-VIN AU CENTRE UNIVERSITAIRE DE SANTÉ MCGILL que les soumissionnaires per-
dants du projet, un consortium

L’UPAC aux trousses des

formé des géants OHL, Dalkia,
Aecon, Genivar et Arcop.
L’affaire a eu des échos dans
la sphère politique hier. Sur

acteurs présumés du scandale

Twitter, certains opposants poli-
tiques n’ont pas tardé à railler les
déboires de «l’ami» de Philippe
Couillard, aspirant chef du
PLQ. Porter et Couillard avaient
VINCENT LAROUCHE ET diffamatoires et scandaleuses en effet monté une société de
FABRICE DE PIERREBOURG LES CINQ PERSONNES VISÉES dans les médias. Toutefois, je consultants ensemble, qui n’a
n’ai jamais été contacté par les toutefois jamais été active.
MONTRÉAL — Onze mois pres- Riadh Ben Aïssa* fraude envers le gouvernement, autorités de Montréal, du Québec Dans l’entourage de Philippe
que jour pour jour après avoir Incarcéré en Suisse abus de confiance, commis- ou du Canada», dit-il. Couillard, on estime que les «ten-
été informée des soupçons de Fraude, complot pour fraude, sions secrètes et recyclage des Rappelons que La Presse a tatives de culpabilité par associa-
corruption dans le projet du fraude envers le gouvernement, produits de la criminalité. révélé l’automne dernier que tion sont injustes et n’ont qu’un
méga-hôpital anglophone de abus de confiance, commissions SNC-Lavalin avait découvert objectif de politique partisane».
Montréal, l’Unité permanente secrètes et recyclage des Jeremy Morris dans ses finances des paiements À Québec, le ministre de la
anticorruption (UPAC) a abattu produits de la criminalité. Nassau douteux de 22,5 millions visant Santé Réjean Hébert a salué le
ses cartes hier en arrêtant un Fraude, complot pour fraude, l’obtention du projet de redéploie- travail des enquêteurs. «Nous
ancien dirigeant de l’établisse- Pierre Duhaime* fraude envers le gouvernement ment du CUSM sur un nouveau avions référé à l’UPAC cette par-
ment et en lançant des mandats Fraude, complot pour fraude, et recyclage de produits de la site, un contrat de 1,3 milliard tie du dossier du CUSM. Et je vois
d’arrestations contre quatre pré- fabrication de faux, fraude criminalité. qui demeure l’un des plus impor- que l’UPAC fait le relais et fera
sumés complices reliés à des ver- envers le gouvernement, tants chantiers gouvernemen- des accusations. Je ne m’ingére-
sements de pots-de-vin de 22,5 commissions secrètes et Arthur Porter taux dans toute l’Amérique du rai pas dans le travail de l’UPAC
millions par SNC-Lavalin. recyclage des produits Nassau Nord. et dans le travail de la justice.
Parmis les persones visées, de la criminalité. Fraude, complot pour fraude, Les pots-de-vin du CUSM Mais je pense que c’est la suite
il y a les corrupteurs allégués: fraude envers le gouvernement, avaient faussement été attribués des actions qu’on a entreprises
Pierre Duhaime, ancien PDG Yanaï Elbaz abus de confiance, commissions à un projet gazier en Algérie, un l’automne dernier.» (La Presse)
de SNC-Lavalin, et Riadh Ben Arrêté hier après-midi secrètes et recyclage des endroit où il pouvait paraître plus
Aïssa, ancien vice-président de à Montréal produits de la criminalité. normal de verser des «commis-
la firme. Il y a aussi les corrompus Fraude, complot pour fraude, sions» pour lubrifier les relations
allégués: Arthur Porter, ancien d’affaires.
(* Il s’agit de nouvelles inculpations contre Pierre Duhaime et Riadh Ben
patron du Centre universitaire de Aïssa, déjà accusés en novembre dernier.)
En mars 2012, les vérificateurs
santé McGill (CUSM) exilé aux de SNC-Lavalin avaient contacté
Bahamas et son ex-bras droit l’escouade Marteau pour lui
Yanaï Elbaz. remporter le juteux contrat de suis surpris et fâché d’appren- transmettre leurs découvertes,
Ce dernier est le seul à avoir construction et de gestion en PPP dre cette information à travers déclenchant l’enquête qui a
été épinglé hier. Il s’est livré au du futur hôpital. Porter et Elbaz la presse . Si je suis certain qu’il abouti hier.
quartier général de la Sûreté du
Québec, où l’escouade Marteau,
bras armé de l’UPAC, l’a placé en
ne sont toutefois pas nécessaire-
ment les seuls à avoir profité de
l’occasion pour s’enrichir, selon
n’y a pas de base factuelle, je
n’ai toujours pas vu la moindre
documentation. Depuis que
La police a déterminé que plu-
sieurs victimes ont été fraudées
par ce trucage du processus, soit
LUNDI
état d’arrestation. Il doit compa-
raître devant un juge aujourd’hui.
Les cinq suspects sont visés
nos sources.
Quant au cinquième suspect,
Jeremy Morris, de la firme Sierra
j’ai quitté Montréal en 2011,
j’ai été la cible d’allégations
le gouvernement du Québec, le
centre hospitalier lui-même ainsi spaghetti
par 24 chefs d’accusation, en
particulier de fraude, de fraude
envers le gouvernement, d’abus
de confiance, de commissions
secrètes et de recyclage des pro-
Asset Management, la police
croit qu’il a facilité le versement
des pots-de-vin à partir de sa
base aux Bahamas, un paradis
fiscal.
à 6,99
$
duits de la criminalité. *à l’achat d’un breuvage
Duhaime et Ben Aïssa auraient Porter choqué
corrompu Porter et Elbaz, en leur Arthur Porter s’est défendu
versant secrètement des millions
afin que SNC-Lavalin puisse
dans une déclaration transmise
à La Presse par courriel. «Je
Campagne majeure Avec la meilleure
de financement 2013 - 2015 sauce en ville
Le Carrefour de solidarité inter-
nationale se démarque par son
leadership pour l’organisation
d’activités en Estrie. MERCREDI
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*Les fac-similés et copies ne seront pas acceptés.

9
 10

OPINIONS Louise Boisvert

présidente-éditrice
Maurice Cloutier
rédacteur en chef
Louis-Éric Allard
directeur de
l’information
Jacynthe Nadeau
directrice au pupitre et
des contenus spéciaux

DENIS
DUFRESNE
ÉDITORIAL
denis.dufresne@latribune.qc.ca

Harper
et la liberté
E
n lançant le Bureau de
la liberté religieuse,
le gouvernement
Harper poursuit le virage
idéologique de la politique
étrangère canadienne, axé
sur la sécurité, les valeurs
néoconservatrices et... la
religion.
La création de cet orga-
nisme, qui bénéficiera d’un
budget de 5 millions $
et logera au ministère
des Affaires étrangères,
n’a rien d’anodin.
Ce nouveau bureau fera de
la promotion de la liberté de
religion à travers le monde
un « objectif-clé de la poli-
tique étrangère canadienne »,
comme l’a dit le premier
ministre Stephen Harper. Pla-
cera-t-il la liberté religieuse
au-dessus des autres formes
de droits et de libertés, qu’il
s’agisse de la démocratie,
de l’égalité de sexes, des
droits des homosexuels,
des autochtones ou même
de la liberté d’expression?
Ottawa a réduit
le financement
de nombreux
organismes et ONG.
Plus choquant encore, sa
mise sur pied survient 11 mois
après l’annonce de la ferme-
ture de l’organisme Droits et
démocratie, reconnu interna-
tionalement, et dont l’un des
mandats était justement de
défendre les droits et libertés,
dont la liberté religieuse...
Droits et Démocratrie, faut-il
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
conflit avec les défenseurs
des autres droits, comme
la laïcité ou l’accès à l’avor-
tement libre et gratuit, une
question qui préoccupe
incidemment beaucoup de
députés conservateurs.
De manière plus globale,
la création du Bureau de la
liberté religieuse démontre la
détermination du gouverne-
ment Harper de transformer
l’État fédéral pour le mettre au
service des valeurs conserva-
trices et religieuses, notam-
ment en politique étrangère.
Au cours des derniers
mois, Ottawa a réduit le
financement de nombreux
organismes et ONG à voca-
tion sociale, écologiste ou
internationale. Notamment,
le Carrefour de solidarité
internationale de Sherbrooke, hervephilippe@videotron.ca Droits réservés
Condition féminine Canada,
Kairos, Alternatives et Déve-
loppement et Paix, l’organisme
officiel de solidarité interna-
TRIBUNE LIBRE
tionale de l’Église catholique
au Canada, dont certaines
prises de position sont proba- Un projet de complexe Pour l’abolition
blement jugées trop progres-
sistes par les conservateurs. intergénérationnel des coûteuses
Parallèlement, le gouver-
nement canadien finance à
coups de millions de grands fort inspirant commissions
organismes comme CARE
Canada et Vision mondiale. Comme bien des gens, j’ai en perte d’autonomie et
scolaires
Ces façons d’agir sont été impressionnée, voire les aînés), une coopéra-
extrêmement inquiétantes interpellée, par le projet tive d’habitation pour les En réaction à la hausse de la taxe
parce qu’elles laissent d’un complexe intergéné- familles (jeunes et vieillis- scolaire qui pourrait survenir avec
entendre que les ONG dont rationnel dans le secteur Est santes), un centre de la la fin des mesures de péréquation.
l’approche ou les valeurs ne de Sherbrooke. petite enfance, un centre Est-ce que nous sommes condam-
cadrent pas avec celles du Le projet proposé par la de services et de formation, nés à subir le désastre financier
gouvernement conservateur CSD, en collaboration avec tous regroupés près d’un causé par des commissions sco-
se voient couper les vivres. divers organismes et fidu- centre d’hébergement de laires qui ont très peu d’utilité
Le plus étonnant dans tout cies financières, sort des soins de longue durée et de mais qui coûtent énormément
cela est que de nombreuses sentiers battus en s’inspi- fin de vie. cher? Ne serait-il pas plus oppor-
ONG canadiennes, sans être rant d’un concept faisant Ce serait un milieu de vie tun de faire une campagne très

le rappeler, avait été créé en
1988 par le gouvernement
progressiste-conservateur de
Brian Mulroney pour défendre
le respect des droits de la
personne et le développement
démocratique dans le monde.
À cette époque, le Canada
avait encore la réputation
d’être un pays ouvert, tolérant,
prompt à défendre la paix et
la justice. Le gouvernement
Mulroney avait même réclamé
la libération de Nelson Man-
dela et la fin du régime de
l’apartheid en Afrique du Sud!
Évidemment, personne
ne peut être contre la liberté
religieuse, qui est bafouée un
peu partout sur la planète.
Mais le risque est élevé
que ce Bureau entre en
10
à vocation religieuse ou même
agir au nom de la religion,
effectuent un travail axé sur
les valeurs de partage, d’en-
traide, de dignité et de pro-
grès social, ce qui n’est tout
de même pas à mille lieues
des « valeurs » religieuses!
Le directeur du Bureau de
la liberté religieuse, Andrew
Bennett, doyen d’un collège
chrétien, a déjà indiqué qu’il
faut permettre l’expression
de croyances religieuses
dans les débats publics et le
discours politique. Fort bien.
Mais les partis d’opposition,
la société civile et les orga-
nismes de défense des droits
et libertés devront s’assurer
que la religion ne primera
pas sur les autres droits.
déjà ses preuves dans un
quartier montréalais.
Un coin de quartier inter-
générationnel est en soi une
mission sociale, au service
des résidants, qui nous fait
bénéficier de l’apport des
gens de chaque tranche
d’âge (en santé ou perte
d’autonomie); allant au-
delà d’un modèle fréquent
des cités urbaines qui les
concentrent dans un sec-
teur et, par conséquent,
augmentent leur isolement.
Imaginons un milieu de
vie où l’espace et la nature
abondent et où s’érigent
divers bâtiments tels
que des logements à prix
modiques (pour les gens
facilitant pour un aidant
naturel désireux de vivre
sur le même site que l’être
cher (hébergé aux soins de
longue durée).
Savoir que quelqu’un
se veut le témoin de notre
existence, tout en sachant
que l’on compte pour lui et
que son apport soutenant
est facilité; pouvoir vivre sa
vie jusqu’à la fin, dans son
milieu de vie, sont autant
de bonheurs que je nous
souhaite. Et pour cela,
juste pour cela, il faut (peu
importe le lieu), qu’un tel
projet voie le jour.
Jacinthe Tremblay
Sherbrooke
forte pour l’abolition de cette ins-
titution désuète, qui va mener à la
ruine financière de plusieurs petits
propriétaires qui débutent dans
la vie et essaient de faire gran-
dir leurs enfants dans un milieu
confortable?
Le Parti québécois avec son
objectif de déficit zéro va conduire
plusieurs familles et retraités à une
crise financière sérieuse.
Tous les propriétaires qui sont
frustrés par ces changements
devraient refuser pour le moment
d’acquitter leur compte de taxes.
Ce ne serait pas la première fois
que nos péquistes feraient un pas
en arrière.
René Bazin
Sherbrooke
 UNE CLINIQUE DE SOUTIEN
DANS LA PERTE DE POIDS
Au Canada, environ 60 % de la population affiche un surplus de poids
alors que 23 % des gens souffrent d’obésité. C’est près d’une personne
sur quatre. Parce que l’obésité entraîne d’importantes complications
pour la santé et que c’est un problème de société grandissant,
le CHUS a mis sur pied une clinique qui aide les gens à retrouver
le contrôle de leur poids et une meilleure qualité de vie.

Située au CHUS – Hôtel-Dieu, la clinique
médico-chirurgicale du traitement de
l’obésité propose une modification des habitudes
de vie. « Nous offrons outils et accompagnement
pour que les patients puissent eux-mêmes faire
les choix leur permettant d’améliorer leur santé.
Pas de régime draconien, pas de restrictions,
mais des changements graduels au plan de
l’alimentation et de l’activité physique », décrit
la Dre Marie-France Langlois, endocrinologue
et directrice médicale de l’Unité métabolique
ambulatoire du CHUS, dont fait partie la clinique
médico-chirurgicale du traitement de l’obésité.
Maigrir, un pas à la fois
Le patient référé par son médecin (suivant
des critères bien précis) est d’abord invité
à une séance d’information en groupe.
On y explique en détail la philosophie
de la clinique ainsi que les soins et services
possibles. Vient ensuite une rencontre indivi-
duelle avec l’infirmière, qui dresse un bilan de
santé et un portrait de la situation. Au besoin,
elle peut demander d’autres tests ou examens.
À son tour, un médecin s’assure, le cas échéant,
de l’évaluation et du bon contrôle des compli-
cations présentes (comme le diabète et
l’hypertension).
Par la suite, le patient consulte régulièrement
la nutritionniste et la kinésiologue, spécialiste
de l’activité physique. Avec leur soutien, il se
fixe lui-même des objectifs de changement.
On l’invite à se joindre au « Club des motivés »,
des rencontres de groupe qui ont lieu deux fois
par semaine et qui abordent différents sujets
Après six mois, l’état de santé du patient est
réévalué par toute l’équipe. S’il est parvenu
à améliorer sa condition de façon satisfaisante,
la nutritionniste et la kinésiologue espaceront
les rencontres. Éventuellement, le médecin de
famille prendra le relais. Certains patients auront
par contre besoin d’un coup de pouce supplé-
mentaire, comme des consultations ou activités
en groupe avec un psychologue.
La chirurgie bariatrique,
l’alternative pour certains patients
« Dans 25 % des cas environ, nous nous tournons
vers la chirurgie de l’obésité, qu’on appelle
chirurgie bariatrique », reprend la Dre Langlois.
« C’est une solution envisagée selon certains
critères, uniquement lorsqu’il est clair que
les changements des habitudes de vie ne seront
pas suffisants et que le problème de poids a
des impacts très négatifs pour la santé. La chirurgie
comporte aussi des exigences. Par exemple,
les gens opérés ne pourront plus jamais boire
de boissons gazeuses, de bière ni tout autre
liquide dit pétillant. En outre, les gens de plus
de 60 ans et ceux qui fument ne peuvent
pas être opérés. »
Il se pratique au CHUS trois types de chirurgie
bariatrique, la plus courante étant la dérivation
gastrique. Il s’agit de rétrécir l’estomac et
de dévier une partie de l’intestin afin que
l’organisme stocke moins les aliments ingérés,
ce qui facilite la perte de poids.
Par ailleurs, la recherche est omniprésente à
la clinique. « Déjà, elle nous a permis de mettre
au point une gamme de services efficaces pour
aider les gens à contrôler leur poids de façon
durable. Nous menons aujourd’hui d’autres
projets de recherche. Notamment sur l’impact
de l’activité physique sur la chirurgie bariatrique :
jusqu’à quel point l’exercice peut-il améliorer
l’état de santé pendant et après l’opération ?
En outre, nous évaluons notre organisation
de façon continue, car nous voulons être sûrs
de toujours offrir les meilleures pratiques
cliniques », conclut la Dre Langlois, elle-même
chercheure au Centre de recherche clinique
Étienne-Le Bel du CHUS et professeure
à l’Université de Sherbrooke.
PERDRE SEULEMENT 5 À 10 %
DE NOTRE POIDS EST SOUVENT
SUFFISANT POUR AMÉLIORER
LA SANTÉ ET DIMINUER LES
COMPLICATIONS LIÉES À L’OBÉSITÉ.
L’équipe de la clinique médico-chirurgicale
du traitement de l’obésité
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE

liés à l’alimentation, l’exercice et la psychologie

du changement.
11
 MONDE
12
Dernière audience publique de Benoît XVI
150 000 personnes offrent au pape un adieu rempli d’émotion
NICOLE WINFIELD
THE ASSOCIATED PRESS
CITÉ DU VATICAN — Quelque
150 000 personnes ont offert
un « adieu » rempli d’émotion
à Benoît XVI hier, à l’occasion
d’une dernière audience publi-
que pendant laquelle le pape
s’est souvenu de moments de
« joie et de lumière » pendant
sa papauté, tout en évoquant
également des périodes très
difficiles « pendant lesquelles
on aurait dit que le Seigneur
dormait ».
Il a aussi remercié les fidèles
d’avoir respecté sa décision de
quitter ses fonctions.
La foule s’était rassem-
blée sur la place Saint-Pierre,
au Vatican, pour l’entendre.
Plusieurs brandissaient des
bannières sur lesquelles on
pouvait lire « Grazie! » (Merci!).
Debout à bord de la papa-
mobile, le pape est apparu
souriant. Il a interrompu son
parcours pour embrasser et
bénir six enfants qui lui ont été
présentés par son secrétaire.
Soixante-dix cardinaux, dont
certains en larmes, lui ont offert
une ovation debout à la fin de
son discours. Le pape a ensuite
quitté les lieux rapidement,
comme s’il ne souhaitait pas
étirer ces adieux.
Benoît XVI organisait de
telles audiences publiques
TOUR DE GLOBE
Le père d’un enfant tué à Newtown
réclame l’interdiction des fusils d’assaut
WASHINGTON — Combattant
ses larmes, le père d’un garçon
de six ans tué lors de la fusillade
de décembre dans une école du
Connecticut a demandé hier aux
sénateurs américains d’inter-
dire les fusils d’assaut comme
celui utilisé durant le massacre.
« Je ne suis pas ici pour atti-
rer la compassion », a déclaré
Neil Heslin, un travailleur de
la construction âgé de 50 ans,
qui a précisé avoir grandi avec
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
des armes à feu et en avoir déjà
discuté avec Jesse, son fils uni-
que. « Je suis ici pour mon fils. »
M. Heslin a parlé pendant
11 minutes, la voix à peine
audible et brisée par moments,
de« Personne ne devait avoir
à vivre ce que moi-même » et
d’autres parents de victimes ont
eu à endurer, a déclaré le père
endeuillé devant les sénateurs.
Il s’est rappelé ce matin du
14 décembre, quand Adam
Lanza, âgé de 20 ans, a uti-
lisé un fusil d’assaut pour tuer
20 jeunes écoliers et six mem-
bres du personnel de l’école pri-
maire Sandy Hook de Newtown.
« Il a dit que tout se passerait
bien », a déclaré M. Heslin au
sujet de ce que son fils lui a dit
quand il est allé le reconduire
12
chaque semaine depuis huit
ans. Mercredi, il a mis de côté
ses leçons de catéchisme heb-
domadaires pour se concentrer
sur des questions plus person-
nelles. Il a notamment tenu à
expliquer, de nouveau, pourquoi
il a choisi de renoncer à son
poste, devenant ainsi le premier
pape en 600 ans à prendre cette
décision.
Le pape a demandé aux fidè-
les de prier pour lui et pour son
successeur.
« D’aimer l’Église signifie
d’avoir le courage de prendre
des décisions difficiles et dou-
loureuses, en ayant toujours à
l’esprit le meilleur intérêt de
l’Église et non notre intérêt per-
sonnel », a-t-il lancé avant d’être
vigoureusement applaudi.
Il a rappelé que le pape n’a
droit à aucune intimité. « Il
appartient encore et toujours
à tous, à toute l’Église », a-t-il
dit. Il a ensuite promis de ne
pas retourner à la vie privée au
moment de sa retraite, disant
vouloir servir l’Église par le
biais de la prière.
Il s’est souvenu s’être
demandé, au moment de son
élection le 19 avril 2005, si
c’était vraiment la volonté de
Dieu. « C’est un grand fardeau
que Vous venez de placer sur
mes épaules », avait-il alors
lancé à Dieu.
Au cours des huit dernières
Neil Heslin, le père d’un garçonnet de 6 ans tué lors de la tragédie
de Newton, avait apporté une photo de lui-même en compagnie
de l’enfant, pour livrer hier un plaidoyer en faveur de l’interdiction
des armes d’assaut, comme celle qui a servi à l’assassin de son fils.
à l’école. « Mais ça ne s’est pas
bien passé. »
Malgré la tragédie de
Newtown et les autres fusilla-
des survenues depuis, la dif-
ficulté de renforcer le contrôle
des armes à feu au Congrès
était bien évidente hier, quand
le président républicain de la
années, a-t-il dit, « j’ai eu des
moments de joie et de lumière,
mais aussi des moments plus
difficiles (...) des moments
de mers agitées et de ventes
violents, comme l’histoire de
l’Église en a connu quand on
aurait dit que le Seigneur dor-
mait ». Mais il a dit ne s’être
jamais senti seul et a remercié
ses cardinaux et ses collègues
pour leurs conseils et « leur
compréhension et leur respect
de cette décision importante ».
En hiver, le pape a l’habitude
de livrer son audience du mer-
credi dans une salle du Vatican.
Cependant, l’intérêt exception-
nel suscité par cette ultime
présence publique du pape l’a
convaincu de s’adresser à la
foule dehors.
La place Saint-Pierre débor-
dait de fidèles et de curieux qui
s’étaient rassemblés sous un
ciel bleu et un soleil radieux.
Ceux qui n’ont pu avoir accès à
la place se sont installés le long
des rues.
Benoît XVI quittera ses fonc-
tions papales ce soir, à l’âge de
85 ans. Il doit rencontrer ses
cardinaux pour la dernière fois
ce matin, avant de se rendre
par hélicoptère à la résidence
papale de Castel Gandolfo, au
sud de Rome. THE ASSOCIATED PRESS
Un conclave sera réuni dès La foule des fidèles rassemblés sur la Place Saint-Pierre se reflète
lundi prochain afin qu’un nou- sur le toit de verre de la Papemobile utilisée pour transporter
veau souverain pontife soit élu. Benoit XVI en vue de sa dernière audience publique.
Une statue pour Rosa Parks
THE ASSOCIATED PRESS
Le président Barack Obama a participé, hier au Capitole, au dévoi-
lement d’une statue de la militante Rosa Parks, dont le refus de
céder son siège à un homme blanc dans un autobus de l’Alabama en
1955 avait été le point tournant du mouvement des droits civiques
THE ASSOCIATED PRESS
aux États-Unis. M. Obama a déclaré que Rosa Parks avait mérité sa
place parmi ceux qui ont tracé les contours de l’histoire américaine.
Corruption : un ex-maire condamné
commission judiciaire de la THESSALONIQUE — L’ancien fonds municipaux.
Chambre des représentants maire de la deuxième plus La cour a estimé que Vassilis
s’est dit opposé aux vérifica- grande ville de Grèce et deux Papageorgopoulos, un ex-sprin-
tions d’antécédents pour tous hauts responsables munici- teur et maire de Thessalonique
ceux qui veulent acheter des paux ont été condamnés à la de 1999 à 2010, avait été un
armes, un élément central du prison à vie hier, après avoir acteur clé du système de fraude.
plan du président Obama pour été reconnus coupables d’avoir M. Papageorgopoulos, âgé de
réduire la violence causée par détourné plus de 17 millions 65 ans, a nié toute malversation.
les armes. d’euros (22 millions $ US) de — The Associated Press
 A&S
13
ARTS & SPECTACLES

Louis-José conquiert encore

STEVE
BERGERON

steve.bergeron@latribune.qc.ca
CRITIQUE

SHERBROOKE — Le spectacle
s’intitule Les heures verticales,
en référence aux moments de la
vie où il faut rester bien droit,
garder la pêche, même quand
l’existence se fait particuliè-
rement lourde. Mais l’essen-
tiel du troisième spectacle de
Louis-José Houde se déroule
à l’horizontale. Non pas que la
salle Maurice-O’Bready, bien
comble hier soir, se soit roulée
par terre à force de trop rire...
Mais au final, cette thémati-
que des moments où il faut se
raidir la colonne sert davan-
tage de prétexte et de piquets
de repère dans cette presta-
tion livrée en un seul souffle de
100 minutes... Comprendre que
c’est dans les longues (et par-
fois très longues) plages entre
chacune de ces bornes que se
terre l’humour supersonique,
éclatant, ciselé et festif de
Louis-José. Lequel le conduit
encore une fois à une conquête
totale de l’auditoire.
Les admirateurs n’ont pas
été trop déstabilisés : Louis-
José reste dans les mêmes
eaux des cocons intimes que
sont le couple, les amis et la
famille. Il pratique toujours le
même humour de décalages,
d’exagérations, de mimiques IMACOM, JOCELYN RIENDEAU

bien travaillées et d’intona-
tions toujours sur la bonne
note, celle qui fera d’une
réplique banale une seconde
irrésistible.
On pourrait même dire qu’il
évite le piège de la couche de
trop, ce qui lui est déjà arrivé
par le passé. Le hamster bio-
nique qui court dans sa cabo-
che est cette fois bien tenu en
laisse : débit contrôlé, voix
juste assez haut perchée,
pauses détente (sans quitter
la scène toutefois) pour laisser
le public reprendre son souffle.
Il faut quand même saluer
Avec Les heures verticales, son troisième spectacle solo, Louis-José Houde aborde des thèmes sérieux de la vie, mais qui lui servent sur-
tout de prétexte à de longs et hilarants délires.
d’humour, tant il s’écarte loin qui se déglingue joyeusement, à qui il fait la plus belle déclara- l’époque où l’on enregistrait ses
et longtemps de son récit du vérité et délire se côtoient dans tion d’amour et de tendresse en chansons préférées à la radio
début. la même phrase. leur accordant une grande place. ou cette critique des gens qui
Louis-José devrait d’ailleurs chantent « bonne fête » avec trop
Plein de tendresse leur payer une redevance, tant d’intensité.
Louis-José part sec et fort Le hamster bionique ses récits sur ses géniteurs Le spectacle garde le même
avec un hilarant numéro sur les tiennent le haut du pavé, à tonus du début jusqu’à la pres-
problèmes des adultes interpré- qui court dans sa commencer par cette soirée du que toute fin, qui comporte un
tés par les enfants, par exem- 31 décembre où sa mère prend long numéro sur les preuves
ple l’esclavage et l’euthanasie. caboche est cette fois ses premiers shooters de vodka d’amour au sein d’un couple.
De fait, une grande partie de à vie, à 65 ans. Tel est le beau de Pas que les blagues soient mau-
l’humour de Louis-José est un bien tenu en laisse. l’histoire : à partir de questions vaises, mais le sujet a déjà été
humour de lorgnette : la femme qui, on le devine, le tourmentent tellement exploité... En fin de
vue par l’homme, les baby-boo- vraiment, il génère une marée compte, peu de moments d’im-
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE

l’endurance de l’artiste, qui a
tout livré presque d’une seule
traite sans perdre son ressort,
et surtout sans se prendre
dans ses longues digressions.
Revenir au sujet de départ
devient même un élément
mers vus par la génération X, la
grand-mère de 92 ans vue par
un petit garçon de 5 ans. Pour
ce faire, il faut un profond sens
de l’observation et de l’identifi-
cation, que l’humoriste possède
à merveille. Grâce à un prisme
Pourtant, le mec traite de
sujets sérieux, telle cette aïeule
ayant perdu goût à la vie, qu’il
gratifiera d’un solo de batterie à
l’adolescence. Ou alors le vieillis-
sement de ses parents, qui sem-
ble beaucoup le préoccuper, mais
de gags. En ce sens, il remplit
parfaitement sa mission.
Louis-José a quand même
un peu triché, certaines parties
du spectacle provenant de ses
textes d’animation à l’ADISQ,
comme cette évocation de
provisation, mais Louis-José
prendra quand même quelques
instants pour « combler son
besoin d’attention » et revenir
remercier ce public qui le sou-
tient depuis plus de quinze ans
maintenant.

Cahier promotionnel à lire vendredi 1er mars dans La Tribune

13
 14 [ ARTS & SPECTACLES ] ............................................................................................................................................

Deux nouveaux labos de création pour Sporobole

KARINE TREMBLAY de Sporobole, Éric Desmarais. qu’une imprimante 3D a aussi nombre de membres connaîtra
karine.tremblay@latribune.qc.ca Avec ses 16 haut-parleurs été acquise par Sporobole. une croissance à la hausse.
modulables et programmables Dans la foulée des transfor- Anciennement connu sous le
SHERBROOKE — En inaugurant par ordinateur, l’un des labo- mations apportées à l’immeuble, nom de RACE (Regroupement
deux nouveaux laboratoires de ratoires sera destiné à la pro- une résidence d’artiste a aussi des artistes des Cantons-de-
création munis d’équipement à duction sonore. On pourra aussi été aménagée. l’Est, Sporobole existe depuis
la fine pointe de la technologie, y faire de la vidéo 3D. L’autre 1973 et compte une cinquan-
Sporobole redéfinit son man- labo sera destiné à l’impression taine de membres. « On espère
dat artistique. Le centre sis numérique grand format, chose « On devient ainsi franchir le cap de la centaine
rue Albert ne sera plus seule- qui pouvait jusqu’ici n’être faite de membres d’autant qu’on
ment un lieu de diffusion d’art que dans les magasins spéciali- un lieu de création a plusieurs types d’adhé-
actuel, il deviendra aussi un sés en impression. sion, à différents coûts », note
endroit de création. « Nous nous sommes dotés de haut calibre. » M. Desmarais, en précisant
« On répond à une demande d’une grosse imprimante de que le projet, qui a nécessité
IMACOM, CLAUDE POULIN
grandissante des artistes calibre muséal. Les artistes 320 000 $ d’investissements, a
Éric Desmarais, coordonnateur d’ici qui n’avaient pas, à pourront sélectionner leur papier « Tous ces services permet- été financièrement appuyé par la
administratif chez Sporobole, a Sherbrooke, d’ateliers dotés et retravailler leur image eux- tent d’améliorer les conditions Ville de Sherbrooke et la CDEC
dévoilé hier les deux nouveaux d’équipement leur permettant mêmes. L’impression elle-même de pratique du métier. On (Corporation de développement
laboratoires de création munis de demeurer concurrentiels leur reviendra à un coût moindre devient ainsi un lieu de créa- économique communautaire de
d’équipement à la fine pointe de au plan national », explique le que dans le commerce », souli- tion de haut calibre », exprime Sherbrooke), qui ont ensemble
la technologie. coordonnateur administratif gne M. Desmarais, en précisant M. Desmarais, qui espère que le versé 90 000 $.

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TQc 1, 2, 3... Géant Toc toc toc Les Argonautes Tactik Génial! / Saskia Thuot Une pilule, une p'tite granule Bazzo.tv Voir Les verts contre
CBC CBC News: Montreal Lang and O'Leary George S. Coronation Street The Nature of Things Partie 2 de 2 Doc Zone / The Boomer Revolution CBC News: The National CBC News: Mont. George S.
CTV-M The Dr. Oz Show CTV News eTalk Big Bang Theory Big Bang Theory Two and Half Men Criminal Minds / A Family Affair Law & Order: S.V.U. / Beautiful Frame CTV National News CTV News !
GBL-Q 16h30 " Young & R. Ricardo Evening News Global National E.T. Canada Ent. Tonight Zero Hour / Pendulum / Charles Dutton The Office The Office Elementary / The Deductionist News Final E.T. Canada
ABC The Dr. Oz Show ABC 22 News ABC World News ABC 22 News TMZ Zero Hour / Pendulum / Charles Dutton Scandal / Truth or Consequences Jimmy Kimmel Live / Channing Tatum ABC 22 News 23h35 J. Kimmel !
CBS Channel 3 News The :30 Channel 3 News CBS Evening News Ent. Tonight Big Bang Theory Two and Half Men Person of Interest / Triggerman Elementary / The Deductionist Channel 3 News 23h35 Letterman !
FOX 30 Rock The Office Two and Half Men Two and Half Men Big Bang Theory Big Bang Theory American Idol / Semifinalist Round, Part 4 FOX 44 News at 10 News at 10:30 The Office Met Your Mother
NBC First at Five 5:30 Now News NBC Nightly News Jeopardy! Wheel of Fortune Community Parks and Rec The Office 1600 Penn Law & Order: S.V.U. / Beautiful Frame News 23h35 Jay Leno !
PBS-P Wild Kratts Electric Company BBC News America Nightly Business PBS NewsHour M.Lake Journal M.Lake Journal Drop 7 Foods: Feel Better Fast Art Express Scully World Show BBC World News Charlie Rose !
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013

ARTV L'Héritage Les belles histoires / La jalousie Pérusse cité Un gars, une fille La Liste Le Réjouisseur 21h40 Affaire criminelle Partie 4 de 5 MICHAEL (2011) 0h45 !
CD Mystères univers / Les tempêtes Michel Barrette Partie 2 de 2 Légendes Urbaines / Travail Bizarre ou quoi? Hantise / Intrus indésirables Alliance meurtrière / À corps perdu Ben et Jarrod / Le Temps d'une molle
Cinépop 16h10 " LA CHATTE SUR UN TOIT BRÛ... EL CANTANTE: LE CHANTEUR DE SALSA (2006) Jennifer Lopez. RENCONTRE FATALE (2005) avec Clive Owen, Jennifer Aniston, Vincent Cassel. 21h55 LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND (1967) Clint Eastwood. 0h55 !
Evasion " Koh.Vietnam Routes d'Ushuaïa Hell's Kitchen Tout inclus sur la route / Irlande Croisières de rêve OuiSurf / Luzon, Philippines Soleil tout inclus / Espagne Tout le monde danse / Flamenco
HI NCIS enquêtes / Agent dormant Papa a raison Extraterrestres / Contacts rapprochés Cash Cowboys / Sur les traces de la bête NCIS enquêtes / Agent dormant Napoléon
MMAX Les années / Renée Martel Starmag L'index québécois Génération 80 / 1989 Cliptographie / Britney Spears Q'viva Les années / Renée Martel Starmag Les géants du clip
MP Pimp mon char Pimp mon char Top musique Buzz M. Net Rajotte Cliptoman Piègé! La prochaine Top Modèle Américaine Snooki et JWoww Pauly D
RDI Le Téléjournal RDI Le National RDI économie 24 heures en 60 minutes Les grands reportages Le Téléjournal Renonciation officielle du pape Commission Charbonneau
S+ Une vie inattendue FBI: flic et escroc Castle / Une vieille histoire L.A.: Enquêtes / Daddy dis oui Libérés sur parole / Emmy & Claire Instinct de tueur / Secousses mortelles Loi & ordre: sexuels / Parole de folle
SE CHIMPANZÉS (2012) 18h25 LES PETITS MOUCHOIRS (2010) avec François Cluzet, Jean Dujardin, Marion Cotillard. LAURENCE ANYWAYS (2012) - Une femme appuie son conjoint qui lui annonce qu'il veut changer de sexe.
TFO Mégallô Motel Monstre Qui vient jouer? 1, 2, 3... Géant! Ruby TFO Nouveaux mondes Arrêt court Plein les vues LA CHARTREUSE DE PARME (1948) avec Renée Faure, Maria Casarès, Gérard Philipe. 23h45 360 !
TV5 Prendre sa place 17h50 Questions pour un champion Journal France 2 Des trains..autres / L'Argentine Les secouristes / Les pompiers du froid Les routes de l'impossible Science ou fiction Cliquez TV5 le journal 23h35 Thalassa !
VIE Vendre ou rénover? / La famille Sproat Idées de grandeur Bye-Bye Maison Airoldi et et chalet Maison, argent Mon chat enfer / Chat sauvage Patron clandestin / United Van Lines Idées de grandeur Secrets de style Vous êtes cuits!
Zeste Côté cuisine Julie Curtis dans cuisine Bon chef, bad chef 1 ingrédient Boss de la cuisine M-F et ses tapas Cauchemar en cuisine Combat de chefs / Pour de vrai Heston: Perfection Chocolat Juliette Boss de la cuisine 1 ingrédient
Ztélé Primitif / Serpent de légende La porte des étoiles / Quarantaine On va s'coucher Comment c'est fait DESTINATION ULTIME 2 (2003) avec A.J. Cook, Michael Landes, Ali Larter. Les stupéfiants Faits ou faux
RDS Le 5 à 7 Hockey 360° LNH Hockey / Lightning de Tampa Bay c. Rangers de New York (D) L'antichambre (D) Sports 30 Images/secondes Ski télévision
SPN Prime Time Sports SN Connected Hockeycentral Blackout SN Connected Sportsnet Connected Hockeycentral UFC Central
TSN Off the Record Interruption (D) SportsCentre That's Hockey (D) MLS Season Pre. NBA Basketball / 76ers de Philadelphie c. Bulls de Chicago (D) Basketball Minnesota vs Los Angeles (D) !
Disney Agent spécial Oso Docteur La Peluche Les Doodlebops Jake et les pirates TicketyToc Maison de Mickey Harry & dinos Justin rêve Les Doodlebops Aladdin 101 Dalmatiens Tibère...maison La bande à Picsou Harry & dinos
TTF Johnny Test Johnny Test Les Simpson RegularShow Singestronautes Ma gardienne est Têtes à Claques Têtes à Claques Les Simpson American Dad Family Guy Faut pas rêver! Les Simpson Dans l'canyon
VRAK VRAK la vie Jessie Les testeurs Les mal élevés L'appart du 5e Dans le trouble Grenade avec ça? VRAK la vie Les menteuses / Bas les masques Dans le trouble MDR Je t'ai eu! Le Steph show
14
.......................................................................................................................................................
BÉNABAR
Modeste public, belle soirée
KARINE
TREMBLAY
karine.tremblay@latribune.qc.ca
CRITIQUE
SHERBROOKE — Dans les cou-
lisses, paraît qu’il écoute Stevie
Wonder. Et qu’il ne s’inquiète
pas de ce public somme toute
modeste pour son premier tour
de chant à Sherbrooke. C’est
qu’ils étaient peu nombreux,
hier, les spectateurs venus voir
Bénabar au Théâtre Granada.
Deux cents, environ. Petite
foule pour un artiste qui chez
lui, de l’autre côté de la grosse
flaque, a l’habitude de remplir
le Zénith. Ç’aurait pu être déce-
vant si l’assemblée n’avait pas
été à ce point chaleureuse.
Veston noir, dégaine désin-
volte et allure juvénile, Bénabar
casse la glace avec les connues
La phrase qu’on a pas dite et
L’effet papillon. Visiblement, il
est content d’être là. Au Québec.
Et en région, précise-t-il.
« En plus, il neige! Mais on
est déçus, il ne fait pas très froid
et on s’est acheté de grosses
doudounes pour venir ici! »
S’il ne cause pas entre chaque
chanson, il fait mouche quand
il s’avance à jaser. L’as de la
chanson anecdotique qui trouve
écho universel a de l’humour
et du bagou. Du charme, aussi.
Et il sait y faire au chapitre de
l’autodérision : « La prochaine
chanson aborde un sujet très
douloureux. Elle parle des
râteaux, c’est-à-dire des refus
amoureux. Et c’est un sujet très
Pour sa toute première visite à Sherbrooke, le chanteur fran-
çais Bénabar a eu droit à une foule de 200 personnes. Un public
modeste, mais débordant d’amour.
[ ARTS & SPECTACLES ] 15
délicat, parce que ça arrive sou- Au final, on se dit que la réus- au nombre de spectateurs pré- ils adoraient Bénabar comme
vent aux musiciens!» site d’un show ne se mesure pas sents. Ils étaient 200, hier. Mais 1000.
Autour, ça rigole. Le public
comme les musiciens, cinq
vieux compagnons de route,
multi-instrumentistes de talent.
Le son au début mal calibré
1 er au 3 mars 2013
agace, mais ne gâche pas le
plaisir de les voir là, complices,
tisser un univers musical riche
d’instruments pluriels.
Baveux, Bénabar évoque son
prochain spectacle : « On a une
date très importante à Montréal,
alors on préfère se tromper ici ».
Devant la huée, il s’esclaffe :
« Ça marche dans toutes les
villes du monde, ce truc.»
Un bateau pour jouer
Amylie ne fait que passer
On pensait qu’elle serait
davantage sur scène, d’autant
qu’elle a assumé la première
partie avec le Sherbrookois d’ori-
vous intéresse ?
gine Tristan Malavoy, mais la
Québécoise Amylie ne fait que
passer. Le temps d’interpréter
Titus et Bérénice, une première
devant public, apprend-on. Le
duo y va d’une version acous-
tique, guitare-voix, sans fiori-
Des modèles ici pour 3 jours seulement
tures. Jolie. Et tout aussi jolie
lorsque s’ajoutent, en finale, des  130 bateaux
arrangements plus nourris.
Le chanteur, du reste, est
généreux. Sans entracte, il
 30 marques À gagner…
interprète plus d’une vingtaine
de chansons, parmi lesquelles la  20 détaillants
superbe 4 murs et un toit, la tou- 4 sessions de conduite en
chante Majorette, les connues  accessoires Ferrari, grâce à La Tribune.
Le vélo, Porcelaine, Le dîner. Il
pousse une nouvelle composi-
tion, Les 2 chiens, qui trouve
 services et plus
un public attentif. Au rappel,
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suis de celles voisinent les plus
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Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE
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+71,95 -0,79 +0,32 +175,24 +19,05 +32,61 -19,80 +0,13

CAISSE DE DÉPÔT ET PLACEMENT DU QUÉBEC Sabia n’a pas

Un rendement de 9,6 % en 2012

SYLVAIN LAROCQUE de la Caisse ont enregistré des
LA PRESSE CANADIENNE rendements positifs en 2012.
Par contre, le rendement d’une
MONTRÉAL — La Caisse de bonne partie de ces porte-
dépôt et placement du Québec feuilles est inférieur à celui des
a réussi à enregistrer un ren- indices comparables.
dement légèrement supé- La Caisse a ainsi moins bien
rieur à celui de son indice de performé que ses pairs dans
référence en 2012 malgré une la catégorie clé des actions
nouvelle contre-performance canadiennes, où elle a obtenu
de l’un de ses plus importants un rendement de 6,6 pour cent
portefeuilles, celui des actions alors que celui de l’indice a été
canadiennes. de 7,7 pour cent.
Le rendement de la Caisse a La « révision en profondeur »
atteint 9,6 pour cent alors que de ce portefeuille de plus de
celui de l’indice auquel elle se 20 milliards $ annoncée il y a
compare a été de 9,3 pour cent. un an n’a donc pas donné les
« Les résultats de la Caisse résultats escomptés.
sont satisfaisants. Ils répon- « Il est clair que nous n’avons
dent aux besoins à long terme pas encore atteint la perfor-
des déposants », a commenté le mance visée », a reconnu le
ministre des Finances, Nicolas président et chef de la direction
Marceau, dans un communiqué. de la Caisse, Michael Sabia, en
Le rendement des sept plus conférence de presse.
importants déposants à la L’institution a apporté de nou-
Caisse a oscillé entre 8,2 et veaux changements dans ses
10,5 pour cent. C’est la Régie stratégies d’investissement en
des rentes du Québec (RRQ) actions canadiennes et espère
qui a obtenu le rendement de qu’elle sera enfin dans le coup
10,5 pour cent. Le contraste est en 2013. Elle compte notam-
frappant avec 2011, année pen- ment acheter davantage d’ac-
dant laquelle les placements de tions d’entreprises canadiennes
la RRQ avaient rapporté à peine actives aux États-Unis et dans
2,8 pour cent. les marchés émergents afin de
Quinze des 16 portefeuilles profiter de la reprise prévue
dans ces pays.
Dans le secteur des infras-
tructures, la Caisse a enregis-
tré un rendement de 8,7 pour
cent, contre 15 pour cent pour
l’indice. Il faut dire qu’en 2011,
ce portefeuille avait affiché un
rendement de 23,3 pour cent,
soit près du double de celui de
l’indice, 12,7 pour cent.
Dans l’immobilier, le rende-
ment s’est établi à 12,4 pour
cent, contre 13,2 pour cent pour
l’indice. Deux facteurs princi-
paux ont nui aux résultats: la
perte de 14 pour cent subie par
le portefeuille d’hôtels et la force
de la devise brésilienne, qui a
fait fondre de 20 à huit pour cent
le rendement de la Caisse dans
ce pays émergent.
La filiale immobilière de la
Caisse, Ivanhoé Cambridge, se
donne quatre ou cinq ans pour
vendre la plupart de la trentaine
d’hôtels qu’elle possède encore
au Canada, aux États-Unis, en
Europe et à la Barbade.
Notons que le rendement
2012 de la Caisse a reçu un bon
coup de pouce de ses investis-
sements dans du papier com-
mercial adossé à des actifs
(PCAA), qui lui avaient pour-
tant fait perdre des milliards
de dollars en 2008. Ces titres de
crédit, qui sont toujours gelés
en grande partie, ont rapporté
1,7 milliard $ à la faveur d’une
amélioration des conditions de
marché. Sans cet apport, le ren-
dement global de la Caisse en
2012 aurait été inférieur d’un
point de pourcentage.
Sur dix ans, le rendement
annualisé de la Caisse atteint
6,7 pour cent. Rappelons qu’en
2008, l’institution avait dû épon-
ger une perte de 40 milliards $
qui s’était traduite par un ren-
dement négatif de 25 pour cent
en raison de la crise financière
et du PCAA. Depuis l’arrivée
de Michael Sabia à la tête de la
Caisse, en mars 2009, la Caisse
a enregistré un rendement
annualisé de 10,7 pour cent.
« Je ne veux pas suggérer que
notre performance est exem-
plaire ou parfaite, a affirmé
Michael Sabia. À certains
moments, nous avons peut-
être été trop prudents et à un
ou deux autres moments, peut-
être un peu trop agressifs. Mais
il reste que durant cette période
difficile et volatile (depuis 2009),
nous avons réussi à produire
(des résultats de placement de)
50 milliards $. »
réfléchi à un
renouvellement
de mandat
MONTRÉAL — Le président
et chef de la direction de la
Caisse de dépôt et placement
du Québec, Michael Sabia, a
assuré hier qu’il n’avait pas
encore réfléchi à la possibi-
lité de demander un renou-
vellement de son mandat, qui
prend fin l’an prochain.
En mars 2009, l’ancien gou-
vernement libéral a accordé à
M. Sabia un mandat de cinq
ans.
En redressant la Caisse,
l’ancien dirigeant de Bell
Canada et du Canadien
National a confondu les nom-
breux sceptiques, notamment
au Parti québécois, qui avaient
exprimé de sérieux doutes sur
ses compétences au moment
de sa nomination. L’institution
avait perdu pas moins de
40 milliards $ en 2008.
Interrogé à ce sujet lors de
la conférence de presse tenue
pour présenter les résultats
2012 de la Caisse, mercredi,
l’homme de 59 ans a répondu
que pour l’instant, il avait
« beaucoup d’autres choses
à faire » que de songer à son
avenir.
— La Presse Canadienne

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Les multiples visages de l’économie sociale

Le REÉS lance un documentaire recueillant 17 témoignages
MÉLANIE NOËL
melanie.noel@latribune.qc.ca
SHERBROOKE — « L’économie
sociale, c’est le milieu qui se
prend en main après avoir
constaté un besoin », révèle
le président de la Conférence
régionale des élus, Maurice
Bernier, en ouverture du nou-
veau documentaire réalisé
par le Réseau des entreprises
d’économie sociale (REÉS) de
l’Estrie. « C’est s’investir dans
la communauté humainement
autant qu’économiquement »,
ajoute Sarah Line Laroche, de
l’Association touristique et
culturelle de Dudswell. « On
n’a aucun actionnaire. On est
content de ne pas avoir d’action-
naire. On n’est pas dans une
optique de profit à court terme.
On bâtit pour longtemps », ren-
chérit Jean-Simon Bélisle, de
Jouvence.
nous comptons chaque année », Mme Grenier ajoutant qu’il ser-
révèle Mme Ouellette. vira aussi d’outils de sensibili-
Un intérêt pour l’environne- sation auprès de la population.
ment, la culture, l’égalité social Le documentaire est disponi-
est souvent le moteur des pro- ble sous la forme de 12 capsu-
jets d’économie sociale. Mais les vidéo à l’adresse suivante :
parfois la motivation est plus www.economiesocialeestrie.ca.
pratico-pratique comme dans le
cas de la communauté de Saint- Céline Ouellette, directrice
Romain qui a décidé de se doter de la Coopérative de service
d’un poste d’essence et d’un à domicile de l’Estrie, Ghislain
dépanneur et qui a choisi, pour Lefebvre, coordonnateur du
ce faire, la formule coopérative. REÉS et réalisateur du docu-
« Le documentaire servira mentaire, et Julie Grenier,
de point de départ pour des présidente du REÉS, étaient
discussions et des réflexions réunis, hier, pour le lancement
sur l’économie sociale avec d’un documentaire dressant le
les entrepreneurs lors de dif- portrait humain de l’économie
férentes activités », explique sociale dans la région.

« L’économie sociale,
c’est le milieu qui
se prend en main après
avoir constaté
un besoin. »
C’est dans ces mots que trois
des 17 entrepreneurs et élus de
l’Estrie rendent compte de la
vitalité de l’économie sociale
dans la région. Dans le docu-
mentaire de 30 minutes mis en
ligne, hier, sur le site du REES de
l’Estrie, les entrepreneurs livrent
leurs secrets et façons de faire
qui placent l’être humain au cen-
tre de leurs décisions d’affaires.
La gouvernance, le marketing,
l’administration, le développe-
ment durable et la mobilisation
sont autant de sujets abordés
dans ce film visant à dresser un Yvan Laberge, ing.
portrait de l’économie sociale en Directeur de l’ingénierie, Leprohon
région. Une économie qui, en
Ingénieur en mécanique
Estrie, compte 300 entreprises,
rassemble 421 000 membres
et qui génère 5000 emplois et
500 millions de dollars de chiffre
d’affaires.
« Les valeurs communes qui
nous animent sont la solidarité,
la participation, l’autonomie
JE LE RECOMMANDE !
financière, la primauté de la per-
sonne et la démocratie », a énu- « Quand je présente à mes clients le programme Bâtiments d’Hydro-Québec, j’ai toute leur attention.
méré en conférence de presse, Non seulement ils obtiennent un appui financier, mais ils ont la possibilité de réaliser des économies récurrentes
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE

hier, Julie Grenier, présidente tout en améliorant le rendement énergétique de leur immeuble. Et le programme est simple et flexible.
du REÉS.
Le documentaire présente Le programme Bâtiments est un atout dans mon offre de services et me permet de me distinguer
des entrepreneurs oeuvrant de la concurrence. C’est un programme qui marche. »
dans divers domaines tels que
la foresterie, la radio commu-
nautaire, le tourisme, l’habita-
tion et l’aide à domicile, comme Informez-vous. Composez le 1 855 817-1433
en témoigne la directrice de la
Coopérative de service à domi- ou visitez le www.programmebatiments.com.
cile de l’Estrie, Céline Ouellette.
« Notre coop a été fondée par Un programme d’Hydro-Québec géré par ÉnerCible
des gens du milieu, soit une cen-
taine de personnes âgées. Les
objectifs étaient de favoriser le
maintien à domicile, bien sûr,
et aussi de créer des emplois
permanents et de contrer le
travail au noir. Aujourd’hui, la
coop, c’est une centaine de pré-
posés qui réussissent à faire
des miracles avec les quelque
400 nouveaux membres que
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Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE
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DU 21 MAI AU 21 JUIN
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LE SUDOKU
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LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
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DU 22 JUIN AU 22 JUILLET
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LES MOTS CROISÉS
DU 24 OCTOBRE AU 22 NOVEMBRE
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DU 23 NOVEMBRE AU 21 DÉCEMBRE
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DU 22 DÉCEMBRE AU 20 JANVIER
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DU 21 JANVIER AU 19 FÉVRIER
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21
 Jacques BROUSSEAU IN MEMORIAM
(1943 - 2013)
Entouré des siens, au CHUS Hôtel-Dieu le ALLARD (Louise) LAMBERT (Sylvie)
93 ans, Richmond Sherbrooke, Sherbrooke
19 février 2013, à l’âge de 70 ans, est décédé BEAUDET (André) LAMPRON (Yvon)
monsieur Jacques Brousseau, fils de feu 86 ans, Sherbrooke 68 ans, Asbestos
Joseph Brousseau et de feu Lucienne BROUSSEAU (Jacques) LAVERTU (Jean-Claude)
Gosselin. Il était l’époux de Huguette Veilleux 70 ans, Sherbrooke 73 ans, Fontainebleau
Brousseau, demeurant à Sherbrooke. CYR (Marthe (née Payeur)) MCKENZIE (Monique (Maurice))
80 ans, Sherbrooke 74 ans, Sherbrooke
DESCHÊNES (Réjeanne (Gauthier)) MORIN (Rollande (Gilbert))
La famille vous accueillera en présence des 80 ans, Sherbrooke 89 ans, Sherbrooke
cendres à la Coopérative funéraire de l'Estrie GOYETTE (Guy) PAQUETTE (Gilles)
(485, rue du 24-Juin, Sherbrooke), le samedi 46 ans, St-Denis-de-Brompton 77 ans, Drummondville
2 mars 2013 de 10 h à 12 h (midi). Suivra une GÉLINEAU (Ronald) PFEUTI (Frieda (Hausermann))
cérémonie d’adieu à 12h (midi), à la chapelle 66 ans, Sherbrooke 92 ans, Coaticook
du complexe, 485, rue du 24-juin, Sherbrooke HUPPÉ (Monique (Drapeau)) THÉBERGE (Paul-André)
et les cendres seront déposées au 75 ans, Val-Joli 74 ans, Cookshire
LAMBERT (Jacques) THÉRIAULT (Donat)
columbarium du Cimetière St-Michel à une 70 ans, Sherbrooke 88 ans, Laval
date ultérieure.

Outre son épouse Huguette, M. Brousseau

laisse dans le deuil sa fille adorée Sophie
(Stéphane); ses 2 petits-fils bien-aimés
Anthony et Mathis; ses beaux-parents Berthe Veilleux (feu Luc Veilleux); ses Marthe (née Payeur) CYR (1932 - 2013)
beaux-frères et belles-soeurs Raymond Veilleux (Doris), Gilles Veilleux À Sherbrooke, le 25 février 2013, à l'âge de 80 ans, est décédée Mme Marthe
(Ginette), Clémence Veilleux (André), Denise Veilleux (Jean), Maryse Veilleux. Payeur, épouse de feu Noel Cyr et fille de feu Elzéar Payeur et de feu Alphonsine
Lacasse.
La famille vous accueillera à la Résidence funéraire Steve L. Elkas Inc., 601 rue du
Il laisse aussi dans le deuil ses 2 filleuls Simon Gagnon et Sébastien Paquette, Conseil, Sherbrooke, le mercredi 27 février 2013 de 14 h à 16 h et de 19 h à 22 h
son copain de motoneige Mario Lessard; ses neveux et nièces Philippe Veilleux, et le jeudi 28 février 2013 de 9 h, jusqu'au départ du salon à 10 h 20. Le service
Geneviève Veilleux et Eve-Marie Auger, Marc et Marie Lessard ainsi que religieux sera célébré le jeudi 28 février 2013 à 11 h, en l'église St-Roch et de là au
Cimetière St-Michel de Sherbrooke.
plusieurs parents et amis.
Mme Payeur Cyr laisse dans le deuil ses filles : Linda Cyr (David Bouffard), Manon
Cyr (Marcel Labbé); ses petits-enfants, Annie (Michel), Kathy, Sabrina (Etienne),
Un merci tout spécial au Dre Agnès Desrochers des soins palliatifs du CHUS Charlène, Jessika, Jonathan (Sabrina); ses 10 arrière-petits-enfants, ses frères et
Fleurimont et à Michèle Guay, infirmière pivot ORL, pour leur grand soutien ainsi soeurs : Jeannine (feu Laurent), Gilles (Janine), Huguette (Clermont), Henri (feu Aline), Jean-Luc (Pauline),
que l’équipe de soins palliatifs CHUS Hôtel-Dieu. feu Léo-Nil (Manon), Jacques (Danielle); ses beaux-frères et belles-soeurs : Rachel (feu Gérard), feu
Laurette (feu Lucien), feu Jeannette (feu Gérard), Linette (Pierre), Gisèle (Fabien), Armande (feu Jules), Guy
(Denise), feu Noëlla (feu Alphonse), feu Bernadette (feu Gérard), feu Simone (Fernand), feu Jeanne d'Arc
En guise de sympathie, des dons à la FONDATION CANADIENNE DU (feu Léopold), ainsi que de nombreux neveux et nièces, cousins et cousines autres parents et amis.
CANCER, 3330, rue King Est, bureau 130, Sherbrooke (Québec) J1L 1C9, La famille tient à remercier tout le personnel du 6e CHUS Hôtel-Dieu, pour les bons soins prodigués à Mme
seraient grandement appréciés par la famille. Payeur.
En guise de sympathie, des dons à LA MAISON AUBE-LUMIÈRE, 220, rue Kennedy Nord, Sherbrooke
(Québec) J1E 2E2, seraient grandement appréciés par la famille.
Coopérative funéraire de l’Estrie François Fouquet, directeur général Résidence funéraire Steve L. Elkas inc.
485, rue du 24-Juin, Sherbrooke, Qc Daniel Lapierre, directeur opérations Téléc.: 819 820-8872
601, rue du Conseil
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Sherbrooke (Québec), J1G 1K4
Tél.: 819 565-7646 – Téléc.: 819 565-7844 www.coopfuneraire.com www.steveelkas.com
Tél.: 819 565-1155

Louise ALLARD (1919 - 2013) Réjeanne (Gauthier) DESCHÊNES (1932 - 2013)

À Sherbrooke, le 22 février 2013, est décédée à l’âge de 93 ans,
Mme Louise Allard, épouse de feu Omer Gagné, demeurant à
Richmond
La famille vous accueillera au Centre funéraire Yves Houle,
198 rue Adam à Richmond, le vendredi 1er mars 2013 de 14 h à
16 h et de 19 à 21 h. Ouverture le jour des funérailles 9 h à
10 h 30. Les funérailles auront lieu le samedi 2 mars à 11 h, en
l’église Ste Bibiane de Richmond. Inhumation au cimetière
paroissial.
Mme Louise Allard laisse dans le deuil ses enfants : Carmen (Richard Huckle),
Robert (Ginette Gagné), Mariette (Denis Beaucher), Suzanne (Pierre Bélanger) et
Sylvie (Michel Ménard); ses petits-enfants, Véronique, Sonia, Manon, Dominic,
Jean-François, Julie, Chantal, Pierre, Simon, Louis, Gilbert et Christine; ses arrière-
petits-enfants et ses belles soeurs : Juliette et Marie-Jeanne; ses neveux, nièces ainsi
que de nombreux autres parents et amis.
À l’IUGS Pavillon St-Vincent, le 24 février 2013, à l’âge de 80 ans, est
décédée madame Réjeanne Gauthier Deschênes, fille de feu Arthur
Gauthier et de feu Doria Rousseau et épouse de feu Édouard Deschênes,
demeurant à Sherbrooke.
La famille vous accueillera à la Coopérative funéraire de l'Estrie (485, rue
du 24-Juin, Sherbrooke), le jeudi 28 février 2013 de 19 h à 21 h 30 ainsi
que le vendredi 1er mars 2013 de 9 h à 11 h. Suivra à 11 h, une
cérémonie d’adieu en la chapelle du même lieu. L'inhumation aura lieu au
Cimetière St-Michel.
Madame Réjeanne Gauthier laisse dans le deuil ses enfants, Normand (Francine Bradette) et
Gaétan (Sylvie Drouin); ses petits-enfants, Nicolas, Janie et Jean-Christophe Deschênes; ses
soeurs et frères, Laurianne (feu Isidore Thiboutot), Madeleine (feu Joseph Deschênes), Rachel
(Jean-Guy Ratté), Armand (feu Monique Sévigny), Roger (Pierrette Coupal) et Rolland; ses bel-
les-soeurs, Thérèse Carrier (feu Fernand Gauthier), Rita Bélisle (feu Gérard Deschênes) et
Jeanne-D’Arc Deschênes (feu Aimé Carrier), ainsi que plusieurs neveux, nièces, cousins, cou-
sines, parents et .
La famille tient à remercier le personnel du CHSLD St-Vincent de Paul, pour tous les bons soins
prodigués à Mme Gauthier.

Centre funéraire Yves Houle Tél.: 819 826-3747 Coopérative funéraire de l’Estrie François Fouquet, directeur général
198, rue Adam Téléc.: 819 826-3001 485, rue du 24-Juin, Sherbrooke, Qc Daniel Lapierre, directeur opérations
Richmond (Québec) J0B 2H0 Info. décès: 1 800 405-4777 info@coopfuneraire.com Manon Thibodeau, dir. serv. familles
Tél.: 819 565-7646 – Téléc.: 819 565-7844 www.coopfuneraire.com

André BEAUDET (1926 - 2013)

Ronald GÉLINEAU
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013

À l’IUGS Pavillon Argyll, le 25 février 2013, à l’âge de 86 ans, est décédé monsieur
André Beaudet, fils de feu Henri Beaudette et de feu Irène St-Pierre et époux de
Entouré des siens au CHUS Hôtel-Dieu de Sherbrooke, le 27 février 2013
Yvette Roy, demeurant à Sherbrooke, autrefois de Bromptonville.
est décédé à l’âge de 66 ans monsieur Ronald Gélineau, fils de feu Émile
La famille sera présente à l'église en présence des cendres, vendredi 1er mars Gélineau et de feu Jeannette Léveillée.Il était le conjoint de feu Paulette
2013, jour des funérailles à compter de 12h30 afin de recevoir les condoléances des Lehoux demeurant à Sherbrooke.
parents et amis. Un service religieux sera célébré à 13h30, en l'église Sainte-
Praxède de Bromptonville, 35, rue du Curé-LaRocque, Sherbrooke. Les cendres
seront déposées au cimetière paroissial à une date ultérieure. Il laisse dans le deuil ses enfants Chantale, Stéphane, Dany. Il laisse
également dans le deuil ses petits-enfants et arrière-petits-enfants, ses
Outre son épouse, M. Beaudet laisse dans le deuil ses enfants: Yvan, Normand frères René, Denis, sa soeur Thérèse, leur conjoint et conjointe. Il était le
(Diane Roux), Johanne (Pierre Dupré), Michel (Colette Desbiens), Carole (Michel frère de feu Jacqueline, Maurice et Ginette. Il laisse également ses
Lambert). Il était aussi le père de feu Yvon (Elise Bard). Il laisse ses petits-enfants:
Sophie, Maude, Solène, Sarah-Kim, Olivier, Marie-Pierre, Gabriel, Benjamin, beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces ainsi que beaucoup de
Sabrina de même que leur conjoint(e), ses arrière-petits-enfants: Eliott, Elsianne et Léonie. Il laisse parents et amis.
également son frère Jacques (Grazielle Allard). Il était aussi le frère de feu Gérard, feu Jean-Louis, feu
Gisèle et feu Lucille. Il laisse également ses belles-soeurs Laurianne et Carmen, plusieurs neveux, nièces, Un merci spécial à tout le personnel des soins palliatifs pour leur soutien et leur délicatesse.
autres membres des familles Beaudet et Roy, de même que des amis.

La famille tient à remercier le personnel du Pavillon Argyll pour leur empathie, leur compassion et les bons Selon la volonté de Monsieur Gélineau, il n’y aura pas d’exposition et les cendres seront
soins prodigués à M. Beaudet pendant son séjour. déposées en terre à une date ultérieure.
Coop. funéraire de l’Estrie (Bromptonville) François Fouquet, directeur général
72, rue du Curé-Larocque, Sherbrooke, Qc Daniel Lapierre, directeur opérations
info@coopfuneraire.com Manon Thibodeau, dir. serv. Familles
Tél. 819 565-7646 – Téléc.: 819 348-3777 www.coopfuneraire.com
22
 Guy GOYETTE (1966 - 2013)
À la Maison Aube-Lumière, le 12 février 2013, est décédé monsieur Guy
Goyette, à l’âge de 46 ans, fils de feu Paul Goyette et de Mme Yolande
Brochu, demeurant à St-Denis-de-Brompton.
La famille recevra les condoléances au Centre funéraire Dupuis ( 6207, ch.
St-Élie, Sherbrooke), samedi le 2 mars 2013 de 10h jusqu’à la célébration
d’une cérémonie d’adieu à 11h au salon même en présence des cendres
qui seront déposées au cimetière de Stoke à une date ultérieure.
Outre sa mère Yolande Brochu, M. Goyette laisse dans le deuil ses enfants
Tristan, Samuel et Trisia, ses frères et soeurs Daniel, Line (Pierre-Alain),
Renald (Carmen) et Eric, ainsi que de nombreux neveux, nièces, oncles, tantes et autres
parents et amis.
En guise de sympathie, des dons à la MAISON AUBE LUMIÈRE, 220, rue Kennedy Nord,
Sherbrooke, J1E 2E7 seraient grandement appréciés de la famille.
Centre funéraire Dupuis Tél.: 819 565-4989
6207, chemin St-Élie
Sherbrooke (Québec)
www.salonsdupuis.com
Dupuis Téléc.: 819 348-1764
Pierre Dupuis, président
Jean-Guy Dupuis, directeur
Monique (Drapeau) HUPPÉ
Au CHUS Hôtel-Dieu, le 19 février 2013, à l’âge de 75 ans, est décédée
madame Monique Drapeau , fille de feu Henri Drapeau et de feu Aurore
Blais, épouse de feu Paul-Émile Huppé, demeurant à Val-Joli.
La famille sera présente à l'église, le jour des funérailles, à compter de
10h00, afin de recevoir les condoléances des parents et amis.
Funérailles le samedi 2 mars 2013 à 11h, en l'église Saint-Philippe de
Windsor, 63, rue Saint-Georges, Windsor. Les cendres seront déposées
au cimetière St-Philippe.
Madame Monique Drapeau laisse dans le deuil ses enfants Ghislain et
Dany ( Mélanie ). Elle était aussi la mère de feu Diane et de feu Manon.
Elle laisse aussi ses petits-enfants, Samantha, Gabriel, Pascale, Alexandra, Audrey, feu
Allyson, Lorie et Marie-Ève, une arrière-petite-fille Natasha. Ses frères et soeurs, Denis
(Hélène), Lucille ( Jean-Paul ), Henriette ( Maurice ), Denise ( Léo ) et Philippe ( feu Denise ).
Ses beaux-frères et belles-soeurs, oncles et tantes, neveux, nièces, cousins, cousines autres
parents et amis.
La famille désire remercier le personnel de la Résidence St-Philippe ainsi que celui du CHUS
Hôtel-Dieu (médecine générale), pour les bons soins prodigués à Mme Monique Drapeau.
Coopérative funéraire de l’Estrie François Fouquet, directeur général
Maison A. Boisvert Lionel Turgeon, directeur
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Jacques LAMBERT (1942 - 2013)
Entouré des siens, au CHUS Hôtel-Dieu, le 23 février 2013, à l’âge
de 70 ans, est décédé monsieur Jacques Lambert, fils de feu Georges
Lambert et de feu Yvette Mathieu, demeurant à Sherbrooke.
La famille vous accueillera à la Coopérative funéraire de l'Estrie (485, rue
du 24-Juin, Sherbrooke), le dimanche, 3 mars 2013 de 13 h à 15 h, suivi
à 15 h, d’une cérémonie d’adieu célébrée en la chapelle du même lieu.
Monsieur Lambert laisse dans le deuil son fils, Yves Lambert ainsi que la
mère de celui-ci, Madeleine Ouimette. Il laisse également ses soeurs
Jacqueline (Gilles), Lise (Howard), Diane (Normand ) et Ginette (Serge).
Il laisse également plusieurs neveux, nièces, autres parents et amis dont
son grand ami Yves Lamontagne.
La famille tient à remercier tout le personnel des Soins Palliatifs du CHUS Hôtel-Dieu pour
les très bons soins prodigués à monsieur Lambert. En guise de sympathie, les dons à
LA CHAUDRONNÉE DE SHERBROOKE seraient grandement appréciés de la famille.
Coopérative funéraire de l’Estrie François Fouquet, directeur général
485, rue du 24-Juin, Sherbrooke, Qc Daniel Lapierre, directeur opérations
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Sylvie LAMBERT (1962 - 2013)
À l’IUGS Pavillon Argyll, le 25 février 2013, à l’âge de 50 ans, est décédée madame
Sylvie Lambert, fille de feu Lionel Lambert et de feu Jeanne Côté, demeurant à
Sherbrooke.
À la demande de la famille il n’y aura pas d’exposition. La famille invite parents et amis à
la cérémonie d’adieu ce vendredi 1er mars 2013 à 10 h, en la chapelle du complexe, 485,
rue du 24-juin, Sherbrooke. Les cendres seront déposées au printemps au Cimetière
St-Michel.
Sylvie laisse dans le deuil ses frères et soeurs : Aline (Maurice Tremblay), Yolande
(Normand Labonté), André (Monique Giguère), Yvette (feu Roger Paquin), Denise
(Jacques Grondin), Clément (Murielle Pouliot), Louise, Jacques (Sylvie Ponton). Elle laisse
également dans le deuil plusieurs neveux, nièces et autres parents et amis.
Un gros MERCI à toute l’équipe du Pavillon Argyll, pour les bons soins prodigués à Sylvie.
En guise de sympathie, des dons à la FONDATION VITAE, 375, rue Argyll, Sherbrooke
(Québec) J1J 3H5, seraient grandement appréciés de la famille.
Coopérative funéraire de l’Estrie François Fouquet, directeur général
485, rue du 24-Juin, Sherbrooke, Qc Daniel Lapierre, directeur opérations
info@coopfuneraire.com Manon Thibodeau, dir. serv. familles
Tél.: 819 565-7646 – Téléc.: 819 565-7844 www.coopfuneraire.com
Yvon LAMPRON
Au CSSS des Sources, Asbestos, le 19 février 2013, est décédé monsieur Yvon
Lampron, à l’âge de 68 ans, époux de Mme Micheline Marois, demeurant à
Asbestos.
La famille vous accueillera à la Résidence funéraire Fréchette, 560, 1ère Ave,
Asbestos, vendredi le 1er mars 2013 de 19h à 21h et le samedi 2 mars 2013, jour
de la Liturgie, ouverture à 12h (midi). La cérémonie d’adieu suivra à 14h au salon
funéraire. Les cendres seront déposées au cimetière d’Asbestos à une date
ultérieure.
Outre son épouse, M. Lampron laisse dans le deuil ses enfants : Brigitte (Jacinthe
Masse), Drummondville, Yannick, Asbestos. Sa petite-fille Félicia. Ses frères et
soeurs : Thérèse (Albert René), feu Benoit (Jocelyne Lachapelle), Jean-Guy
(Hélène Jacques), Diane , Marcel (Jacqueline Thibodeau), Marielle (Paul Légaré),
Ghyslaine (feu Réal Hélie), Lucien (Solange Tremblay), Réal (Louise Mailhot), Alain (Claudine Beaulieu). Il
était le frère de feu Lionel. Il était le beau-frère de : feu Lise (André Fredette, Louise Simard), feu André ,
Gérald (Lise Gagnon), feu Michel (Berthe Gagnon) Alain (Sylvie Lambert). Il laisse également plusieurs
autres parents et amis.
La famille désire remercier le personnel du CSSS des Sources pour les bons soins prodigués à M.
Lampron et Louis Hébert et Marcel Lampron pour leur accompagnement lors de ses traitements à Québec.
Les Résidences funéraires Fréchette Noël Fréchette,prés. thanatologue
560, 1re avenue C.P. 113
Asbestos (Québec) J1T 3M9
Tél.: 819 879-2233 - Téléc.: 819 879-6844
Sylvie Fréchette, dir. thanatopractrice
deces@funerairefrechette.com
Affilliée à la C.T.Q.
Jean-Claude LAVERTU (1939 - 2013)
Au CHUS Hôpital Fleurimont, le 14 février 2013, à l’âge de 73 ans, est
décédé M. Jean-Claude Lavertu, époux de Mme Monique Cliche,
demeurant à Lingwick et natif de Fontainebleau.
La famille accueillera parents et amis en l'église Ste-Marguerite de
Lingwick, le samedi 2 mars 2013 à compter de 9 h 30. Les funérailles au-
ront le jour même à 11 h, en l’église Ste-Marguerite de Lingwick. Les cen-
dres seront déposées ultérieurement au cimetière St-Janvier de Weedon.
Outre son épouse, M. Jean-Claude Lavertu laisse dans le deuil ses
enfants Sylvain (Jacinthe Richard), Sylvie; ses frères et soeurs, beaux-
frères et belles-soeurs Florence (feu Bruno Giguère), feu Eloïse (feu
Ernest Bergeron), feu Rose-Aimée (Jean-Paul Blouin), Léonnette, feu Aris (Jeannette Bégin),
Rhéo (Jeanne Daigle), feu Lucille (Armel Pelchat), Rosaire (feu Armande Beaudoin), Patricia
(feu Jean-Marc Lefebvre), Gisèle (Gilles Bernier), Françoise Cliche (Rock Desrochers),
Georges (Jocelyne Côté), Yves (Ann Kaven), Richard (Suzan Beaudoin).
Il laisse également plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines, parents et amis.
Complexe funéraire Jacques et fils Inc. Tél.: 819 583-0444
3800 du Québec-Central, Lac-Mégantic Téléc.: 819 583-0908
(Québec) G6B 2C5 Jean-Pierre Jacques, pdg.
www.jacquesetfils.com François P. Jacques, directeur
Monique (Maurice) MCKENZIE (1938 - 2013)
Entourée des siens, au CHUS Hôtel-Dieu, le 22 février 2013, à l’âge
de 74 ans, est décédée madame Monique Maurice McKenzie, fille de
feu Roméo Maurice et de feu Marie-Rose Champagne et épouse de
feu Raymond McKenzie, demeurant à Sherbrooke.
La famille vous accueillera à la Coopérative funéraire de l'Estrie (485, rue
du 24-Juin, Sherbrooke), le samedi 2 mars 2013 de 9 h à 11 h. Suivra à
11 h, une cérémonie d’adieu en la chapelle du même lieu.
Madame Maurice McKenzie laisse dans le deuil ses filles, Sylvie (André)
et Linda (Sylvain) ainsi que ses petits-enfants Nicolas, Karine, Samuel et
Claudia; son frère Denis Maurice (Ginette) et ses beaux-frères et belles-
soeurs de la famille McKenzie, Antoinette (Gabriel), Marie-Claire (Ronald),
Yvon (Margot), Bibianne (Jean-Louis) et feu Yolande. Elle laisse également dans le deuil
plusieurs neveux, nièces, autres parents et amis .
La famille tient à remercier tout le personnel des Résidences Soleil de la rue Frontenac ainsi
que celui des Soins Intensifs du CHUS Hôtel-Dieu, pour les très bons soins prodigués à
madame Maurice Mckenzie.
Coopérative funéraire de l’Estrie François Fouquet, directeur général
485, rue du 24-Juin, Sherbrooke, Qc Daniel Lapierre, directeur opérations
info@coopfuneraire.com Manon Thibodeau, dir. serv. familles
Tél.: 819 565-7646 – Téléc.: 819 565-7844 www.coopfuneraire.com
Rollande (Gilbert) MORIN (1923 - 2013)
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE
Au CHUS Hôtel-Dieu le 26 février 2013 à l’âge de 89 ans, est décédée Mme
Rollande Gilbert Morin, fille de feu Joseph Gilbert et de feu Marie-Louise
Perreault. Elle était l’épouse de feu Amable Morin, demeurant à Sherbrooke.
À la demande de Mme Gilbert Morin il n’y aura pas d’exposition. Le jour des
funérailles la famille sera présente à l'église en présence des cendres à
compter de 13h00 afin de recevoir les condoléances des parents et amis.
Funérailles le samedi 2 mars 2013 à 14h, en l'église Saint-François-d'Assise,
1145, rue des Quatre-Saisons, Sherbrooke. Et les cendres seront déposées
à une date ultérieure au cimetière St-Michel
Mme Gilbert Morin laisse dans le deuil ses enfants Jean-Roch Morin (Francine
Lessard), Nicole Morin (André Turcotte). Elle était aussi la mère de feu
Ghislain Morin (Sylvie Taillon). Ses petits-enfants : Stéphane et Michaël Morin, Julie, Josée et Nancy
Turcotte, Ghislain Jr, Nadia et Katie Morin. Ainsi que plusieurs arrière-petits-enfants. Elle laisse aussi
dans le deuil son frère Lawrence Gilbert ainsi que son épouse et ses enfants de même que toute sa
belle-famille Morin; ainsi que neveux, nièces, cousins, cousines et autres parents et amis.
La famille tient à remercier tout le personnel du CHUS Hôtel-Dieu pour les derniers bons soins
prodigués à Mme Gilbert Morin de même qu’à M. Charles Aimé Dubé pour tous les services et le
support rendus pendant plusieurs années à Mme Gilbert Morin.
Coopérative funéraire de l’Estrie François Fouquet, directeur général
485, rue du 24-Juin, Sherbrooke, Qc Daniel Lapierre, directeur opérations
info@coopfuneraire.com Manon Thibodeau, dir. serv. familles
Tél.: 819 565-7646 – Téléc.: 819 565-7844 www.coopfuneraire.com
23
 Gilles PAQUETTE (1935 - 2013)
Remerciements
À Drummondville, le 25 février 2013, est décédé à l’âge de 77 ans,
monsieur. Gilles Paquette, époux de Mme Denise Robillard, fils de feu
Omer Paquette et de feu Émilie Courchesne,demeurant à Drummondville. Mme CÉCILE
M. Paquette repose au Centre Funéraire Yves Houle, 130 rue Lindsay, HAINS « Tout finit afin que
Drummondville, le vendredi 1er mars de 14 h à 17 h et de 19 h à 22 h,
samedi dès 13 h. Les funérailles auront lieu le samedi 2 mars à 15 h en
MONGEAU tout recommence, tout
l’église Saint-Frédéric. Inhumation au cimetière Saint-Pierre. 8 mai 1927 – 30 janvier 2013 meurt afin que tout
vive. »
M. Paquette laisse dans le deuil son épouse Mme Denise Robillard, ses Nous avons été très touchés par vos témoignages de sympathies
enfants : Daniel, Line (Luc Desautels), Stéphane (Marie-France Fortier). et de soutien suite au décès de maman. Nous vous remercions
Ses petits-enfants : Judith Paquette (Martin Ouellet), Alexandre Paquette, de tout cœur pour votre présence réconfortante, vos offrandes de
Anne-Sophie Desautels, David Desautels, Laura F. Paquette, Logan F. Paquette. Ses arrière- messes ou de fleurs, dons, services rendus ou assistance aux - Jean Henri Fabre
petits-enfants : Remmy Ouellet, Loucy Ouellet. Ses frères et soeurs, ses beaux-frères et funérailles.
belles-soeurs, ses neveux, nièces ainsi que de nombreux autres parents et amis. Nous l'avons aimée tendrement. Elle nous a aimés sans limite.
S'il-vous-plaît, considérez ces remerciements comme personnels.
Des dons à la FONDATION RENÉ-VERRIER OU AUX SOINS PALLIATIFS DE L’HÔPITAL Ses filles, Jocelyne, Pierrette, Sylvie et Diane,
SAINTE-CROIX seraient appréciés. ses gendres, petits-fils et arrière-petits-enfants

Centre funéraire Yves Houle

Tél.: 819 478-0222
130, rue Lindsay
Télec.: 819 477-4289
Drummondville (Québec)
www.yveshoule.com 3153903

Le ministère de la Famille
Frieda (Hausermann) PFEUTI
Au CHUS Fleurimont, le 25 février 2013, est décédée Mme Frieda Pfeuti
Hausermann, à l'âge de 92 ans. Elle était l'épouse de feu Jean Pfeuti et

ferme l’Académie Zig Zag

demeurait à Coaticook.
La famille accueillera les parents et amis au salon funéraire Charron et fils, le ven-
dredi 1er mars de 9 h, jusqu'au départ du salon à 10 h 40. Les funérailles seront cé-
lébrées le vendredi 1er mars à 11 h, en l'église St-Jean l'Évangéliste, suivra l'inhu-
mation au cimetière St-Luc de Barnston.
YANICK POISSON s’aperçoit que Gloria Danella possède
Mme Pfeuti laisse dans le deuil ses fils Freddy (Claudine Hirter) et Roland ypoisson@latribune.qc.ca bel et bien un dossier criminel pour une
(Jocelyne Courvoisier); ses petits-enfants: John (Bianca Devost), Marlène (Yannic infraction commise à Sherbrooke, en
Godbout), Caroline (Marc-Étienne Pelletier), Guillaume et ses arrière-petits-enfants,
Keven, Mathilde, Isaac, Elliot et Damien; son frère Ernest Hausermann (Geneviève
VICTORIAVILLE – Le ministère de la janvier 1986, soit il y a plus de 26 ans.
Olivier) et ses belles-soeurs, Denise (Alfred Pfeuti) et Françoise (Walter Pfeuti). Elle Famille en a eu assez et a avisé les Elle a plaidé coupable et a été condam-
laisse également dans le deuil les familles Pfeuti, Hartmann, Utinger, Aegerter, parents de la quarantaine d’élèves qui née à une amende, mais n’aurait jamais
Pourron, ainsi que ses neveux et nièces, autres parents et amis. fréquentent l’Académie Zig Zag de la demandé son pardon.
Un merci particulier à Marie-Claude Morin pour son attention et son dévouement. Merci aussi à Chantal et rue Saint-Jean-Baptiste à Victoriaville
Émile Audet, pour leurs visites dominicales assidues ainsi qu'à Françoise et Jean-Nicolas Gremion pour leur qu’elle mettait la clé dans la porte Une décision épouvantable
grande amitié. pour les parents
La famille désire aussi remercier le personnel du département de dialyse du CHUS Fleurimont pour les bons jusqu’à nouvel ordre.
soins prodigués à Mme Pfeuti. Au cours des derniers mois, le gou- La députée d’Arthabaska, Sylvie Roy,
En guise de sympathie, des dons à la FONDATION DU CHUS, seraient appréciés.
vernement a envoyé plusieurs lettres à a travaillé d’arrache-pied afin d’évi-
la propriétaire des lieux, Gloria Danella, ter la fermeture de la garderie. Elle a
Résidence funéraire Charron et fils Inc. Stéphane Charron, président
228, rue Child Claude Charron, directeur
la sommant de se conformer aux exi- d’ailleurs rencontré la ministre de la
Coaticook (Québec) J1A 2B6 info@charronetfils.com gences qui lui permettraient d’obtenir Famille, Nicole Léger, pas plus tard
Tél.: 819 849-4141 Site Web: www.charronetfils.com officiellement le statut de garderie pri- que jeudi, lors d’une ultime tentative.
vée, mais sans succès. « Elle m’a dit qu’elle était sensible à
« Nous sommes toujours dans le pro- la situation, mais qu’elle ne pouvait pas
Paul-André THÉBERGE cessus de délivrance du permis, mais la se permettre qu’il arrive un accident
propriétaire ne s’est pas conformée aux dans une garderie considérée illégale »,
Au CHUS Hôtel-Dieu, le 11 février 2013, à l’âge de 74 ans, est décédé exigences. Nous devions d’abord faire a-t-elle dit.
monsieur Paul-André Théberge, époux de Pauline Simard et fils de feu Paul- évacuer les lieux le 9 janvier, mais nous Si elle est consternée par la décision
Émile Théberge et de Alice Jacques, demeurant à Cookshire.
avons convenu en un sursis. Plus d’un du ministère de fermer un établisse-
La famille vous accueillera à la Résidence funéraire Cass, 50, rue Craig Sud, mois plus tard, Zig Zag ne répond tou- ment privilégiant l’enseignement de
Cookshire, le vendredi 1er mars 2013 de 14h à 16h et de 19h à 21h, ainsi que jours pas aux exigences », a indiqué la l’anglais qui est en fonction depuis
le jour des funérailles de 10h jusqu’au départ du salon à 10h45. Funérailles, porte-parole du ministère, Nadia Caron. plus de 20 ans, la politicienne a surtout
le samedi 2 mars 2013 en l’église St-Camille de Cookshire à 11h. Inhumation Bien que le dossier précis de l’éta- eu une pensée pour les parents des
au cimetière St-Camille de Cookshire à une date ultérieure. blissement victoriavillois soit considéré enfants concernés. Plusieurs d’entre
comme confidentiel, Mme Caron a pré- eux ne sont pas près de trouver une
M. Théberge laisse dans le deuil outre son épouse, sa fille Isabelle (Steven cisé qu’il n’y a pas que la conformité nouvelle garderie.
Loubier et ses enfants Stéphanie et Jonathan); sa petite-fille adorée Kristina; des lieux qui pouvaient poser problème « Ils ont été référés à La Marelle,
ses frères et soeurs : Jacques (Solange Lagacé), Éliette, Francine (Denis
Masson), Denis (Christiane Plante), Suzanne (Denis Chevalier) et Michel (Diane McGriskin). Ses
lors des démarches visant à accréditer mais elle n’a que cinq places. C’est
beaux-frères et belles-soeurs : Roland (Françoise Côté), Jean Louis (Doris St-Laurent), Marie-Claire, une nouvelle garderie. Le ministère doit irresponsable de la part du minis-
François (Jeannette Chabot), Simon (Carmen Côté) et Marie-Paule (Paul Lauzière). Il était le beau- effectivement s’assurer qu’il y a un nom- tère et ça pourrait représenter des
fils de feu Hormidas Simard et de feu Rose-Eva Jacques. Il laisse également de nombreux neveux bre adéquat d’éducateurs par enfant et pertes d’emploi. Ce ne sont pas tous
et nièces, autres parents et amis. que rien ne laisse douter de la sécurité les parents qui ont une grand-mère
En guise de sympathie, des dons à la FABRIQUE ST-CAMILLE DE COOKSHIRE, 170, rue des enfants. Les administrateurs et les ou une voisine qui peut garder ou des
Principale Est, Cookshire, J0B 1M0 seraient grandement appréciés de la famille. employés doivent également montrer employeurs compréhensifs », a fulminé
Résidence funéraire Cass Tél.: 819 564-1750
patte blanche. Mme Roy.
50, rue Craig Condoléances à : « Ils doivent nous faire parvenir une La députée de la Coalition avenir
Cookshire (Québec) J0B 1M0 www.salonscass.ca absence d’empêchement pour l’ensem- Québec entend consacrer ses prochai-
ble du personnel. Le document peut- nes journées à trouver une solution
être obtenu au poste de police, il suffit de rechange pour ces parents pris au
de le demander. Si un individu n’a rien dépourvu. Pour ce qui est de Gloria
Donat THÉRIAULT (1925 - 2013) à cacher et ne possède pas de dossier Danella, elle a affirmé avoir mis le
2013
février2013

À Laval, le 25 février 2013, à l’âge de 88 ans, est décédé monsieur criminel, il l’obtiendra rapidement », dossier dans les mains de ses avocats
Donat Thériault, fils de feu Omer Thériault et de feu Emma Bourgault, a-t-elle signifié. et espère trouver une porte de sortie
demeurant à Laval et anciennement de Bromptonville.
28février

Or, à la consultation du plumitif, on légale.

La famille vous accueillera à la Coopérative funéraire de l'Estrie (72, rue Curé-
Larocque, Sherbrooke), le vendredi 1er mars 2013 de 14 h à 16 h et de 19 h
Patrick Laroche sera évalué jusqu’au 15 mars
jeudi28

à 21 h 30 et le samedi 2 mars 2013 de 9 h à 11 h. Funérailles le samedi 2 mars

2013 à 11 h, en l'église Sainte-Praxède de Bromptonville, 35, rue du Curé-
Sherbrooke jeudi

Larocque, Sherbrooke. YANICK POISSON incarcération, ainsi que lors de son pas-
Monsieur Thériault laisse dans le deuil ses enfants, Monique (Firmin Ouellet), ypoisson@latribune.qc.ca sage initial devant la juge Dominique
TRIBUNE -- Sherbrooke

Louise, Yves (Martine Coulombe); ses petits-enfants ainsi que ses arrière- Slater, l’homme de 38 ans a tenu des
petits-enfants; sa soeur Yvonne (feu Gérard Beaudry). Il était aussi le frère de VICTORIAVILLE — Le psychiatre res- propos plutôt incohérents faisant notam-
feu Edgar, feu Irène (feu Thomas Lacourse) et feu Roland (Monique Bruneau); ponsable de l’évaluation psychiatrique ment référence à des divinités. C’est ce
la famille Turgeon Grenier ainsi que plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines, autres parents et de Patrick Laroche n’ayant pas été en qui a mis la puce à l’oreille du procureur
amis.
La famille désire remercier le personnel de La Maison des soins palliatifs de Laval, pour les soins ex-
mesure de terminer son travail à temps, de la Couronne Me Maxime Laroche.
les partis ont convenu de se rencontrer Patrick Laroche est accusé de mena-
LA TRIBUNE

ceptionnels apportés à monsieur Thériault, ainsi que pour le soutien et le réconfort à la famille.
à nouveau le 15 mars prochain afin de ces de morts, de méfaits, d’entrave au
En guise de sympathie, des dons à LA MAISON DES SOINS PALLIATIFS, 655, avenue statuer sur la responsabilité criminelle travail des policiers, de voies de fait sur
Bellevue, Laval (Québec) H7C 0A8, seraient grandement appréciés de la famille. de l’homme qui s’est barricadé pen- un policier, ainsi que de possession d’une
Coop. funéraire de l’Estrie (Bromptonville) François Fouquet, directeur général dant près de 15 heures, le 19 décembre, arme en vue de la commission d’un acte
LA

72, rue du Curé-Larocque, Sherbrooke, Qc Daniel Lapierre, directeur opérations dans un appartement de la rue Prince à criminel. Son refus d’obtempérer avait
info@coopfuneraire.com Manon Thibodeau, dir. serv. familles Victoriaville. nécessité l’intervention de l’Escouade
Tél. 819 565-7646 – Téléc.: 819 348-3777 www.coopfuneraire.com
24

Rappelons qu’au moment de son tactique de la Sûreté du Québec.

24
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RÉSIDENCES POUR AÎNÉS
Québec resserre
les normes
TOMMY CHOUINARD
QUÉBEC — Après presque deux
ans de débats, Québec resserre
les normes de qualité et de sécu-
rité dans les résidences privées
pour personnes âgées.
Le ministre de la Santé et des
Services sociaux, Réjean Hébert,
a dévoilé hier un nouveau règle-
ment sur la certification de ces
2000 résidences, qui accueillent
113 000 aînés. Le Regroupement
québécois des résidences pour
aînés (RQRA) le juge inapplica-
ble et accuse le gouvernement
d’acculer plusieurs de ses mem-
bres à la faillite.
« Je préfère que les résidences
ferment que de laisser des per-
sonnes âgées dans des milieux
qui ne correspondent pas à nos
normes », a répliqué M. Hébert
en conférence de presse.
Le règlement définit deux
catégories de résidences —
pour personnes autonomes et
semi-autonomes — et précise les
normes qui s’y appliquent. Il fixe
le nombre minimal d’employés
devant être présents en tout
temps d’un à trois, selon la caté-
gorie et la taille de la résidence.
Il introduit pour les préposés
deux formations obligatoires,
qui totalisent 66 ou 210 heures
selon qu’ils travaillent dans
une résidence pour personnes
autonomes ou pour personnes
semi-autonomes. « Il n’y en a
pas encore assez à mon goût,
je peux vous le dire, mais c’est
une première étape, a dit Réjean
Hébert. On ira bonifier cette
formation-là au fil du temps. »
Québec alloue 15,3 millions de
dollars en trois ans pour finan-
cer cette formation.
De plus, les résidences
devront vérifier les antécédents
judiciaires de leurs employés,
mettre en place un système
d’appel à l’aide et tenir un regis-
tre des incidents et des acci-
dents. Elles devront conclure
une entente avec un centre de
santé et de services sociaux
pour définir les soins à donner
aux résidants.
La signature d’un bail sera
désormais obligatoire; les
résidences devront maintenir
les services et les prix prévus
jusqu’à la fin de celui-ci. « On
veut éviter la surfacturation »,
a souligné Réjean Hébert.
Le règlement entrera en
vigueur le 13 mars, mais le
ministre accorde un délai aux
résidences pour se conformer à
certaines normes.
Malgré ces accommode-
ments, le RQRA est « extrê-
mement déçu » du nouveau
règlement. « L’objectif est
louable, mais en pratique, c’est
inapplicable », a tonné son pré-
sident, Yves Desjardins. Selon
lui, « l’imposition de nouvelles
règles va avoir un impact sur
les loyers ».
Réjean Hébert ne croit pas à
une hausse des prix. « Les lois
du marché vont s’appliquer. Il y
a plus d’offre que de demande.
Alors ça va limiter l’appétit des
propriétaires des résidences »,
a-t-il soutenu. (La Presse)
COMMISSION CHARBONNEAU
Marcil, « imbécile et incompétent » ?
PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN
MONTRÉAL — « Êtes-vous en
train de nous dire que vous êtes
imbécile et incompétent? » La
juge France Charbonneau a
durement interrogé l’ex-direc-
teur des travaux publics de
Montréal, Robert Marcil, au
sujet de sa grande proximité
avec les acteurs clés du système
de collusion. Rejetant toute mal-
versation, l’ancien haut fonc-
tionnaire a fini par admettre du
bout des lèvres qu’il avait violé
son code de déontologie.
Le témoignage de l’ingénieur
s’est conclu, comme lors des
deux journées précédentes,
avec de sérieux doutes soule-
vés relativement à sa crédibilité
et à sa probité. La commission
Charbonneau a notamment
tenté, sans succès, de faire
admettre au témoin qu’il tru-
quait les comités de sélection
responsables d’attribuer les
contrats aux firmes de génie.
En croisant le registre des
appels de Marcil et les dates
de réunion de ces comités, le
commissaire Renaud Lachance
a relevé que Bernard Trépanier,
RÉFORME DE L’ASSURANCE-EMPLOI
La ministre Maltais
rentre bredouille
LA PRESSE CANADIENNE
OTTAWA — La ministre qué-
bécoise de l’Emploi, Agnès
Maltais, a beau rentrer à l’As-
semblée nationale bredouille
pour ses demandes sur l’as-
surance-emploi, elle promet
une chose à son homologue
fédérale: « On n’a pas fini la
bataille ».
Sa rencontre avec Diane
Finley n’a duré que 20 minu-
tes hier, mais cela aura été suf-
fisant pour que Mme Maltais
déplore le « manque d’ouver-
ture » de son interlocutrice.
« Le Québec au complet dit
qu’il y a un problème avec cette
réforme et elle nous dit que
nous n’avons pas compris la
réforme. Je pense que j’étais
en droit de m’attendre à mieux
aujourd’hui », s’est désolée
Mme Maltais.
La ministre québécoise avait
fait le trajet malgré la tempête
de neige qui s’abattait sur
la région pour demander à
Mme Finley de suspendre sa
réforme de l’assurance-emploi
et de lui fournir les études réa-
lisées pour sa confection. Dans
les deux cas, elle a dû essuyer
un refus.
« Aucun doute maintenant
pour moi: il n’y a eu aucune
étude d’impact avant de faire
cette réforme », a tranché
Mme Maltais.
À ses yeux, la ministre fédé-
rale des Ressources humai-
nes n’a d’ailleurs aucune
[ NATIONAL ] 25
présenté par plusieurs témoins poste qu’il aurait toutefois conti- Visiblement irritée par le
comme le responsable de la col- nué à occuper officieusement, témoin, la juge a fini par mettre
lusion, a contacté Robert Marcil selon plusieurs témoins. fin abruptement à son témoi-
après 12 de ces 16 rencontres. Ces explications ont pro- gnage. « Je crois qu’il est temps
Versé en mathématiques, fondément irrité la juge, qui a de passer à un autre témoin. On
l’ancien vérificateur général demandé à Robert Marcil s’il laissera l’Ordre des ingénieurs
a refusé d’y voir une simple était « imbécile et incompé- s’occuper de lui », a-t-elle lancé
« coïncidence », comme l’affir- tent ». L’ex-cadre municipal a en faisant un signe du revers
mait l’ex-cadre. rétorqué qu’il n’était pas parfait, de la main.
Le commissaire a souligné ce qu’a confirmé la présidente En fin d’après-midi, l’Ordre
qu’un tel hasard était statisti- de la Commission. des ingénieurs du Québec (OIQ)
quement impossible, puisque Jusqu’à la dernière minute n’a pas voulu confirmer qu’une
les deux hommes se parlaient de l’interrogatoire, Me Gallant enquête concernant Robert
seulement une fois tous les a tenté de faire admettre au Marcil avait été ouverte. L’OIQ
10 jours, en moyenne. La thèse témoin qu’il avait collaboré précise toutefois qu’il a ouvert
du hasard est d’autant plus au système de collusion. Mais 50 enquêtes concernant des
invraisemblable que les appels jusqu’à la dernière minute, personnes nommées devant la
de Trépanier avaient lieu sys- Marcil a nié fermement. Commision. (La Presse)
tématiquement de deux à trois
heures après les rencontres.
Robert Marcil a affirmé qu’il
ne se souvenait pas avec préci-
sion de ces conversations, mais
il a admis qu’il était « possible »
qu’il ait été questionné sur les
décisions des comités. Il a ajouté
ne pas « avoir allumé » sur le
fait qu’un tel sujet était délicat
à aborder avec une personne
qui ne travaille pas à la Ville.
Bernard Trépanier a été respon-
sable du financement d’Union
Montréal jusqu’en juin 2006, un
compréhension de la réalité SÉBASTIEN
des travailleurs du Québec.
« Ce qui m’a terriblement ET JESSIKA
inquiétée, c’est qu’elle a été
très claire: elle analysera les
conséquences de la réforme,
LE MATIN
et ensuite, elle pourrait bou-
ger. Comprenez bien, donc, 6 h avec
elle attendra que le Québec ou
d’autres régions aient des pro-
Sébastien, Jessika et Joanie
blèmes qui soient assez sérieux
pour être évidents, et ensuite,
ils réfléchiront à modifier les
choses. Ça n’a pas de sens. »
M me M a lt a i s prome t
d’ailleurs de surveiller l’impact
financier et les conséquences
sur le développement régional
de cette réforme afin d’assurer
un suivi.
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE
« Ça ne se terminera pas là,
ce n’est pas vrai. »
La lecture du gouvernement
fédéral de la rencontre entre
les deux politiciennes est loin
d’être similaire. Mme Finley ne
s’est pas présentée devant les
journalistes pour faire valoir
son point de vue, mais elle a
plutôt délégué le ministre des RYTHME
Anciens Combattants Steven
Blaney pour le faire.
Pas question de reculer
AU TRAVAIL
sur le dossier toutefois. « La
ministre Finley s’est engagée à 8h30 avec Isabelle David
suivre minutieusement l’implé-
mentation de la réforme », a-t-il
assuré.
Contrairement à Mme Maltais,
M. Blaney a prétendu que des
études avaient été faites pour
en venir à ces changements du
programme.
25
 26 [ SPORTS ] .....................................................................................................................................................................
Qui pourra vaincre les Thunderbirds ?
Le championnat canadien de volleyball universitaire s’ouvre aujourd’hui à l’UdeS
ALAIN GOUPIL
alain.goupil@latribune.qc.ca
SHERBROOKE — Tout le gratin
du volleyball féminin univer-
sitaire canadien est arrivé à
Sherbrooke hier afin de pren-
dre part au 44e championnat
de Sport interuniversitaire
canadien (SIC), qui se déroule
jusqu’à samedi à l’Université
de Sherbrooke.
Et à quelques heures du pre-
mier service, la grande question
est de savoir qui réussira à délo-
ger la toute puissante machine
des Thunderbirds de l’Univer-
sité de la Colombie-Britannique
(UBC)?
Les T-Birds seront en quête
d’un sixième titre consécutif à
Sherbrooke, elles qui détiennent
déjà le record quant au nom-
bre de bannières remportées
en championnat national avec
LE SPORT
SHERBROOKOIS,
NDLR - Il reste moins d’un an avant la présentation des Jeux du Canada à Sherbrooke, au mois d’août
2013. En route vers les Jeux, nous vous présentons un retour sur le passé sportif de Sherbrooke
dans une série de capsules historiques préparées par la Société d’histoire de Sherbrooke.
GLISSADES
DANS
LES RUES
L’activité par excellence des
grands comme des tout-petits
est sans contredit, la glis-
sade. Cette activité hivernale
est bien populaire au cours
du 19 e siècle, tout comme
aujourd’hui. Mais à l’épo-
que on doit jouer selon nos
moyens ! En effet, durant ces
années les familles modes-
tes ne peuvent se permettre
de faire l’achat de matériel
couteux que nécessite la
pratique du patin, du ski ou
encore de la raquette. À l’aide
de quelques bouts de bois et
de métaux, les enfants peu-
vent se construire des luges
et prendre d’assaut les éten-
dues enneigées de la région.
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
En raison du territoire
propice de la ville au sport
de glisse, les enfants s’élan-
cent dans les rues de la cité,
causant de malheureux acci-
dents. Les autorités amé-
nagent donc des glissoires
dans les différents parcs.
Cependant en 1942, devant
l’impossibilité d’empêcher
les enfants de Sherbrooke de
glisser dans les rues, l’Asso-
ciation athlétique de la police
de Sherbrooke met sur pieds
des journées de glisse. Pour
l’occasion, les autorités
COORDINATION, KARINE SAVARY
26
neuf.
Et le moins rassurant,
c’est que les T-Birds ont pra-
tiquement tout balayé sur
leur passage cette saison en
n’échappant que sept manches
en 22 rencontres. Et comme à
leurs cinq dernières conquêtes,
l’équipe est composée d’une
attaque hors du commun avec
Shanice Marcelle, joueuse par
excellence au pays, et Lisa
Barclay, membre de la première
équipe d’étoiles.
Mais le fait que les T-Birds
aient passé la plus grande
partie de la saison au sommet
du Top 10 canadien n’est pas
nécessairement un gage de
championnat, assure Denis
Fontaine, l’entraîneur-chef du
Vert & Or de l’Université de
Sherbrooke, dont l’équipe est
classée 6e au pays en vue de ce
tournoi.
D’HIER À AUJOURD’HUI
FONDS ANDRÉE DÉSILETS, LA SOCIÉTÉ D’HISTOIRE DE SHERBROOKE
Jeune fille posant fièrement avec sa traine sauvage dans les
années 1920.
policières ferment, de 14 h
à 17 h, quelques rues dans
les différents quartiers de la
ville, dont la rue Larocque,
Aberdeen et la 2e Avenue.
« Je ne suis pas prêt à appo-
ser le titre d’équipe à battre à
aucune des équipes présen-
tes dans le tournoi, précise
Fontaine. C’est vrai que le
parcours des Thunderbirds au
cours des cinq dernières années
nous permet de dire que c’est
une excellente équipe. Mais
l’expérience nous enseigne
aussi que le volleyball, ça se
joue entre les quatre lignes. Et
je suis convaincu qu’une fois sur
le terrain, on peut les regarder
directement dans les yeux et
dire : ok, allons-y! »
Le Vert & Or disputera son
premier match à 20 h ce soir face
aux Gee-Gees d’Ottawa.
Malgré une élimination expé-
ditive aux mains des Carabins de
l’Université de Montréal en finale
du RSÉQ, l’équipe sherbrookoise
estime n’avoir aucun complexe
face aux autres équipes.
Ainsi, les enfants peuvent
s’adonner à l’une de leurs
activités favorites, sous l’heu-
reuse vigilance de la police
de Sherbrooke.
Le Vert & Or féminin de l’Université de Sherbrooke croisera le fer
avec les Gee-Gees de l’Université d’Ottawa à 20 h ce soir dans le
cadre du championnat canadien de volleyball universitaire. L’entraî-
neur des Gee-Gees Lionel Woods et la centre Kathryn Weihrer ont
pu échanger quelques mots hier avec la capitaine du Vert & Or Sté-
phanie Beauregard et le pilote sherbrookois Denis Fontaine.
« C’est vrai que notre défaite
contre les Carabins a fait mal,
dit l’attaquante Fanny Beaudin.
Mais notre véritable objectif a
toujours été de remporter le
championnat national. C’aurait
été agréable de remporter
le championnat provincial,
mais ças n’aurait rien donné
si en bout de ligne on échoue
au championnat canadien »,
juge l’ancienne porte-couleurs
des Volontaires du Cégep de
Sherbrooke qui en est à sa qua-
trième année avec le Vert & Or.
En tout, huit équipes ten-
teront de mettre la main sur
le titre national. Outre les
Thunderbirds, l’Ouest cana-
dien sera représenté par deux
autres équipes : les Spartans
de Trinity Western University,
EN BREF
Lors du banquet annuel tenu
hier soir à l’hôtel Delta, deux
joueuses du Vert & Or ont été
honorées : l’attaquante Raissa
Nasser a été élue recrue de
l’année au pays, tandis que la
joueuse de centre Roxanne
Hasseni a été sélectionnée
au sein de la première équipe
d’étoiles... Au volleyball mascu-
lin, Daniel Moreau a été choisi
au sein de l’équipe étoile des
recrues...
/////
Annie Martin a accepté la
présidence d’honneur du cham-
pionnat. Pour y avoir participé
IMACOM, CLAUDE POULIN
de Langley en Colombie-
Britannique (4e) et les Pandas de
l’Université d’Alberta (7e). Trois
équipes représentent le RSÉQ :
les Carabins de l’Université de
Montréal (2e), le Vert & Or de
l’Université de Sherbrooke (6e)
et le Rouge et Or de l’Université
Laval (8e). Enfin, les Gee-Gees
d’Ottawa (3e) représentent l’On-
tario et les Tigers de l’Université
Dalhousie en Nouvelle-Écosse
(5e) défendent l’honneur des
provinces de l’Atlantique.
Le championnat se met en
branle cet après-midi avec
les matchs quarts de fi nale.
Dalhousie affronte Trinity
Western à 13 h; Laval contre
UBC à 15 h; Alberta c. Montréal
à 18 h et le Vert & Or contre
Ottawa à 20 h.
à quatre reprises avec le Vert &
Or (dont deux titres), elle croit
que les équipes ressortent
meilleures d’une telle compé-
tition. « Comme le Canada est
un grand pays, on n’a pas sou-
vent la chance d’affronter les
meilleures équipes. Or, c’est en
jouant contre les meilleurs qu’on
s’améliore », souligne-t-elle...
La dernière équipe québé-
coise à avoir mis la main sur le
titre national est le Rouge et Or
de l’Université Laval. C’était en
2005-2006. Depuis ce temps,
Canada Ouest règne sans par-
tage sur le volleyball féminin
canadien grâce à l’Université
de l’Alberta (un titre) et l’Univer-
sité de la Colombie-Britannique
(cinq titres)...
/////
Des passeports au coût de
40 $ et 20 $ sont en vente via
internet auprès du Service du
sport et de l’activité physique
de l’Université de Sherbrooke.
Des billets journaliers au coût
de 15 $ pour les adultes et 8 $
pour les étudiants sont égale-
ment disponibles à la billetterie
du pavillon Univestrie. L’entrée
est gratuite pour les 12 ans et
moins...
............................................................................................................................................................ Statistiques [ SPORTS ] 27
HOCKEY Les Gaiters en finale!
LNH LHJMQ
ASSOCIATION DE L’EST SECTION MARITIMES TELUS
MJ G P DP DF BP BC Pts Dom. Étr. 10 Dern. Série MJ G P DP DF BP BC PTS
m-Montréal 20 13 4 1 2 58 43 29 8-3-1-0 5-1-0-2 7-1-1-1 G-1 Halifax 59 50 6 2 1 306 153 103
m-Pittsburgh 20 13 7 0 0 69 54 26 5-4-0-0 8-3-0-0 6-4-0-0 P-1 Moncton 59 38 20 1 0 248 178 77
m-Caroline 18 9 8 1 0 50 54 19 3-4-0-0 6-4-1-0 5-4-1-0 P-1 I.-P.-É. 60 35 22 3 0 225 205 73
Boston 16 12 2 1 1 49 35 26 4-1-0-1 8-1-1-0 7-2-0-1 G-4
A.-Bathurst 60 23 31 5 1 202 244 52
Ottawa 20 12 6 1 1 48 37 26 9-1-1-1 3-5-0-0 6-3-1-0 G-5
St-Jean 60 22 37 1 0 156 239 45
New Jersey 19 10 5 2 2 48 49 24 6-2-1-1 4-3-1-1 5-4-0-1 P-2
Cap-Breton 61 12 41 3 5 141 274 32
Toronto 21 12 9 0 0 59 51 24 4-5-0-0 8-4-0-0 6-4-0-0 P-1
Philadelphie 22 10 11 0 1 64 67 21 6-3-0-1 4-8-0-0 5-5-0-0 G-1 SECTION EST TELUS
MJ G P DP DF BP BC PTS
Tampa Bay 19 9 9 0 1 70 60 19 6-4-0-1 3-5-0-0 3-6-0-1 P-2 Rimouski 61 38 14 3 6 237 193 85
Winnipeg 19 9 9 0 1 52 60 19 3-5-0-0 6-4-0-1 5-5-0-0 G-2 B.-Com. 60 39 16 2 3 242 172 83
N.Y. Rangers 18 8 8 0 2 44 48 18 6-4-0-1 2-4-0-1 4-4-0-2 P-4 Québec 60 36 20 2 2 216 180 76
N.Y. Islanders 20 8 11 1 0 57 68 17 2-8-0-0 6-3-1-0 4-6-0-0 P-2 Victoriaville 59 27 24 3 5 204 195 62
Floride 19 6 9 4 0 48 69 16 3-4-3-0 3-5-1-0 3-4-3-0 G-1 Chi. 61 26 28 2 5 173 207 59
Washington 19 7 11 1 0 52 59 15 5-5-0-0 2-6-1-0 5-5-0-0 P-1 Shawinigan 61 14 40 5 2 136 249 35
Buffalo 20 7 12 1 0 50 64 15 3-6-1-0 4-6-0-0 4-6-0-0 G-1 SECTION OUEST TELUS
MJ G P DP DF BP BC PTS
ASSOCIATION DE L’OUEST B.-B. 59 35 16 2 6 243 159 78
MJ G P DP DF BP BC Pts Dom. Étr. 10 Dern. Série
R.-N. 60 34 22 1 3 246 227 72
m-Chicago 19 16 0 0 3 61 37 35 8-0-0-1 8-0-0-2 9-0-0-1 G-6
Val-d’Or 61 34 24 0 3 249 221 71
m-Anaheim 17 13 3 0 1 59 47 27 6-1-0-0 7-2-0-1 8-2-0-0 P-1
m-Vancouver 19 10 5 0 4 54 52 24 5-3-0-2 5-2-0-2 5-3-0-2 P-2 Drum. 59 32 23 2 2 190 204 68
Nashville 20 9 6 1 4 44 47 23 5-2-0-3 4-4-1-1 4-4-1-1 G-1 Gatineau 60 27 30 1 2 199 229 57
St. Louis 18 10 6 1 1 55 52 22 4-4-0-1 6-2-1-0 4-4-1-1 G-1 Sherbrooke 60 18 35 2 5 160 244 43
Dallas 20 10 8 2 0 56 57 22 4-3-1-0 6-5-1-0 6-3-1-0 G-1 Mercredi 27 février
San Jose 18 9 6 1 2 44 41 21 6-1-0-2 3-5-1-0 2-6-1-1 G-1 Cap-Breton 2 Saint-Jean 4
Detroit 19 9 7 3 0 57 54 21 7-4-1-0 2-3-2-0 5-3-2-0 G-2 Sherbrooke 2 Rimouski 1 (P)
Halifax 4 Shawinigan 2
Phoenix 19 9 7 1 2 54 51 21 6-3-1-0 3-4-0-2 6-3-0-1 G-1 I.-P.-É. 3 Gatineau 2
Los Angeles 17 9 6 1 1 45 41 20 4-1-0-1 5-5-1-0 7-3-0-0 G-4 Jeudi 28 février
Minnesota 18 9 7 1 1 39 43 20 7-2-0-1 2-5-1-0 5-4-0-1 G-1 Victoriaville à A.-Bathurst, 18h30.
Calgary 18 7 7 1 3 49 61 18 4-5-0-2 3-2-1-1 4-4-1-1 P-1 B.-Com. à B.-B., 19h. IMACOM, JOCELYN RIENDEAU
Edmonton 18 7 7 3 1 42 49 18 4-4-2-0 3-3-1-1 3-4-3-0 P-1 Chicoutimi à Drummondville, 19h.
Colorado 18 7 8 2 1 44 54 17 5-2-1-0 2-6-1-1 3-4-2-1 P-3 Vendredi 1er mars Dans une ambiance digne des séries, les Gaiters de l’Université Bishop’s
Columbus 20 5 12 2 1 44 61 13 3-4-2-1 2-8-0-0 2-6-2-0 P-3 Victoriaville à Saint-Jean, 18h30. ont eu raison des Stingers de Concordia 70-63, hier soir, lors de la demi-
Drummondville à Québec, 19h.
NOTE: m - meneur de section. Moncton à Rimouski, 19h.
finale de basket-ball du RSÉQ présentée devant plus de 550 spectateurs
B.-B. à Sherbrooke, 19h. au Centre sportif John H. Price. Mike Andrews (9), élu joueur par excel-
Calendrier RENDEMENT LAH I.-P.-É. à Val-d’Or, 19h30.
B.-Com. à Gatineau, 19h30.
lence de la dernière saison, a une fois de plus mené l’attaque des Gaiters
avec 14 points tout comme la recrue Jonathan Bermillo. En finale, les
Mardi 26 février
(matches en fin de soirée) DU CANADIEN ASSOCIATION DE L’EST Halifax à R.-N., 19h30.
Phoenix 4 Vancouver 2 NOTE: en date du 27 février. SECTION ATLANTIQUE Chicoutimi à Shawinigan, 19h30. Gaiters (10-6) se mesureront aux Redmen de McGill (11-5), samedi, dans
B A PTS MJ G P DP DF BP BC PTS la métropole. Pour lire le compte rendu du match, rendez-vous sur latri-
Colorado 2 San Jose 3 (F)
Mercredi 27 février
Max Pacioretty 6 10 16 Portland 53 32 19 1 1 158 153 66 CLASSEMENT
Washington 1 Philadelphie 4 Michael Ryder 6 8 14 Providence 53 31 18 0 4 148 141 66 DES MARQUEURS bune.ca/sports.
Tomas Plekanec 8 5 13 Worcester 52 25 21 1 5 132 147 56
Montréal 5 Toronto 2 Raphaël Diaz 1 12 13 NOTE: en date du 27 février.
Manchester 54 24 24 3 3 154 148 54
Detroit 1Los Angeles 0 (3e)
Nashville 1 Anaheim 5 (3e)
Jeudi 28 février
Andreï Markov
David Desharnais
5 7
4 8
12
12
St. John’s 56 23 30 1 2 135 172 49
SECTION NORD-EST
Drouin, Halifax
MJ B A Pts
43 37 57 94
Trainor, Rimouski 61 42 51 93
SOMMAIRES BASKETBALL
Tampa Bay à N.Y. Rangers, 19h.
Toronto à N.Y. Islanders, 19h.
Alex Galchenyuk
René Bourque
3 9
5 5
12
10
MJ G P DP DF BP BC PTS
Springfield 51 30 14 4 3 164 125 67
Duffy, I.-P.-É.
Currie, I.-P.-É.
60 32 61 93
60 43 49 92 LNH LHJMQ NBA
Pittsburgh en Caroline, 19h.
B. Gallagher 6 3 9 Connecticut 55 25 23 5 2 155 167 57 Jaskin, Moncton 46 42 47 89
Mercredi 27 février Sherbrooke 2 ASSOCIATION DE L’EST
Brian Gionta 4 5 9 Montréal 5
Ottawa à Boston, 19h. P.K. Subban 3 6 9
Albany 51 22 19 1 9 138 148 54 Zlobin, Val-d’Or 55 28 58 86 Rimouski 1 (P) SECTION ATLANTIQUE
Buffalo en Floride, 19h30. Lars Eller 2 7 9
Bridgeport 52 22 23 3 4 155 174 51
Adirondack 51 21 27 2 1 121 146 45
Lavoie, Rimouski 56 32 53 85 Toronto 2 Première période G P Moy. Diff.
New Jersey à Winnipeg, 20h. O’Brien, A.-Bathurst 58 42 41 83 Première période Aucun but. New York 33 20 ,623 -1½
Brandon Prust 2 3 5
Chicago à St. Louis, 20h. Travis Moen 2 2 4 SECTION EST Andrighetto, R.-N. 45 29 54 83 1. Toronto, McLaren 2 (Brown, Pénalité(s) — Comtois Brooklyn 34 24 ,586 —
Edmonton à Dallas, 20h30. Alexeï Emelin 1 3 4 MJ G P DP DF BP BC PTS Mantha, Val-d’Or 60 45 37 82 McClement) 13:44 Sherbrooke 14:31, Comtois Boston 30 27 ,526 3½
Minnesota à Phoenix, 21h. Josh Gorges 1 3 4 Syracuse 54 34 14 2 4 190 142 74 2. Montréal, Emelin 1 (Arm- Sherbrooke (maj.) 14:31, Philadelphie 22 33 ,400 10½
Calgary au Colorado, 21h.
Detroit à San Jose, 22h30.
Francis Bouillon
Colby Armstrong
0 4
1 2
4
3
Binghamton 53 31 17 1 4 160 136 67
Scranton 55 29 23 2 1 128 125 61 LHSCE strong, Moen) 16:56
Pénalité(s) — Brown Tor (inc.)
Deluca Rimouski 14:31, Deluca
Rimouski (maj.) 14:31, Deluca
Toronto 23 35
SECTION SUD-EST
,397 11
Hershey 54 25 21 3 5 140 134 58 PJ V D DP PP PC Pts
Vendredi 1er mars Ryan White 1 0 1 19:22, Brown Tor (maj.) 19:22. Rimouski 14:31, Kamaev Sher- G P Moy. Diff.
Norfolk 53 24 25 3 1 125 149 52 Sherbrooke .. 24 15 7 2 134 106 33
Edmonton à St. Louis, 20h. Thomas Kaberle 0 1 1 Deuxième période brooke 16:01. Miami 41 14 ,745 —
Marieville ..... 24 14 8 0 140 126 32
Columbus à Chicago, 20h30. Yannick Weber 0 0 0 ASSOCIATION DE L’OUEST Coaticook .... 24 15 9 0 133 108 30 3. Montréal, Pacioretty 5 (Sub- Deuxième période Atlanta 33 23 ,589 8½
ban, Markov) 4:17 (an) 1. Rimouski, Trainor 42 (Lavoie,
Minnesota à Anaheim, 22h.
Samedi 2 mars
GARDIENS SECTION NORD St-Cyrille ...... 24 10 14 0 143 131 20
4. Toronto, Macarthur 5 (Kadri, Gagné) 9:46 (an)
Washington 18 38 ,321 23½
G P DPF Min. Ba JB Moy. MJ G P DP DF BP BC PTS Waterloo ...... 24 8 15 1 114 155 17 Orlando 16 42 ,276 26½
Ottawa à Philadelphie, 12h. Price 11 3 2 977 31 2 1,90 Toronto 52 28 18 2 4 164 140 62 Franson) 15:47 2. Sherbrooke, Laflamme 11
Richmond .... 24 7 16 1 127 165 15 Charlotte 13 44 ,228 29
Tampa Bay à Boston, 13h. Budaj 2 1 1 245 10 1 2,45 Lake Erie 56 26 21 2 7 164 167 61 Pénalité(s) — Emelin Mon (Neill, Sills) 18:40
Séries éliminatoires Pénalité(s) — Grundy Rimouski SECTION CENTRALE
New Jersey à Buffalo, 15h. Abbotsford 56 26 22 3 5 122 132 60 19:47.
Vendredi 1er Mars Troisième période 0:56, Audette Sherbrooke 4:02, G P Moy. Diff.
Washington à Winnipeg, 15h.
Pittsburgh à Montréal, 19h. JUNIOR AAA Rochester 52 27 22 2 1 169 154 57
Hamilton 53 21 26 1 5 115 162 48
20h30 Sherbrooke c.St-Cyrille
20h30 Marieville c. Coaticook
5. Montréal, Gallagher 6
(Gorges, Desharnais) 9:08
Grenier Sherbrooke 7:51, Des-
biens Sherbrooke 9:15.
Indiana
Chicago
36
32
21
25
,632
,561
—
4
Floride en Caroline, 19h. SECTION MARTIN-SAINT-LOUIS SECTION CENTRE-OUEST
MJ G P DP DF BP BC PTS Samedi 2 Mars 6. Montréal, Pacioretty 6 (De- Troisième période Milwaukee 28 28 ,500 7½
Anaheim à Phoenix, 20h. MJ G P DP DF BP BC PTS 20h30 St-Cyrille c. Sherbrooke
Los Angeles à Vancouver, 22h. c-St-Jérôme 52 40 8 1 3 315 194 84 sharnais) 14:26 Aucun but. Detroit 23 37 ,383 14½
Ste-Agathe 51 28 17 2 4 239 222 62 G. Rapids 52 30 18 2 2 172 148 64 19h30 Coaticook c. Marieville 7. Montréal, Gionta 4 (Sans Pénalité(s) — Laverdure
Nashville à San Jose, 22h30. Cleveland 20 38 ,345 16½
Terrebonne 51 24 21 3 3 194 224 54 Chicago 50 26 17 4 3 138 133 59 Ven 8 Mars aide) 17:34 Sherbrooke (maj.) 0:08, Grundy
CLASSEMENT é-Montréal-E. 51 12 35 2 2 220 353 28 Milwaukee 53 25 22 3 3 135 153 56 20h30 Sherbrooke c.St-Cyrille Pénalité(s) — Aucune pénalité. Rimouski (maj.) 0:08, Loiseau ASSOCIATION DE L’OUEST
é-St-Léonard 51 10 33 4 4 209 307 28 Rockford 54 27 25 1 1 165 162 56 20h30 Marieville c. Coaticook Tirs au but Rimouski 7:36, Hébert Rimouski SECTION SUD-OUEST
DES MARQUEURS SECTION ALEXANDRE-BURROWS
Peoria 53 23 23 4 3 134 161 53 Sam 9 Mars Montréal 11 17 12 —40 12:52, Audette Sherbrooke G P Moy. Diff.
NOTE: en date du 26 février. MJ G P DP DF BP BC PTS SECTION SUD 20h30 St-Cyrille c. Sherbrooke Toronto 4 8 11 —23 16:03, Gagné Rimouski 16:29. San Antonio 45 13 ,776 —
B A PTS c-Longueuil 51 38 9 4 0 248 137 80 MJ G P DP DF BP BC PTS 19h30 Coaticook c. Marieville Gardiens — Montréal: Carey Prolongation Memphis 38 18 ,679 6
Stamkos, TB 14 16 30 Lachine 51 33 16 2 0 239 190 68 Texas 55 33 14 4 4 162 136 74 Price (G, 11-3-2); Toronto: Ben 3. Sherbrooke, Laflamme 12 Houston 31 28 ,525 14½
Crosby, Pit 9 21 30 Kahnawake 51 21 25 3 2 232 264 47 Charlotte 54 32 17 2 3 169 135 69 Scrivens (P, 6-6-0). (Talbot-Tassi, Comtois) :29 Dallas 25 32 ,439 19½
Vanek, Buf
Tavares, NYI
12
13
15
12
27
25
Valleyfield 51 19 28 2 2 188 251 42
V.-Dor. 50 19 28 0 3 210 284 41
Houston 55 28 20 4 3 147 144 63
Oklahoma 52 25 20 2 5 162 171 57
LHO Avantages numériques —
Montréal: 1-2; Toronto: 0-1.
Pénalité(s) — Aucune pénalité.
Tirs au but
La N.-Orléans 20 39 ,339 25½
Zetterberg, Det 6 19 25 SECTION DAVID-PERRON San Antonio 54 24 25 1 4 140 156 53 ASSOCIATION DE L’EST Arbitres — Dennis LaRue, Tom Sherbrooke 10 5 8 1 —24
SECTION NORD-OUEST
SECTION EST G P Moy. Diff.
Kane, Chi 10 14 24 MJ G P DP DF BP BC PTS Mercredi 27 février Kowal. Juges de lignes — Rimouski 7 7 11 —25
Voracek, Phi 8 16 24 Rochester 1 Toronto 2 MJ G P DP DF BP BC PTS Okl. City 42 15 ,737 —
c-Granby 51 36 12 2 1 239 179 75 Scott Driscoll, Jean Morin. Gardiens — Sherbrooke: Jacob
Saint-Louis, TB 4 20 24 La Tuque 51 30 16 2 3 211 163 65 Norfolk 2 W./B. Scranton 1 Belleville 59 39 14 3 3 197 145 84 Denver 36 22 ,621 6½
Assistance — 19,625. Gervais-Chouinard (G, 17-22-1);
Moulson, NYI 10 13 23 Princeville 51 28 19 3 1 188 177 60 Vendredi 1er mars Oshawa 61 36 21 1 3 208 173 76 Rimouski: Philippe Desrosiers Utah 31 27 ,534 11½
Sherbrooke 52 27 20 4 1 230 184 59 Manchester à St. John’s, 18h. Kingston 59 24 30 2 3 193 244 53 Portland 26 30 ,464 15½
Kunitz, Pit
Datsyuk, Det
8
8
15
14
23
22 St-Hyacinthe 51 18 28 3 2 165 198 41 Adirondack à Springfield, 18h. Peterb. 60 21 32 3 4 174 227 49 Washington 1 (PF, 20-7-1).
Avantages numériques — Minnesota 20 34 ,370 20½
Ribeiro, Was 6 16 22 NOTE: c-champion de section et Bridgeport au Connecticut, 19h. Ottawa 60 15 41 0 4 189 289 34 Philadelphie 4 Sherbrooke: 0-4; Rimouski: 1-5. SECTION PACIFIQUE
Elias, NJ 5 17 22 é-éliminé d’une place en séries. Worcester à Providence, 19h05. SECTION CENTRALE Première période Arbitres — Mathieu Bergeron, G P Moy. Diff.
Neal, Pit 13 7 20 Mercredi 27 février Hershey à W./B. Scranton, 19h05. MJ G P DP DF BP BC PTS 1. Philadelphie, Giroux 7 (Hart- Rémi Gibeau. Juges de lignes L.A. Clippers 41 18 ,695 —
D.Sedin, Van 7 13 20 Granby 6 Ste-Agathe 5 (P) Binghamton à Hamilton, 19h30. Barrie 60 37 19 2 2 215 166 78 nell) :23 — Jonathan Girard, Nicolas Golden State 33 24 ,579 7
Giroux, Phi 6 14 20 St-Hyacinthe 2 St-Jérôme 7 Albany à Syracuse, 19h30. Brampton 60 28 23 3 6 165 172 65 2. Philadelphie, Simmonds 8 Piché. L.A. Lakers 28 30 ,483 12½
E.Staal, Car 9 10 19 Jeudi 28 février Adirondack à Springfield, 19h30. Sudbury 61 27 23 4 7 194 207 65 (Hartnell, Giroux) 4:04 (an) Assistance — 3426.
Niagara 60 27 29 2 2 198 213 58 Sacramento 20 39 ,339 21
Purcell, TB 4 15 19 V.-Dor. à Valleyfield, 19h30. Charlotte à Norfolk, 19h30. Pénalité(s) — Ribeiro Was 2:57,
Vendredi 1er mars Miss. 59 25 29 0 5 166 189 55 Zolnierczyk Phi 5:13. Phoenix 19 39 ,328 21½
G. Rapids à Milwaukee, 20h.
TENNIS
Thornton, SJ 4 15 19 Mardi 26 février
St-Hyacinthe à Princeville, 19h. Peoria à Rockford, 20h05. Deuxième période
ASSOCIATION DE L’OUEST
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE

Marleau, SJ 12 6 18 Granby à Longueuil, 19h30. (matches en fin de soirée)

Chicago au Texas, 20h30. 3. Philadelphie, Gagne 1
Kane, Win 9 9 18 Ste-Agathe à Montréal-Est, 19h30. SECTION CENTRE-OUEST Minnesota 83 Phoenix 84 (P)
Houston à Abbotsford, 22h. (Schenn, Briere) 3:54 (an)
Conacher, TB
Getzlaf, Ana
7
6
11
12
18
18
Lachine à Kahnawake, 19h45.
Terrebonne à St-Léonard, 19h45.
Samedi 2 mars
Binghamton à Toronto, 15h. London
MJ G P DP DF BP BC PTS
59 43 12 2 2 244 154 90
4. Philadelphie, Talbot 1
(Schenn, Gervais) 14:55
TOURNOI Charlotte 84 L.A. Clippers 106
Mercredi 27 février
Gagner, Edm
H.Sedin, Van
5
3
13
15
18
18
V.-Dor. à La Tuque, 20h. Manchester à St. John’s, 18h.
Providence à Springfield, 19h.
O. Sound 59 38 17 1 3 190 144 80
Kitchener 60 35 17 1 7 187 156 78
Pénalité(s) — Ward Was 1:55,
Coburn Phi 4:25.
D’ACAPULCO Sacramento 125 Orlando 101
Toronto 92 Cleveland 103
Ladd, Win 10 7 17 Guelph 59 34 20 1 4 218 181 73 À Acapulco au Mexique
Clarkson, NJ
Hodgson, Buf
10
8
7
9
17
17
LNAHMJ G P DP DF BP BC PTS
Worcester à Portland, 19h.
Norfolk à Hershey, 19h. Erie 61 17 36 3 5 187 277 42
SECTION OUEST
Troisième période
5. Washington, Ward 6 (Poti,
MESSIEURS
Simple
Detroit 96 Washington 95
Golden State à New York, 20h.
Adirondack à Bridgeport, 19h. Beagle) 17:51 Milwaukee 110 Houston 107
Kovalchuk, NJ 7 10 17 Thet. Mines 34 21 9 4 0 142 112 46 MJ G P DP DF BP BC PTS Pénalité(s) — Ribeiro Was Deuxième tour
La N.-Orléans 74 Okl. City 119
Duchene, Col
Lecavalier, TB
6
6
11
11
17
17
Jonquière 33 21 10 1 1 134 112 44
Cornwall 33 18 12 1 2 130 145 39
COLLÉGIAL AAA Plymouth 60 34 17 5 4 246 190 77
S.S. Marie 60 33 21 3 3 236 217 72
(inc.) 4:15, Ribeiro Was 4:15, Horacio Zeballos (8), Argentine,
bat Daniel Gimeno-Traver,
Dallas 84 Memphis 90
MJ V D DPF BP BC PTS Ovechkin Was 19:35, Rinaldo Atlanta 102 Utah 91
B.Schenn, Phi 6 11 17 Sorel-Tracy 34 15 12 4 3 134 142 37 Sarnia 61 33 25 0 3 223 225 69 Phi 19:35, Zolnierczyk Phi (maj.) Espagne, 6-2, 6-3.
A.-Laur. 28 22 6 0 154 75 44 Phoenix à San Antonio, 20h30.
Kadri, Tor 5 12 17 R.-du-Loup 32 15 10 3 4 133 134 37 Saginaw 60 29 25 3 3 222 227 64
C.St-Law. 30 19 10 1 139 104 39 19:35, Zolnierczyk Phi (inc.) Santiago Giraldo, Colombie, bat Denver à Portland, 22h30.
St.-G 34 15 17 0 1 135 131 31 Windsor 60 24 29 1 6 184 240 55
Lionel-Groulx 28 17 10 1 110 98 35 19:35. Joao Sousa, Portugal, 7-6 (10-8), 7-5. Jeudi 28 février
Mercredi 27 février
MIDGET
Coupe TELUS
AAA T.-Rivières 34 12 19 2 1 107 139 27
Jeudi 28 février
Saint-Laurent 29 15 10 4 120 109 34
Sorel-Tracy 28 16 11 1 99 92 33
Oshawa 4 Kingston 1
Brampton 0 Belleville 4
Tirs au but
Washington 9 3 12 —24
DAMES
Simple
L.A. Clippers en Indiana, 19h.
Philadelphie à Chicago, 20h.
Thet. Mines à Sorel-Tracy, 20h. Laflèche 29 15 11 3 112 123 33 Philadelphie 10 12 10 —32
Quarts de finale - Quatre de sept Vendredi 1er mars Sudbury 5 S.S. Marie 4 (F) Deuxième tour Minnesota à L.A. Lakers, 22h30.
Alma 28 12 16 0 108 127 24 Jeudi 28 février Gardiens — Washington:
Mardi 26 février Sorel-Tracy à T.-Rivières, 20h. Braden Holtby (P, 6-7-0); Philipp Sara Errani (1), Italie, bat Eug- Vendredi 1er mars
Dawson 29 8 18 3 73 120 19 Plymouth à Niagara, 19h. Houston à Orlando, 19h.
S. St-François 5 C. N.-Dame 4 R.-du-Loup à St-G., 20h. Grubauer (14:55 2e période); enie Bouchard, Westmount au
Thetford 27 4 22 1 69 136 9 London à Windsor, 19h05.
Châteauguay 2 Jonquière 5 Jonquière à Thet. Mines, 20h30. Philadelphie: Ilya Bryzgalov (G, Qué., 7-6 (7-4), 6-2. Indiana à Toronto, 19h.
Vendredi 1er mars Ottawa à Peterb., 19h05.
C.A.-Girouard 5 T.-Rivières 4 (P) Samedi 2 mars O. Sound à Barrie, 19h30. 10-9-1). New York à Washington, 19h.
19h30 Thetford c. Saint-Laurent Silvia Soler-Espinosa, Espagne, bat
Mercredi 27 février R.-du-Loup à Cornwall, 19h30. Vendredi 1er mars Avantages numériques — Golden State à Boston, 19h30.
19h30 A-Laurendeau c. S-Tracy Irina-Camelia Begu (4), Roumanie,
Laval-Montréal 6 C.C.-LeMoy. 2 Plymouth à Erie, 19h. Washington: 0-3; Philadelphie: L.A. Clippers à Cleveland, 19h30.
(C.C.-Lemoy. mène la série 2-1) LHJAAEM Samedi 2 mars
15h30 Alma c. Lionel-Groulx Belleville à Kingston, 19h. 2-3. 6-1, 2-1 abandon.
Kiki Bertens (5), Pays-Bas, bat
Dallas à Brooklyn, 20h.
S. St-François 2 C. N.-Dame 5 Série éliminatoires 20h30 Thetford c. Dawson Guelph à S.S. Marie, 19h07. Arbitres — Wes McCauley, Don Memphis à Miami, 20h.
(La série est égale 2-2) Demi finales Sarnia à London, 19h30. Van Massenhoven. Juges de Maria Jose Martinez Sanchez, Detroit à La N.-Orléans, 20h.
Dimanche 3 mars
Châteauguay 4 Jonquière 3 (P) Vendredi 1er mars 13h30 St-Laurent c. A-Laurendeau Barrie à Miss., 19h30. lignes — Scott Cherrey, Derek Espagne, 6-1, 6-2. Sacramento à San Antonio, 20h30.
(Châteauguay mène la série 3-1) 21h Sherbrooke-Ouest c. Nicolet 13h30 Alma c. Laflèche Kitchener à O. Sound, 19h30. Nansen. Francesca Schiavone (6), Charlotte à l’Utah, 21h.
Jeudi 28 février Dimanche 3 mars Brampton à Oshawa, 19h35. Assistance — 19,904. Italie, bat Sesil Karatantcheva, Atlanta à Phoenix, 21h.
14h30 Dawson c. Thetford
27

C.A.-Girouard à T.-Rivières, 19h30. 16h20 Nicolet c. Sherbrooke-Ouest Peterb. à Sudbury, 19h35. Kazakhstan, 6-3, 6-4. Okl. City à Denver, 22h30.
17h00 L-Groulx c. Sorel-Tracy
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LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
28
Déjà au garde-à-vous
n voit des dindons
sauvages partout.
Ils picorent dans
les champs à découvert,
souvent avec audace à
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Un lecteur habitant le
pourtour de Sherbrooke m’a
fait parvenir récemment
une photo sur laquelle on
Enfant 12 ans et moins Gratuit
aperçoit deux mâles au
torse bombé et au plumage
déployé, se donnant des
allures de galants au milieu
de femelles.
Les mâles « font la roue »
quasiment du matin au soir
en avril et en mai durant
la saison de reproduction.
Faut-il voir à travers ce com-
portement les signes d’un
printemps qui sera plus pré-
coce?
« Pas nécessairement. Ce
rituel n’est pas exclusif à
la saison des amours. C’est
également chez les mâles un
mode d’expression du niveau
hiérarchique de dominan-
ce », commente le biologiste
Éric Jaccard de la direction
régionale Estrie-Montérégie
au ministère de la Faune.
La chasse printanière au
dindon (du 3 au 24 mai cette
année) se déroule habituel-
lement durant la saison des
amours. Il ne devrait pas y
avoir de changement à cet
égard.
L’indice de mortalité
naturelle étant par ailleurs
directement lié à la rigueur
des hivers chez les dindons
comme chez les chevreuils,
l’espèce est en voie de
connaître une autre année
de forte croissance. Les
agriculteurs s’en inquiètent
d’ailleurs.
« Les signalements
d’attroupement majeur se
multiplient et nous essayons
d’établir des barèmes objec-
tifs pour établir les impacts
réels de déprédation. Les
dommages sont plus évi-
dents pour certaines récol-
tes que pour d’autres. Si on
prend l’exemple des produc-
teurs de fraises, les oiseaux
grattent la paille et exposent
les plants au gel.
« Nous sommes en pé-
riode de révision du plan
de gestion pour le dindon
et tout est sur la table. Les
modalités de chasse seront
analysées afin d’assurer un
contrôle adéquat de la popu-
lation », explique M. Jac-
card.
La chasse au dindon est
Les dindons mâles se comportent comme s’ils invitaient déjà les
femelles à la reproduction. Est-ce une campagne de séduction pré-
coce annonçant un printemps hâtif?
autorisée depuis 2008 en
Estrie. Une fois la certitude
acquise que ces prélève-
ments ne compromettaient
pas la dispersion de l’espèce,
la saison a été allongée.
Le contingentement
demeure néanmoins serré
puisque les chasseurs ne
peuvent toujours prélever
qu’un seul oiseau par sai-
son. Ce nombre pourrait être
révisé à la hausse.
Sur grand écran
C’est samedi à la polyva-
lente La Ruche de Magog
que Réal Langlois, l’Homme
panache, présentera ses nou-
veaux films.
« Nous avons davantage
tourné au Québec et un peu
moins au Yukon. Les spec-
tateurs me disent qu’ils se
retrouvent davantage dans
nos films de cette année »,
se réjouit celui qui cumule
les tâches de guide et de
producteur.
Pour informations : www.
homme-panache.com.
Par ailleurs, un autre
cinéaste estrien, Benoit
Turcotte, vivra sa soirée de
grande première parmi les
siens le 16 mars à l’Hôtelle-
rie du Boulevard.
« J’ai produit plusieurs
films depuis 2004 dans l’uni-
vers de la moto. Comme je
suis maniaque de chasse,
j’avais toujours derrière la
tête l’idée de tourner en na-
ture. J’espère devenir le pro-
ducteur qui mettra en valeur
les images de Monsieur et de
Madame Tout-le-monde », de
confier le Sherbrookois.
Le concept a précédem-
ment été tenté, mais il n’a
pas duré.
« Les équipements de
tournage et de montage se
raffinent, rendant possible
l’atteinte de haut standard
de qualité même chez les
cinéastes moins expérimen-
tés. J’ai une foi inébranlable
dans le projet ».
On trouve plus de détails à
propos de la soirée « Instinct
sauvage » sur le site internet
des Productions illimitées.
COURTOISIE CLAUDE LEBLANC
................................................................................................................................................................................
CRÉATION D’UNE INFOLETTRE POUR LA RÉGION DE MEMPHRÉMAGOG
Promouvoir le tourisme sportif
JEAN-GUY RANCOURT
MAGOG — Devenue au fil des
années une destination de choix
pour la tenue d’événements spor-
tifs, la région de Memphrémagog
lance une offensive pour mettre
en valeur et soutenir le tourisme
sportif, tout en se donnant des
moyens pour en mesurer ses
retombées.
Le député d’Orford, Pierre
Reid, la municipalité régionale
de comté de Memphrémagog et
le Centre local de développement
de Memphrémagog, de concert
avec les organisateurs sportifs,
conjuguent donc leurs efforts
pour tenter de frapper un coup
de circuit qui résonnera aux qua-
tre coins de la province.
Injectant 5000 $, le député
d’Orford s’est associé à la MRC
et au CLD pour aller de l’avant
avec un projet pilote qui permet-
tra la réalisation durant l’année
de quatre infolettres comprenant
des textes et photos adaptés aux
différents événements et temps
de l’année. Chaque organisateur
utilisera sa banque de contacts
pour rejoindre la clientèle qu’on
estime à plusieurs milliers d’ath-
lètes de masse et de haut niveau.
Le deuxième volet de cette
expérience pilote touche la
conception d’un calendrier des
événements qui est déjà publié
sur le site internet www.tou-
risme-memphremagog.com. Ce
calendrier permettra aux athlè-
tes de mieux planifier leurs sor-
ties dans la région et aux gens
d’affaires de bien se préparer
pour faire face à l’affluence tout
en leur offrant des forfaits
« On se devait de réunir tous
les acteurs du milieu et faire la
jonction entre le sport et l’acti-
vité économique sur notre ter-
rain. Avec ce qu’on annonce
aujourd’hui (hier), on commence
Leroux, Hill et
Mathieson seront
les partants
du Canada
LA PRESSE CANADIENNE
TORONTO — Le Montréalais
Christopher Leroux fera partie
de la rotation de partants de la
formation canadienne au cours
de la prochaine Classique mon-
diale de baseball. Le gérant du
Canada, Greg Hamilton, en a fait
l’annonce, hier.
En plus de Leroux, Shawn Hill
et Scott Mathieson seront sur le
monticule pour les matchs du
tournoi à la ronde contre l’Italie,
le Mexique et les États-Unis.
Leroux n’a disputé que
10 matchs pour les Pirates de
Pittsburgh la saison dernière en
raison d’une élongation muscu-
laire aux pectoraux subie dans un
match préparatoire. En 61 matchs
en carrière avec les Marlins de
Miami et les Pirates, celui qui est
principalement utilisé comme
releveur a conservé une fiche de
1-2 avec une moyenne de 5,48.
[ SPORTS ] 29
à se donner des outils pour aider nier. « Les événements sportifs
les organisateurs, les gens sont devenus une belle vitrine
d’affaires et impressionner les pour la région. On parle de
athlètes et leurs accompagna- 15 000 à 20 000 visiteurs annuel-
teurs pour leur donner le goût lement et des dizaines de mil-
et l’envie de remettre les pieds liers de dollars retournés dans la
chez nous à d’autres périodes communauté sous forme d’aide
de l’année », relate Pierre Reid. financière versée en faveur des
« C’est une formule gagnant- soins de santé, de la réussite
gagnant, enchaîne Jacques scolaire ou encore au soutien de
Marcoux, président du CLD et milieux défavorisés », fait valoir
maire du Canton de Potton. Tout Pierre Reid.
le monde y trouvera son compte Mentionnons en terminant
et espérons que cette expérience qu’un comité de travail a été
pilote devienne permanente mis sur pied avec autour de la
dans notre milieu de vie. » table des représentants du CLD,
de la ville de Magog et les orga- IMACOM, JESSICA GARNEAU
Percée importante nisateurs de ces événements Christian Vachon, organisateur du Relais Lac Memphrémagog, Yvon
Le tourisme sportif a donc sportifs. Au menu : la sécurité Lanthier, directeur général du CLD, Nathalie Provencher, directrice
effectué une percée impor- publique, l’environnement, les tourisme au CLD de la MRC Memphrémagog, Pierre Reid, député
tante dans la région de services d’urgence, les besoins d’Orford, et Jacques Marcoux, maire du Canton de Potton, ont
Memphrémagog et il ne se en signalisation routière et bien annoncé le lancement du projet infolettre pour promouvoir les com-
trouve plus personne pour le d’autres sujets. pétitions sportives annuelles dans la région de Memphrémagog.
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 30 [ SPORTS ] Hockey.........................................................................................................................................................
Laflamme donne la victoire au Phœnix
Il marque deux fois dans un gain de 2-1 aux dépens de l’Océanic
PIERRE TURGEON RIMOUSKI – Jean-Christophe la période de prolongation dans soir devant 3426 spectateurs
pierre.turgeon@latribune.qc.ca Laflamme a marqué deux fois, une victoire de 2-1 du Phœnix de déçus au Colisée de Rimouski.
dont le but gagnant au début de Sherbrooke sur l’Océanic, hier Après que l’Océanic soit venu
gâcher l’entrée du Phœnix dans
la LHJMQ à son tout premier
match, les Sherbrookois ont
mérité la victoire dans les trois
autres rencontres entre ces deux
formations.
Hier soir, le Phœnix a livré
une solide performance. Il n’a
pas toujours la meilleure forma-
tion sur la glace, mais il a fait
ce qu’il devait pour l’emporter.
« C’était un match important et
tout le monde a travaillé fort pour
y arriver » commentait le héros
de la soirée, Jean-Christophe
Laflamme. Le match a pris de
l’importance après que les Sea
Dogs de St-John aient remporté
la victoire aux dépens du Cap-
Breton pour augmenter à quatre
points sa priorité sur le Phœnix
au 15e rang du classement géné-
ral. En l’emportant hier soir, le
Phœnix est demeuré à deux
points de St-John.
« Avec un écart de quatre
points, c’aurait été difficile de
les rattraper », convenait le héros
de la soirée tout en donnant le
crédit du but de la victoire à son
capitaine Alexandre Comtois qui
a mis la table pour lui. « Il a fait
tout le travail quand le gardien a
mordu à sa feinte de tir pour me
donner une belle ouverture. »
Vivez
Quant à son premier but,
Laflamme avait fait mal paraître
le gardien Philippe Desrosiers
qu’il a surpris avec un tir du haut
l’instant !
du cercle de mise en jeu à sa gau-
che en fin de deuxième période.
« J’essayais juste de toucher le
EN VITESSE
Ne manquez pas nos événements ! Le gardien David Richer a
semé quelques craintes chez
• « OHD SNOWCROSS » ............................................................ 9 et 10 mars les entraîneurs du Phœnix hier
SBX et GS ALPIN matin à la séance d’entraîne-
ment d’avant match. Le jeune
• « CREEMORE SPRINGS BACK ».................................................. 16 mars gardien venu remplacer Jack
Retour aux années 1980, BIG AIR et finale du concours IF3 Videoquest de Owl’s Head Flinn semblait incapable d’ar-
rêter les rondelles dirigées vers
• « HOOT » ........................................................................................................ 30 mars lui… Assez pour que Judes
Vallée s’en approche afin de s’in-
Festival de printemps avec feux d’artifice !
former si tout allait bien : « J’ai
oublié mes verres de contact à
la chambre d’hôtel », a admis
Encouragez Richer au grand soulagement
de son entraîneur…
/////
la persévérance scolaire ! Le Phœnix a fait le voyage à
Rimouski avec 23 joueurs, mais
LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
20 seulement étaient en mesure
50 % des profits directement pour supporter votre cirque de jouer. Les défenseurs Vincent
20
Richer et Mathieu Boily sont
$
disponibles uniquement pour
Mardi et mercredi les entraînements tandis que
l’attaquant Brandon Lesway,
Taxes incluses blessé à l’aine, a patiné avec ses
coéquipiers hier matin, mais il
Jusqu’à la fin de la saison, n’était pas prêt à effectuer un
retour au jeu. Le vétéran Michael
incluant la relâche.
McNamee, incommodé par un
mal de gorge, est demeuré à
INISKI et
Sherbrooke…
École sur neige /////
Bien que son équipe se batte
INISURF
pour le premier rang au clas-
• Forfaits pour débutants sement de la division Est de la
• Programme APPRISKI familial LHJMQ, Serge Beausoleil, l’en-
traîneur de l’Océanic, continue
de rappeler que ce n’est pas là
450 292-3342 | owlshead.com
le but poursuivi par son équipe.
« Notre objectif est toujours de
30
filet, ce que j’avais de la difficulté
à faire dernièrement », reconnais-
sait Laflamme.
Si Laflamme a été le héros
offensif, toute l’équipe a disputé
un fort match en défensive et le
gardien Jacob Chouinard était le
premier à reconnaître qu’il n’avait
pas eu une soirée très occupée.
« Les gars ont si bien fait défen-
sivement que je n’ai pas eu trop
de gros arrêts à faire et ils ont été
opportunistes en attaque. »
« On a disputé un match solide
où tout le monde s’est impliqué,
ajoutait l’entraîneur Judes Vallée.
C’était un match émotif et plai-
sant à gagner. Nous demeurons
dans la course pour aller cher-
cher St-John. Nous, on y croit
encore. Je suis bien content de
mes gars et cette victoire, nous
la méritions. »
BLOC-NOTES: Un autre match
difficile attend le Phœnix ven-
dredi soir au Palais des sports.
Cette fois, c’est l’Armada de
Blainville-Boisbriand qui sera
au rendez-vous… En début de
troisième période, Mathieu
Laverdure a répondu de belle
façon à l’invitation de Lucas
Grundy qui espérait relancer ses
coéquipiers. Grundy n’a pas eu
l’effet escompté… À la blague,
Comtois racontait qu’il avait
pensé tirer au but juste avant
que Laflamme ne marque le
filet gagnant. « J’ai pensé lancer
parce que c’était Flammer qui
était là… Non ce n’est pas vrai,
mais s’il avait raté, je lui arrachais
la tête. » Le seul but de l’Océanic
a été marqué lors d’un avantage
numérique de deux joueurs…
jouer le meilleur hockey possible
à chaque match. C’est comme
cela qu’on a réussi à monter au
classement et on attend le des-
sert à la fin de la saison »…
/////
Quant aux succès de sa jeune
formation, Beausoleil explique
qu’en début de saison, il croyait
au potentiel de ses jeunes et qu’il
pensait que son équipe pourrait
être compétitive. Le classement
général est loin d’être établi
définitivement, mais l’Océanic
et le Phœnix se retrouveraient
en première ronde si les séries
avaient débuté hier. Il faudra que
Rimouski termine premier dans
la division Est (et deuxième au
classement général) et que le
Phœnix parvienne à devancer
St-John et prenne le 15e échelon
au classement général…
ENCORE
PLUS À LIRE
SUR
À Rimouski, le Richmondais
Jean-François Plante a
profité d’une blessure pour
retrouver ses repères.
À LIRE SUR :
www.lapresse.ca/la-tribune/sports
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AVANT LES JEUX DU CANADA DU 2 AU 17 AOÛT 2013 t 4200 ATHLÈTES t 20 SPORTS
Le Canadien se venge
RICHARD LABBÉ
TORONTO — Même les Maple
Leafs de Toronto ne peuvent
plus rien faire contre cette
machine nommée Canadien.
Les Leafs, pourtant la bête
noire de la formation montréa-
laise cette saison, n’ont eu l’air
que de simples mortels contre
ce Canadien version 2.0, qui
s’est permis de débarquer au
Centre Air Canada hier soir,
et d’y sortir avec une victoire
somme toute facile de 5-2.
Rincés 6-0 la dernière fois
par le club à la feuille d’éra-
ble, les joueurs du CH avaient
l’air un peu plus sérieux cette
Le gardien des Maple Leafs de Toronto Ben Scrivens a subi la mitraille du Canadien hier. Il a notamment eu à se défendre contre Brendan Gallagher qu’il a arrêté sur ce jeu.
Gallagher s’est repris un peu plus tard en marquant le but de la victoire.
« On a attendu les ouvertures »
TORONTO — On s’attendait
peut-être à un peu de casse
pour ce troisième rendez-vous
doux entre Canadiens et Leafs
cette saison, mais au final, les
joueurs ont (généralement) pré-
féré jouer au hockey, exception
faite de Mike Brown, expulsé
du match pour avoir tenté de
faire très mal à Josh Gorges.
Même Max Pacioretty n’a
pas cherché à courir derrière
un certain Grabovski, qui
lui aurait imposé un « Mike
Tyson spécial » lors de la der-
nière rencontre entre ces deux
JOURS
fois-ci, et ils ont largement
dominé ce match, en plus de
forcer leurs éternels rivaux à
se contenter d’une première
période de seulement quatre
tirs. Au final, le Canadien a
lancé 40 fois sur le gardien
des Leafs, Ben Scrivens. Carey
Price a été moins occupé, rece-
vant 23 tirs sur sa personne.
Vous aurez compris que
Michel Therrien était plutôt
souriant après tout ça.
« Les Leafs avaient joué deux
gros matchs contre nous, et
pour la confiance des joueurs,
c’était important d’arriver ici
et de se reprendre, a expli-
qué l’entraîneur montréalais.
grands rivaux.
Pacioretty a plutôt répondu
avec la lame de son bâton;
deux buts hier soir, dont celui
qui a assommé les Leafs en fin
de troisième, avant que Brian
Gionta ne complète dans un
filet désert.
« On voulait avant tout la
victoire, a expliqué Pacioretty
dans le vestiaire des gagnants.
On ne veut pas que nos gars
passent le match au banc des
pénalités, ce ne serait pas à
notre avantage. »
Pacioretty a raconté combien
C’était important de jouer un
gros match à Toronto, et c’est
ce qu’on a fait. »
Brendan Gallagher a réussi
le but gagnant en milieu de
troisième, rappelant à un peu
tout le monde qu’il est pos-
sible de porter le numéro 11
à Montréal et de marquer
en plus. Avant le match, le
jeune homme avait remis son
numéro 73 au dernier arrivé,
Michael Ryder.
Ryder, acquis des Stars de
Dallas mardi soir en retour
d’Erik Cole, a été employé
pendant 14:34 de jeu à son
premier match de retour chez
le Canadien.
lui et ses collègues ont joué de
patience hier soir, une straté-
gie qui semble avoir du suc-
cès puisque le Canadien, avec
cette septième victoire à ses
10 derniers matchs, demeure
en tête du classement de l’As-
sociation de l’Est.
« On s’est organisé pour
faire le travail dans notre pro-
pre territoire, et ensuite, on
a attendu les ouvertures, a
dit l’attaquant au numéro 67.
Plus le match avançait et plus
on voyait qu’il commençait à
y avoir des ouvertures sur la
SPORTS
« Je me sentais bien même
si je ne connaissais pas
beaucoup mes collègues de
trio, a-t-il indiqué. J’ai joué
un peu contre Lars (Eller)
quand j’étais à Boston, mais
Galchenyuk, je ne le connais-
sais pas vraiment… Plus ça va
aller et plus je vais être confor-
table avec eux. C’est avant
tout une question de temps,
je crois. »
En ce qui concerne le dépar-
tement santé, le Canadien a
eu à composer avec une autre
mauvaise nouvelle avant le
début du match; le défen-
seur Raphael Diaz a subi une
commotion cérébrale, et a dû
patinoire, plus d’espace. On
avait laissé filer un point mal-
gré une bonne performance
à Ottawa lundi soir, et on ne
voulait pas refaire la même
erreur cette fois-ci. »
Pendant ce temps, Brendan
Gallagher est en train de se
faire un nom. Certains Leafs
ont cherché à le brasser un
peu, mais le jeune n’a pas
bronché, et c’est même lui qui
est allé enfoncer le but de la
victoire en troisième. Tout ça
avec un nouveau numéro en
plus…
31
rater la rencontre. Selon Michel
Therrien, Diaz a été blessé lors
du match à Ottawa, lundi soir,
et le Canadien ignore quand il
pourra reprendre sa place dans
la formation.
Diaz est le deuxième joueur
du CH cette semaine à être
déclaré victime d’une com-
motion cérébrale avec Rene
Bourque, qui n’a pas lui non
plus pris part au match d’hier
soir.
Diaz absent, le vétéran
Tomas Kaberle a retrouvé une
place au sein de l’alignement.
Pour Kaberle, il s’agissait
d’un premier match depuis le
2 février. (La Presse)
LA PRESSE CANADIENNE, FRANK GUNN
Sherbrooke jeudi 28 février 2013 - LA TRIBUNE
« J’aime les matchs du genre
et j’aime quand le jeu est phy-
sique de cette façon, a-t-il indi-
qué. C’est sûr que c’est juste
un seul match avec mon nou-
veau numéro, mais je dirais
que je suis heureux avec cette
décision-là… »
Le Canadien aura congé
d’entraînement aujourd’hui,
et les joueurs ne reprendront
le collier que demain, en vue
du match de samedi soir au
Centre Bell contre les Penguins
de Pittsburgh. (La Presse)
— Richard Labbé
31
32 LA TRIBUNE - Sherbrooke jeudi 28 février 2013
« Moins d’essence. Plus de puissance. Une valeur sûre. » est une comparaison entre les gammes complètes 2013 et 2012 de Chrysler Canada. L’affirmation 8 L/100 km ou moins est basée sur les estimations de consommation de carburant sur autoroute du programme ÉnerGuide 2013. Les méthodes d’essai utilisées sont celles du gouvernement du Canada. La consommation
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d’essence réelle de votre véhicule varie selon le groupe motopropulseur, vos habitudes de conduite et d’autres facteurs. Voyez votre concessionnaire pour des précisions supplémentaires sur le programme ÉnerGuide. Le consommateur avisé lit les petits caractères : ‡, ∆, √, *, ° , †. Les offres de cette annonce s’appliquent à la livraison au détail des modèles neufs sélectionnés
achetés entre le 1 er et le 28 février 2013 auprès des concessionnaires participants et peuvent être modifiées ou prolongées sans préavis. Le transport (1 595 $) et la taxe sur le climatiseur (le cas échéant) sont compris dans le prix d’achat. Aucuns frais supplémentaires ne seront ajoutés aux prix tout inclus des véhicules annoncés. L’immatriculation, l’assurance, les droits sur
les pneus neufs (15 $) et les taxes applicables sont en sus et seront exigés à la livraison. Un acompte peut être demandé. Le concessionnaire peut devoir échanger ou commander un véhicule (lorsque applicable). Le concessionnaire peut vendre à prix moindre. Voyez votre concessionnaire participant pour les détails et conditions. ‡ Le prix d’achat s’applique à la Dodge Dart SE
2013 (PFDH41 + 25A) : 16 995 $. ** Prix du modèle montré : Dodge Dart R/T 2013 à disponibilité tardive (PFDS41 + 27S) : 25 750 $. Les modèles montrés peuvent différer légèrement des modèles qui sont commercialisés au Canada. ∆ Données établies selon des méthodes d’essai approuvées par le gouvernement du Canada et basées sur le Guide de consommation de carburant
2013 de Ressources naturelles Canada. Cote de consommation de carburant pour le modèle Dodge Dart Aero 2013 (disponibilité tardive) avec le moteur turbo 1,4 L à transmission manuelle. Cote de 7,3 L/100 km en ville. La consommation d’essence réelle de votre véhicule varie selon le groupe motopropulseur, vos habitudes de conduite et d’autres facteurs. Voyez votre
concessionnaire pour des précisions supplémentaires sur le programme ÉnerGuide. ° Ram 1500 : Selon le classement 2012 des camions pleine grandeur d’Automotive News. Dodge Journey : Selon R. L. Polk Canada, Inc. Ventes totales aux Canada des véhicules neufs immatriculés entre mai 2008 et août 2012 pour les multisegments Chrysler. Date de début basée sur le lancement
marketing en mai 2008. Jeep Grand Cherokee : Affirmation basée sur les récompenses remportées dans l’industrie automobile dans la catégorie des VUS de 1974 à 2011. Chrysler 200 : Affirmation basée sur le classement 2013 des berlines intermédiaires de série de Ward’s. Dodge Dart : Selon la catégorie de Ward’s des petites berlines de gamme supérieure 2013 coûtant moins
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fonction des options sélectionnées. MC Tigershark est une marque de commerce de Chrysler Group LLC. MC Le logo SiriusXM est une marque de commerce enregistrée de SiriusXM Satellite Radio Inc. MD Jeep est une marque déposée de Chrysler Group LLC et utilisée sous licence. Coop publicitaire des concessionnaires Chrysler • Jeep MD • Dodge • RAM
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