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AVANT PROPOS

Conformément aux formations supérieures et universitaires dans notre


pays il est prévu un stage de fin de cycle, cet ainsi nous avons effectué notre stage
académique de fin cycle à l’hôpital Biamba Marie Mutombo (HBMM) en sigle.

Au terme de ce travail, nous tenons à exprimer notre gratitude à tous ceux


qui ont contribué d’une manière ou d’une autre à la réalisation de ce travail.
J’exprime mes sentiments de reconnaissance et de profonde gratitude aux
autorités de l’Hôpital « Biamba Marie Mutombo » de nous avoir accepté et accueilli
au sein de leur entreprise.
Plus précisément à l’administrateur délégué Maitre MPOY LOUMANU.
Nous tenons à remercier tous ceux qui ont participé tant moralement,
matériellement que financièrement à la rédaction de cet œuvre. Nous pensons
particulièrement au directeur de service technique l’Ir DOUDOU MUTOTO, Ir JURES
MITANO, Chef de service de maintenance biomédical, ainsi que les autres membres
du service technique de l’HBMM.

Nous remercions également tous les ingénieurs et techniciens de l’HBMM


qui nous ont accueilli, ils étaient très gentils avec nous, ils nous apprenaient avec
beaucoup d’amour et passion.

IBANDA ZAMBOUR JADE

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INTRODUCTION

Le stage ne se profite à l’étudiant que lorsqu’il se déroule dans une


entreprise dont l’activité correspond à des aspects du programme de formation
inscrit dans le calendrier académique et exigence du ministère de l’enseignement
universitaire. Le stage à un caractère obligatoire en République démocratique du
Congo pour tout finaliste de premier et second cycle. C’est ainsi que nous avons opté
de passer notre stage du premier cycle à l’hôpital Biamba Marie Mutombo afin
d’améliorer nos connaissances professionnelles.

En effet la maitrise de la technique en tant que science ne pourrait être


conçue sans une formation pratique adéquate. C’est dans cette optique qu’il faut
situer le temps de stage que nous avons passé à l’hôpital Biamba Marie Mutombo.
C’était une occasion pour nos encadreurs de porter une correction sur notre
personne notre degré de collaboration avec les différentes personnes qui travaillent
au sein de cette entreprise.

Compte tenu de notre rapport de stage du premier cycle effectuer à


l’HBMM

Nous avons effectué des visites, guidées dans les différents services de
l’hôpital ; de travail individuel sous la supervision des encadreurs du service
technique.

Avec tous ce temps que nous avons passé au sein de l’HBMM, nous avons
eu des explications de fonctionnement de différents matériels médicaux, ainsi nous
avons participé aux différents dépannages et d’entretien des appareils.

Au début de ce stage, notre attention principale était de pouvoir découvrir


le poste de l’ingénieur et technicien biomédical, de mettre en pratique ce que nous
avons appris durant cette dernière année de scolarité, et d’améliorer notre sens de la
communication envers des personnes différentes par leur fonction ou leur
responsabilité.

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Le stage effectue nous a permis de nous rendre compte des réalités dans un
milieu hospitalier et certaines informations qui concerne la biomédicale.

En ce qui nous concerne, pour cette fin de cycle notre stage nous l’avons
passé au sein de l’hôpital Biamba Marie Mutombo.
Ainsi, le présent rapport de stage comprend deux parties
 Présentation de l’hôpital Biamba Marie Mutombo
 Quelques appareils

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Première partie : L’HOPITAL BIAMBA MARIE MUTOMBO

CHAPITRE I. GENERALITE SUR L’HBMM

I.1. La situation géographique


L’hôpital MARIE BIAMBA MUTOMBO, HBMM en sigle est situé au numéro
9777 du boulevard LUMUMBA, quartier BOBA, Commune de MASINA dans la ville de
Province de Kinshasa.
De par sa situation géographique, l’HBMM occupe une position
géographique, stratégique pour l’accueil aussi bien des malades de la communauté
que ceux provenant du centre-ville ; de différentes provinces ou même de l’étranger
qui sollicitent une prise en charge médicale.
Son accès est facile puisqu’il est situé sur le boulevard LUMUMBA, à côté
d’une grande référence à savoir, le marché de la liberté. Il est borné :
 Au nord par l’hôpital Roi-Baudouin premier de Masina.
 Au sud par le boulevard LUMUMBA.
 A l’ouest par le quartier sans Fil de la commune de Masina ;
 A l’est par le marché de la liberté.

I.2. L’histoire de l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO


L’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO a été fondé à l’initiative de Monsieur
Jean-Jacques DIKEMBE MUTOMBO, basketteur international de nationalité congolaise
installé aux Etats-Unis d’Amérique. Il a travaillé pendant plusieurs années pour
réaliser un rêve, celui de bâtir à Kinshasa, un hôpital de niveau tertiaire respectant les
standards internationaux aussi bien sur le plan infrastructure, personnel aux
équipements, et cela, en mémoire de sa mère décédée suite à la précarité des soins
médicaux.
L’acquisition du terrain pour la construction de cette œuvre grandiose a eu
lieu en l’an 2000. En septembre 2001, la première pierre fut posée. Les travaux de
construction par la société BESIX ont débuté en Septembre 2004 et ont pris fin en

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Juin 2006. Dès la fin des travaux de construction, les clés ont été remises aux
responsables qui devraient présider à la destinée de cet hôpital.
Le 17 Juillet 2007, eu lieu son inauguration par le président de la
République Démocratique du Congo son excellence Joseph KAILA KABANGE. Le 04
Décembre de la même année, les portes ont été ouvertes aux malades. Le cout total
de construction de cet œuvre gigantesque s’élève à près de 29 millions de Dollars
Américains, financé en partie par le Fondateur Monsieur Jean-Jacques DIKEMBE
MUTOMBO à hauteur de 15 millions de Dollars américains. D’autres partenaires ont
aussi prêté main forte au fondateur aussi bien sur la phase de construction que de
l’acquisition des équipements.

I.3. Statut juridique


L’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO est le centre de recherche, HBMM en
sigle/ONG est une association sans but lucratif de droit congolais qui fonctionne
conformément à la loi N°004/2001 du 20 Juillet 2001 portant disposition générales
applicables aux associations sans but lucratif et aux établissements d’utilité publique,
dont la personnalité a été accordée par l’arrêté ministériel N°36/CAB/MIN/J/2006 du
21 septembre 2006. Son numéro publié au journal officiel N°20 du 15 octobre 2006.
Son numéro d’immatriculation à l’institut national de sécurité sociale est
0104000303H 01. Sa mission, en particulier et de la République Démocratique du
Congo, en général.

I.4. Sources de financement


Les principales sources de financement sont notamment la contribution de
l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO actuel représente 70% des travaux qui devraient
être fait. Le 30% qui constitue la deuxième phase devraient couvrir la construction
des bâtiments devraient abriter la pédiatrie et maternité, le finissage du bâtiment
administratif qui devrait être en hauteur au-dessus de l’actuel accueil, compte tenu

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des réalités conjecturelles il semble que l’exécution des travaux de cette dernière
phase est au ralenti.

Néanmoins pour faire face aux problèmes de naissance connue en Afrique,


en général en République Démocratique du Congo en particulier, il avait été décidé
l’installation, d’une pédiatrie et d’une unité de néonatologie de secours d’abord pour
prendre en charge les enfants du personnel, puis au fil de temps ont été ouverts au
public. Dans cette optique a été installé le service de maternité pour répondre aux
besoins des femmes qui concevraient mal l’absence d’un tel service dans l’hôpital de
si grande notoriété. Raison pour laquelle les autorités de cette époque décidèrent
avoir les moyens locaux de disposer un pavillon devant abriter le service de maternité
et de gynécologie. Ce qui fait qu’au stade actuel, cet hôpital compte 150 lits.

Au cours des années de son fonctionnement, l’Hôpital BIAMBA MARIE


MUTOMBO a fait objet de divers acquisitions des matériels au même des nouvelles
constructions telles que construction du bâtiment abritant le Centre d’Excellence
pour la santé au travail don de la fondation Bill et Melinda Gates…, le forage d’un
puits d’eau et l’élévation d’un château d’eau don de Mormones (Eglise des Saint des
Derniers Jours), l’acquisition d’un scanner de 64 barrettes don de la société Tenke
Fungurume Mining : équipement de la maternité, l’implantation d’un laboratoire de
recherche dans le cadre de collaboration entre l’Ecole de Santé publique de la faculté
de médecine de l’Université de Kinshasa et l’Institut Tropical Suisse et également le
Ministère publique de santé Suisse. L‘Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO ayant le but
de promouvoir développer les capacités en recherche clinique et épidémiologique en
République Démocratique du Congo.

La convention tripartite conjointe couvrant cette alliance (ARCEAU-RDC) a


été signée le 11 Avril 2008 à Kinshasa, deux centres d’études étaient institués
notamment l’Ecole de Santé Publique qui devrait contribuer au développement de
nouveaux médicaments et vaccins en menant des essais cliniques et en faisant des
recherches dans le domaine de l’épidémiologie clinique. L’école de Santé Publique
devrait se concentrer prioritairement sur le paludisme, la tuberculose et le VIH/SIDA,
l’HBMM lui focalisera ses études sur les maladies chroniques à l’instar de

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l’hypertension, le diabète et le cancer. La période initiale de réalisation de ce projet
de trois ans (2007-2010) a été financée par la fondation Bill et Melinda Gates….

I.5. L’organisation et le fonctionnement de l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO


I.5.1. Organisation
Comme toute personne morale, l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO, est
une institution bien organisée, équilibrée et structurée. Les structures lui permettent
de fonctionner dans la répartition des tâches et collaboration des services dans
l’unité.
L’organisation de l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO se présente comme
suit :
1. Le conseil d’administration, qui est basée aux Etats-Unis ;
2. L’administrateur Délégué, responsable de l’Hôpital ;
3. Direction Médicale
4. Direction Nursing
5. Direction Technique
6. Direction Administrative
7. Direction Financière
I.5.2. Fonctionnement
1. Le conseil d’Administration
Avec comme Président Jean Jacques DIKEMBE MUTOMB ; ce conseil définit la
politique générale de l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO et prends toutes les
grandes décisions sur le fonctionnement de l’Hôpital.
Il est basé aux Etats-Unis mais représenté à Kinshasa par l’Administrateur Délégué qui
a la gestion de l’Hôpital. L’HBMM comporte Quatre Directions à savoir :
 Administration centrale et financière supervisée par l’Administrateur Délégué
lui-même ;
 Médicale supervisée par un Médecin Chef de Staff ;
 Nursing supervisée par une Administratrice de Nursing ;

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 Technique coordonnée par un CCTS ;

2. L’Administrateur Délégué
Qui gère au quotidien l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO, prend toutes
les décisions sur les gestions quotidiennes de l’Hôpital.
Bien que l’Administrateur gère tout l’Hôpital, certains services stratégiques
sont mis directement sous son autorité, il s’agit de :
 Secrétariat général qui s’occupe des tâches administratives de l’Administrateur
Délégué (rédaction des correspondances, classement des dossiers).
 Le service des Ressources Humaines gère au quotidien le personnel de tout
l’hôpital.
 Le service des relations publiques s’occupe des contacts avec l’extérieur
(diverses institutions de la ville).
 L’audit interne chargé de faire le contrôle interne de l’hôpital.
 Le marketing et développement : cherche les stratégies pour le développement
et le rayonnement des activités de l’hôpital.
 Le conseiller juridique représente l’hôpital devant la justice.
 La sécurité externe est chargée d’assurer la sécurité des biens de l’hôpital et
celle de personnel.
 Le comité consultatif coordonne les activités pour le développement et la
bonne marche de l’hôpital.

3. Direction Médicale
Dirigée par le Médecin Chef de Staff, il a dans son staff, les médecins, les techniciens
de laboratoire et d’imagerie, les kinésithérapeutes, les agents de la morgue et tous
ceux qui dépendent de la direction médicale.
4. Direction de Nursing

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Dirigée par la Directrice de Nursing qui gère le personnel infirmier et supervise les
soins infirmiers, elle a sous son autorité les services ci-après :
 La Coordination.
 La Formation et Recherche.
 Les services Cliniques.
5. Direction Technique
Gérée par le Directeur Technique, l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO, étant la
première institution médicale fonctionnant avec une technique de pointe et dotée
des appareils ultramodernes, sa gestion exige une direction technique composée des
agents bien formés pour assurer la maintenance de ces équipements. Au sein de
cette direction nous avons deux départements :
a) Base et maintenance, qui a comme services
 Buanderie
 Maintenance
 Entretien lieux
 Génie civil
 Plomberie

b) Biomédical, qui a comme services :


 Entretien des surfaces
 Maintenance des équipements médicaux
 Charroi automobile
 Le service Informatique et la Conciergerie dépendent directement du Directeur
Technique.
6. Direction financière
Supervisée par le Chef Comptable, elle a en son sein quatre services opérationnels
notamment :
 Service de facturation : qui produit les factures de tous les clients, payants cash
et conventionnés.

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 Service d’accueil : qui accueille tous les patients qui se présentent à l’hôpital,
les enregistre dans le système et les orientes vers les services qui vont les
prendre en charge.
 Service de comptabilité : enregistre les opérations comptables à partir des
éléments collectés à la caisse principale, et aux caisses auxiliaires, passe les
écritures de journalisation et produits le rapport financier.
 Services de recouvrement : s’occupe des créances. Certains clients doivent de
l’argent à l’hôpital. Le service possédé un registre de toutes ces créances et
régulièrement il relance ces clients pour qu’ils viennent s’acquitter de leurs
dettes vis-à-vis de l’hôpital.
 Les différentes caisses auxiliaires : qui fonctionnent de jour et de nuit,
perçoivent l’argent payé par les clients au guichet et le versent à la caisse
principale.

7. Direction Administrative
Supervisée par le Directeur Administratif, elle comprend les services suivants :
a) Achats : s’occupe de l’approvisionnement de l’hôpital, dirigé par le chargé de
suivi de stocks. Ce dernier a sous son autorité le personnel ci-après :

 Le réceptionniste : chargé d’enregistrement des mouvements des sorties et


entrées en stocks, servir les services demandeurs ;
 Le procureur : chargé des achats de tout l’hôpital.

b) Cuisine : dirigée par un superviseur et assisté d’un contrôleur de la cuisine,


quatre chefs d’équipe et un magasinier. Ce service s’occupe de la restauration
des malades et du personnel de garde.

c) Archives : les services des archives médicales est un service hospitalier chargé
de la réception, du tri, du classement de l’inventaire de la conservation et de la
communication des archives de l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO. Ils
constituent aussi un apport important à la recherche médicale par ce fait que

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l’anamnèse des patients se fait généralement sur les informations contenues
dans les archives médicales, de même la politique de la santé publique se
réfère aux archives médicales.

d) Statiques : ce service est chargé de faire les statistiques de l’hôpital. Les


statiques concernent le nombre des patients reçus, les pathologies
enregistrées, les naissances, les décès par tranche d’âge.
I.6. Conclusion Partielle
Nous constatons que la direction médicale, nursing et technique sont le
poumon de l’HBMM, à travers elles l’hôpital saura assurer une bonne qualité des
soins aux malades. Tant des sacrifices endurés par ces services et dans l’ensemble fait
que l’hôpital soit à la taille de sa grandeur et de sa renommée.
Toutes les directions et services présentées ci-hauts ainsi que leurs
attributions démontrent l’organisation, la séparation des taches et compétences au
sein de l’hôpital. D’énormes efforts de la part des tous les personnels sont consentis
pour assurer la qualité, la compétitivité et la paix sociale.

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Deuxième partie : Quelques appareils

CHAPITRE II. LISTE DES APPERIELS ÉTUDIÉS

Dans ce chapitre, nous allons énoncer quelques appareils vus au cours de


notre stage :
II.1. CONCENTRATEUR D’OXYGENE OU EXTRACTEUR D’OXYGENE
II.1.1. Définition
Le concentrateur d’oxygène ou extracteur d’oxygène est un appareil à
usage médical destiné aux personnes souffrant d’insuffisance respiration

Figure II.1. Le concentrateur d’oxygène

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II.1.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
Est un appareil qui permet de filtrer l’oxygène de l’air ambiant et le délivré
sous forme concentrée au moyen d’un compresseur.
L’air comprimé est composé via un tamis moléculaire en suite l’oxygène est
concentré stocke dans un réservoir tampon.
Extracteur d’oxygène fournir un air oxygéné pour des patients, air
ambiant :78% N2 +21% et 1% d’autre gaz.
Aspirateur et compresseur de l’air ambiant via un compresseur ; envoie de
l’air comprimé alternativement vers 2 tamis moléculaire de zéolithes selon le
positionnement de deux électrovannes.

II.1.3. DUREE DE VIE


La durée de vie prévue du 525 est de 5 ans de fonctionnement lorsqu’il est
utilisé conformément à toutes les directives du fabricant en matière d’utilisation, de
maintenance, de stockage, de manipulation et de fonctionnement général en toute
sécurité. La durée de vie prévue de l’unité, et en particulier des tamis et du
compresseur, peut varier selon l’environnement d’exploitation, du stockage, de la
manipulation, de la fréquence et de l’intensité d’utilisation

II.1.4. ENTRETIEN ET MAINTENANCE PREVENTIVE

1. Utilisez les désinfectants en toute sécurité. Lisez toujours l’étiquette et


l’information sur le produit avant de l’utiliser.

2. Portez toujours un équipement de protection individuelle lorsque vous effectuez


cette procédure. Utilisez des gants et des lunettes de sécurité appropriés. Couvrez
la peau exposée des bras pour éviter tout contact accidentel avec la solution d’eau
de Javel qui a été appliquée sur le concentrateur.

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3. Jetez tous les accessoires qui ne peuvent pas être réutilisés. Cela inclut mais ne se
limite peut-être pas au tube à oxygène, aux connecteurs du tube, à la canule
nasale et/ou au masque, à l’adaptateur à oxygène et à l’humidificateur.

4. Nettoyez régulièrement l’extérieur du concentrateur avec un chiffon propre et


non pelucheux. Les saletés lourdes doivent être enlevées à l’aide d’un chiffon
propre et non pelucheux imbibé d’eau. Une brosse à soies douces humidifiée avec
de l’eau peut être utilisée pour enlever la saleté tenace. Séchez le concentrateur à
l’aide d’un chiffon propre et non pelucheux si vous avez utilisé de l’eau pour
enlever la saleté.

5. Utilisez de l’eau de Javel chlorée à 5,25 % (eau de Javel Chloraux liquide ordinaire
ou un équivalent). Mélangez une partie d’eau de Javel avec quatre parties d’eau
dans un contenant propre approprié. Ce rapport produit une solution de
blanchiment d’une partie pour cinq parties de solution totale Le volume total
(quantité) de solution nécessaire est déterminé par le nombre de concentrateurs
à désinfecter.

REMARQUE : Un autre agent désinfectant approprié (p. ex. Mikrobac® forte ou


Terralin® Protect) peut également être utilisé. Suivez les instructions
du fabricant du désinfectant.

6. Appliquez la solution d'eau de Javel de manière uniforme sur l’armoire et sur le


cordon d'alimentation à l'aide d'un chiffon propre et non pelucheux Le chiffon
devra être humide sans que des gouttes de la solution n’en tombent. N’utilisez pas
de vaporisateur pour appliquer la solution. Ne saturez pas l'appareil avec la
solution. Veillez à ce qu'aucune solution ne pénètre dans les zones de ventilation
de la base du concentrateur ou dans la zone de montage O2 auxiliaire à l'arrière
de l'appareil. Évitez de sursaturer les joints de l'armoire afin qu'aucun résidu de
solution ne s'accumule dans ces zones. Évitez les puits de coulée situés au fond de
l'appareil.

7. La durée d’exposition de la solution désinfectante devrait être de 10 minutes


minimum à 15 minutes maximum.

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8. Après le temps d'exposition recommandé, toutes les surfaces du concentrateur
devront être essuyées avec un chiffon propre et non pelucheux imbibé d'eau
potable de qualité, pas plus chaude que la température ambiante. Séchez
l'appareil avec un chiffon sec, propre et non pelucheux. Ceci permet d'éliminer les
résidus qui peuvent tacher ou laisser un film sur l'appareil, surtout après des
désinfections répétées.

9. Vérifiez le cordon d’alimentation, la fiche à l’arrière de l’appareil, l’interrupteur


d’alimentation, le porte-fusible et les voyants lumineux pour détecter tout
dommage éventuel. Remplacer tous les composants endommagés ou usés.

10. Remplacer le filtre à air du boitier placé sur l’arrière de l’appareil.

11. Vérifier la concentration en oxygène. Si l’appareil est conforme aux spécifications,


il n’est pas requis de remplacer le filtre antibactérien. Si la concentration en
oxygène n’est pas conforme aux spécifications, le fournisseur doit se reporter à la
section dépannage du manuel d’utilisation.

12. NETTOYAGE INTERNE FACULTATIF : Pour cette étape, le concentrateur doit être
déconnecté de l’alimentation : Ouvrir le concentrateur puis, à l’aide d’un
aspirateur, supprimer tous les dépôts de poussière à l’intérieur du boîtier. Fermer
le concentrateur.

13. Intervalle de Nombre de cycles


nettoyage de nettoyage * Méthode de nettoyage
recommandé : compatible
Boîtier externe 7 jours 260 Eau, utilisez uniquement
un chiffon humide
Filtre poussière 7 jours 104 Liquide vaisselle doux (2
c.s.) et eau tiède (470 mL)
Connecteur de 7 jours 104 Liquide vaisselle doux (2
sortie d'oxygène c.s.) et eau tiède (470 mL)

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* nombre de cycles de nettoyage déterminés par l’intervalle de nettoyage
Recommandé et la durée de vie prévue

Intervalle de Nombre de Méthode de désinfection


désinfection cycles de compatible
recommandé désinfection
Armoire, cordon À chaque 20 Eau de Javel (5,25%) et
d'alimentation changement de solution aqueuse pour un
patient rapport 1:5, Mikrobac
forte, Terralin Protect
Tuyaux d’oxygène, Ne nettoyez pas N/A N/A
raccords de tuyaux, et ne remplacez
lunettes/masque pas entre
nasal, raccord de chaque patient
sortie d’oxygène,
bouteille
d’humidificateur,
filtre à air de
l’armoire
Armoire intérieure À chaque N/A Enlevez la poussière à
en option changement de l’aide d’un aspirateur
Patient

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II.1.5. RÉSUMÉ DE L’ENTRETIEN PRÉVENTIF Patient/aidant
Nettoyez et remettez en place le tubage d'oxygène, la canule/le masque et
la bouteille de l'humidificateur (si utilisée) en observant les instructions du fabricant.
 Lors de chaque inspection
 Lavez/remplacez le filtre de l’armoire.
 Vérifiez les alertes sonores et les voyants lumineux.
 Lors de chaque vérification PM - ne pas dépasser 3 ans pour la série 525
 Inspectez/remplacez le filtre bactériologique d'admission si nécessaire.
Vérifiez la pureté de l'oxygène.
 Lors de l’entretien du compresseur
 Inspectez/remplacez le filtre bactériologique d'admission.
Inspectez/remplacez le filtre du compresseur.

REMARQUE : Aucune portion des chemins du gaz à travers le concentrateur ne


devrait être contaminée par des liquides organiques dans des conditions normales.
La connexion entre l’appareil et le patient peut être contaminée de façon
involontaire avec des gaz expirés si un tuyau à l'intérieur de l'appareil est débranché.
Cet état ne provoque aucun échappement de l'appareil et/ou un état d'alarme. Si cela
se produit, retirez l'armoire avant afin de déterminer l'endroit où la déconnexion a eu
lieu.
 Remplacez tous les composants à partir de l'extrémité libre du
sectionneur par l'orifice de sortie. Référez-vous au schéma pneumatique
et aux références/ instructions des pièces de rechange.

II.1.6. Incompatible avec la RM


 N’utilisez pas l’appareil ni les accessoires dans un environnement de
résonance magnétique (RM), car une telle utilisation pourrait provoquer
un risque inacceptable pour le patient ou endommager les appareils
concentrateurs d’oxygène ou de RM. La sécurité de l’appareil et de ses
accessoires n’a pas été évaluée dans un environnement RM.

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 Ne pas utiliser l’appareil ni ses accessoires dans un environnement avec
des équipements électromagnétiques tels que des scanners, appareils de
diathermie, appareils à puce RFID et systèmes de sécurité
électromagnétique (détecteurs de métaux) qui pourraient causer des
risques inacceptables pour le patient ou endommager le concentrateur
d’oxygène.
Certaines sources électromagnétiques peuvent ne pas être visibles, si vous
remarquez des modifications inexpliquées dans les performances de cet appareil, s’il
émet des bruits forts ou inhabituels, débranchez le cordon d’alimentation et cessez
de l’utiliser. Contactez votre prestataire de soins à domicile. Cet appareil est
réutilisable sur un même patient seulement.

Cet appareil convient à une utilisation à domicile et dans des


environnements de santé sauf à proximité D’ÉQUIPEMENT CHIRURGICAL HF et la
pièce blindée à HF d’un SYSTÈME ME pour imagerie par résonance magnétique, où
l’intensité des PERTURBATIONS magnétiques est élevée

II.1.7. TEST DE LA FONCTION D'ALARME


Surviennent. Les fonctions d'alarme peuvent être testées en suivant les procédures
ci-dessous :

1. Surchauffe :
 Retirez les couvercles avant et arrière du concentrateur, puis débranchez le
ventilateur de refroidissement de la carte de circuit imprimé.
 Replacez les couvercles avant et arrière.
 Placez le concentrateur dans un endroit où la température ambiante est
d'environ 70° F. Branchez ensuite l'appareil à la tension secteur appropriée et
allumez-le.
 Laissez l'appareil fonctionner jusqu'à ce que l'alarme d'entretien se déclenche,
ce qui devrait prendre environ deux heures.

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2. Défaillance du compresseur :
 Retirez le couvercle arrière du concentrateur, puis débranchez le connecteur
électrique du compresseur du faisceau de câbles principal.
 Branchez l'appareil sur la tension secteur appropriée et allumez-le.
 Laissez l'appareil fonctionner jusqu'à ce que l'alarme d'entretien se déclenche,
ce qui devrait prendre environ deux minutes.

3. Faible débit/Obstruction de la voie de passage du gaz :


 Branchez le concentrateur sur la tension secteur appropriée et allumez-le.
 Laissez l'appareil fonctionner pendant plusieurs minutes.
 Éteignez le débitmètre pour qu'il n'y ait pas d'oxygène qui s'échappe de
l'appareil.
 Laissez l'appareil fonctionner jusqu'à ce que l'alarme se déclenche (voyant
rouge et bip sonore).
 Augmentez le débit à 1 l/min et confirmez que la condition d'alarme se
termine.

4. Débit élevé
 Branchez le concentrateur d'oxygène sur le secteur et mettez l'interrupteur
d'alimentation sous tension.
 Laissez l'appareil fonctionner pendant plusieurs minutes.
 Réglez le débit de sortie à plus de 6 l/min à l'aide du bouton du débitmètre
(tourner dans le sens inverse des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que la bille
dépasse 6 l/min).
 La condition d'alarme (voyant jaune) devrait se produire.
 Diminuez le débit à 5 l/min et confirmez que la condition d'alarme se termine.

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5. Défaillance du réseau de production d'oxygène :
 Branchez le concentrateur sur la tension secteur appropriée et allumez-le.
 Tournez le débitmètre à 5 l/min.
 Fixez un autre débitmètre à l'orifice d'oxygène auxiliaire situé à l'arrière du
concentrateur, puis réglez le débit à 3 l/min.
 Laissez l'appareil fonctionner jusqu'à ce que l'alarme d'entretien requis soit
activée, ce qui devrait prendre environ trente minutes.

6. Défaillance de pression :
 Retirez les couvercles avant et arrière du concentrateur.
 Débranchez les tuyaux du haut et du bas de chaque lit de tamis.
 Branchez l'appareil sur la tension secteur appropriée et allumez-le.
 Tournez le débitmètre à 5 l/min.
 Laissez l'appareil fonctionner jusqu'à ce que l'alarme d'entretien requis soit
activée, ce qui devrait prendre environ trente minutes.

7. Données d'alimentation électrique


 Branchez le concentrateur d'oxygène sur le secteur et mettez l'interrupteur
d'alimentation sous tension. Laissez l'appareil fonctionner pendant plusieurs
minutes.
 Avec l’interrupteur principal sur la position de Marche, débranchez le cordon
d’alimentation de la prise murale.
 La condition d'alarme (bip sonore) devrait se produire et se poursuivre pendant
au moins 120 secondes. Il n'y a pas d'indicateur visuel pour cette condition
d'alarme.
 Rebranchez le cordon d'alimentation CA et confirmez que la condition d'alarme
est terminée.

8. Dysfonctionnement - Température du gaz O2S élevée

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 Cette condition d'alarme est testée automatiquement au démarrage.

9. Dysfonctionnement - Réglages corrompus


 Cette condition d'alarme est testée automatiquement au démarrage.

10.Dysfonctionnement - Erreur de soupape non récupérable


 Cette condition d'alarme est testée automatiquement au démarrage.

11.Dysfonctionnement - Défaillance de la communication du capteur d'oxygène


O2S
 Cette condition d'alarme est testée automatiquement au démarrage.

12.Faible concentration d'oxygène - Période de démarrage


 Branchez le concentrateur d'oxygène sur le secteur et coupez l'alimentation
électrique.
 Laissez l'appareil éteint pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que le débit de
sortie soit nul (bille du débitmètre à zéro).
 Mettez l’interrupteur sur la position Marche. La condition d'alarme (voyant
jaune) se produit au démarrage jusqu'à ce que la concentration d'oxygène
atteigne 86 %.

13.Faible concentration d'oxygène - Période de démarrage terminée


 Cette condition d'alarme est testée automatiquement au démarrage. Lorsque
la concentration d'oxygène atteint 86%, le voyant vert s'allume.

II.2. Moniteur multiparamétrique Dinamap V100


C’est l’un des appareils le plus utilisé dans l’hôpital, il permet de suivre en
temps réel les signaux vitaux d’un patient.

21
Cet appareil permet de surveille la pression artérielle du corps humain de
manière continue et dynamique, la saturation en oxygène dans le sang (SPO2) et la
température.
II.2.1. Principe de fonctionnement
Doté d’une autonomie, le moniteur multiparamétrique est constitué des
cartes électroniques qui prennent chacune en charge le processus de prélèvement
par les capteurs, les signaux vitaux et la combinaison avec les algorithmes donne des
résultats fiables cohérents qui s’affiche sur l’écran à sept segments dans un délai bien
court.

II.2.2. Description
Le moniteur multiparamétrique est composé :
 D’un chariot pour assurer sa mobilité d’un endroit à un autre
 Des portes accessoires
 Capteur SPO2
 D’un brassard pour le prélèvement de la pression artérielle
 D’un capteur de température
 D’un écran d’affichage à 7 segments
 Une batterie pour assurer son autonomie en cas de panne électrique

22
Moniteur

Capteur SPO2
Portes accessoires

Chariot

Brassard
Capteur SPO2

Bouton de
MUTE
Bouton
Bouton
start/stop
d’ALARME

Bouton
Bouton + /- d’Historique

Menu Bouton
d’impression

Bouton Power
Connecteur du On/Off
capteur SPO2
Connecteur
Connecteur du de capteur de
Brassard température
Figure II.2.a Figure II.2b : Moniteur DINAMAP

23
II.2.3. Domaine d’utilisation
Le moniteur multiparamétrique est utilisé presque dans tous les services de
l’hôpital sauf dans l’imagerie et dans le laboratoire.
II.2.4. Maintenance
Le moniteur multiparamétrique fait partie des appareils ayant plus de temps
de fonctionnement et les plus utilisés au sein de l’hôpital ce qui augmente aussi les
possibilités de tomber en panne plus fréquemment.
Pour éviter le décroissement des performances de l’appareil, la maintenance
préventive portée sur le moniteur multiparamétrique prévoit des vérifications
régulières et des comparaisons des performances. Quant à la maintenance corrective,
un plan de dépannage rapide lorsqu’une panne survient dont la plus souvent est la
panne des fuites de la tuyauterie qui demande juste un remplacement par une
nouvelle.

II.3. L’ECHOGRAPHE
II.3.1. Définition
Un échographe est un dispositif qui
utilise des ondes ultrasonores afin de réaliser
des mesures ou d’acquérir des images de tissus
mous ou flux sanguins.il s’agit d’ondes
mécaniques dont la fréquence dépasse celle du
spectre des fréquences audibles.

24
II.3.2. Parties de l’échographe

L'échographe est constitué des éléments suivants :

 Une sonde, permettant l'émission et la réception d'ultrasons ;


 Un système informatique, transformant le délai entre l'émission et la réception
de l'ultrason en image ;
 Une console de commande, permettant la saisie des données du patient et les
différents réglages ;
 Un système de visualisation : le moniteur ;
 un système d'enregistrement des données, soit de manière analogique
(cassette vidéo, impression papier), soit de manière numérique
(format DICOM).
 Le tout est disposé sur un chariot mobile, permettant d'effectuer l'examen au
chevet même du patient.

II.3.3. MAINTENANCE ET ENTRETIEN

 Nettoyage de l’échographe (capot, clavier, moniteur, sondes …)


 Nettoyage et vérification de l’aspect général des sondes et leurs câbles
 Nettoyage du filtre et l’intérieur de la cage
 Nettoyage du dispositif de navigation (la boule traçante ou trackball).

25
III. CRITIQUE ET SUGGESTION
L’Hôpital Biamba Marie Mutombo est considéré aujourd’hui comme étant un
centre de formation professionnelle dans le domaine médical. Au-delà des soins
médicaux qu’il offre à la communauté, il accueil chaque année une multitude des
étudiants des différentes facultés pour leur stage notamment : ceux de la médecine,
de soins infirmières, de l’ingénierie Biomédical dont nous faisons partie.
Nous avons été marqués par son administration forte qui fait office du
professionnalisme dans le domaine de la gérance et de l’organisation de tout
l’ensemble de l’hôpital et de chaque service respectif et surtout la discipline qui y
règne, tout ceci a fait grandir en nous une certaine maturité professionnelle, nous a
donnés une nouvelle vision et des nouvelles idées car l’expérience acquise est
polydisciplinaire.
Le biomédical est l’un des services piliers de l’hôpital, il participe au maintien
du bon fonctionnement de l’hôpital et des qualités des soins à offrir et constitue en
soi un grand travail. Une personne qualifiée et compétente peut bien exécuter une
tache mais deux ou plusieurs personnes possédant les mêmes niveaux de
compétences peuvent mieux faire exécuter une tache dans un délai très court par
rapport à cette dernière, cependant nous suggérions à l’entreprise d’améliorer
l’effectif dans le service biomédical pour palier au problème de débordement, et
des leurs faire former pour une bonne cause qui est les maintiens des appareils
médicales qui fait la fierté de l’hôpital pour les bons diagnostique.

26
IV. APPRECIATION PERSONNELLE DES APPORTS ET UTILITE DE STAGE, PROPOSITION
DES NOUVELLES VISIONS PRATIQUE DES COURS THEORIQUES
L’ingénierie biomédical est l’une des branches des sciences appliquées qui est
interdisciplinaires c.à.d. qu’il renferme en soi plusieurs autres sciences notamment la
mécanique, l’électricité, l’électronique, l’informatique, etc… pour ne citer que ceux-là,
les aspirant ingénieurs dans ce domaine doivent être en mesure d’avoir des
connaissances mures dans toutes ces sciences citées ci-hautes pour exceller.
Dans le cadre de notre stage, nous avons pu comprendre ce que c’est
l’ingénierie biomédical bien plus au-delà de nos imaginations. Le stage nous a permis
d’entrer dans le bain de la vie professionnelle qui nous attend et à l’aimer sans
ignorer les risques qui vont de pair.
Nos propositions seraient d’augmenter plus d’heures des pratiques dans les
labos et ateliers, privilégier les visites guidées dans les hôpitaux, usines ou d’autres
entreprises Biomédicales pour permettre l’ouverture d’esprit des étudiants.
Nous suggérons aussi que les étudiants puissent faire les stages académique
chaque année pour leurs préparer dans la vie professionnelle, comme nous l’avons
remarqué à l’hôpital les stagiaires en médecine font plusieurs stages ou ils passent
dans chaque service et ça doit être pareils chez nous les ingénieur biomédical.

27
CONCLUSIONS
En conclusion, ce stage au sein du département technique de l’hôpital
Biamba Marie Mutombo a été une expérience enrichissante et instructive. Nous
avons eu l’opportunité d’appliquer les connaissances théoriques acquises lors de ma
formation à des situations concrètes, ce qui nous permis de mieux comprendre les
enjeux et les défis auxquels le secteur de la santé est confronté.
Le poste d’ingénieur biomédical est essentiel dans l’établissement de tout
centre de santé et doit être occupé par une personne motivée par son travail, n’ayant
pas peur de contact puisque l’aspect relationnel y est très présent tels furent nos
encadreurs. Une des compétences essentielles qu’un ingénieur biomédical doit avoir
concerné l’aspect technique, car il permet notamment de garantir le suivi régulier du
bon fonctionnement des équipements grâce aux maintenances préventives et
curatives.
Nous avons pu observer le fonctionnement d’un service technique dans un
environnement hospitalier, ce qui nous a permis de comprendre l’importance de la
maintenance et de la gestion des équipements médicaux. J’ai également pu apprécier
l’importance du travail en équipe et de la communication entre les différents services
de l’hôpital.
Ce stage nous a également permis de développer nos compétences
techniques et nos capacités d’adaptation. Nous avons appris à travailler sous pression
et à gérer les urgences, compétences essentielles dans le domaine hospitalier.
Enfin, ce stage a confirmé notre intérêt pour le domaine de l’ingénierie
biomédicale dans le secteur de la santé et nous a conforté dans notre choix de
carrière. Nous sommes convaincus que les compétences et les expériences acquises
lors de ce stage seront un atout pour notre future carrière.
Nous tenons à remercier l’équipe du département technique pour leur
accueil, leur disponibilité et leur volonté de partager leurs connaissances et leur
expérience. Ce stage a été une expérience précieuse et nous sommes impatients de
mettre en pratique ce que nous avons appris.

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Table de Matières
AVANT PROPOS...................................................................................................................................................1
INTRODUCTION...................................................................................................................................................2
Première partie : L’HOPITAL BIAMBA MARIE MUTOMBO...................................................................................3
CHAPITRE I. GENERALITE SUR L’HBMM...............................................................................................................3
I.1. La situation géographique.........................................................................................................................3
I.2. L’histoire de l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO...................................................................................3
I.3. Statut juridique.........................................................................................................................................4
I.4. Sources de financement............................................................................................................................4
I.5. L’organisation et le fonctionnement de l’Hôpital BIAMBA MARIE MUTOMBO.........................................6
I.5.1.Organisation........................................................................................................................................6
I.5.2. Fonctionnement.................................................................................................................................6
I.6. Conclusion Partielle.................................................................................................................................10
Deuxième partie : Quelques appareils..............................................................................................................11
CHAPITRE II. LISTE DES APPERIELS ÉTUDIÉS......................................................................................................11
II.1. CONCENTRATEUR D’OXYGENE OU EXTRACTEUR D’OXYGENE................................................................11
II.1.1. Définition.........................................................................................................................................11
II.1.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT...................................................................................................12
II.1.3. DUREE DE VIE..................................................................................................................................12
II.1.4. ENTRETIEN ET MAINTENANCE PREVENTIVE....................................................................................12
II.1.5. RÉSUMÉ DE L’ENTRETIEN PRÉVENTIF Patient/aidant......................................................................15
II.1.6. Incompatible avec la RM.................................................................................................................16
II.1.7. TEST DE LA FONCTION D'ALARME...................................................................................................17
II.2. Moniteur multiparamétrique Dinamap V100.........................................................................................20
II.2.1. Principe de fonctionnement............................................................................................................20
II.2.2. Description......................................................................................................................................20
II.2.3. Domaine d’utilisation......................................................................................................................22
II.2.4. Maintenance...................................................................................................................................22
II.3. L’ECHOGRAPHE......................................................................................................................................22
II.3.1. Définition.........................................................................................................................................22
II.3.2. Parties de l’échographe...................................................................................................................23
II.3.3. MAINTENANCE ET ENTRETIEN.........................................................................................................23
III. CRITIQUE ET SUGGESTION.......................................................................................................................23

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IV. APPRECIATION PERSONNELLE DES APPORTS ET UTILITE DE STAGE, PROPOSITION DES NOUVELLES
VISIONS PRATIQUE DES COURS THEORIQUES...............................................................................................24
CONCLUSIONS...................................................................................................................................................25
Table de Matières.............................................................................................................................................26

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