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-TRAVAIL-PATRIE PEACE-WORK-FATHERLAND
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MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE MINISTRY OFPUBLIC HEALTH
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FONDATION NYACKE NGOLLO DE SOUZA NYACKE NGOLLO FONDATION OF SOUZA
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SOMMAIRE
SOMMAIRE................................................................................................................................i
DEDICACE................................................................................................................................ii
REMERCIEMENTS.................................................................................................................iii
LISTE DU ABREVIATIONS...................................................................................................iv
INTRODUCTION......................................................................................................................1
CONCLUSION.........................................................................................................................15
DEDICACE
JE DÉ DIE CE TRAVAILLE
A nofamille
ii
REMERCIEMENTS
Nous ne pouvons commencer se travaille sans toutefois remercier l’Eternel Dieu tout
puissant pour tous ses grâce et ses bien fais
iii
LISTE DU PERSONNELS
I. Personnels administratifs
iv
INTRODUCTION
I. DONNÉES GÉOGRAPHIQUES
1. Localisation
MBOUROUKOU est un village situe dans le département du MOUNGO en général et
dans l’arrondissement de MELONG, plus particulièrement à 7km de la ville de MELONG.
Elle est limite au Nord par le CSI de MELONG centre, au sud par l’aire de BARE à L’ouest
par l’aire de sante de NDOKOU et à L’est par l’aire de sante de MELONG II.
1-2-2-Relief
Un relief fait de plaine et de savanes.
1-2-3-La flore
Une forêt tropicale et le Mont MANENGOUBA. Le MUKA PARK, Villa KLEBER
CHOLLIER et LUCIOLE qui sont les sites touristiques.
1. Agriculture
L’agriculture essentiellement vivrière et est orienté vers la commercialisation. Le
système de production est extensif caractérisé par une forte utilisation des intrants ; il s’agit
d’une agriculture traditionnelle dont l’outillage est constitué de houe, machette,
pulvérisateurs, arrosoirs. Les cultures quand t’a elle regroupé les palmiers à huile, le manioc,
le maïs, plantain, le piment, le haricot, et les tomates.
2. L’élevage
On note la présence de l’élevage traditionnel caractérisé par la divagation des bêtes. Ici
l’élevage des bovins est pratiqué essentiellement par les MBORORO dans les hauteurs du
mont MANENGOUBA. Nous avons aussi l’élevage des volailles.
1. Habitats
Dans cette localité les maisons sont construites beaucoup plus en planche et d’autre en
dur.
1. Localisation
Le CSI de MBOUROUKOU situé à 8km du CSI de MELONG centre est localise dans
le quartier MBOUAKE.
2. Historique du centre
Le CSI de MBOUROUKOU voit le jour en 1949 par les allemands avant
l’Indépendance du Cameroun.
3. Infrastructure
Le CSI de MBOUROUKOU abrite deux grands bâtiments. Le premier bâtiment est
constitué de la salle d’accueil, le bureau de consultation de l’infirmier chef, la salle de soins,
Deux salles d’hospitalisation et de la pharmacie. Le deuxième bâtiment quant à lui est
constitué de service de laboratoire, salle d’accouchement et une suite de couche.
4. Personnels
5. Equipement / Matériel
Nous avons :
- Un microscope
- Une centrifugeuse
- 2 chariots
- Un réfrigérateur
- 8 lits d’hospitalisation
- Les moustiquaires
- Un pèse bebe, pèse personne
5
- Un tensiomètre, thermomètre
6. Organisation du travail et fonctionnement
Le travail commence à 08h et se termine à 16h et lorsqu’il Ya un patient hospitalisé en
soirée un infirmier fera la garde.
7. Circuit de patient
ACCUEIL
CAISSE
CONSULTATION SORTIE
B- Activité menée
a) Dans le centre
Nous avons réalisé multiple tâche tels que :
Participer à la vaccination (VAT, RUBEOLE)
Accompagner le CCSI dans la réalisation des circoncisions
Soins aux patients atteint de rhumatisme
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b) Dans la communauté
8. Visite à domicile
But visé ici était les échanges avec la communauté qui se penchais sur :
- Utilisation des MILDA
- Traitement des ordures ménager
- Entretien des latrines
- Importance de l’allaitement maternel
I. Etude de cas théorique : sur la prévalence de la rougeole chez les enfants âgée de 0 à 5
ans cas du CSI de MBOUROUKOU
I.1.a- définition
La rougeole est une maladie virale grave extrêmement contagieuse. Avant que la
vaccination ne soit introduite en 1963 et quel ne se généralise, on enregistrait tous les 2 /3 ans
d’importante épidémies qui pouvais causer environ 2,6 millions de décès par ans.
I.1.f - Traitement
Il n’existe pas de traitement anti viral spécifiquement contre la rougeole. Une prise en
charge clinique approprier permet de réduire les complications graves de rougeole. Le malade
doit être correctement nourrit, avoir un apport hydrique suffisant et réhydratation oral
recommandé par l’OMS.
Il convient d’administré a tout enfant pour lequel on pose le diagnostic de rougeole
deux dose de complément Vitamine -A en 24 heures d’intervalle.
Le traitement permet de pallier le déficit en Vitamine-A qu’entraine la maladie même
chez les enfants bien nourrit et peut aider à prévenir les liaisons oculaire et la cécité.
I.1.g- Prevention
L’adoption des gestes barrière permet de limite la propagation de rougeole, comme
celle des virus de l’hiver.
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Se laver les mains avec de l’eau et du savon avant et après chaque contact avec
votre enfants ou adolescent atteint de rougeole et apprenez à votre enfant à se
laver correctement et fréquemment les mains
Apprenez à votre enfant ou adolescent à se couvrir la bouche et le nez avec un
mouchoir jetable lorsqu’il éternue ou tousse
Si vous aviez la rougeole, porter un masque pour limiter la propagation du virus
Eviter d’embrasser votre enfant et dissuadé s’en ses frères et ses sœurs, même non
malade
Le vaccin est le moyen le plus sûr pour mettre nos enfants à l’abri
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A. GÉNÉRALITÉS ET DÉFINITION
Le paludisme (Malaria en anglais) est une maladie causée par un parasite du genre
PLASMODIUM ; il comporte plusieurs espèces parmi lesquelles :
- FALCIPARUM : qui sévit sur le continent africain, il est plus agressif et Responsable
de la moitié des décès liés au paludisme.
- VIVAX est surtout présent en Asie, Amérique latine et certaines régions d’Afrique.
- OVALE retrouvé en Afrique de l’Ouest.
- MALARIA et KNOWLESI sont moins fréquents. Elle est qualifiée de grave
lorsqu’un organe vital est atteint, soit suite à un retard de prise en charge.
B. MODE DE TRANSMISSION
Elle se transmet à Lhomme par la piqure d’un moustique (la femelle du genre
Anophèle) infecté, et plus rarement lors d’une transfusion sanguine ou par transmission mère-
enfant pendant la grossesse.
qualifié de grave lorsqu’un organe vital est atteint, soit d’emblée soit de suite à un retard de
prise en charge. Les complications sont diverses :
Détresse respiratoire
Insuffisance rénale
Coma
Convulsion
Qui peuvent entrainer des séquelles irréversibles ou le décès. Ce risque de paludisme
Grave concerne essentiellement les voyageurs et enfants n’ayant pas encore été Infectés.
D. EXAMEN COMPLÉMENTAIRES
Le diagnostic est confirmé par la mise en évidence du plasmodium dans le sang par
Un examen microscopique par les techniques de frottis sanguin et goutte épaisse TDR est
fondé sur la recherche de protéine spécifique ou un antigène du parasite.
E. TRAITEMENT
Il est fait uniquement par voies parentérales (intraveineuse et intramusculaire).
Comme médicaments, nous avons en première intention L’ARTESUNATE qui, est
administré par voie intraveineuse et intramusculaire pour une durée d’au moins 3 jours ; en
deuxième intention, nous avons L’ARTHEMETER injectable qui est administré.
Exclusivement par voie intramusculaire pour une durée d’au moins 5 jours ; en
Troisième intention, nous avons LA QUININE qui est hypoglycémiante et se passe dans la
Solution de Ringer lactate pour une durée d’au moins 4 jours. Après ce traitement, le Patient
reçoit un relais d’ACT lorsqu’il est capable de manger et de boire par lui-même.
F. prophylaxie
Elle est essentiellement basée sur la prise de TPI (traitement préventif intermittent) ;
Nous avons entre autres les mesures comme :
- L’usage de MILDA (moustiquaire imprégnée a longue durée d’action)
- Le nettoyage des alentours de la maison et l’évacuation des eaux usées loin des
domiciles
- L’usage des produits de répulsifs à moustiques.
- Le nettoyage constant des latrines et un tri ordonné des déchets de la maison ainsi que
le port des vêtements propres et secs.
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CAS CLINIQUE
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Tout au long de notre stage nous avons rencontré quelque difficulté auxquelles nous
proposons d’apporter des solutions.
1. Au niveau du centre
2. Dans la communauté
Problèmes Suggestions
Absence des MILDA dans certains Approvisionnement en MILDA
ménages
Présence des herbes aux alentours Organiser les journées propres
Absence d’eau potable Révision de la tuyauterie
Non fréquentation du centre Sensibiliser la population
NB : Bien que cela n’ait empêché en rien le remplissage de nos objectifs de stages à
60%, l’attitude des agents de santé communautaire dans le cadre des descentes sur le terrain
est à souligner. Comme solution, nous exhortons le COSA et son staff à plus de collaboration
avec les stagiaires et une plus grande implication dans les stages communautaire.
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CONCLUSION
En somme notre formation qui ses dérouler sur une période d’un an a été marqué par
des stages hospitalier et communautaire dans plusieurs services ou nous avons eu
l’opportunité de maitre en pratique les connaissances théoriques reçu. Nous pouvons déduire
que notre stage ne s’est pas bien déroulé au regard du des actives menés et observés. Par
ailleurs il ressort de notre étude de cas que la rougeole ne constitue pas un danger permanent
pour les enfants de 0 à 5 ans vivant dans la localité de MBOUROUKOU. Le CCSI avec
l’appui des chefs communautaire devraient organiser des campagnes de sensibilisation des
populations au sujet de rougeole enfin d’encourager les parents à vacciner les enfants pour
continuer à lutter contre la rougeole.
15
ANNEXES
16
Annexe 2
17
ANNEXES 3 :
18
TABLE DE MATIERES
SOMMAIRE................................................................................................................................i
DEDICACE................................................................................................................................ii
REMERCIEMENTS.................................................................................................................iii
LISTE DU PERSONNELS.......................................................................................................iv
LISTE DES ABREVIATIONS..................................................................................................v
INTRODUCTION.....................................................................................................................1
CONCLUSION.......................................................................................................................15
ANNEXES................................................................................................................................16
TABLE DE MATIERES..........................................................................................................19
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