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SOMMAIRE
GENERALITES SUR LA CIRCULATION ROUTIERE
ORGANISATION ET MISSIONS DE L’ARME
LE RESEAU ROUTIER
LE RESEAU ROUTIER
LA RECONNAISSANCE D’ITINERAIRE DE ZONE OU DE POINT
PARTICULIER
LES SYMBOLES DE RECONNAISSANCE D’ITINERAIRE
CALQUE DE RECONNAISSANCE
LE COMPTE RENDU DE RECONNAISSANCE
LE RESEAU DE LA MANOEUVRE
LES PRINCIPAUX PANNEAUX DE SIGNALISATION
LES REGLES DE POSE DE LA SIGNALISATION
LA SIGNALISATION DES ITINERAIRES CLASSES
LA PATROUILLE DE CIRCULATION
PRESENTATION DE LA PATROUILLE DE CIRCULATION
LE ROLE DES PERSONNELS DE LA PATROUILLE
L’AGENT DE CIRCULATION ROUTIERE
LES GESTES DE L’ACR
LA FICHE DE CONSIGNE DE L’ACR
LES LIAISONS ET TRANSMISSIONS DE LA PATROUILLE
LA VIE DE LA PATROUILLE EN COMPAGNE
LA SURETE DE LA PATROUILLE EN DEPLACEMENT ET A L’ARRET
LA SURETE DE LA PATROUILLE AU STATIONNEMENT
LES ORDRES DU CHEF DE PATROUILLE
LES COMTES RENDUS DU CHEF DE PATROUILLE
LA PREPARATION D’UNE MISSION DE CIRCULATION
PCR DANS UNE MISSION D’APPUI AUX TRAVERSEES DE DISPOSITIF (LE RECUEIL)
PCR PARTICIPE A L’ACTION SUR LES MOUVEMENTS DES POPULATIONS
SURVEILLANCE MOBILE
SURETE DE L’ECR :
AU STATIONNEMENT ;
EN DEPLACEMENT.
GENERALITES SUR
LA CIRCULATION
ROUTIERE
5
LES PRINCIPES D’ORGANISATION
DE LA CIRCULATION
I- GENERALITES :
- En appui direct : au bénéfice exclusif d’une formation pour faciliter son déplacement.
II - MISSIONS :
Elles ont pour but de faciliter les déplacements de toute nature des Forces en fonction
des ordres donnés à la circulation du plan de circulation et des consignes de circulation.
6
Les unités de circulation peuvent effectuer des escortes mobiles sur un axe ou dans une
zone.
III- ORGANISATION :
7
PATROUILLE DE
CIR
8
9
LE RESEAU ROUTIER
LE RESEAU ROUTIER
I- DEFINITION :
1 – Le réseau routier :
Le réseau routier d’une zone d’action est constitué par l’ensemble de voies
carrossables normalement entretenues et ouverte à la Circulation.
Son maillage
Son orientation
2 – Un itinéraire :
Sa classe
Sa largeur
Son type
Son débit
II-TYPE D’ITINERAIRE :
Type X : Route praticable toute l’année, quel que soit les conditions
atmosphériques « tout temps ».
10
Type Z : Route de beau temps « impraticable par mauvais temps ».
LA RECONNAISSANCE D’ITINERAIRE DE
ZONE OU DE POINT PARTICULIER
I – DEFINITION :
La reconnaissance s’effectue :
- Le degré de sécurité ;
11
La quantité et la précision des renseignements recueillis dépendent des délais
consentis pour l’exécution de la mission.
Le débit d’itinéraire
La sécurité ;
La forme, les lieux, les heures et le mode de transmission des comptes rendus.
12
LES SYMBOLES DE LA RECONNAISSANCE
D’ITINERAIRE
10 à 12
Virage aigu (rayon 25m)
2
Ferry
40/40T
BA Franchissement par BAC (largeur 40-portance
4T)
C
Franchissement par guet (largeur 30-
Fo profondeur 1,5T)
13
rd
II-PONTS ET POSSIBILITES DE DEVIATION :
- Couverts :
persistant.
- Ponts :
100
2
9
1
Pont n°2 de classe 100 (déviation
Pont n°1 de classe 95 impossible)
(déviation facile)
100
05
14
Pont n°5 de classe 100 (déviation difficile)
CALQUE DE RECONNAISSANCE
I- GENERALITES :
Joint au compte rendu écrit de reconnaissance, il reproduit les itinéraires reconnus et les obstacles
rencontrés.
- L’échelle de la carte,
NB : tout renseignement qui ne peut être inscrit sur le calque doit figurer
sur le compte rendu de reconnaissance
Formule de Reconnaissance
10 m / X / 80 / 4 m / OB (T)
1 2 3 4 5
1- Largeur de l’itinéraire en m.
15
2- Type d’itinéraire
3- Classe de l’itinéraire
4- Hauteur limitée
5- Obstacles.
CALQUE DE
- Carte – Mohammedia.
- Echelle 1/50000
6,0 4,5 5
6,0 5,0
40
2
250
5 m / Y / 45 (OB) (W)
4
410
275
Ώ
80 6
3
1 m 4
/Y 5 m / X / 40 360
/ (OB)
80
(O
B)
16
le …………………………….
MDL…..chef Patrouille n°……
Peloton n°……………
17
LE COMPTE RENDU DE RECONNAISSANCE
I- GENERALITES :
C’est un document qui comporte généralement une synthèse des renseignements recueils sur les
itinéraires reconnus indiquant :
L’aptitude au trafic ;
Le débit au point critique ;
Tous les renseignements qui ne peuvent figurer sur le calque pour
des raisons de bonne lisibilité ;
Un calque de reconnaissance renseigné à l’aide des signes
conventionnels.
G.D.H :
A– Renseignements Généraux
Désignation de la route :
Découpage en Section :
18
B– Classification de la route
Section 1 ……………………………
Section 3 ……………………………..
C– Obstacles :
Renseignement :
D– Annexes jointes :
Fiche Complémentaire
Le ……………………….
Signature :
19
EXEMPLE :
20
21
LE RESEAU DE MANOEUVRE
I- DEFINITION :
Début et classe
Orientation
Utilisation
Spécialisation
Début d’un itinéraire est défini par le nombre de véhicule passant en un point en un
temps donné (le début s’exprime en VH/H.
Pénétrantes : itinéraires reliant l’arrière avec le front, désigné par des nombres
impairs, représentées sur les cartes et les calques par une couleur rouge, les
pénétrantes sont orientées par rapport au front.
22
Rocades : itinéraires reliant plusieurs pénétrantes entre elles désignées par des
nombres pairs, représentées sur les cartes et les calques par une couleur verte.
Les rocades sont orientées par rapport aux points cardinaux.
3.3-3. Variante : itinéraire qui permet à une colonne de rejoindre un nouveau point
de destination fixé en cours de déplacement.
Itinéraire de Ravitaillement : utilisé les éléments Log pour livrer les Rav.
Itinéraire d’évacuation : destiné à l’évacuation du personnel et matériel.
Itinéraire de repliement : destiné au repli des populations civiles.
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IV- LES ITINERAIRES CLASSES :
La pénétrante est un itinéraire reliant une zone de l’arrière à une zone de
l’avant. Cet itinéraire est représenté sur les calques en rouge et désignée par la
lettre P, affectée d’un numéro impair.
N R26
P11
...
P13
R26
R24
.
3
R24
.. ..
. 3
4 .
... Point
d’ancrage
Plle 5
.
R22
R22 4
... P13
P11
24
LES PRINCIPAUX PANNEAUX DE
SIGNALISATION
La signalisation est une mission d’appui au mouvement qui a pour but d’apporter aide aux
unités pour faciliter leurs déplacements. On distingue trois types de signaux :
16
Tourner franchement à
Tourner à droite P16 droite
P16
13
Signal utilisé au début de la
pénétrante ou lorsqu’il est
nécessaire de rendre la
signalisation plus visible. 11
Pénétrante 11
Tout droit 25
Tout droit
11
11
22 22
N S
35
DEVIATION FIN DE
DEVIATION
26
1.4- Signaux indicateurs de position :
…
1 2 GA
500 m
P.C
1.3-du 1°peloton
Signaux de circulation
indicateurs du 2°Escadron.
d’itinéraires non classés :
Dépôt de munitions du
Groupe Artillerie Royale
500 m à droite
Front
RABAT
16 KM
Militaire
II- SIGNAUX DE PRESCRIPTION :
SENS
SENS
40 Km/h INTERDIT
UNIQUE
30 50
STOP 30
MINES
PIEGES
28
III- SIGNAUX DE DANGER :
ROUTE
INNONDE
Carrefour en Y
29
LES REGLES DE POSE DE LA SIGNALISATION
I-REGLES DE POSE :
La signalisation exige l’application des règles techniques suivantes :
Quel que soit leur catégorie les signaux sont placés :
31
LA SIGNALISATION DES ITINERAIRES CLASSES
Avertir un danger.
Bavette
17
4 4
N S
Rocade 4 vers le Nord Rocade 4 vers le Sud
Disque 32
Les disques ont toujours une flèche non barré
Les rocades sont toujours orientées par rapport aux points cardinaux
LA PATROUILLE DE
CIRCULATION
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PRESENTATION DE LA PATROUILLE DE
CIRCULATION
I- DEFINITION :
ARMEMENT
PERSONNEL TRS MOYENS
IND COLL
-1 VLTT Radio
-1 VLTT
- 2 S/OFF -1 E/R
Armement
-4 TALKIE
8 PM 1 cal 30 -2 MOTOS
-6 H.D.T WALKIE
-RQ 1T
-CITERNE A
EAU 1000 LTS
La patrouille agit :
Soit dans le cadre de son peloton.
Soit en renforcement temporaire avec un autre peloton, il peut être utilisé seul, hors du
cadre du peloton pour des missions de courte durée.
34
Soit sur un itinéraire.
IV- POSSIBILITES :
Effectuer un pointage. ;
Baliser 5 km d’itinéraire. ;
Flécher 10 à 20 km en 1 heure.
35
LE ROLE DU PERSONNEL
DE LA PATROUILLE
PERSONNEL :
MATERIEL :
EN COMPAGNE :
En compagne, il est pour ses hommes un exemple et un guide. Son action s’exerce avant, pendant
et après la mission.
- Etudie sa mission ;
- Donne son ordre préparatoire ;
- Prépare la documentation nécessaire pour la mission ;
36
- Vérifie l’état de son personnel et de son matériel.
Pendant la mission, le chef de patrouille s’efforce de maintenir en toutes circonstances la liaison
avec son chef de peloton dont il doit connaitre l’emplacement exact du PC.
L’adjoint au chef de patrouille doit être en mesure de remplacer inopinément le chef. Il est
spécialement chargé de la tenue des documents de la patrouille et de la surveillance du matériel.
Pendant l’exécution des missions, il maintient la liaison avec son chef de patrouille suivant les
ordres reçus.
- Alerte du personnel,
- Repli du dispositif,
- Ravitaillement – distributions,
- Chargement.
Il est responsable :
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L’AGENT DE CIRCULATION ROUTIERE
I – L’ACR DOIT :
Faire preuve d’autorité,
II- ATTITUDE :
Fermer mais courtoise,
Patiente,
compréhensive,
L’ACR doit être dans une tenue irréprochable, il ne fume pas, ses gestes doivent
être énergiques, précis et conformes à ceux définis au STANAG 2025. Tout le personnel
du poste ou patrouille, gardés compris peut être appelé à remplacer l’ACR.
L’AGENT A DES EFFETS D’OUTORITE :
39
Brassard
Crispins
Bouderie blanche
LES GESTES DE
L’AGENT DE CIRCULATION ROUTIERE
I – GENERALITES :
I- LA DEFINITION :
II- COMPOSITION :
A- SITUATION :
41
Amie : faire un croquis simple donnant nom des villes, village, positions de
l’A.C.R, chef poste, chef de peloton.
B- MISSIONS DE L’A.C.R :
C- CONSIGNES DE CIRCULATION :
A FAIRE RESPECTER
Sens de circulation,
Vitesse de jour et de nuit,
Eclairage,
Priorités.
D- SOUTIEN - APPUI :
Dépannage à …………
Poste de secours à …………………
Hôpital à …………………
P.C peloton à …………………
E- RENSIEGNEMENTS A OBTENIR :
sur le trafic
Déplacement
Identificati Nombre
Lieu heure Obs.
on VHL
Venant Allant
de vers
42
Renseignements particuliers.
43
LES LIAISONS ET TRANSMISSIONS
DE LA PATROUILLE
I– GENERALITES :
II- GENERALITES :
45
chef de peloton à proximité d’un point sensible de l’itinéraire, il est signalé à l’aide
du panneau noir, il permet aux usagers de la route de localisé le PC de la patrouille
et l’ACR.
LA SURETE DE LA PATROUILLE
EN DEPLACEMENT ET A L’ARRET
I – GENERALITES :
- Au danger aérien ;
- Au danger terrestre ;
- Aux attaques N.B.C.
La menace étant définie, les patrouilles progressent généralement groupées,
l’arme automatique prête, les conducteurs prêts à manœuvrer.
46
Chaque équipage doté d’une arme automatique collective doit être en mesure
d’appuyer l’autre par les feux de cette arme.
47
LA SURETE DE LA PATROUILLE
AU STATIONNEMENT
I- SURETE AU STATIONNEMENT :
Sur ordre, ou si les conditions de la mission l’exigent, la patrouille peut
stationner dans un emplacement en sûreté au sein de son peloton ou isolé, à cet effet
le chef de patrouille doit :
- Choisir l’emplacement favorable ;
- Organiser la relève.
N
.
.
C
48
Poste N°1
CONSIGNES D’ALERTE :
LEGENDE :
49
LES ORDRES DU CHEF DE PATROUILLE
I-GENERALITES :
Le dispositif initial ;
- Les moyens ;
- L’action à mener ;
- L’emplacement du PC.
Ces indications doivent être précédées par des renseignements d’ambiance comme
la mission du peloton, manifestations possibles de l’ennemi, activités amies,
attitude de la population.
50
Le chef de patrouille adresse à son chef de peloton les comptes rendus qui lui ont
été prescrites dans l’ordre initial. En outre, il rend compte systématiquement :
- Du départ de la patrouille ;
- De l’achèvement de la mission.
51
LES COMPTES RENDUS
DU CHEF DE PATROUILLE
I- GENERALITES :
Les comptes rendus de la circulation sont destinés à informer le chef de déroulement de la
mission et des renseignements tirés. Le chef à cet effet doit rendre compte en respectant des
rubriques bien précises afin de transmettre le renseignement d’une manière précise exacte et
simple.
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Carte utilisée : (Type – Echelle).
G.D.H :
A– Renseignements Généraux
Date et heure de la reconnaissance :
Désignation de la route :
Découpage en Section :
a- Section 1 de …………… à ………………
b- Section 2 de …………… à ………………
c- Section 3 de …………… à ………………
B– Classification de la route
Section 1 ……………………………
Section 2 ……………………………
Section 3 ……………………………..
Accotement : Utilisables ou susceptible d’être améliorés.
C– Obstacles :
Renseignement :
N° d’ordre Caractéristiques Coordonnées Sections Observations
D– Annexes jointes :
Fiche Complémentaire
Calque de reconnaissance
53
LA PREPARATION D’UNE MISSION
DE CIRCULATION
I- INTRODUCTION :
Il serait illusoire et dangereux de penser donner des ordres sans avoir effectué
au préalable une analyse objective de toutes les données des problèmes qui se pose
au chef pour remplir sa mission ;
Dès qu’il a une idée claire et précisé de ce qu’il faut faire dans l’espace et dans le
temps, le chef de patrouille détermine comment faire pour assurer le succès de sa
mission et le traduit en ordre : qui fera quoi ?
54
III- LA MISE SUR PIED :
Il se fait par l’adjoint pendant que le chef étudie sa mission pour donner l’ordre
initial
Perception :
Vivres ; carburants, ingrédients ; matériel de santé ; munitions ; piles ; matérielles O.T.
55
LA PATROUILLE EN
MISSIONS
DE RENSEIGNEMENT
56
RECONNAISSANCE D’ITINÉRAIRE, DE ZONE
OU DE POINT PARTICULIER
I-GENERALITES :
Les unités de circulation ont pour mission permanente de :
Recueillir et transmettre le renseignement ;
II- DEFINITION :
A- RENSEIGENEMENTS A OBTENIR :
57
- Les délais
- Les moyens mis en œuvre
- Sûreté, Consignes N.B.C
I- LE POINTAGE :
1.1 – Définition :
Relever en un point, lieu bien précis et fournir rapidement les
renseignements demandés par le commandement concernant le trafic en général ou
de déplacements particuliers.
POINTAGE
POINTAGE
50
Préavis Exécution
58
- Incidents signalés.
II- LE CONTROLE :
2.1– Définition :
Le contrôle Permet au commandement d’être informé avec précision de
l’exécution des mouvements correspondant à une planification, établie à l’avance
cette mission est exécutée sur ordre.
Le contrôle peut être organisé en un point ou sur une ligne de contrôle
(Rocade de contrôle). Dans ce cas, le peloton peut mettre en œuvre une patrouille de
contrôle directeur commandé par le chef de peloton et une à trois patrouilles de
contrôle subordonnés.
2.2 – Signalisation :
CONTROL
CONTROLE CONTROL
E
E
10K 2K STOP
2.3 - Mécanisme :
Les chefs d’éléments, si possible devancent leur colonnes doivent de
présenter au poste de contrôle pour rendre compte du déroulement de leur
déplacement. Dans ce cas l’heure de passage tête et queue sont notées, sinon tous
les véhicules sont arrêtés pour prendre les renseignements.
59
RENSEIGNEMENTS SUR
LES ACTIVITÉS ENNEMIES
I- GENERALITES :
60
61
RENSEIGNEMENTS SUR LES EFFETS NBC
I – GENERALITES :
- But de la reconnaissance
- Secteur a reconnu
- Marquage de la zone.
A- MOYENS :
B- MECANISME :
63
INFORMATION DES UTILISATEURS
DU RÉSEAU ROUTIER
I- PRINCIPE :
Au cours de leurs déplacements, Les chefs d’éléments ou les isoles utilisant
les itinéraires doivent trouver auprès de la circulation les informations susceptibles
de faciliter leur mission.
Il est fourni par l’équipement circulation mis en place sur les itinéraires :
Personnel de la circulation :
- Agents ;
65
LA PATROUILLE EN
MISSION D’APPUI AU
MOUVEMENT
66
SIGNALISATION DES ITINERAIRES CLASSES
I-GENERALITES :
Le balisage vise à faire circuler des véhicules de nuit tous feux éteints, sans
risque d’erreur, sans risque d’accident, et en échappant à la vue naturelle d’un
observateur terrestre ou aérien ennemi.
III-PRINCIPES :
- Lorsque l’éclairage est normal, la signalisation de nuit est la même que celle
de jour.
- Lorsque l’éclairage est réduit et que le niveau de la nuit le justifie, il peut
être nécessaire d’éclairer la signalisation à l’aide de boites lumineuses,
utilisées dans ce cas comme source de lumière, judicieusement placées soit
au sol, soit sur des piquets.
- lorsque les feux Black-out sont utilisés, les boites lumineuses sont
systématiquement mises en place, elles sont équipées de voyants
translucides sur lesquels est reproduite la signalisation.
IV- ORGANISATION D’UN ITINERAIRE BALISE :
Principes de la mise en place de la signalisation :
- Balises crèmes à droites (minimum 3 visibles)
67
- Boites lumineuses (début d’itinéraire balisé, fin d’itinéraire balisé – indications)
I-GENERALITES :
Tout peloton de circulation déployé dans une zone pour y remplir une mission
d’appui au mouvement en action d’ensemble doit, après les reconnaissances et la
mise en place de l’équipement de circulation, assurer la surveillance des itinéraires
équipés.
68
III–MODE D’ACTION :
La surveillance des itinéraires est entreprise dès la fin de la mise en place de
la signalisation, elle est poursuivie pendant toute la durée de la mission du peloton.
EXECUTION AU NIVEAU PATROUILLE :
Etablir un plan de travail :
A-SURVEILLANCE DU TRAFIC :
B-POINTAGE :
69
Cette opération s’effectue sans arrêt des éléments en déplacement. Elle
est remplie par des patrouilles de circulation qui peuvent, en fonction des
ordres du chef de peloton :
C- CONTROLE :
I- DEFINITION :
Accompagner une formation ou un élément consiste à faciliter son
déplacement en lui indiquant la direction à suivre tout au long de son parcours et
en le protégeant de l’ensemble de la circulation lors des franchissements de points
difficiles.
Procédés : Fléchage - Jalonnage
Les procédés utilisés dépendent de :
La longueur de l’itinéraire et ses difficultés (agglomérations).
70
Les délais accordés et nombre de véhicules.
II- LE FLECHAGE :
Permet de matérialiser la direction à suivre par l’élément appuyé, employé de
préférence lorsque la formation est fractionnée en plusieurs colonnes.
- Une patrouille de circulation peut flécher 20 à 30 km d’itinéraires en une heure.
- Un peloton de circulation peut flécher 60 km d’itinéraires en une heure
(flèches en bois) et 150 à 180kms d’itinéraires avec des flèches en papiers
collées sur des supports naturels.
III- LE JALONNAGE :
Vient généralement en complément du fléchage, permet de matérialiser de
façon plus visible et plus sur certains changements importants de direction,
d’appuyer plus efficacement l’élément en déplacement.
- En agissant éventuellement sur les autres courants de circulation.
71
I- GENERALITES :
Un courant de circulation peut être interrompu par :
- Pilotage
- Filtrage
Mode d’action :
- Compte-rendu.
III-LE PILOTAGE :
72
But :
Mode d’action :
Signalisation :
PILOTAGE
PILOTAGE STO
STOP
P
50
Préavis
Exécution
73
III-GUIDAGE :
But :
Assurer la direction d’une colonne de véhicules et faciliter sa progression :
- Soit sur une portion d’itinéraire rendue difficile du fait de l’ennemi, d’un
obstacle ou d’une circulation intense ou de la nuit.
- Soit le long d’une déviation.
- Soit au cours d’une traversée d’agglomération.
Le guidage s’exécute généralement sur des distances courtes.
Mode d’action :
Une patrouille de circulation peut guider 10 à 15 Véhicules. La patrouille
chargée du guidage, progresse en tête et s’articule en 2 parties.
IV-LE FILTRAGE :
But :
Limiter l’accès d’un itinéraire ou d’une zone :
- Aux autorités ou formations autorisées.
- Aux véhicules de caractéristiques données : (classe – gabarit).
- Aux véhicules bénéficiant d’une protection NBC : (zone contaminée).
- Aux véhicules devant emprunter un itinéraire balisé.
Le filtrage est mis sur ordre du Commandement.
Mode d’action :
Signalisation :
STO
STO
FILTRAGE
P
P 74
50 FILTRAGE
Exécution
V-INTERDICTION D’ITINERAIRE OU DE ZONE :
But :
- Arrêt des courants de circulation.
- Faire contourner l’itinéraire ou la zone.
- Renseigner les usagers et communiquer les prescriptions du
Commandement.
Mode d’action :
Mettre en place :
75
PARTICIPATION A LA REGULATION
I – GENERALITES :
La régulation consiste à modifier en cours d’exécution les directions de
marche des éléments ou le rythme de progression initialement prévu. Il implique
parfois l’arrêt de certaines colonnes et leur mise en attente dans une zone de
garage.
Cette action est menée à partir d’un poste de régulation placé sous les
ordres d’un officier régulateur désigné par le commandement et disposant :
Des moyens de transmissions et des moyens de circulation (peloton).
II- ORGANISATION :
Les conditions de mise en place et de signalisation du poste de régulation
sont identiques à celles définis pour le poste de contrôle.
P1
R2
3
Garage
d’attente
2
1
76
REG REG REG
10 km 2kM STO
m P
1 2 3
III- ACTION DE LA CIRCULATION :
- Equiper rapidement une section de l’itinéraire utilisé ;
Nota : plusieurs patrouilles de circulation peuvent être mises en œuvre avec un poste
régulation.
77
APPUI AU FRANCHISSEMENT
II-EFFETS A OBTENIR :
III-MODES D’ACTION :
La patrouille reconnait les itinéraires d’acheminement des engins du Génie
jusqu’à une zone d’attente, à 5 km environ de la coupure, et les itinéraires
leur permettant ensuite de gagner leurs points de mise à l’eau.
Elle flèche ces itinéraires pour faciliter la progression de ces engins et met
éventuellement en place les jalonneurs.
78
Simultanément, elle procède aux reconnaissances des itinéraires du réseau
de manœuvre du secteur de franchissement et la zone d’attente en amont de
la coupure.
Une patrouille chargée d’équiper cette zone et de fractionner les unités selon
le plan des mouvements prévu et les directives complémentaires du Génie,
puis d’envoyer les éléments vers la coupure à la demande ;
Une patrouille mise en place dès que possible au-delà de la coupure chargée
de reconnaitre et d’équiper l’itinéraire d’accès à la zone de regroupement ainsi
que cette zone et d’assurer l’acheminement des véhicules jusqu’à cette zone
- Bac gillois.
- Portière 2 bacs gillois.
- Portière (MF).
- Inconvénients : Capacité d’emport du moyen discontinu.
ROLE DE LA CIRCULATION :
Eviter une concentration dangereuse des troupes aux abords des points de passage ;
Assurer l’écoulement maximal des unités sur les axes.
MISSIONS DE LA CIRCULATION :
Faciliter l’acheminement des moyens du génie ;
NOTA : La ligne rouge est matérialisée de jour par deux fanions rouge de nuit par deux feux
rouges (ligne ou les véhicules s’arrêtent pour préparer l’embarquement).
80
APPUI AUX TRAVERSEES DE DISPOSITIF
(LE RECUEIL)
I- DEFINITION :
Le recueil consiste pour une formation à soutenir à partir d’une zone ou d’une
ligne une autre formation qui se replie vers elle, à lui permettre le franchissement de
son dispositif et à le couvrir pendant un certain délai.
II- MISSION DE LA CIRCULATION :
Intégrée au dispositif de recueil, la circulation a pour mission:
D’accueillir sur une rocade les éléments qui se replient ;
III- MECANISME :
81
Le peloton déployé au niveau de la LIA (ligne d’identification et d’attente)
prend contact avec l’élément chargé de l’identification pour préciser :
- Qui est recueilli ?
- Modalités du repli.
82
I- GENERALITES :
Les formations de circulation interviennent, soit sur ordre, soit de leur propre
initiative, à partir de leurs observations, des renseignements recueillis sur la zone
contaminée et des effets relevés à la suite des reconnaissances.
83
ACTION SUR LES MOUVEMENTS
DES POPULATIONS
I- INTRODUCTION :
Des mouvements non contrôlés de population peuvent compromettre la liberté
d’action des forces en entravant leurs déplacements ou celui des éléments assurant
leur soutien. Les unités de circulation peuvent être amenées à participer aux
actions d’intervention sur les mouvements décidée par le commandement.
Compte tenu de l’ampleur que peuvent atteindre ces mouvements de population et
de l’étendue de l’aire géographique concernée, la manœuvre d’ensemble conçue par
le commandement combinera :
la recherche et la transmission rapide de renseignement sur la valeur et la
direction des mouvements de population ;
la définition de la zone à protéger ;
la réalisation d’un dispositif de protection.
II- L’ACTION DU PELOTON SUR LES MOUVEMENTS DE POPULATIONS :
84
- Evaluer les renforts nécessaires ;
- Prendre les mesures nécessaires pour poursuivre l’exécution de sa
mission en fonction des ordres reçus.
LA PATROUILLE
PARTICIPE AUX
MISSIONS DE
SURETE
85
ESCORTE DE CONVOI
I – GENERALITES :
Toute unité de circulation effectuant une mission d’accompagnement en
zone d’insécurité contribue à la sûreté immédiate de l’élément qu’elle accompagne.
II- DEFINITION :
Elément d’intervention
3 2 1 86
Protection arrière Elément d’intervention Renseignement et alerte
87
LA SURVEILLANCE MOBILE
I- DEFINITION :
Le peloton doit :
Parcourir cet itinéraire ;
Sonder ses approches.
Le peloton peut être articulé :
Un élément de pointe (patrouille de pointe) : éclairé, renseigné, surveillé.
Un élément de manœuvre (patrouille d’appui et de mouvement) : renforcer d’action
du patrouille de pointe, faciliter son dégagement s’engager sur vue autre direction.
Progression sur un itinéraire principal défini par l’autorité d’emploi avec couverture
sur un axe secondaire ;
Coups de soude pour surveiller de part et d’autre de ces itinéraires.
88
LE PELOTON DE
CIRCULATION
ROUTIERE
89
LE PELOTON DE CIRCULATION ROUTIERE
I - ORGANISATION :
1.1 - Définition :
Le peloton de circulation est la plus petite unité des formations de circulation. Il regroupe
des moyens nécessaires à l’exécution de toutes les missions dévolues à ce type de formation.
1.2 - Articulation :
Il peut cependant être mis à la disposition d’une autorité interarmes pour une mission à
durée limitée ; il est alors soutenu par l’échelon de l’emploi. C’est ainsi que le peloton peut être
adapté couramment à une grande unité
90
III – POSSIBLILITES DE LA PATROUILLE :
91
Accompagner un élément de la valeur d’un régiment sur tout ou partie de son
déplacement ;
En coopération avec le génie, lors d’opération de franchissement, assurer la
circulation sur les accès à un point de franchissement ;
Participer à des missions de sûreté :
- Escorte d’éléments ;
92
II- ROLE DE L’ADJOINT AU CHEF DE PELOTON :
Il est chargé :
93
94
LE PELOTON DE CIRCULATION
LIAISONS ET TRANSMISSIONS
I – GENERALITES :
95
LES ORDRES ET COMPTES RENDUS
DU CHEF DE ¨PELOTON
- L’articulation initiale ;
- Les mesures de coordination (position de PC, disposition pour les transmissions, attitude en
cas de rupture de liaison ;
96
3. Durée approximative de la mission ;
6. Divers.
2. Mission ;
3. Exécution :
Articulation :
4 . EMPLACEMENTS des PC
Le chef de peloton adresse à son commandant d’unité les comptes rendu qui lui ont été
prescrits, leur forme varie en fonction de la mission et de la nature des renseignements demandés.
97
LES ORDRES GRAPHIQUES
I-CATEGORIES D’ORDRES :
Ayant conçu sa manœuvre, le chef peloton doit la faire exécuter par ses
subordonnés en leur donnant des ordres simples, précis et concis.
Toujours écrit, remis ou porté aux subordonnés qui pourront s’y référer
lorsqu’ils seront isolés.
Transmis par message ou porté par estafette, établi quand la situation ou une
modification de la mission l’exige, ״il peut exceptionnellement être direct et verbal en
cas d’urgence caractérisée״
II-LES ORDRES GRAPHIQUES :
Les ordres écrits peuvent se présenter :
Rédigés intégralement et remis ou portés,
Rédigés en style télégraphique et transmis par message,
Graphique remis ou porté.
Les ordres graphiques offrent à la fois :
Gain de temps,
Clarté,
Concision,
Précision.
Utilisé en circulation jusqu’au niveau du chef de peloton, l’ordre graphique doit
répondre pour la rédaction à cinq principes :
Utiliser un extrait de carte, soit un calque ou un croquis renseigné ;
Compléter :
- par des données non reportées par écrit ;
98
- par des indications verbales éventuellement.
Ne jamais répéter ce qui figure déjà sur le graphisme sauf pour éviter tout risque
d’ambiguïté ;
Ne représenter sur le graphique en principe qu’un seul mode d’action ;
Connaître le langage graphique.
I-ENNEMIS DU PELOTON :
II-SURETE EN DEPLACEMENT :
99
A chaque fin de bond de peloton, les liaisons sont vérifiées, les reconnaissances
latérales sont lancée, la sûreté immédiate du dispositif est assurée.
III-SURETE A L’ARRET :
100
LA SURETE DE PELOTON AU
STATIONNEMENT PLAN DE DEFENSE
I- GENERALITES :
Les dangers majeurs des formations de circulation sont :
- Terrestre, sous forme d’éléments légers ;
- Harcèlement ;
- Attaques ponctuelles ;
- Embuscades.
II-SURETE EN STATIONNEMENT :
Le choix du lieu de stationnement est important. Dans la mesure où il n’est
pas imposé, le chef de peloton recherche l’endroit qui lui permet d’assurer la contre
surprise et la protection au moindre prix.
- Agglomération ;
- Groupe de fermés.
Danger chimique.
Peloton 2 – 3 à ….
Patrouille 1 à ….
- Véhicules espacés de 50 m.
Observation :
- Poste de guet ;
- Diffusion de l’alerter ;
Défense :
- Travaux aménagement ;
102
LA METHODE DE RAISONNEMENT
TACTIQUE SIMPLIFIEE (MRTS)
I- GENERALITES :
La méthode de raisonnement tactique simplifiée est basée sur
l’élaboration progressive des solutions aux problèmes posés afin d’offrir au chef
un choix qui ne néglige aucun des facteurs à prendre en considération.
Le chef de peloton doit répondre aux questions suivantes :
Pourquoi ?
Quoi ?
Où par où ?
Contre quoi ?
Avec quoi ?
Quand ?
Paragraphe
Question Analyse
d’étude
I- GENERALITES :
II- T-Q-M-T :
4.1-Longueur d’encombrement :
104
De = LE ÷ Vitesse moyens
4.3-Durée du trajet :
4.4-Durée d’encombrement :
DE = DT + De
4.5-Les haltes :
N° DE NOMBRE DE HEURE
ORIGINE DESTINATION
MOUVEMENT VEHICULE D’ENTREE
A
P R B
100m 50m
P3 Vitesse 60 km/h
B 150 24’
140
130
120
32’
110
100 03-23-01
90
80
105
70
03-23-01
60
50
40
30
20
10
A 0
12h 13h 14h 15h 16h 17h 18h 19h 20h 21h 22h 23h 24h
106
LE GRAPHIQUE DE CHARGE APPLIQUÉ
AU FRANCHISSEMENT
I- BUT :
A l’aide du plan de franchissement (équivalant au T.Q.M.T) représenter
graphiquement la précision du déroulement d’un franchissement.
Type de véhicules ;
5 Km 5 Km
Oued 5 Km
P11
Z
RC
P 1RC
ZR
15
1
Cou
P1 ZI
5 Dé=1h24
RC
108
LE PCR EN MISSION DE
RENSEIGNEMENT
109
LE PCR RECONNAIT UN ITINERAIRE, UNE ZONE
OU UN POINT PARTICULIER
I- DEFINITION :
Reconnaître un itinéraire, une zone ou un point consiste à recueillir les
enseignements nécessaires au commandement ou à l’unité de circulation pour permettre la
bonne exécution et le bon déroulement des déplacements.
- La sécurité ;
Etablit un plan de reconnaissance qu’il traduit par un ordre initial à ses chefs de
patrouilles, fixant :
- Dans le cas d’une reconnaissance de zone, les limites des zones confiées aux
patrouilles, les itinéraires et les points à reconnaître, les renseignements à
effectuer ;
110
En cours d’exécution de la mission, le chef de peloton peut effectuer lui-même des
Il procède à des liaisons personnelles avec les autorités militaires et civiles locales,
mission ;
Dans certains cas, en zone d’insécurité, le chef de peloton peut coupler ses
assurant le rôle d’élément de sûreté, dans ce cas, le peloton est articulé en deux
111
LE PCR RENSEIGNE SUR LES DEPACEMENTS
EN COURS
I- LE POINTAGE :
1.1 - But :
Préavis Exécution
POINTAGE
500 M POINTAGE
- Incidents signalés.
112
II- LE CONTROLE :
2.1 But :
Le contrôle peut être organisé en un point ou sur une ligne de contrôle (Rocade de
contrôle). Dans ce cas, le peloton peut mettre en œuvre un poste directeur commandé par le
chef de peloton et un à quatre postes subordonnés.
2.3 - Mécanisme :
Pour éviter l’arrêt des éléments, les chefs respectifs doivent devancer leur colonne
pour renseigner le poste de contrôle sur :
- Nature de la mission ;
- Identification de l’unité ;
- Origine et la destination ;
113
- Incidents survenus.
114
PCR INFORME LES UTILISATEURS
DU RESEAU ROUTIER
115
Les renseignements utiles aux usagers sont tenus à jour en permanence. Ils sont
recueillis soit auprès de l’échelon supérieur, soit au cours de reconnaissances, de la
surveillance des itinéraires, des liaisons, etc.
116
PCR RENSEIGNE SUR LES EFFETS NBC
I- GENERALITES :
En cas d’attaque nucléaire de l’ennemi, le peloton de circulation, en dépit de son
manque de protection, est spécialement apte, par sa dispersion sur le terrain, sa mobilité,
sa rapidité d’intervention, sa dotation en moyens de détection et de mesures radiologiques à
renseigner sur les explosions nucléaires ainsi que sur la contamination au sol et sur les
dégâts et pertes occasionnés.
117
- Les possibilités résiduelles du réseau routier.
118
119
LE PCR EN MISSION
D’APPUI AU MOUVEMENT
120
PCR DANS UNE MISSION DE SIGNALISATION
A- SIGNALISATION DE JOUR :
Elle consiste à mettre en place sur les itinéraires définis par le plan de circulation,
différents types de signaux militaires pour :
Avertir un danger.
Bavette
17
4 4
N S
Rocade 4 vers le Nord Rocade 4 vers le Sud
Disque
121
IV- SIGNALISATION D’UN CISAILLEMENT :
La signalisation des itinéraires classés exige l’application des règles suivantes dans la
pose des signaux.
Quel que soit leurs catégories :
- Ils sont placés sur le côté droit de l’itinéraire en dehors de la partie carrossable ;
- Sur des piquets solidement enfoncés dans le sol ;
- Dans un plan sensiblement perpendiculaire à l’axe de la route ;
- Doivent être visibles à une distance de 50 m.
Principe de signalisation d’un cisaillement :
- Les signaux de préavis : Sont placés à 150 m du point à signaler ;
- Les signaux d’exécution : Sont placés proximité immédiate à signaler ;
- Les signaux de confirmation : Sont placés à 150 m du point à signaler de façon qu’ils
soient visibles de ce point.
5.1 - Chevauchement≤200m :
FRONT 3
R4
6 2 1
N
P1
5
4
Signalisation de la P1 sens montant
7 7
4 4
4 N 4 N
S S
150 7
Signalisation de la R4 vers le Nord
4 N 4 N
7 7 7
7 122
150m 150m 4N
5.2 - Chevauchement > 200 m :
FRONT
N 6
2
P3
3 4 5
3 3 3 3
4 4
N N
150m 3
4 N
3 3
4 4
N N
150m
4 N
123
VI- CALQUE ET COMPTE RENDU DE SIGNALISATION :
6.1 - Le calque de signalisation :
320
4
Sidi Moussa 5 x
Majdoub 6 x x
x x 3
x 2
1
668
Aérodrome
322
1 1 1 - - 2
2 1 1 - - 2
3 - 1 1 1 2
4 1 1 - - 2
5 1 1 - - 2
6 - 1 1 1 2
Total 4 6 2 2 12
B- SIGNALISATION DE NUIT :
I – DEFINITION :
124
Le balisage vise à faire circuler des véhicules de nuit tous feux éteints, sans risque d’erreur,
sans risque d’accident, en échappant à la vue naturelle d’un observateur terrestre ou aérien
ennemi.
II- GENERALITES :
- Lorsque l’éclairage est normal, la signalisation de nuit est la même que celle de jour ;
- Lorsque l’éclairage est réduit et que le niveau de la nuit le justifié, il peut être nécessaire
d’éclairer la signalisation à l’aide de boites lumineuses, utilisées dans ce cas comme
sources de lumière, judicieusement placées soit au sol, soit sur un piquet ;
- Lorsque les feux Black-out sont utilisés, les boites lumineuses sont systématiquement mise en
place, elles sont équipées de voyants translucides sur les quels sont reproduite la
signalisation.
SHEMA DE PRINCIPE
Pointage
Réorientation
Garage
Sens du déplacement
Zone de sortie
Itinéraire de
contournement
Itinéraire Balisé
Garage
Filtrage
Zone d’entrée
125
- Poser les lucioles crèmes à droite (en commençant par la fin vers le début) ;
- Poser les lucioles vertes à gauches (seulement dans les virages, et passages
difficiles) ;
- Les lucioles rouges (pour équipement des véhicules) et pour prévenir un danger (2
balises rouge accolées à 50 m) ;
- Il faut toujours poser une balise au sommet d’un cote ou dos d’âne et à la pointe
d’un virage ;
- Boite lumineuses zone entrée et zone sortie + danger important sur l’itinéraire :
Préavis : (02) balises crèmes accolées sur le côté droit à 50 m avant le danger ainsi
que (02) balises rouges ;
Sur passage difficile : balises vertes à gauche en face des balises crèmes.
- Phase interdite ;
- Véhicule en panne serrez sur la droite si possible, placer 2 balises crèmes à l’arrière,
remontez dans le véhicule attendre une patrouille de circulation ;
I – GENERALITES :
Tout peloton de CIR déployé une zone pour y remplir une mission d’appui au
mouvement en action d’ensemble doit, après les reconnaissances et la mise en place de
l’équipement CIR, assurer la surveillance des itinéraires équipés.
faciliter l’intervention dans les plus brefs délais. La surveillance consiste à parcourir
l’itinéraire suivant une périodicité fixée par le chef de peloton dans le but de :
I - LE FLECHAGE :
Permet de matérialiser la direction à suivre par l’élément appuyé. Il est employé de
préférence lorsque la formation est fractionnée en plusieurs colonnes.
Doté d’un lot de fléchage, le peloton de circulation peut flécher une soixantaine de
kilomètres avec les seules flèches en matière plastique du lot et une distance triple en
utilisant en outre les flèches en papier collées sur un support naturel (arbre, mur…)
Le fléchage d’un itinéraire peut être effectué par une patrouille de circulation au
rythme de 20 à 30 Km par heure.
II - LE JALONNAGE :
Le jalonnage vient généralement en complément du fléchage et permet :
Exécution :
- Itinéraire(s) prévu(s) ;
- Haltes prévues ;
- Articulation de la colonne ;
128
- Articulation du peloton ;
- Mesures de sécurité ;
- Liaisons à établir, notamment avec les autorités responsables des zones traversées ;
- Le ou les itinéraires prévus, les points critiques et les déviations susceptibles d’être
mises en œuvre ;
- Les tronçons d’itinéraires éventuellement déjà équipés dans le cadre d’un plan de
circulation.
Il procède à la reconnaissance du ou des itinéraires devant être utilisés ou, si les délais
ne le permettent pas, recueille au minimum les renseignements nécessaires auprès des
éléments de circulation déployés ou des polices locales.
Il répartit les missions entre ses patrouilles, constitue éventuellement, aux ordres du
sous-officier adjoint, un « pool » de jalonneurs en précisant les modalités de mise en place
et de relève et répartit les matériels de signalisation.
129
PCR RETABLIT UN COURANT DE CIRCULATION
I – GUIDAGE :
Ce procédé est plus efficace pour faciliter le déplacement d’un élément de nuit ou à
l’avant. Il n’est toutefois utilisable que lorsque le volume de la formation appuyée est réduit, soit
le long d’une déviation, soit au cours d’une traversée d’agglomération.
II – FILTRAGE :
2.1 - But :
Mode d’action :
- Le filtrage sur une zone est assuré par le peloton ou par l’escadron.
2.3 - Signalisation :
Préavis Exécution
FILTRAGE
STOP
FILTRAGE
500 M
130
III - DEVIATION :
Rétablir dans les meilleurs délais le courant de circulation interrompue, par un
itinéraire de remplacement en attendant la réouverture de l’itinéraire initial.
La mise en œuvre d’une déviation de courte portée (quelques kilomètres) est du ressort
de la patrouille responsable de l’itinéraire sur lequel survient l’incident. Lorsque la déviation
est plus importante, sa mise en œuvre nécessite l’intervention de plusieurs patrouilles :
(possibilités de chaque patrouille : 10 km en une heure).
3.2 - Exécution :
Déviation reconnue :
4.1 - Généralités :
- Mettre en place sur l’itinéraire (ou les itinéraires menant à la zone) un dispositif
d’arrêt des courants de circulation ;
- Mettre en œuvre un ou des itinéraires de contournement ;
- Renseigner les usagers et leur communiquer les prescriptions du commandement.
131
4.2 - Mode d’action :
L’interdiction d’un itinéraire est normalement assurée par une patrouille (deux postes)
de circulation.
Pour interdire une zone, les moyens à mettre en œuvre dépendent de la longueur du
périmètre de la zone. Ils sont toujours importants car il faut :
Lorsque la sécurité est assurée et que la mission est de courte durée, un peloton
peut interdire 15 à 20 km du périmètre d’une zone. Arrivé sur les lieux, il peut réaliser son
dispositif en une heure. Dans le cas d’une interdiction de longue durée, un poste renforcé
peut tenir deux points au maximum.
V- PILOTAGE :
5.1 - But :
132
133
PCR EN MISSION DE REGULATION
I – GENERALITES :
Cette action est menée à partir d’un poste de régulation placé sous les ordres d’un officier
régulateur désigné par le commandement et disposant :
Z
Régulation D
Z Z O
D D ENI
G A
ZDO
134
II- ORGANISATION :
P1
R2
3
4
1 2
Réserve
2
Garage
Garage
3 1 2 3
1
REG REG
10 km STOP
2 km
Nota : plusieurs postes de régulation peuvent être mis en œuvre avec un poste directeur.
135
PCR EN MISSION D’APPUI
AU FRANCHISSEMENT
I- ROLE DE LA CIRCULATION :
- Eviter une concentration dangereuse des troupes aux abordes des points
particuliers.
R R R
C D
2 5
Z 1 3
A ZI PP1 ZR
F 4
10 Km à 15 3à
Nota : La ligne rouge est matérialisée de jour par deux fanions rouges, de nuit par
deux feux rouges (ligne où les véhicules s’arrêtent pour préparer l’embarquement).
136
III- ROLE DU CHEF DE PELOTON :
Le chef de peloton doit reconnaître :
- Sa zone ;
- Prendre les unités en compte sur la rocade et les acheminer jusqu’à l’entrée de la
Z.I.A.
- Equiper la Z.I.A.
- Fractionner les unités et les envoyer vers la coupure sur ordre du chef de peloton.
137
138
PCR EN MISSION D’APPUI
AUX TRAVERSEES DE DISPOSITIF (RECUEIL)
I- DEFINITION :
Le recueil consiste pour une formation à soutenir à partir d’une zone ou d’une ligne une
formation qui se replie vers elle, à lui permettre le franchissement de son dispositif et à le
couvrir pendant un certains délais.
III- MECANISME :
- Modalités du repli ;
Les chefs des patrouilles se placent aux points d’Identification et d’Accueil (PIA).
Le peloton doit :
139
- Reconnaitre l’itinéraire venant du point de passage réservé et les itinéraires
conduisent de la rocade de recueil vers la Zone de Regroupement Intermédiaire
(ZRI) ;
Le peloton doit :
- Reconnaitre la ZRI ;
140
141
PCR PARTICIPE A L’ACTION SUR
LES MOUVEMENTS DES POPULATIONS
- L’importance de la colonne ;
142
PCR INTERVIENT SUR LES EFFETS
D’UNE ATTAQUE NBC
I – GENERALITES :
En cas de contamination d’une zone par produits chimiques persistants, le peloton peut
recevoir les missions suivantes :
- Secteur à reconnaître ;
- Marquage de la zone.
III- MOYENS :
- Trousse de détection + PDF1 ;
143
LE PCR EN PARTCIPE
AUX MISSIONS DE SURTE
144
PCR PARTICIPE AUX MISSIONS DE SURETE
ESCORTE DE CONVOI
I- GENERALITES :
Toute unité de circulation effectuant une mission d’accompagnement en zone
d’insécurité contribué à la sûreté immédiate de l’élément qu’elle accompagne.
II- DEFINITION :
L’escorte de convoi consiste à adapter un élément de protection à une colonne en
déplacement en vue de renforcer sa sûreté immédiate.
Effets à obtenir :
3 Elément 2 Escorte 1
145
IV- EXECUTION DE RENSEIGNEMENT ET D’ALERTE :
Placer à proximité du chef de peloton au sein de la colonne, peut être appelé à manœuvre
au profit d’une partie du convoi prise sous le feu ennemi ou à renforcer un élément.
146
PCR PARTICIPE AUX MISSIONS DE SURETE
SURVEILLANCE MOBILE
I- GENERALITES :
Cette mission a pour objet de renseigner le commandant la formation au profit de
laquelle elle est effectuée, sur la situation en un point, sur un itinéraire ou dans une zone,
notamment en ce qui concerne l’attitude des populations, les activités amies, les actions
ennemies.
Le peloton de circulation peut remplir une mission de surveillance mobile aux ordres
de son commandant d’escadron ou être placé sous les ordres d’une autorité interarmes.
- Libre ;
II- DEFINITION :
La surveillance mobile a pour objet de renseigner sur l’altitude des populations, les activités
amies et les actions ennemies, en un point, sur un itinéraire ou dans une zone.
147
- Un élément de manœuvre (patrouille d’appui et de mouvement) chargé de renforcer
d’action de la première patrouille, de faciliter son dégagement, de la relever sur l’axe
ou de s’engager sur une autre direction.
Quel que soit le dispositif adopté, le chef de peloton doit pouvoir disposer sur
l’itinéraire principal d’une patrouille de manœuvre capable d’intervenir au profit des
patrouilles de pointe, de les relever ou d’élargir la manœuvre du peloton.
A l’intérieur du peloton, l’emploi des motocyclistes doit être très souple. Il permet
d’effectuer très rapidement des coups de sonde à courte portée, de renforcer sans délai une
patrouille, de contribuer au maintien des liaisons sur un axe ou entre deux itinéraires
parallèles. Leur emploi doit être coordonné, si nécessaire, à l’échelon du peloton.
Le peloton progresse sur un itinéraire principal défini par l’autorité d’emploi et se couvre
généralement sur un axe secondaire. Il procède par « coups de sonde » pour surveiller, de part et
d’autre de ces itinéraires, l’intervalle entre les formations et prendre avec celles-ci les liaisons
physiques nécessaires sur des lignes ou en des points convenus.
149
ESCADRON DE CIRCULATION ROUTIERE
I – DEFINITION :
L’ECR est la plus grande unité de CIR des FAR capable de mener une manœuvre
d’une certaine durée sur plusieurs itinéraires et sur une zone étendue. L’ECR est
commandé par un Officier supérieur secondé par un Officier subalterne Adjoint.
II– POSSIBILITES :
- Reconnaître et signaler : 120 à 160 km d’itinéraire en 2H ;
- Surveiller des itinéraires de longueur équivalente ;
- Appuyer les mouvements d’un groupement de forces sur un ou plusieurs itinéraires sur une
distance de 100 à 150 km ;
- Mettre en œuvre une ligne de contrôle ;
- Fournir le support de 3 postes de Régulation ;
- Baliser 30 km d’itinéraire en 3H ;
- Participer au franchissement ;
- Participer aux missions de sûreté.
150
IV-ROLE DES PERSONNELS DE L’ECR :
151
- Ravitaillement de toute nature ;
- Dépannages ;
- Evacuations.
4.3- Le sous-officier de l’équipe circulation est le chef du PCS :
Le sous-officier de l’équipe circulation est le chef du PCS. Il est charge de l’exécution des
opérations concernant la vie en compagne de l’unité :
- Organisation du déploiement et des déplacements du PC ;
- Fonctionnement des cellules du PCS ;
- Sûreté et défense du PC ;
- Suivi des matériels, armement, génie et optique.
4.4- Le sous-officier chef du groupe administratif :
Il est chargé de tout ce qui touche l’administration et le soutien du personnel. Il a
pour mission :
De tenir à jour :
- la situation des effectifs et la transmettre au service des effectifs du corps ;
- Les différents documents qui ont trait à l’administration du personnel.
D’assurer :
- Le service des fonds, de la solde en campagne et du courrier ;
- Le suivi des matériels relevant de l’intendance.
De faire percevoir, distribuer et préparer les aliments par le sous-officier d’ordinaire ;
De faire donner les premiers soins aux malades et aux blessés et procéder si
nécessaire à leur évacuation.
4.5- Le sous-officier chef du groupe entretien – dépannage et du groupe exploitation
– carburants :
Il a pour mission :
- de surveiller l’état des véhicules et le contrôle des opérations d’entretien ;
- D’exécuter l’entretien et les dépannages de son niveau ;
- D’approvisionner et de distribuer les pièces de rechange, les carburants et les
ingrédients.
152
MOYENS SPECIFIQUE
EN DOTATION A L’ECR
153
CAISSE N° 4 :
- Boites de signalisation routière ;
- Lampes 1,5 V 0,09 A ;
- Piles BA 30 1,5 V ;
- Voyants translucides.
CAISSE N° 5 :
(Chaque caisse permet de baliser 1 km d’itinéraire)
- Filtres crème ;
- Filtres vert ;
- Filtres rouge ;
- Lampes 1,5 V ;
- Piles BA 30 ;
- Lanternes de balisage.
HORS CAISSE :
- Piquets métalliques 1,80 m.
154
ORDRES ET COMPTES RENDUS
DU COMMANDANT L’ECR
A-ORDRES :
ORDRE PREPARATOIRE
I - SITUATION GENERALE :
- Ennemi ;
- Ami : (Se limiter à : ce qui intéresse les pelotons, ce qui a changé depuis le dernier
ordre diffusé).
II – MISSION :
- Nature de la mission ;
- Zone d’action ;
- Durée approximative.
V – HORAIRES :
- Heure de diffusion des ordres ;
- Heure à laquelle la formation doit être prête à partir.
VI – PRESCRIPTIONS DIVERSES :
N.B : l’ordre préparatoire, dont le canevas n’est pas réglementé peut ne comporter qu’une
partie de ces rubriques ou en faire apparaître d’autres.
155
L’ORDRE DE DEPLOIEMENT
I- SITUATION :
- Situation particulière ennemie ;
- Situation particulière amie ;
- Prélèvement et renforcements éventuels.
II- MISSION :
- Mission intégrale de l’escadron ;
- Intention du commandant d’escadron :
- But à atteindre (dans l’espace et dans le temps) ;
- Effort à réaliser ;
- Articulation de l’escadron.
Missions
PCS Peloton Pton Pton Pton
Phases
1° Phase avant
telle heure ….
2° Phase, etc.
Dispositions à
prendre en fin
de mission
Pour chaque peloton et pour chaque phase, préciser l’effet à produire pour chaque
phase : reconnaître, signaler, pointer, surveiller ? Posture à observer, remise en condition,
alerte à ….Heures…
156
3)- Filaires :
- A établir ;
- Heure de mise en place ;
- Consignes pour relève du câble (éventuellement).
4)- Par estafettes :
- Liaison à établir ;
- Responsabilités ;
- Horaires.
VI - MESURES DE SURETE :
1) - Menace principale et zones sensibles ;
2) - Conduite à tenir :
- Face à la menace terrestre ;
- face à la menace aérienne.
VII - SOUTIEN :
- Ravitaillement : carburants, munitions, divers ;
- Matériels : entretien, dépannage, réparation ;
- Personnel : évacuation, poste de secours.
157
- Extrait du tableau des mouvements et transports.
4) - Renseignements sur les stationnements du PC unités et organismes :
Mission
Désignation Stationnement Observation
sommaire
Peuvent
Notamment les organismes Fréquence de
mis en place au profit des apparaître sur
veille radio.
usagers en déplacement le calque
5) - O.C.T.
IX - DESTINATAIRES :
Pour action :
PCS et pelotons 1, 2, 3, 4.
- A titre de compte rendu :
Echelon supérieur
A _______, le __________
ORDRE DE CONDUITE
Cet ordre de forme libre s’inspire de la contexture de l’ordre de déploiement. Il ne
comporte que ce qui est nouveau ou ce qui a changé et se limite aux rubriques nécessaires à
l’exécution de la nouvelle mission par l’autorité subordonnée destinataire.
I- SITUATION :
Eventuellement ayant entraîné la rédaction de l’ordre.
III- LIAISONS :
Positions des PC ;
Liaisons à effectuer.
158
B- COMPTES RENDUS :
COMPTE RENDU DE RECONNAISSANCE
A ………………………………………. Autorité ayant ordonné la reconnaissance ;
De ………………………………………Unité ayant effectué la reconnaissance ;
Cartes utilisées ………………………type échelle et numéro de référence ;
Groupe date heure ………………… (de la signature).
I – RENSEIGNEMENTS GENERAUX :
1.1- Désignation de (ou des) l’itinéraire(s) :
(Numéro civil ou militaire).
1.2- Découpage en sections :
Section 1 de …………… à … (Coordonnées hectométriques) ;
Section 2 de …………… à …;
Section 3 de …………… à ….
1.3- Date et heure de la reconnaissance :
1.4- Conditions atmosphériques pendant la reconnaissance :
II – CLASSIFICATION DE (OU DES) L’ITINERAIRE(S) :
2.1- Classification des sections de l’itinéraire n°…
Section 1 : …;
Section 2 : …;
Section 3 : ….
2.2- Classification des sections de l’itinéraire n°…
Section 1 : …. Etc.
III – OBSTACLES :
3.1- Accotements :
Possibilités de stationnement sur les accotements.
3.2- Renseignements sur les obstacles.
Section Nature
Numéro Coordonnées Caractéristiques
d’itinéraire obstacle
159
IV – ANNEXES JOINTES :
Calque renseigné. Croquis de localité ou de points particuliers. Fiches de
renseignements complémentaires (descriptives d’obstacles par exemple).
A …………. Le …………………………..
Signature
II - RECONNAISSANCES EFFECTUEES :
Calque comportant les possibilités de doublement des itinéraires classés, les
bretelles de raccordement, les principales possibilités de détournement.
IV - LIAISONS REALISEES :
Radio – fil – estafette ;
Organismes contactés.
V - RENSEIGNEMENTS DIVERS :
Ennemi ;
Ami ;
Terrain.
VI – BESOINS (éventuellement) :
Carburants ;
Matériels de signalisation.
VII – DIVERS :
LE COMPTE RENDU PERIODIQUE D’ACTIVITE
Ce compte rendu reprend les mêmes rubriques que le compte rendu de déploiement
en indiquant seulement ce qui est nouveau depuis le dernier compte rendu fourni.
Il peut être complété par un paragraphe sur les conditions d’écoulement du trafic
routier.
160
SURETE DE L’ECR
I- GENERALITES :
En déplacement comme à l’arrêt, l’escadron prend les mesures de sûreté immédiates
dans le cadre de la sûreté du dispositif ami auquel il s’intègre pour faire face aux actions
ennemies :
Attaques aériennes ;
II – LA SURETE AU STATIONNEMENT :
Le commandant d’escadron exige de ses éléments subordonnés, lorsqu’ils sont au
stationnement :
Le sous-officier chef du PCS prépare le plan de défense du PC escadron établi selon les
ordres de l’officier adjoint et effectue périodiquement des exercices d’alerte pour en vérifier
l’efficacité.
Par patrouille ;
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