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CHAPITRE III : LES COUTS COMPLETS PAR LA METHODE DES COUTS A BASE
D’ACTIVITE OU METHODE ABC
1
TITRE I : INTRODUCTION DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE
OU DE GESTION
Décisions Actions
Objectifs Résultat
(C.A.) (Monographie)
Prévisions
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CHAPITRE I : PRESENTATION GENERALE DE LA COMPTABILITE DE GESTION
Dans une entreprise dont l’activité est l’achat-vente, la comptabilité financière est
suffisante. Mais dans une entreprise industrielle, la comptabilité financière devient
insuffisante car l’organisation interne (ateliers, usine) l’activité est diversifiée, il faut
alors une analyse plus complète de ce qui se passe à l’intérieur de l’entreprise.
2) La valorisation de stocks
Elle s’obtient par l’évaluation des matières au coût d’achat et les produits finis au
coût de production qui n’est possible qu’à partir de la comptabilité gestion.
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La comptabilité de gestion est confrontée aux prévisions permettant de calculer les
écarts.
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CHAPITRE II : LES DIFFERENTES METHODES DE LA COMPTABILITE DE GESTION
5
Dans la méthode des coûts partiels, on renonce à incorporer certaines charges
à cause du caractère arbitraire de cette imputation (charges fixes indirectes). Ainsi
découle :
En outre, le coût complet permet d’évaluer les stocks et le coût partiel pour la
prise des décisions de gestion. Soit le schéma suivant :
)
Méthode UVA (unité valeur ajoutée)
Coûts partiels
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CHAPITRE III : ARTICULATION AVEC LA COMPTABILITE FINANCIERE
Exemple :
Les charges non incorporables tels que : amortissements dérogatoires,
provisions, éléments exceptionnels hors exploitation sont comptabilisés pour des
raisons fiscales et ne correspondent pas à une consommation économique de
ressources sur la période.
Exemple 1 :
Soit 2 entreprises individuelles, X(SARL) et Y (entreprise individuelle) ayant les
mêmes similitudes. Le patron de X est gérant salarié alors implique un salaire de 100
F par exemple qui est pris en compte dans les charges de personnel de la SARL. Par
contre le patron de Y n’est pas salarié c'est-à-dire n’a pas de salaire, son salaire est
constitué par le bénéfice alors que les deux gérants effectuent les mêmes travaux de
direction.
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Exemple 2 :
La rémunération des capitaux propres locaux sans faire payer de loyer.
Utilisation des locaux non rémunérés.
Ainsi donc chaque fois qu’un facteur de production est utilisé gratuitement
sans être prise en comptabilité financière du fait de la qualification juridique de
l’opération, il faut prendre en compte le coût d’opportunité correspondant en
comptabilité générale pour obtenir les coûts pertinents.
BOUCLAGE DU RESULTAT
Charges incorporables
en comptabilité de gestion = Charge de la comptabilité financière
+ Charges supplétives
– charges non incorporables
Résultat de la période
Comptabilité financière = résultat analytique + différences de traitement
comptables.
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TITRE II : EVALUATION DES DIFFERENTES METHODES DE LA
COMPTABILITE gestion
Rappelons que le modèle présenté est simplifié, l’activité est normale (pas de
sous activité, les objets de coûts sont les produits uniquement) et permet de
comprendre les notions de base de calcul du coût. Cette méthode est basée sur les
charges directes qui sont affectées directement et les charges indirectes qui doivent
être d’abord réparties sur des centres d’analyse avant d’être imputées aux coûts.
Charges Affectation
Charges Directes Coûts
à produits
incorporer
Charges Répartition sur les centres d’analyse
Répartition Imputation
Indirectes
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5) Les coûts de distribution
Pour l’imputation des charges, on peut être amené à utiliser les notions de
nombre de produits équivalents finis calculés en fonction du degré d’achèvement du
traitement.
Les produits joints, fatals, coproduits ou sous produits sont les produits dont
leur valeur vient en déduction du coût de production du produit principal. Si le sous
produit est revendu et si le sous produit ne produit rien et nécessite des frais
d’enlèvement, alors ces frais viennent en plus du coût de production du produit
principal.
CONCLUSION
10
Pour mettre en place une comptabilité de gestion, il faut analyser le processus
(faire un schéma de circulation de différentes matières dans les différents ateliers)
avant de calculer les coûts pour un meilleur résultat.
N.B. :
Les frais de distribution sont toujours affectés au coût de production des
produits vendus pour obtenir le coût de revient.
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CHAPITRE II : LA METHODE DU COUT COMPLET PAR IMPUTATION
RATIONNELLE DES CHARGES FIXES
Dans tout ce qui précède, on a supposé un niveau d’activité normal. Pas de sous
activité, pas de critère de variabilité, pas de distinction entre charges fixes et charges
variables, de ne retenir que le coût direct et le coût indirect.
CU = CVU + CF totales/AN
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Si AR > AN ↔ coefficient > 1, alors incorporation des CF
Dans tous les cas quelque soit le niveau d’activité, le C U reste stable comme
dans les conditions normales.
La DIR est la différence entre charges fixes réelles et charges fixes incorporées
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CHAPITRE III : LES COUTS COMPLETS PAR LA METHODE DES COUTS A BASE
D’ACTIVITE OU METHODE ABC
Le coût complet est utile pour le pilotage stratégique à long terme. C’est ainsi
que pour lancer un nouveau produit, le prix de revient prévisionnel est un indice
important car sur le marché moins concurrentiel, ce dernier permet de fixer le prix de
vente et sur le marché concurrentiel, le coût de revient devient un coût cible à ne pas
dépasser car le prix de vente est imposé par le marché.
En revanche dans la ***** à cout terme, il ne doit y avoir variation d’activité d’où
l’imputation rationnelle des charges fixes.
Pénurie relative
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Dans cette méthode ABC, les coûts indirects sont plus importants que dans la
méthode classique.
Charges
Charges Directes
Directes
Charges
Charges indirectes
indirectes
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CHAPITRE IV: LA METHODE DES COUTS VARIABLES OU DIRECT COSTING
Le coût variable (ou opérationnel) est constitué de l’ensemble des charges qui
varient avec le volume d’activité (l’activité étant appréciée par les opérations de
production et /ou de vente).
Cette méthode de coût partiel vise ainsi à n’inclure dans les coûts que des
charges affectables sans ambiguïté et des charges contrôlables.
Cette méthode est pertinente que si le poids des charges variables est
important dans la structure des coûts.
Selon le modèle : les coûts à court terme sont fondés sur la relation y = ax + B.
Avec :
Y = coût total
a = coût variable unitaire
x = niveau d’activité
B = charges de structure (charges fixes totales)
Le coût variable unitaire reste fixe, mais le coût variable total varie en fonction du
niveau d’activité.
Ces charges doivent être décomposées en une partie fixe et une partie variable
par une équation de type : y = ax + B.
Cette méthode ne calcule pas le coût complet mais dégage sa marge sur coût
variable qui mesure la contribution de l’élément étudié.
Cette méthode n’est pertinente que si le poids des charges variables est important
dans la structure des coûts.
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INTERETS :
- Dans les centres de responsabilité, les coûts variables sont plus faciles à
comparer dans le temps par les responsables que les coûts complets ;
- Le modèle offre au décideur des informations sur le risque d’exploitation
(marge de sécurité, seuil de rentabilité, levier opérationnel) ;
- Ce modèle permet de prendre des décisions sur l’abandon, le maintien, la
réorientation des activités si la marge sur coût variable n’éponge pas les
charges fixes ;
- Ce modèle permet de cibler les activités dont la marge sur coût variable est
importante.
LIMITES :
- Le modèle incite à vendre les produits de forte marge sur coût variable sans se
soucier des conséquences sur les activités de support ;
- La tendance est l’accroissement des charges fixes ;
- L’analyse est valable à court terme et non pour les décisions stratégiques ;
- Les stocks devront être évalués au coût complet.
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PROGRAMME DE FISCALITE PRESENTE PAR MADAME
NKEGOUM ANNETTE
A- LE LIVRE PREMIER
B- LE LIVRE DEUXIEME
C- LE TROISIEME LIVRE
A- DEFINITIONS
B- LES REGIMES
C- QUESTIONS TESTS
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TITRE I : LE CODE GENERAL DES IMPOTS
- Les impôts directs (IS, IRPP, les dispositions générales communes à l’IS et
l’IRPP)
L’IRPP regroupe les activités telles que salaires, pensions, rentes viagères, RCM, R
fonciers, BAIC, BA, BPNC)
- La TVA
- Les divers (patentes, licence, CAC, taxe sur le bétail)
- Les diverses taxes et impôts (taxe sur les jeux de hasard et de divertissement,
taxe sur les armes, taxe spéciale sur le revenu)
- Fiscalité spécifique (taxe spéciale sur les produits pétroliers, miniers,
forestiers, régime fiscal des concessions de services publics, régime fiscal des
investissements)
- Enregistrement timbre et curatelle sous différents aspects
Cette partie énonce les principes de base sur le champ d’application, les opérations
imposables, les exonérations, la territorialité, les modalités d’imposition, fait
générateur, exigibilité, déduction, liquidité (taux, base d’impôt), les exceptions, les
pénalités, les délais, l’annualité.
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- Les sanctions (fiscales et pénales)
- Les contentieux (juridiction contentieuse, gracieuse)
Les articles dans cette fiscalité sont toujours précédés de la lettre C plus le numéro de
l’article.
Exemple : C 102
Ce petit résumé n’est pas une analyse minutieuse du code général des impôts, mais
juste une présentation globale de la subdivision du code (voir schéma ci-dessous).
IS
Livre premier
(Les différents impôts) IRPP
TVA
)
Obligation
Code général des impôts Livre deuxième Recouvrement
(Livre de procédure fiscale) Contrôle
Sanction
Contentieux
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TITRE II : L’IMPOT SUR LES DEPENSES ET LE REVENU
La TVA est assise sur la dépense. C’est ainsi que toute personne paie cette taxe
même sans le savoir, sauf sur les dépenses affectées au bien de première nécessité
(cf. liste des biens au CGI)
A. GENERALITES DE LA TVA
NB :
Pour les transports inter-CEMAC, les opérations sont réputées faites au
Cameroun si le transporteur y est domicilié ou y a fixé son siège.
Les commissions : si lieu différent du siège social ou principal établissement, le
redevable désigne un représentant situé au Cameroun qui paiera la TVA
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3. Exonération (article 128)
Sont exonérés :
C’est un évènement qui fait naitre la dette envers l’Etat. Il est constitué par :
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6. Les différents régimes (article 132)
L’introduction des différents régimes par l’Etat est dû au fait que les redevables ne
vivent pas les mêmes réalités économiques.
L’on distingue :
Il existe 2 taux :
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- Le taux de 19,25% (principal 17,5%, majoré de 10% de CAC) appliqué sur les
bases HT.
8. Le droit à déduction (article 143, 145, 146)
La déduction de la TVA n’est possible que si les conditions de forme et fonds sont
remplies (la TVA est facturée par un fournisseur qualifié et immatriculé, avoir la
qualité de déduire c'est-à-dire être immatriculée, relevée du régime du réel ou du
simplifié. La facture doit être datée, porter le nom et numéro du contribuable,
numérotée, comporter l’adresse du client, la TVA, le taux, etc.)
Le droit à déduction apparait dès la livraison du bien et paiement total ou partiel
du prix pour les prestations de services. La TVA facturée n’est versée d’après
déduction de la TVA payé en amont lors des achats.
Le droit à déduction est exercé jusqu’à la fin du 2ème exercice fiscal qui suit celui au
cours duquel la taxe sur la valeur ajoutée est devenue exigible.
Exemple : TVA payée au fournisseur le 23/03/10. Cette TVA est déductible jusqu’au
31/12/11
- Pour les livraisons des biens de toute somme, valeurs, avantages biens ou
services reçus ou à recevoir en contrepartie de la livraison ;
- Pour les prestations de service : par toute somme, avantages reçus et le cas
échéant de la valeur du bien consomptible pour l’exécution des services ;
- Pour les échéances : valeur des produits reçus en paiement du bien augmente
le cas échéant la soulte ;
- Pour les marchés financés par le budget de l’Etat, prêts et subventions : par le
montant du marché TTC, hors TVA ;
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- Pour les travaux immobiliers : le montant des marchés mémoires ou factures ;
- Pour les livraisons à soi même : prix d’achat pour biens achetés et utilisés à
l’état ; prix de revient des biens extraits, fabriqués ou transformés ;
- Pour les opérations réalisées sur les entreprises de jeux de hasard et
divertissement : 6% du produit de jeux.
NB :
Sont exclus de cette base :
Pour l’introduction sur le territoire d’un Etat membre de la CEMAC, la base est
constituée de la valeur de sortie d’usine à l’exclusion des frais d’approche.
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- Les services afférents à des biens exclus du droit à déduction.
Si une immobilisation a fait l’objet d’une déduction de TVA payé en amont et que
cette immobilisation ne fait plus partie de l’actif de l’entreprise avant la fin de la 4 ème
année à compter de son acquisition par voie de cession, et si la cession n’est pas
soumise à la TVA pour quelques raisons que ce soit, alors le cédant a l’obligation de
reverser au trésor la fraction de la taxe antérieurement déduite. Cette fraction est
égale au montant de la déduction diminué d’un cinquième par année depuis
l’acquisition.
Exemple :
Matériel : 100.000 F
Date d’acquisition 01/05/n ; TVA : 19.250 F
Date de cession : 01/07/n+2
Prix de cession : 60.000 F HT
Vente par un non professionnel
TVA à reverser : n à n+2 = 3 ans
Soit : 19.250 – (19.250 x 3)/5 = 7.700 F
Le reversement de la TVA initiale déduite est obligatoire pour ce qui est des biens
et services utilisés pour des opérations non soumises à la TVA.
12. TVA acquittée sur les ventes ou services qui par la suite sont résiliés, annulés
ou restés impayés (article 146)
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La déduction chez les assujettis partiels s’opère par application d’un prorata
C.A. imposable à la TVA + Exportation
Prorata =
C.A. total assujetti
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- Les crédits non imputables sont suivant demande des intéressés et sur
autorisation express du DGI compensés par émission des chèques valables
pour le paiement des impôts de même nature, des droits de douane à
condition que les intéressés soient en activité interrompue depuis pus de 2
ans, et ne pas être en cours de vérification partielle ou générale de
comptabilité ;
- Les crédits de TVA peuvent faire l’objet de compensation ou remboursement à
condition que leur bénéficiaire ne soit pas débiteur des impôts et taxes
compensables de quelque nature que ce soit et que les crédits soient justifiés.
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15. Obligations du redevable (article 150, 151)
- Etre immatriculé ;
- Pour les assujettis du régime de base, simplifié et réel, respecter les obligations
comptables conformes au droit comptable OHADA
- Etablir une facture conforme (numéro facture, montant HT, TVA, numéro
contribuable, etc.) ;
- Toute personne utilisant les biens ou services au Cameroun d’une entreprise
n’ayant ni siège social, ni établissement fixe, ni base fixe est tenue dans les 15
jours après conclusion verbale ou écrite avec cette entreprise de faire
une déclaration (nom du responsable solvable accrédité auprès de
l’administration fiscale par cette entreprise étrangère) au DGI. Faute de la
déclaration, cette personne est responsable du paiement de la TVA.
Cette déclaration doit être déposée auprès du centre des impôts territorialement
compétent accompagné des moyens de paiements. Les grandes entreprises
souscrivent leur déclaration auprès de la DGE. Toute déclaration doit être datée et
signée par le contribuable ou non représentant fiscal.
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CHAPITRE II : L’IMPOT SUR LES SOCIETES
1. Champ d’application
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Sont exonérés de l’IS (article 4)
- Sociétés coopératives et leurs unions de production, transformation,
conservation, vente produits agricoles, élevages fonctionnant aux dispositions
légales leur régissant sauf pour les opérations suivantes :
Ventes effectuées dans un magasin de détail distinct de leur établissement
principal ;
Opérations de transformation portant sur les produits ou sous-produits autres
que ceux destinés à l’alimentation de l’Homme, animaux ou utilisés comme
matières premières dans l’agriculture, l’élevage ou l’industrie ;
Opérations exercées par elles avec les non sociétaires.
Les bénéfices soumis à l’IS sont ceux réalisés dans les entreprises exploitées ou sur
les opérations réalisées au Cameroun sous réserve des conventions internationales.
Le bénéfice net est déterminé d’après les résultats de l’ensemble des opérations de
toute nature effectuées au cours de la période servant de base à l’impôt.
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Bénéfice net de la période = Actif net à la clôture de la période
– Actif net à l’ouverture de la période
– des suppléments d’apport de la période
+ Prélèvement de la période
NB :
Les stocks sont évalués au coût réel d’acquisition ou de production du bien.
Constater la dépréciation si la valeur entrée est inférieure à la valeur d’entrée.
Les travaux en cours sont évalués au coût réel. Le bénéfice net est établi sous
déduction de toutes charges nécessitées pour l’exercice de l’activité.
a) Frais généraux
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Les frais généraux de siège incombant aux opérations faites et rendues aux
entreprises camerounaises au Cameroun et les rémunérations des services effectifs
tels que les études, assistance technique, financière ou comptable rendues par les
personnes physiques ou morales étrangères en aucun cas ne sera admis à plus de
10% du bénéfice imposable avant déduction des frais en cause (les frais réels de siège
doivent être comparés avec les 10% du bénéfice imposable, ce qui pourra entrainer
une réintégration ou pas. En cas de déficit, reporter cette disposition sur le dernier
exercice bénéficiaire non prescrit).
Les frais généraux de siège sont limités à 5% du chiffre d’affaires pour les
entreprises de travaux publics, à 15% du chiffre s’affaires pour les bureaux d’études
fonctionnant conformément aux lois des bureaux d’études et d’ingénieurs-conseils.
NB : Les sommes versées pour l’utilisation des brevets, marques, dessins et modèles
en cours de validité à une entreprise située hors CEMAC et profitant directement ou
indirectement à la gestion ou capital d’une entreprise camerounaise sont considérées
comme distribution.
Les frais de transport aller et retour des associés, salariés, épouses et leurs
enfants en charge à l’accession de leur congé est admise en déduction si et
seulement si le voyage a été effectué. En aucun cas ils ne peuvent donner lieu à
constitution de provision.
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NB : Les dégrèvements d’impôts déductibles entrent dans les recettes de l’exercice au
cours duquel l’entreprise est avisée de leur ordonnancement.
h) Amortissements
Sont déductibles ceux prévus par l’OHADA c'est-à-dire droit comptable et qui ne sont
pas exagérés (voir taux d’amortissement).
j) Les provisions
Elles sont déductibles conformément au droit comptable OHADA et régime applicable
pour les établissements de crédit.
Les plus values autres que celles réalisées sur les marchandises résultant de
l’attribution gratuite d’actions, parts bénéficiaires, parts sociales ou obligations à la
suite de la fusion des sociétés anonymes (SA), même unipersonnelles, SARL (voir CGI).
3. Lieu d’imposition (article 14)
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Il est établi au nom de la personne morale ou association pour l’ensemble de ses
activités imposables au Cameroun, au siège de la direction de ses entreprises ou au
lieu de son principal établissement.
Pour les personnes situées hors du Cameroun et ayant des liens avec les
entreprises situées ou installées au Cameroun, le lieu d’imposition de ces personnes
situées hors du Cameroun est le lieu où est situées les personnes dont elles ont le lien
avec eux. Ces dernières sont solidairement responsables des impôts dus par les
personnes situées hors du Cameroun.
L’impôt est établi au nom de la société ou du gérant connu des tiers et au lieu du
siège de la direction ou principal établissement.
Exemple :
Début activité : 15 avril 2010
Faculté de choix de l’année de clôture : 31/12/2010 ou 31/12/2011
Dans ce cas, l’impôt est assis sur l’ensemble des résultats découlant des différents
bilans.
Le taux applicable est de 35% principal plus CAC 3,5%. Toute fraction bénéfice
imposable inférieur à 1.000 F est négligée.
L’impôt dû est diminué de la retenue à la source supporté sur le revenu si la
société a encaissé des revenus mobiliers.
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Les contribuables doivent souscrire une déclaration de résultats obtenus
conformément au système comptable OHADA dans leur exploitation et au plus tard
dans le 15 mars de l’année suivant l’année d’imposition.
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grossistes, exploitants forestiers, à l’exception de ceux effectués par l’Etat,
communes et personnes domiciliées à l’étranger.
Sont exclus de l’application du précompte, les achats effectués sur les industriels
immatriculés, soumis au régime du réel pour les besoins de leur exploitation.
Ils doivent :
- Tenir un registre des achats et vente ;
- Effectuer des versements ;
- Adresser au service des impôts leur déclaration de revenus.
NB : En aucun cas l’impôt sur les sociétés ne saurait être inférieur au minimum de
perception qui est de 1,1% calculé sur le chiffre d’affaires global (chiffre d’affaires
brut HT réalisé entrant directement dans le cadre des activités de la société) réalisé
au cours de l’exercice précédent.
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LEXIQUE FISCAL
A- DEFINITIONS
- Droit fiscal
- Impôt : est un prélèvement pécuniaire (montant dû c'est-à-dire en argent et
non en nature et modalités d’acquittement) obligatoire (effet de la loi)
effectué par voie d’autorité à titre définitif (non remise en cas de restitution)
sans contrepartie (il n’est pas le prix de la prestation délivré aux citoyens) en
vue d’assurer le financement des charges publiques centralisées et
décentralisées de l’Etat par la puissance publique.
- Taxe : est un prélèvement obligatoire en contrepartie du service public mis à la
disposition de l’administration qu’il utilise ou non.
Exemple : L’enlèvement des ordures dans une rue
- Redevance : est la somme versée par l’usager d’un service public déterminé
et qui trouve sa contrepartie directement immédiate dans les prestations
fournies par ce service.
- Impôt direct : frappe les biens ou les revenus d’une personne.
- Impôt indirect : atteint le contribuable qu’indirectement à l’occasion de
l’emploi qu’il fait de ses ressources ou de ses dépenses.
- Abattement fiscal : est une mesure tendant à diminuer la base d’imposition.
- Avoir fiscal :
- Cotisations sociales : en dépit de leur caractère obligatoire, les cotisations
sociales ne sont pas des impôts dans la mesure où elles sont perçues dans un
but déterminé.
- Droit de douane se distingue en raison de leur caractère purement
économique ayant pour objet de protéger le marché intérieur.
- Agrément fiscal : décision accordant des allègements fiscaux à certaines
entreprises dans le but de favoriser, de faciliter le développement régional
- Assujetti : personne soumise à l’impôt.
Exemple : Une personne soumise à la TVA est un assujetti à la TVA
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- Avis de non imposition : document administratif adressé au contribuable
précisant qu’il n’a pas d’impôt à payer.
- Avis d’imposition : document administratif précisant les impôts à payer.
- Impôt dû : est le montant net à payer après toutes déductions.
- Liquider l’impôt : c’est calculer l’impôt à payer.
- Code général des impôts : ensemble des lois fiscales codifiées.
- Crédit d’impôt : créance sur le trésor.
- Dégrèvement : suppression ou atténuation de l’impôt prononcé ou accordé
par la voie contentieuse ou voie gracieuse.
- Décote : mécanisme qui permet de réduire voire d’annuler l’impôt.
- Demande gracieuse : est une demande qui s’adresse uniquement à la
bienveillance de l’administration qui peut dans certains cas prévus par la loi
d’atténuer la charge fiscale.
- Exigibilité : droit que le trésor public peut faire valoir à partir d’un moment
donné auprès du débiteur de l’impôt pour obtenir le paiement de cet impôt.
- Fait générateur : situation ou évènement qui entraine l’exigibilité de l’impôt
ou la taxe.
- Exonération : dispense d’impôt sous certaines conditions fixées par la loi.
- Minimum de perception : est 1,1% calculé sur le chiffre d’affaires.
- Redevable : personne à qui incombe le paiement de l’impôt.
- Le régime réel : pour les contribuables dont le chiffre d’affaires est supérieur à
100 millions.
Cependant les entreprises dont leur chiffre d’affaires est supérieur au seuil, elles
sont maintenues dans leur régime initial pour une durée de 2 ans.
NB : Le chiffre d’affaires n’est pas le seul critère permettant de classer les entreprises
par régime. Il existe d’autres critères tels que la nature de l’activité, le nombre de
place pour les transporteurs interurbains, etc.
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QUESTIONS TESTS
- Impôts
- Taxes
- Redevances
- Liquidité
- Impôt direct
- Impôt indirect
- Fait générateur
- Exigibilité d’impôt
- Redevable réel
- Redevable légal
- Personne physique
- Personne morale
- Contribuable de bonne foi
- Résultat comptable
- Résultat fiscal
12)Quels sont les différentes retenues fiscales salariales qu’on opère sur un
bulletin de paie ?
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13)Donner le barème de calcul de l’IRPP ?
14)Qu’appelle t- on « DIPE » ? A quoi sert-il ?
Une entreprise soumise au régime du réel fabrique deux produits qu’elle
commercialise sur le marché camerounais. L’un est imposable à la TVA et l’autre
exonéré
15) Quel mécanisme de déduction doit pratiquer cette entreprise ?
16) Qu’est-ce-que le droit d’accises ? Donner les différents taux du droit d’accises
appliqué au Cameroun ?
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LES EMBALLAGES COMMERCIAUX
Exemple : Les citernes, les bonbonnes de réservation d’eau potable dans les
industries.
Pour sa nature et son rôle, ils sont considérés comme les immobilisations si et
seulement si leur valeur est supérieure à 400.000 frs.
24
445
48 ou 5.
44
TRAITEMENT COMPTABLE
Fournisseur Client
41 ou 57 608
445 Achat
Vente
7074
4431 4011 ou 5.
Cas de consignation
Fournisseur Client
5. ou 411 4094
4452
4194
4431 4. ou 5.
Fournisseur Client
4194
4431 5. ou 4.
5. 4094
4. 4452
45
Fournisseur Client
7074 (bonis) 5.
5. (cpte 4194 – cpte 74) 4094 (prix de cons x nbre emb.)
ou 41 (net à verser au client) 4452 ( TVA x PR x nbre emb.)
Fournisseur Client
Fournisseur Client
Fournisseur Client
411 608
445
707 4011 ou 5.
4431
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Fournisseur Client
Location simple
Fournisseur Client
41 ou 5. 6225
4454
7073 401 ou 5.
4432
Fournisseur Client
41 ou 5. 6225
Réception loyers 4454
7073 40 ou 5.
4432
Ces emballages sont vendus avec les produits. On distingue plusieurs cas :
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TRAITEMENT COMPTABLE
Fournisseur Client
4. ou 5. 6081
7071 4. ou 5.
Ils peuvent être récupérables ou vendus en même temps que leur contenu.
NB :
335 6033
6033 335
48
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LES PROVISIONS
Ces provisions sont constituées sur les éléments d’actif du bien. C’est ainsi que
découle :
TRAITEMENT COMPTABLE
69 ou 85
29
- Les dépréciations : sont constituées pour les éléments du bas d’actif du bilan
tels que :
Les stocks ;
Les créances ;
Les trésoreries sont constatées en charges provisionnées et non en dotations
dans le compte 69, car il s’agit des décaissements probables à court terme.
TRAITEMENT COMPTABLE
50
Charges provisionnées d’exploitation
659
39 ou 490 à 497 ou 4991
679
590 à 594 ou 599
839
39, 498, 4998, 599
La provision dans les deux cas se détermine par une comparaison entre le coût
d’entrée et la valeur à l’inventaire. La provision peut changer dans le temps en plus
ou en moins, voire nulle.
- Les provisions pour risques et charges : sont constituées pour les éléments du
passif du bilan (dettes financières) lorsque l’échéance est à long terme.
ECRITURE COMPTABLE
69 ou 85
19
- Les risques provisionnés : sont constitués pour les risques à court terme
ECRITURE COMPTABLE
51
659
499 ou 599
ECRITURE COMPTABLE
851 ou 853
15
NB :
- La provision doit être incertaine mais probable ;
- Elle doit être comptabilisée pour le respect du principe fiscal et comptable ;
- La provision pour risque et charge doit être individualisée, précise et non
globale ;
- Les provisions réglementées doivent être constituées au vu des textes qui les
autorisent ;
- Toutes les provisions doivent figurer au relevé des provisions dans la DSF ;
- Toute provision constatée à l’inventaire doit être reprise au cours de
l’inventaire suivant avant la constitution d’une autre nouvelle provision.
Elles consistent à constater les dotations aux provisions par activité ordinaire et
hors activité ordinaire.
691 19 ou 29
19 (provision pour risques) 791
19 (provision pour charges)
29 (provision pour dépréciation des
immobilisations non amortissables)
85 15
15 861
NB :
19
864
La reprise pour dépréciation des immobilisations HAO
29
863
53
LES REGULARISATIONS DES CHARGES ET PRODUITS
Le dépôt d’une caution ou somme d’argent dans une entreprise pour paiement des
services de cette dernière peut concerner une période supérieure à la durée de
l’exercice fiscale, mais enregistré à la date de dépôt qui appartient à un exercice.
C’est ainsi qu’une régularisation s’avère importante.
Exemple : la société RLB dépose le 13 mars 2010 une caution de 1.500.000 F pour le
règlement de la facture annuel d’électricité à la SONEL. A la clôture de l’exercice
2010, avant l’établissement de la DSF, régulariser les charges si possibles.
Solution :
Date de dépôt : 13 mars 2010
Date de clôture : 31 décembre 2010
Période couvrant la caution : mars 2010 à février 2011
Charges correspondantes à l’exercice 2010 (de mars à décembre 2010) :
(1.500.000/12) x 10 = 1.250.000
Charges hors exercice : 1.500.000 – 1.250.000 = 250.000
Ecritures de régularisation
31/12/10
54
Exemple : à l’inventaire, on constate que les intérêts reçus ont été comptabilisés pour
750.000 F alors qu’ils sont semestriels. Ils concernent la période du 01/10/n au
31/03/n+1
TAF : régulariser les produits et passer les écritures correspondantes
Solution :
Période intérêts perçus (octobre à mars) : 6 mois
Intérêts correspondants à l’exercice n (octobre, novembre, décembre) : 3 mois
(750.000/6) x 3 = 375.000
Intérêts exercice n+1 : 750.000 – 375.000 = 375.000
Ecritures de régularisation
Charges à payer
Ce sont les charges de l’exercice n qui ne sont pas encore enregistrées faute de la
facture fournisseur.
Principe de comptabilisation
55
NB : la TVA sur charge à payer sera portée au compte 445 TVA récupérable sur
facture non parvenue alors que la TVA se rapportant au RRR à accorder sera portée
au débit du compte 4435 TVA facturée sur facture d’avoir à établir.
Exemple :
1) Réception des marchandises du fournisseur PABAME 450.000 F HT, TVA
19,25% : 86.625 F. la facture relative n’est pas encore parvenue
2) Le fournisseur PABAME a promis une remise de 4% sur une marchandise de
800.000 F HT, TVA 19,25%
3) La facture de maintenance envoyée au client ***** couvre la période du 1er
septembre au 30 août 2003. Montant : 600.000 F, TVA 19,25%
4) Le 10 janvier n+1, la société a reçu la facture du fournisseur PABAME. Elle
s’élève en réalité à 476.000 F HT et la TVA 19,25% : 91.630 F
5) Le 11 janvier n+1, la société a reçu la facture d’avoir concernant la remise du
fournisseur PABAME 875.000 x 4% = 35.000 F, TVA 19,25% : 35.000 x 19,25% =
6.738
Calculs annexes :
Période exercice n (septembre à décembre) : 4 mois = 200.000
Période exercice n+1 (janvier à août) : 8 mois = 400.000
56
31/12/n
6011 Achat marchandises 450.000
4455 Etat, TVA sur fact. non parv. 86.625
408 Fsseurs fact. non parv. 536.625
Régularisation facture non encore parvenue
d°
4098 Fsseur RRR à° obtenir 38.160
6019 RRR obtenus 32.000
4455 TVA récup/fact. non parv. 6.160
Régularisation facture non encore parvenue
d°
°
7061 Services vendus 400.000
4432 TVA facturée/services 77.000
477 Pdts constatés d’avance 477.000
Régularisation fin d’exercice
01/01/n+1
En début d’exercice n+1, on contrepasse toutes les écritures de régularisation
Pendant l’exercice n+1, lorsqu’on reçoit les factures correspondantes aux charges régular
Produits à recevoir
57
- 4257 « personnel produit à recevoir (cas des salaires à tort) »
- 4387 « organismes sociaux (cotisations versées à tort par l’entreprise) »
- 4493 à 4496 « Etat fonds et subventions à recevoir »
- 458 « organismes internationaux fonds de dotation et subvention à recevoir »
Exemple :
1) sur le salaire de mars n, 50.000 F ont été payé à tort à un salarié. Charges
sociales et fiscales correspondantes supportées 10% et 2,5%
2) livraison des marchandises pour 75.000 F, TVA 19,25%, mais facture non
encore établie
3) intérêts sur placement de 500.000 F, 6% ; échéance 30 août non encore reçu
4) ristourne promise par un fournisseur 5% de 800.000 F HT, TVA 19,25%
TAF : passer les écritures de régularisation
Calculs annexes :
Charges sociales = 5.000
Charges fiscales = 1.250
500.000 x 6% x 4/12
a
4287 Pers. produits à l’exercice 50.000
4387 Org. sociaux, pdts à recevoir 5.000
4487 Etat, produits à recevoir 1.250
661 Salaires 50.000
6641 Charges sociales/ revenus 5.000
6413 Taxes sur appointement 1.250
Régularisation produits fin
exercice
b
oi
4181 ° à établir
Clients, facture 89.438
701 Vente marchandises 75.000
4435 TVA à établir 14.438
Régularisation en fin d’exercice
c
506 °
Intérêts courus 10.000
774 Revenus placement 10.000