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THEME
Remerciements
Dédicace
Introduction……………………………………………………………………………………………………………………..…01
Choix thème…………………………………………………………………………………………………………………….....02
Problématique…………………………………………………………………………………………………………….………03
Objectifs de recherche…………………………………………………………………………………………….............04
Hypothèses de recherche………………………………………………………………………………..………………….05
Le cadre conceptuel…………………………………………………………………………………………………………….07
Les abréviations…………………………………………………………………………………………………………….....08
PARTIE THEORIQUE
I.4.Optique radiologique…………………………………………………………………………………………………….14
I.5.Les conditions d’une bonne image radiologique……………………………………………………………16
I.6.Insuccès et défectuosités………………………………………………………………………………………………18
II.1.Matériels photographiques……………………………………………………………………………………………19
PARTIE PRATIQUE
I. Méthodologie de la recherche…………………………………………………………………………………………27
Conclusion…………………………………………………………………………………………………………………………..47
Suggestions……………………….....................................................................................................48
Bibliographie……………………………………………………………………………………………………………………….49
Annexes
Remerciements
Nous tenons à remercier le Dieu qui nous a donné la patience à
réaliser ce modeste mémoire.
En particulier,
2012
M’RAH FERDOUS
Dédicace
2012
SAOUDI SOUMIA
INTRODUCTION :
La radiographie est la première technique d’imagerie. Elle existe depuis 1895 grâce aux
travaux du physicien allemand Wilhelm Conrad Roentgen qui à découvert par hasard le rayon
X.En effet alors que röntgen étudiait les rayons cathodiques dans un tube à décharge gazeuse
sous haute tension. Bien que ce tube fut enchâssé dans une boitière de carton noir, röntgen
nota qu’un écran de platine cyanure de baryum, placé par hasard à proximité, émettait une
lumière fluorescente lorsque le tube fonctionnait.
La qualité de l’image radiologique maintenant représentée une obligation pour une meilleure
prise en charge du patient, et pour arriver à un diagnostic bien précis.
01
CHOIX DU THEME :
Après nos plusieurs observations et notre vécu pendant les stages pratiques dans les services
radiologiques l’EPH (Ali boushaba) et nouvelle hôpital (route Batna) de khenchela, EPSP
bouchareb hamou,) on a trouvé que l’image radiologique standard en générale souffre d’une
qualité médiocre qui n’arrive pas dans la plupart des cas à un bon diagnostic.
L’idée de faire un mémoire professionnel est tournée dans nos têtes suites à ces observations
et notre vécu, et nous a conduite de faire ce travail modeste sur le thème : la qualité de
l’image radiologique standard.
02
PROBLEMATIQUE :
La qualité de l’image radiologique est basé sur plusieurs paramètres : la netteté, le contraste,
la pratique correcte de l’incidence radiologique, le centrage, les paramètres électrique choisis,
la qualité des films et les écrans renforçateurs.et enfin le bon développement du clichés.
Durant notre formation pratique, dans les services radiologiques de khenchela(l’EPH Ali
boushaba et nouvelle hôpital route Batna ,EPSP bouchareb hamou).on a remarqué que les
examens radiologiques standards sont faits d’une façon systématique ce qui résulte une image
radiologique de mauvaise qualité refusée dans la plupart des cas par les médecins, ce qui a
obligé les malades de refaire leurs clichés de nouveau, donc le nombre des examens
radiologiques sont répétés au niveaux de service est très élevés, pour cela on a posé notre
question problème :
Quels sont les causes derrières le nombre élevé des examens radiologiques standards répétés
au niveau des services radiologiques ? (L’EPH Ali boushaba et nouvelle hôpital route Batna,
EPSP bouchareb hamou.)de khenchela.
03
LES HYPOTHESES DE RECHERCHE:
2-Le manque de développement numérisé au niveau des pluparts des services radiologiques.
04
LES OBJECTIFS DE RECHERCHE :
05
CADRE CONCEPTUEL :
La Qualité :
Est définit un produit ou service de qualité est un produit dont les caractéristique lui
permettent de satisfaire les besoins exprimés ou implicites des consommateurs.
L’image Radiographie :
Service : N.M. Fonction de quelqu’un qui sert une cause ou qui aide une personne.
-L’appareil radiologique :
L'appareil de radiographie. Il se compose d'un bras articulé muni d'un tube à rayons X et d'une
plaque contenant le film.
06
Le pupitre de commande derrière lequel se trouve le personnel médical est séparé du reste de
la pièce par une vitre plombée protectrice
Le film sorti de la cassette dans le noir relatif (lumière inactinique) placée à l’entré de la
développeuses, est entrainé par une cascade de rouleaux successivement dans les 3 cuves
(Révélateur, fixage, lavage), puis à travers une sécheuse.la duré du traitement 90 on 120
Secondes.
De l’observateur.
07
LES ABREVIATIONS :
08
CHAPITRE I :L’IMAGE RADIOLOGIQUE
L’image radiologique est une ombre projetée d’objet plus ou moins opaque à la radiation qui
les éclaires L’image radiologique est une représentation en deux dimensions d’une épaisseur
complexe
déformations :
Règle 1 : La projection d’un objet forme une ombre plus grande que l’objet, c’est
Exemple: pour une dff de 1cm un objet plat de 5cm situé à une distance de 10 cm du capteur
Règle 2 : Les parties les éloignées du capteur sont les plus agrandies :
-Pour pouvoir comparer des clichés d’une même structure anatomique, on cherche à stabiliser
constante.
Règle 3 : Une projection perpendiculaire agrandit mais ne modifie pas la forme d’un objet
10
Règle 4 : Une projection oblique, non perpendiculaire au plan du capteur, modifie dans tous
Règle 5 : toute projection (normale ou oblique) agrandit et le modifie la forme d’un objet non
Règle 6 :Lorsqu’un faisceau x rencontre deux objets différents sur son trajet, ces derniers
apparaîtront superposés sur l‘image finale. Il est alors difficile de connaître la position relative
-Enfiler un interligne.
Deux mécanismes sont à l’origine de la formation des RX dans un tube radio gène.
Est le mode principale de formation des RX en radiologie se produit lorsqu’un électron passe
au voisinage d’un noyau dont la charge positive attire l’électron chargé négativement et lui
communique une accélération qui modifie sa trajectoire et réduit sa vitesse et son énergie
11
cinétique, laquelle se transforme en énergie rayonnante.
Lors d’émission caractéristique, l’électron incident vient percuter un électron d’une couche
Profonde (souvent K) et parvient à l’éjecter. Le trou laissé est très vite comblé par le passage
D’un électron d’une couche plus périphérique (L, M) vers la couche profonde incomplète.
Ce déplacement est du aux différences d’énergie de liaison entre les deux couches se trouve
I.2.2.1. Pénétration :
du faisceau et est indiquée par un kilo voltmètre étalonné en conséquence, placé sur le tableau
ou pupitre de commande.
Le passage du courant amène une haute tension qui est d’autant plus importante que
I.2.2.2.Intensité :
appareils utilisés et varie de 10 à 20 mA dans les appareils dentaires pour atteindre 1000 mA
et même plus dans les appareils très puissants, les générateurs moyens débitent de 300 à500
mA.
I.2.2.3.Temps de pose :
Le temps de pose s’exprime en seconde, il se règle et mesure avec une minuterie plus ou
12
moins perfectionnée qui ferme et coupe automatiquement le circuit d’alimentation du tube.
La dose d’exposition pour une tension déterminée est proportionnelle au produit de l’intensité
par le temps de pose, c’est -à-dire à la quantité d’électricité débitée par le tube pendant la
durée de l’exposition.
I.2.2.4.Distance foyer-film :
Les grandes distances, comme nous l’avons vu plus haut, en augmentant la distance foyer
En réalité, la notion de distance est une notion relative et dépend de l’épaisseur de la région à
radiographie, c’est-à-dire de la distance qui s’étend entre la face du corps tournée vers le tube
et le film.
La basse tension est un faisceau à RX émis sous une tension comprise entre 30 et 100 kV.
L’effet photo électrique est ici prépondérant les différences d’absorption entre les différents
tissus sont marqués. Cette technique implique une augmentation d’intensité et de temps de
pose pour obtenir un noircissement correct, elle est réservée à un certain nombre d’examen :
os et partie molle, opacification des voies biliaires, des voies urinaires, et l’angiographie.
La haute tension est un faisceau à RX émis sous une tension supérieure à 100KV, pour
obtenir une densité correcte, l’utilisation de l’ haute tension nécessite une diminution de la
13
-Une réduction de la dose reçue.
-Diminution de la puissance
Pour préciser l’action quantitative des rayons sur le film photographique ou trace une courbe
dite caractéristique de noircissement sur l’axe horizontale est porté le logarithme des quantités
de rayons agissant et sur l’axe verticale (en ordonnée) la densité photographique, donc
des tissus traversés, impliquent la nécessité d’adapter la tension au volume et à la nature des
éléments explorés.
I.3.3. La netteté :
L’image de l’objet présente une netteté parfaite de son contour, la densité se dégrade
Les objets situés sur des plans différents forment leurs images au même endroit.
14
I.4.2. Agrandissement des images :
Les images sont toujours plus grandes que les objets qu’elles représentent.
La forme de l’image dépend également sous lequel objet est abordé par la faisceau des rayons
La forme de l’image dépend également sous lequel le faisceau aborde le plan de l’écran ou du
film.
Le flou est en fait inévitable et les phénomènes qui le produisent sont nombreux, pour des
-Flou géométrique.
-Flou cinétique.
-Flou d’écran.
-Flou de forme.
- Mouvement du récepteur.
- Mouvement de l’objet.
15
I.4.5.3.Flou de L’écran.
Le récepteur a une structure granuleuse, grains de bromure d’argent pour le film, grains
Une ligne droite de délimitation idéale se traduit donc par ligne irrégulière et donc par une
imprécision de contour.
Le contour parfaitement défini d’un objet produira une image nette qu’un objet au contour
imprécis. Nous avions envisagés jusqu’ici des objets ayant une opacité absolue
I.5.1. Fidélité :
Pour avoir une représentation fidèle on évitera l’agrandissement en réduisant la distance entre
l’objet et le film et en augmentant d’autant plus la distance entre le foyer et «objet que celui-ci
est plus épais », on évitera la distorsion en réalisant des projections orthogonales. On évitera,
par contre les superpositions en réduisant la distance entre le foyer et l’objet ou en employant
des projections obliques, dans ce dernier cas une grande distance foyer film réduira la
déformation.
I.5.2. Contraste :
l’épaisseur et à l’opacité de la région examinée, tout en évitant d’employer des rayons trop
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I.5.3. Détails :
On améliorera la définition en utilisant des tubes à petit foyer. Une distance foyer film
importante et une distance objet-film aussi faible que possible (flou géométrique), on
supprimera les écrans renforçateurs ou on utilisera des écrans à grains fins (flou
photographique).
Ce sont des voiles généralisés ou des taches diverses .Ses causes sont les suivantes :
-Boite de films exposée aux rayons X : dans ce cas, il existe généralement une bande non
voilée due à l’existence d’un repère plombé situe dans la boite de carton.
-Films périmés.
-Taches claires.
Voile, il peut être étranger au développement. Si non, il provient d’un développement trop
long, ou égard à la température du bain. Un très léger voile est sans inconvénient majeur. Il ne
rend difficile la lecture du film que lorsque sa densité optique et devenue supérieure à 0,4.
17
Zones allongées de densité moindre que le reste du film : contacte de deux films dans le
révélateur.
Zones de même forme mais de teinte jaunâtre : contacte de deux films dans le fixage.
Bande claire en bord du film, à limite nette ou bulleuse : quantité insuffisance de révélateur
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CHAPITRE II: MATERIELS RADIOLOGIQUES LOURDS ET TRAITEMENT DU FILM
Les cassettes sont des châssis rigides ayant la forme d’une boite plate destinés à maintenir un
Postérieure est plus épaisse et contient d’habitude du plomb pour éviter les effets de la rétro-
Diffusion. Un contact uniforme est assuré par des ressorts et une feuille de feutre qui double
le Fond de la cassette.
Polyester qui est incolore ou bleuté, et très pue inflammable. Sur chacune de ses faces est
Coulée une émulsion de gélatino-bromure d’argent que forme les couches sensibles.
Il existe :
ü Les films dits standards : dont les caractéristiques sont adaptées à la majorité des cas
mais qui permettent une réduction importante de la dose d’exposition et partant du temps de
pose, très précieuse dans certains cas. Les différents formats des films sont les
19
II.1.3. Les écrans renforçateurs :
• Constitution :
Un écran renforçateur constitué par une substance en sulfate de baryte sulfure de zinc et
tungstate de calcium coulé sur un support en bristol ou sur une feuille en carton avec une
couche réfléchissante interposée est recouvert d’une fine couche imperméable que protège
• Utilisation :
Ces écrans sont utilisés deux par deux ils sont placés de part et d’autre du film la face active
de chaque écran étant en contact intime avec l’un des cotés de film, sont d’épaisseurs
inégales.
• Types d’écrans :
-Ecran à haute définition = grains fins, temps de pose longs car leur facteur d’intensification
-Ecran rapide = gros grains, temps de pose plus court à pouvoir renforçateur élève de l’ordre
-Ecran dégressif = une moitié de l’écran est plus rapide que l’autre indiqué pour les
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l’intensité ou la tension ce qui contenance à allonger la vie du tube.
Un film impressionné entre deux écrans renforçateurs présents des images à contours moins
II.1.4. Négatoscopes :
On utilise également les négatoscopes par réflexion sur une surface blanche et brillante.
Il est indispensable de disposer d’une batterie de plusieurs négatoscopes, placés côte à côte
Le diaphragme standard est constitué par quatre volets de plomb fixés sur le gaine du tube en
avant de sa fenêtre et commandés deux à deux à la main par une tige coudé ou un câble
flexible, ce qui permet d’étrangler aux dimensions voulues le faisceau en lui donnant une
Les localisateurs sont des cylindres, des troncs de pyramide ou plus souvent des troncs de
cône métalliques percés à leur extrémité supérieure d’un diaphragme dont la forme et
les dimensions sont adaptées à leur longueur et à leur ouverture et qui sont utilisés en
radiographie.
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II.2.2. Les grilles et leurs différents types :
• Les grilles :
Les grilles anti diffusantes interposées entre le sujet et la cassette porte-film sont constituées
Il existe deux variétés de grilles, les grilles fixes et les grilles mobiles, les unes et les autres
peut être respecté c’est le cas pour les clichés faits au lit du malade ou en salle d’opération.
déterminée et du rapport, plus le rapport est élevé, la distance de focalisation est courte.
-Grilles croisées : elles sont constituées par la superposition de deux grilles focalisées.
Ce rapport de la grille croisée est donné par le somme des rapports R= r1+r2
Quelques accessoires très simples permettant d’obtenir toutes les positions désirables, tout en
des sangles, des compresseurs, des coussins ou des oreillers, des sacs de sable de dimensions
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des pupitres à inclinaison réglage et
éventuellement des crânotas avec indicateur d’angle dispositifs très simples permettant
d’immobiliser un crane dans une position déterminée, avec une inclinaison latérale
Le film qui doit subir un développement extrait de a cassette par es bords de façon à éviter les
marques de doigts.
Le matériel de développement est constitué par des cadres métalliques sur les quels on
immobilise les films et le placé successivement dans plusieurs cuves : révélateur, eau de
• Révélateur :
C’est un réducteur qui permet de transformer les ions Ag+ en atomes Ag métalliques
Cette opération à pour un bute d’éliminer la majeure partie de révélateur sur le surface du film
• Le fixateur :
Il assure l’élimination du brome d’argent qui n’a pas été réduit par le révélateur on peut
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• Le lavage :
Il élimine les complexes d’argent qui imprègnent la gélatine, cette opération est d’autant plus
rapide que le renouvellement de l’eau est important pour une longue conservation, la duré
• Le séchage :
Il se fait à l’aide d’un appareil de séchage électrique muni d’un filtre absorbant la poussière et
Toutes les développeuses automatiques utilisent la même méthode. Le film sorti de la cassette
dans le noir relatif (lumière inactinique) placée à l’entre de la développeuse, est entrainé par
une cascade de rouleaux successivement dans les 3 cuves (révélateur, fixage, lavage) puis à
de l’observateur.
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L’image numérique n’est donc pas conforme à la vision de l’observateur et elle ne le
deviendra
ü Principe :
d’images numériques.
25
I- METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE :
1-Choix du terrain :
Nous avons tenu à réaliser notre enquête au niveau de service radiologie de EPH d’urgence
khenchela. lieu de notre stage de mise en situation professionnelle, et les autres services
radiologiques EPH nouvelle hôpital(route de Batna),et EPSP (bouchareb hamou)
2-Choix de la population :
Nous avons choisi d’interroger les manipulateurs en radiologie pour cela nous avons réalisé
une étude sur un échantillon au nombre de 20.
3-Choix de l’outil :
Nous avons choisi le questionnaire élaboré à partir des questions ouvertes et fermés autour
notre problématique et nos hypothèses et nous avons garanti à chaque inter locateur
l’anonymat et la confidentialité de leurs propos.
4-L’imites de l’étude :
-Par contrainte du temps pour réaliser ce modeste travail et de moyens, n’aurons voulu
d’élargir notre recherche sur toutes les wilayas proches.
Et nous avons basé sur nos observations sur le terrain+des lectures approfondies sur notre
thème pour renforcer notre problématique et notre question problème.
27
II. Analyse et résultats :
A-selon le corps :
Manipulateur en 19 95%
radiologie
Infirmiers 01 05%
Graphique A :
95%
Résultat et analyse :
-05% Infermières.
28
B- selon L’âge:
[22-40]ans 09 45%
55%
[41-52] ans 11
Graphique B :
45%
l'àge èntre [22-40]ans
55% l'àge èntre[ 41-52]ans
Résultats et analyses :
-la majorité des manipulateurs sont plus de 41ans et le reste des Manipulateurs sont moins
de 41ans .
C- selon l’ancienneté :
[1-10] 08 40%
[11-27] 12 60%
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Graphique C :répartition selon l’ancienneté.
40%
L'àge entre [1-10]
l'àge entre [11-27]
60%
Résultats et analyses :
-la majorité des manipulateurs sont des anciens dans la profession du manipulateur.
30
-Analyses et résultats du Questionnaire :
Question N°01 :
la Qualitè de l'image
90% 90%
25%
15%
10%
Résultats et analyses :
-la majorité des manipulateurs 90% ont dit que la qualité de l’image dépend de la netteté et
le contraste du cliché radiologique.
Le reste des manipulateurs ont dit que la qualité de l’image radiologique dépend à d’autres
facteurs qui sont : la fidélité, un bon appareillage, respecter l’incidence radiologique.
31
Un bon appareillage radiologique, le respect des incidences radiologiques, pour donner
image nette, fidèle, et bien contraste.
Question N°02 :
Tableau N°02 :
50%
Résultats et analyses :
- 30% des manipulateurs ont dit que la qualité de l’image radiologique est bon qualité
- 20% des manipulateurs ont dit que la qualité de l’image est plus ou moins
- la majorité des manipulateurs ont dit que la qualité de l’image est mauvaise.
32
La qualité de l’image radiologique lorsque est mauvaise c’est un grand problème pour arriver
à un diagnostic bien précis.
Question N°03 :
- Quel sont les causes qui influent sur la qualité de l’image radiologique ?
Le développement 15 75%
numérisé
Appareillage et accessoires 05 25%
radiologiques récents
Graphique N°03 :
25%
le développent appareillage et
numérisé accessoires
radiologiques
récents
Résultats et Analyses :
-la majorité des manipulateurs 75% on dit que les causes qui influent sur la qualité de
l’image radiologique dépend de développement numérisé et le reste 25% on dit que
l’influent sur la qualité de l’image radiologique dépend à un appareillage et accessoires
radiologiques récents.
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Parmi les causes qui influent sur la qualité de l’image radiologiques sont :
Question N°04 :
-est-ce que le nombre des examens radiologiques dans votre service est élevé ?
30%
OUI
NON
70%
résultats et analyses :
- d’après le graphique N°04 70% des manipulateurs ont dit oui et 30% des manipulateurs
ont dit non.
- la majorité des manipulateurs ont dit le nombre des examens radiologiques élevés.
- le reste des manipulateurs ont dit le nombre des examens radiologique n’est pas élevés.
-le nombre élevé des examens radiologues confirme la mauvaise qualité de l’image
radiologique.
34
-Question N°05 :
- est-ce que le nombre des examens radiologiques à refaire aussi élevé dans votre service ?
OUI 12 65%
NON 07 35%
Graphique N°05 :
35%
OUI
65% NON
Résultats et Analyses :
-d’après le graphique N°05 65% des Manipulateurs ont dit oui et 35% des Manipulateurs
ont dit Non.
-la majorité des manipulateurs ont dit le nombre des examens radiologiques à refaire est
èlèvé.et le reste des Manipulateurs ont dit que le nombre des examens radiologiques à
refaire n’est pas élevé.
35
Question N°6 :
OUI 09 45%
NON 11 55%
Graphique N°06 :
45%
OUI
55% NON
Résultats et Analyses :
D’après le graphique N°06 45% des manipulateurs on dit oui et 55% des manipulateurs ont
dit non.
- la majorité des Manipulateurs ont dit que le matériel radiologique lourd n’est pas de bon
état et le reste ont dit le matériel radiologique lourd est bon état.
-l’état du matériel radiologique (appareillage) participe d’une façon importante sur la qualité
de l’image radiologique.
Question N°07 :
-est -ce que les accessoires du matériel radiologique(les grilles) sont disponible ?
36
Tableau N°07 : les accessoires radiologiques
OUI 8 40%
NON 12 60%
Graphique N°07 :
40%
OUI
60% NON
Résultats et analyse :
D’après le Graphique N° 07 40% des manipulateurs ont dit oui et 60% des participants ont
dit non.
-la majorité des Manipulateurs ont dit que les accessoires du matériel radiologique ne sont
pas disponibles, et le reste des Manipulateurs ont dit les accessoires radiologiques sont
disponibles.
Question N°8 :
37
Tableau N°08 : la disponibilité de développeuse automatique
OUI 16 80%
NON 04 20%
Graphique N°08 :
20%
OUI
NON
80%
Résultats et Analyses :
-80% des Manipulateurs ont dit oui et 20% des Manipulateurs ont dit Non.
-la majorité des Manipulateurs ont dit la développeuse automatique est disponible dans le
service radiologique.
-le bon développement des films radiologiques donne des bons résultats sur le cliché.
Question N°09 :
NON 13 65%
38
Graphique N°09 :
l'ètat de dèveloppeuse
35%
OUI
65% NON
Résultats et Analyses :
- 35% des Manipulateurs ont dit oui et 65% des Manipulateurs ont dit Non.
-la majorité des Manipulateurs ont dit que la développeuse de leurs services n’est pas de
bon état.
Question N°10 :
OUI 06 30%
NON 14 70%
39
Graphique N°10 :
30%
OUI
NON
70%
Résultats et Analyses :
- 30 % des Manipulateurs ont dit oui et 70% des Manipulateurs ont dit Non.
-la majorité des manipulateurs ont dit que les films radiologiques souvent la même marque
que la développeuse.
Lorsque les films radiologiques et la développeuse ont la même marque, donnent une image
radiologique de bonne qualité.
Question N°11 :
-Au même temps ,vous-avez une développeuse numérisée dans votre service ?
40
Graphique N°11 :
10%
OUI
NON
90%
Résultats et Analyses :
-d’après le graphique N°11 10 % des Manipulateurs ont dit oui et 90% des Manipulateurs
ont dit Non.
-la majorité des manipulateurs ont dit que n’ont pas une développeuse numérisée dans leurs
services.
Question N°12 :
-selon vous ,le développement numérisée donne-il des bons résultats sur le cliché
radiologique ?
- OUI -NON
NON 05 25%
41
Graphique N°12 A : le développement numérisée.
le dèveloppement numèrisèe
25%
OUI
NON
75%
Résultats et Analyses :
- 75 % des Manipulateurs ont dit oui et 25% des Manipulateurs ont dit Non.
-la majorité des Manipulateurs ont dit que le développement numérisé donne des bons
résultats sur le cliché radiologique.
de l’observateur.
42
Tableau N°12 B : les avantages de développement numérisé.
Le développement 14 70%
sophistiqué
Netteté de l’image 13 60%
Graphique N°12 B :
70%
60%
developpement Nettetè de
sophistiquè l'image
Résultats et analyses :
-la majorité des manipulateurs 70% ont dit que le résultat de développement numérisé
dépend de développement sophistiqué.
60% des Manipulateurs ont dit que le résultat de développement numérisé dépend de la
Netteté de l’image.
Le développement numérisé c’est développement sophistiqué donne une image très nette
par apport au développement automatique.
Question N°13 :
-Que proposez-vous pour améliorer la Qualité de l’image radiologique standard dans votre
service ?
43
Tableau N° 13 : Propositions pour améliorer la qualité de l’image radiologique
Graphique N°13 :
le Appareillage et
dèveloppement accèssoires
numèrisè radiologiques
recents
Résultats et analyses :
-la majorité des manipulateurs 75% ont dit que l’amélioration de la Qualité de l’image
radiologique standard dépend au développement numérise.
55% des Manipulateurs ont dit que l’amélioration de la Qualité de l’image radiologique
standard dépend d’un appareillage et accessoires radiologiques récents.
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III- Synthèse générale :
Notre enquête est réalisée sous forme d’un questionnaire destiné aux manipulateurs
dans le service d’urgence de khenchela avait pour objectif de collecter le maximum
d’informations sur la qualité des images radiologiques, et les causes qu’élève le nombre
d’examen.
D’après l’analyse et interprétation des données obtenues par les questionnaires destines
aux manipulateurs en radiologie la majorité de notre population confirment que l’utilisation
des Moyens de traitement du film (numérisation) et les moyens antis diffusants, l’affichage exact des
constantes, le respect de distance foyer film, la technique et le matériel adéquat sont les
éléments principaux d’obtenir une image de bon qualité.
45
IV. Vérification des hypothèses :
Hypothèse 01 :
Hypothèse 02 :
2-Le manque de développement numérisé au niveau des pluparts des services radiologiques.
46
Conclusion :
Il le faut appliquer certains précaution simple permettent une bon qualité de l’image
radiologique :
• maintenir entre le foyer et la peau une distance suffisante (au mois 60cm) le respect de
distance foyer film.
• L’utilisation des moyens antis diffusants, l’affichage exact des constantes, la technique
et le matériel adéquat .
• La mise en uvre d’appareils nouveaux ne peut être performante sans qu’elle soit
adéquate, c’est-à-dire le savoir de leur utilisation et l’application des mesures et des
techniques doivent être classés en premier rang.
47
Suggestions :
- Préciser les conditions et les éléments d ‘un cliché de bonne qualité aux manipulateurs.
48
BIBLIOGRAPHIE :
Web Graphique:
Books.googl.com/books? ISBN
* WWW.eugenol.com./attachements/0004/…/coursradiologie.pdf
49
ANNEXE
Ministère de la santé de la population et de la reforme hospitalière
THEME
Protocole de recherche
en remplissant ce questionnaire
Corps :………………………………………………………………………….
Age :………………………………………………………………………….....
Ancienneté :……………………………………………………………………
Question N°=1 :
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
Question N°=2 :
-Bonne qualité
-Mauvaise qualité
-Plus ou moins
Question N°=3 :
-Quel sont les causes qui influent sur la qualité de l’image radiologique ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Question N°=4 :
-Est-ce que le nombre des examens radiologiques dans votre service est élevé ?
Oui Non
I
Question N°=5 :
-Est-ce que le nombre des examens radiologiques à refaire aussi élevé dans votre service ?
Oui NON
Question N°=6 :
Oui Non
Question N°=7 :
Oui Non
Question N°=8 :
Oui Non
Question N°=9 :
Oui Non
Question N°=10 :
-Les films radiologiques sont –ils souvent la même marque que la développeuse ?
OUI Non
Question N°=11 :
-Au même temps, vous-avez une développeuse numérisée dans votre service ?
II
OUI NON
Question N°=12 :
-Selon vous, le développement numérisé donne-il des bons résultats sur le cliché
Radiologique ?
OUI Non
………….………………………………………………………………………………………………………………………………………………...
Question N°=13 :
-Que proposez-vous pour améliorer la qualité de l’image radiologique standard dans votre
Service ?
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III