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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

MINISTERE DE LA SANTE DE LA POPULATION


ET DE LA REFORME HOSPITALIERE
INSTITUT NATIONAL DE LA FORMATION SUPERIEURE PARAMEDICALE DE TEBESSA

MEMOIRE PROFFESSIONNEL EN VUE DE L’OBTENTION DU DIPLÔME DE MANIPULATEUR EN


RADIOLOGIE DIPLOME D’ETAT

THEME

LA QUALITE DE L’IMAGE RADIOLOGIQUE STANDARD


Enquête réalisée dans les services radiologiques de khenchela :
EPH(URGENCE ALI BOUSHABA,NOUVELLE HOPITAL),EPSP BOUCHAREB HAMOU.

Encadré par : Présenté par :


M elle FOUATHIA elle
M M’RAH FERDOUS
PEPM OPTION RADIOLOGIE M elle SAOUDI SOUMIA
INFSP DE TEBESSA

Session Juin 2012


SOMMAIRE

Remerciements

Dédicace

Introduction……………………………………………………………………………………………………………………..…01

Choix thème…………………………………………………………………………………………………………………….....02

Problématique…………………………………………………………………………………………………………….………03

Objectifs de recherche…………………………………………………………………………………………….............04

Hypothèses de recherche………………………………………………………………………………..………………….05

Le cadre conceptuel…………………………………………………………………………………………………………….07

Les abréviations…………………………………………………………………………………………………………….....08

PARTIE THEORIQUE

CHAPITRE I : L’IMAGE RADIOLOGIQUE

I.1.Définition de l’image radiologique……………………………………………………………….................10

I.2.Les bases physiques et techniques………………………………………………………………………...……11

I.2.1. Les bases physiques…………………………………………………………………………………………….......11

I.2.2. Les bases techniques………………………………………………………………………………………………….12

I.3.L effet photo chimique ..14

I.4.Optique radiologique…………………………………………………………………………………………………….14
I.5.Les conditions d’une bonne image radiologique……………………………………………………………16

I.6.Insuccès et défectuosités………………………………………………………………………………………………18

Chapitre II : Matériels radiologiques et traitement du film

II.1.Matériels photographiques……………………………………………………………………………………………19

II.2.Les accessoires radiologiques………………………………………………………………………………………..21

II.3.Traitement du film (développement)…………………………………………………………………………….23

II.3.1. Le développement manuel.......................................................................................…...23

II.3.2. Le développement automatique……………………………………………………………………………….24

II.3.3. Le développement numérisé …………………………………………………………………………………….24

PARTIE PRATIQUE

I. Méthodologie de la recherche…………………………………………………………………………………………27

II. Analyse et interprétation des données……………………………………………………………………………28

III. Synthèse générale………………………………………………………………………………………………………….45

IV. Vérification des hypothèses……………………………………………………………………………………………46

Conclusion…………………………………………………………………………………………………………………………..47

Suggestions……………………….....................................................................................................48

Bibliographie……………………………………………………………………………………………………………………….49

Annexes
Remerciements
Nous tenons à remercier le Dieu qui nous a donné la patience à
réaliser ce modeste mémoire.

Et nous tenons à remercier toutes les personnes qui nous ont


aidés pour la Réalisation de ce travail en premier lieu :

-Mr SOUALHIA notre directeur de l institut national de la


formation supérieure paramédicale de TEBESSA et Mr KADRI
notre directeur des études.

En particulier,

Mademoiselle FOUATHIA, notre chef d option et notre directrice


de mémoire, pour ses conseils et sa disponibilité tout au long de
cette recherche

-Mr BOUBATA, Mr BOUKOUCHA, nos chefs d option durant les


deux années précédentes.

-Nous remercions tous nos enseignants pour leur savoir et leurs


efforts prodigués à notre formation en particulier :

-Mr SMAYA notre enseignant durant les trois ans.

-Mr DOUIB et Mr FILLALI notre enseignants durant la 1-ère et


la 2-ème année.

- tous les manipulateurs des services radiologiques qui n ont aidé


pendant nos stages pratiques.

-Nos familles pour leur soutien tout au long de cette formation.

Merci pour tout le monde.


Dédicace

JE REMERCIE DIEU DE M’AVOIR DONNE LA FORCE ET LE COURAGE

POUR FINIR MES ETUDES

JE DEDIE CE MODESTE TRAVAIL

A MES TRES CHERES PARENTS POUR LEURS SACRIFICES ET LEURS

TENDRESSE ET LEURS ENCOURAGEMENTS DURANT TOUTES MES

ETUDES ET SURTOUT MA MERE ET MON PERE

A MES S URS : WAFA ,FATIMA ,MARWA,SALWA.

A MON FRERE KHALED

A TOUTE LA FAMILLE HAFIDI AMINA

A TOUT CEUX QUI MA AIDER DE PRES OU DE LOIN

A TOUT LES ETUDIANTS DE MA PROMOTION MRX 3 ANNEE 2011-

2012

M’RAH FERDOUS
Dédicace

JE REMERCIE DIEU DE M’AVOIR DONNE LA FORCE ET LE COURAGE

POUR FINIR MES ETUDES

JE DEDIE CE MODESTE TRAVAIL

A MES TRES CHERES PARENTS POUR LEURS SACRIFICES ET LEURS

TENDRESSES ET LEURS ENCOURAGEMENTS DURANT TOUTES MES

ETUDES ET SURTOUT MON PERE « seddik » ET MA MERE « warda »

A MES S URS : BESMA, ASMA, SOUHILA, SABRINA, et la petite rose


MAYSSOUN

A MON FRERE MEHAMED ET LE CHOUCHU MOUAYAD

A TOUTE LA FAMILLE SAOUDI

A TOUT CEUX QUI MA AIDER DE PRES OU DE LOIN

A TOUT LES ETUDIANTS DE MA PROMOTION MRX 3 ANNEE 2011-

2012

SAOUDI SOUMIA
INTRODUCTION :

La radiographie est la première technique d’imagerie. Elle existe depuis 1895 grâce aux
travaux du physicien allemand Wilhelm Conrad Roentgen qui à découvert par hasard le rayon
X.En effet alors que röntgen étudiait les rayons cathodiques dans un tube à décharge gazeuse
sous haute tension. Bien que ce tube fut enchâssé dans une boitière de carton noir, röntgen
nota qu’un écran de platine cyanure de baryum, placé par hasard à proximité, émettait une
lumière fluorescente lorsque le tube fonctionnait.

Le tube de la qualité en milieu hospitalier est de satisfaire le patient. Le service radiologique


joue un rôle majeur dans celle satisfaction en mettant à la disposition du patient un matériel
fiable. Cette qualité concerne aussi l’optimisation des ressources humaines, la matrice des
coutes et des délais. L’image photographique de foies représente imparfaitement la réalité de
l’objet radiographique.

La qualité de l’image radiologique maintenant représentée une obligation pour une meilleure
prise en charge du patient, et pour arriver à un diagnostic bien précis.

01
CHOIX DU THEME :

Après nos plusieurs observations et notre vécu pendant les stages pratiques dans les services
radiologiques l’EPH (Ali boushaba) et nouvelle hôpital (route Batna) de khenchela, EPSP
bouchareb hamou,) on a trouvé que l’image radiologique standard en générale souffre d’une
qualité médiocre qui n’arrive pas dans la plupart des cas à un bon diagnostic.

L’idée de faire un mémoire professionnel est tournée dans nos têtes suites à ces observations
et notre vécu, et nous a conduite de faire ce travail modeste sur le thème : la qualité de
l’image radiologique standard.

02
PROBLEMATIQUE :

La qualité de l’image radiologique est basé sur plusieurs paramètres : la netteté, le contraste,
la pratique correcte de l’incidence radiologique, le centrage, les paramètres électrique choisis,
la qualité des films et les écrans renforçateurs.et enfin le bon développement du clichés.

Durant notre formation pratique, dans les services radiologiques de khenchela(l’EPH Ali
boushaba et nouvelle hôpital route Batna ,EPSP bouchareb hamou).on a remarqué que les
examens radiologiques standards sont faits d’une façon systématique ce qui résulte une image
radiologique de mauvaise qualité refusée dans la plupart des cas par les médecins, ce qui a
obligé les malades de refaire leurs clichés de nouveau, donc le nombre des examens
radiologiques sont répétés au niveaux de service est très élevés, pour cela on a posé notre
question problème :

Quels sont les causes derrières le nombre élevé des examens radiologiques standards répétés
au niveau des services radiologiques ? (L’EPH Ali boushaba et nouvelle hôpital route Batna,
EPSP bouchareb hamou.)de khenchela.

03
LES HYPOTHESES DE RECHERCHE:

1-Matériels radiologiques lourds est accessoires ne sont pas de bon état.

2-Le manque de développement numérisé au niveau des pluparts des services radiologiques.

04
LES OBJECTIFS DE RECHERCHE :

• Mettre en évidence les critères d’une bonne image radiologique standard.


• Mettre en évidence l’importance de l’image radiologique standard de base, qui est un
examen à garder sa valeur malgré l’évolution des différentes techniques d’imagerie
médicale (Scanner, échographie, IRM).
• Améliorer les connaissances et les compétences des manipulateurs sur la qualité de
l’image radiologique standard ; pour une meilleure prise en charge du malade.

05
CADRE CONCEPTUEL :

La Qualité :

Est définit un produit ou service de qualité est un produit dont les caractéristique lui
permettent de satisfaire les besoins exprimés ou implicites des consommateurs.

L’image Radiographie :

- L’image : N.F. Représentation d’un ou de plusieurs êtres ou objets par le dessin.

- Radiographié : c’est l’image description précise d’un phénomènes ou d’une situation.

Critères de jugement de ces images :

La Netteté pour décrire la Qualité de l’image.et le traitement de l’image est l’ensemble

Des méthodes et des techniques.

-Le service Radiologique :

Service : N.M. Fonction de quelqu’un qui sert une cause ou qui aide une personne.

Radiologie : c’est l’ ensemble des modalités diagnostiques et thérapeutique utilise les

Rayons X. ou plus généralement utilisent des rayonnements.

-Les examens radiologiques standards :

Les examens radiologiques standards ou conventionnels utilisent un appareil comprenant un


émetteur de rayons X et un écran fluorescent, sensible à ces derniers.une partie des rayons
émis sont absorbés par l’organe examiné. Le résultat de cet examen est une radiographie
(d'un membre, pulmonaire,...)

-L’appareil radiologique :

Dans la salle d'examen, on trouve :

L'appareil de radiographie. Il se compose d'un bras articulé muni d'un tube à rayons X et d'une
plaque contenant le film.

06
Le pupitre de commande derrière lequel se trouve le personnel médical est séparé du reste de
la pièce par une vitre plombée protectrice

-Le développement automatique :

Le film sorti de la cassette dans le noir relatif (lumière inactinique) placée à l’entré de la
développeuses, est entrainé par une cascade de rouleaux successivement dans les 3 cuves
(Révélateur, fixage, lavage), puis à travers une sécheuse.la duré du traitement 90 on 120
Secondes.

-Le développement numérique :

Une image peut se présenter sous deux formes :

Analogique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est conforme à la vision

De l’observateur.

Numérique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est le résultat abstrait

D’une construction mathématique figurée par une succession des nombres.

L’image numérique n’est donc pas conforme à la vision de l’observateur et elle ne le


deviendra qu’après conversion en une image analogique.

07
LES ABREVIATIONS :

EPH : établissement publique hospitalier.

EPSP : établissement public de santé de proximité.

RX : sont une forme de rayonnement électromagnétique à haute fréquence dont la longueur


d’onde est comprise approximativement entre 5 pico mètres et 10 nanomètres.

MRX : Manipulateur en radiologie.

08
CHAPITRE I :L’IMAGE RADIOLOGIQUE

I.1. Définition de l’image radiologique :

L’image radiologique est une ombre projetée d’objet plus ou moins opaque à la radiation qui

les éclaires L’image radiologique est une représentation en deux dimensions d’une épaisseur

complexe

La conicité du faisceau x et L’orientation du rayon directeur entraînent une déformation des

structures radiographies plusieurs règles d’ (optique radiologique) définissent ses

déformations :

Règle 1 : La projection d’un objet forme une ombre plus grande que l’objet, c’est

L’agrandissement (distorsion de taille)

Exemple: pour une dff de 1cm un objet plat de 5cm situé à une distance de 10 cm du capteur

Mesura sur le film 5,5cm

Règle 2 : Les parties les éloignées du capteur sont les plus agrandies :

-Pour pouvoir comparer des clichés d’une même structure anatomique, on cherche à stabiliser

ces agrandissements différentiels (reproductibilité d’une incidence) en utilisant une dfd

constante.

-Dfd =1m 10(ou 1m) en radiologie osseuse.

-Dfd =1m 50(à180m) en radiologie pulmonaire.

Règle 3 : Une projection perpendiculaire agrandit mais ne modifie pas la forme d’un objet

parallèle au plan du détecteur.

10
Règle 4 : Une projection oblique, non perpendiculaire au plan du capteur, modifie dans tous

les cas la forme d’objet (distorsion de forme)

Règle 5 : toute projection (normale ou oblique) agrandit et le modifie la forme d’un objet non

parallèle au plan du capteur.

Règle 6 :Lorsqu’un faisceau x rencontre deux objets différents sur son trajet, ces derniers

apparaîtront superposés sur l‘image finale. Il est alors difficile de connaître la position relative

de ces structures (laquelle est devant l’autre ?)

Ces différentes règles sont prises en compte en radiologie pour :

-Ne pas déformer l’objet.

-Déformer volontairement l’objet.

-Enfiler un interligne.

-Dégager une structure gênante.

-Minimiser ou, au contraire, créer un agrandissement différentiel.

I.2. Les bases physiques et techniques :

I.2.1. Les bases physiques :

I.2.1.1. La production des rayons x :

Deux mécanismes sont à l’origine de la formation des RX dans un tube radio gène.

L’émission générale et caractéristique.

I.2.1.2. L’émission Générale :

Est le mode principale de formation des RX en radiologie se produit lorsqu’un électron passe

au voisinage d’un noyau dont la charge positive attire l’électron chargé négativement et lui

communique une accélération qui modifie sa trajectoire et réduit sa vitesse et son énergie

11
cinétique, laquelle se transforme en énergie rayonnante.

I.2.1.3. L’émission caractéristique :

L’émission caractéristique est un phénomène mineur dans la production des RX.

Lors d’émission caractéristique, l’électron incident vient percuter un électron d’une couche

Profonde (souvent K) et parvient à l’éjecter. Le trou laissé est très vite comblé par le passage

D’un électron d’une couche plus périphérique (L, M) vers la couche profonde incomplète.

Ce déplacement est du aux différences d’énergie de liaison entre les deux couches se trouve

sous la forme de l’émission d’un RX.

I.2.2. Les bases techniques :

I.2.2.1. Pénétration :

La pénétration s’exprime en kilovolts maximaux. Dont dépend la longueur d’onde minimale

du faisceau et est indiquée par un kilo voltmètre étalonné en conséquence, placé sur le tableau

ou pupitre de commande.

Le passage du courant amène une haute tension qui est d’autant plus importante que

l’intensité du courant est plus élevée.

I.2.2.2.Intensité :

L’intensité s’exprime en milliampères ; sa valeur maximale dépend de la puissance des

appareils utilisés et varie de 10 à 20 mA dans les appareils dentaires pour atteindre 1000 mA

et même plus dans les appareils très puissants, les générateurs moyens débitent de 300 à500

mA.

I.2.2.3.Temps de pose :

Le temps de pose s’exprime en seconde, il se règle et mesure avec une minuterie plus ou

12
moins perfectionnée qui ferme et coupe automatiquement le circuit d’alimentation du tube.

La dose d’exposition pour une tension déterminée est proportionnelle au produit de l’intensité

par le temps de pose, c’est -à-dire à la quantité d’électricité débitée par le tube pendant la

durée de l’exposition.

I.2.2.4.Distance foyer-film :

Les grandes distances, comme nous l’avons vu plus haut, en augmentant la distance foyer

objet, suppriment ou atténuent l’agrandissement atténuent la distorsion due à l’obliquité du

rayonnement et réduisent le flou géométrique.

En réalité, la notion de distance est une notion relative et dépend de l’épaisseur de la région à

radiographie, c’est-à-dire de la distance qui s’étend entre la face du corps tournée vers le tube

et le film.

I.2.2.5.Techniques de basse tension :

La basse tension est un faisceau à RX émis sous une tension comprise entre 30 et 100 kV.

L’effet photo électrique est ici prépondérant les différences d’absorption entre les différents

tissus sont marqués. Cette technique implique une augmentation d’intensité et de temps de

pose pour obtenir un noircissement correct, elle est réservée à un certain nombre d’examen :

os et partie molle, opacification des voies biliaires, des voies urinaires, et l’angiographie.

I.2.2.6. Technique de haute tension :

La haute tension est un faisceau à RX émis sous une tension supérieure à 100KV, pour

obtenir une densité correcte, l’utilisation de l’ haute tension nécessite une diminution de la

quantité du RX émis donc l’augmentation de la tension ça entraîne :

-Une réduction de l’intensité et le temps de pose.

13
-Une réduction de la dose reçue.

-Diminution de la puissance

I.3. Effet photo chimique :

I.3.1. Noircissement du film exposé et traité :

Pour préciser l’action quantitative des rayons sur le film photographique ou trace une courbe

dite caractéristique de noircissement sur l’axe horizontale est porté le logarithme des quantités

de rayons agissant et sur l’axe verticale (en ordonnée) la densité photographique, donc

noircissement du film développé.

I.3.2. Contraste de l’image :

Les inégalités d’absorption et de diffusion liées à la composition, à la nature et à l’épaisseur

des tissus traversés, impliquent la nécessité d’adapter la tension au volume et à la nature des

éléments explorés.

I.3.3. La netteté :

L’image de l’objet présente une netteté parfaite de son contour, la densité se dégrade

progressivement et la largeur de la zone de transition mesure le flou.

En radiographie ce flou inévitable reconnaît trois causes principales :

-Le flou géométrique.

-Le flou cinétique.

-Le flou photographique.

I.4. Optique radiologique :

I.4.1. Confusion des plans :

Les objets situés sur des plans différents forment leurs images au même endroit.

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I.4.2. Agrandissement des images :

Les images sont toujours plus grandes que les objets qu’elles représentent.

I.4.3. Rôle de l’angle d’incidence :

La forme de l’image dépend également sous lequel objet est abordé par la faisceau des rayons

I.4.4. Rôle de l’angle de projection :

La forme de l’image dépend également sous lequel le faisceau aborde le plan de l’écran ou du
film.

I.4.5. Le flou radiologique et leur élimination :

Le flou est en fait inévitable et les phénomènes qui le produisent sont nombreux, pour des

raisons didactiques on les résume à 4 causes principales :

-Flou géométrique.

-Flou cinétique.

-Flou d’écran.

-Flou de forme.

I.4.5.1. Flou géométrique :

Ce flou est lié à la disposition géométrique des éléments concourant à la formation de

l’image : taille du foyer, agrandissement, décalage par apport au rayon directeur.

I.4.5.2. Flou de mouvement (cinétique) : Trois types de mouvements

- Mouvement de foyer radio gène.

- Mouvement du récepteur.

- Mouvement de l’objet.

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I.4.5.3.Flou de L’écran.

Le récepteur a une structure granuleuse, grains de bromure d’argent pour le film, grains

luminescents de l’écran renforçateur ou de l’amplificateur de luminance et même structure de

la matrice d’un système numérisé.

Une ligne droite de délimitation idéale se traduit donc par ligne irrégulière et donc par une

imprécision de contour.

I.4.5.4. Flou de forme :

Le contour parfaitement défini d’un objet produira une image nette qu’un objet au contour

imprécis. Nous avions envisagés jusqu’ici des objets ayant une opacité absolue

au rayonnement, en fait l’atténuation du rayonnement est liée à la nature et à l’épaisseur.

I.5. Les conditions d’une bonne image radiologique :

I.5.1. Fidélité :

Pour avoir une représentation fidèle on évitera l’agrandissement en réduisant la distance entre

l’objet et le film et en augmentant d’autant plus la distance entre le foyer et «objet que celui-ci

est plus épais », on évitera la distorsion en réalisant des projections orthogonales. On évitera,

par contre les superpositions en réduisant la distance entre le foyer et l’objet ou en employant

des projections obliques, dans ce dernier cas une grande distance foyer film réduira la

déformation.

I.5.2. Contraste :

On obtiendra de bons contrastes en adaptant la quantité, et la qualité du rayonnement à

l’épaisseur et à l’opacité de la région examinée, tout en évitant d’employer des rayons trop

durs, en éliminant le rayonnement diffusé et en développant correctement les films.

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I.5.3. Détails :

On améliorera la définition en utilisant des tubes à petit foyer. Une distance foyer film

importante et une distance objet-film aussi faible que possible (flou géométrique), on

supprimera les écrans renforçateurs ou on utilisera des écrans à grains fins (flou

photographique).

Par contre, pour l’examen des organes mobiles (flou cinétique),


qui nécessite une réduction de temps , on ‘devra ‘ recourir à un compromis en utilisant un
rayonnement assez pénétrant, un débit d’exposition de rayonnement élevé, une distance foyer
film relativement courte et des écrans renforçateurs rapides, donc à gros grains.

I.6. Insuccès et défectuosités :

I.6.1. Accidents se produisant en cours de Manipulation :

Ce sont des voiles généralisés ou des taches diverses .Ses causes sont les suivantes :

-Lumière du laboratoire non inactinique.

-Films conservés à une température trop élevée.

-Boite de films exposée aux rayons X : dans ce cas, il existe généralement une bande non

voilée due à l’existence d’un repère plombé situe dans la boite de carton.

-Films périmés.

-Taches claires.

I.6.2. Accidents se produisant en cours de développement :

Voile, il peut être étranger au développement. Si non, il provient d’un développement trop

long, ou égard à la température du bain. Un très léger voile est sans inconvénient majeur. Il ne

rend difficile la lecture du film que lorsque sa densité optique et devenue supérieure à 0,4.

17
Zones allongées de densité moindre que le reste du film : contacte de deux films dans le

révélateur.

Zones de même forme mais de teinte jaunâtre : contacte de deux films dans le fixage.

Bande claire en bord du film, à limite nette ou bulleuse : quantité insuffisance de révélateur

qui ne recouvre pas la partie supérieure du film.

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CHAPITRE II: MATERIELS RADIOLOGIQUES LOURDS ET TRAITEMENT DU FILM

II.1. Matériel photographique :

II.1.1. Les cassettes :

Les cassettes sont des châssis rigides ayant la forme d’une boite plate destinés à maintenir un

Contact étroit entre le film et ses écrans renforçateurs.

La face antérieure de la cassette, traversée par le rayonnement est mince et de structure

Homogène, en un alliage très léger (almasilium en général) ou en matière plastique. La face

Postérieure est plus épaisse et contient d’habitude du plomb pour éviter les effets de la rétro-

Diffusion. Un contact uniforme est assuré par des ressorts et une feuille de feutre qui double

le Fond de la cassette.

II.1.2. Les films :

Le film radiographique est constitué par un support transparent en acétate de cellulose ou en

Polyester qui est incolore ou bleuté, et très pue inflammable. Sur chacune de ses faces est

Coulée une émulsion de gélatino-bromure d’argent que forme les couches sensibles.

Il existe :

ü Les films dits standards : dont les caractéristiques sont adaptées à la majorité des cas

et qui sont les films de la pratique courante.

ü Les films ultra-sensibles ou ultra-rapides : qui donnent de moins bons contrastes

mais qui permettent une réduction importante de la dose d’exposition et partant du temps de

pose, très précieuse dans certains cas. Les différents formats des films sont les

Suivants : 13X18, 18X24, 24X30, 30X40, 36X43, 35X35, 15X40 :

le format 9X12 a été abandonné.

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II.1.3. Les écrans renforçateurs :

• Constitution :

Un écran renforçateur constitué par une substance en sulfate de baryte sulfure de zinc et

tungstate de calcium coulé sur un support en bristol ou sur une feuille en carton avec une

couche réfléchissante interposée est recouvert d’une fine couche imperméable que protège

l’écran contre l’humidité et l’abrasion.

• Utilisation :

Ces écrans sont utilisés deux par deux ils sont placés de part et d’autre du film la face active

de chaque écran étant en contact intime avec l’un des cotés de film, sont d’épaisseurs

inégales.

• Types d’écrans :

-Ecran standard = grains de dimensions moyennes.

-Ecran à haute définition = grains fins, temps de pose longs car leur facteur d’intensification

ne dépasse pas 10 (utilisé pour le recherche des tailles de l’image).

-Ecran rapide = gros grains, temps de pose plus court à pouvoir renforçateur élève de l’ordre

de 20 explorations des organes mobiles.

-Ecran dégressif = une moitié de l’écran est plus rapide que l’autre indiqué pour les

radiographies des régions présentant de différence de transparence.

• Avantages des écrans renforçateurs :

Les écrans accroissent la sensibilité du film en fonction de leur luminance.

Réduire le temps d’exposition,

20
l’intensité ou la tension ce qui contenance à allonger la vie du tube.

Diminuer la dose au patient.

• Inconvénients des écrans renforçateurs :

Un film impressionné entre deux écrans renforçateurs présents des images à contours moins

nets cat la présence de l’écran accroit le flou photographique.

II.1.4. Négatoscopes :

On utilise également les négatoscopes par réflexion sur une surface blanche et brillante.

Il est indispensable de disposer d’une batterie de plusieurs négatoscopes, placés côte à côte

pour pouvoir comparer les clichés entre eux.

II.2. Les accessoires radiologiques :

II.2.1. Diaphragmes et localisateurs :

Le diaphragme standard est constitué par quatre volets de plomb fixés sur le gaine du tube en

avant de sa fenêtre et commandés deux à deux à la main par une tige coudé ou un câble

flexible, ce qui permet d’étrangler aux dimensions voulues le faisceau en lui donnant une

forme carrée ou rectangulaire.

Les localisateurs sont des cylindres, des troncs de pyramide ou plus souvent des troncs de

cône métalliques percés à leur extrémité supérieure d’un diaphragme dont la forme et

les dimensions sont adaptées à leur longueur et à leur ouverture et qui sont utilisés en

radiographie.

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II.2.2. Les grilles et leurs différents types :

• Les grilles :

Les grilles anti diffusantes interposées entre le sujet et la cassette porte-film sont constituées

schématiquement par une série de lames opaques aux rayons X, en plomb.

• Les différents types de grilles

Il existe deux variétés de grilles, les grilles fixes et les grilles mobiles, les unes et les autres

étant ou non focalisées.

-Grilles à lames parallèles : habituellement d’un rapport fiable (R=5 ou 6)

Elles comportent 20 ou 22 lames au cm et sont utilisées lorsque la direction du rayon principal

n’est pas qu’approximativement perpendiculaire à la grille et que le distance foyer-film ne

peut être respecté c’est le cas pour les clichés faits au lit du malade ou en salle d’opération.

-Grilles focalisées : son utilisation varie en fonction de la distance de focalisation bien

déterminée et du rapport, plus le rapport est élevé, la distance de focalisation est courte.

-Grilles croisées : elles sont constituées par la superposition de deux grilles focalisées.

Éliminant un pourcentage important rayonnement diffusé.

Ce rapport de la grille croisée est donné par le somme des rapports R= r1+r2

II.2.3. Les moyens de contention :

Quelques accessoires très simples permettant d’obtenir toutes les positions désirables, tout en

maintenant le sujet immobile pendant la durée de l’exposition. Ces accessoires comportent

des sangles, des compresseurs, des coussins ou des oreillers, des sacs de sable de dimensions

variables, des cubes ou des parallélépipèdes des bois,

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des pupitres à inclinaison réglage et

éventuellement des crânotas avec indicateur d’angle dispositifs très simples permettant

d’immobiliser un crane dans une position déterminée, avec une inclinaison latérale

correspondant à un angle précis.

II.3. Traitement des films :

II.3.1. Le développement manuel :

Le film qui doit subir un développement extrait de a cassette par es bords de façon à éviter les

marques de doigts.

Le matériel de développement est constitué par des cadres métalliques sur les quels on

immobilise les films et le placé successivement dans plusieurs cuves : révélateur, eau de

rinçage, fixateur et eau délavage.

• Révélateur :

C’est un réducteur qui permet de transformer les ions Ag+ en atomes Ag métalliques

Ag+ +réducteur = Ag + réducteur oxydé

• Le lavage intermédiaire (Rinçage) :

Cette opération à pour un bute d’éliminer la majeure partie de révélateur sur le surface du film

et éviter la pollution du fixateur.

Ce rinçage doit durer 30 secondes et effectué par une eau courante.

• Le fixateur :

Il assure l’élimination du brome d’argent qui n’a pas été réduit par le révélateur on peut

considérer que le temps de 15 mn dans un bain 16° à 20°.

23
• Le lavage :

Il élimine les complexes d’argent qui imprègnent la gélatine, cette opération est d’autant plus

rapide que le renouvellement de l’eau est important pour une longue conservation, la duré

habituelle à 18 est à 20 mn.

• Le séchage :

Il se fait à l’aide d’un appareil de séchage électrique muni d’un filtre absorbant la poussière et

contrôlant la température de la ventilation.

II.3.2. Le développement automatique :

Toutes les développeuses automatiques utilisent la même méthode. Le film sorti de la cassette

dans le noir relatif (lumière inactinique) placée à l’entre de la développeuse, est entrainé par

une cascade de rouleaux successivement dans les 3 cuves (révélateur, fixage, lavage) puis à

travers une sécheuse (air chaud ou infrarouge).

Le traitement complet dur 90 ou 120 secondes à une température voisine de 35 deg.

II.3.3. Le développement numérique :

• Les systèmes de numérisation :


ü Définition :

Une image peut se présenter sous deux formes :

Analogique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est conforme à la vision

de l’observateur.

Numérique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est le résultat abstrait

d’une construction mathématique figurée par une succession des nombres.

24
L’image numérique n’est donc pas conforme à la vision de l’observateur et elle ne le
deviendra

qu’après conversion en une image analogique.

ü Principe :

Tout système numérique comporte une source de rayons X, un sous-système d’acquisition et

de formatage des images, un de sous-système de visualisation et de manipulation, un sous-

système d’archivage, et un module d’édition partagé de préférence avec d’autre sources

d’images numériques.

25
I- METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE :

1-Choix du terrain :

Nous avons tenu à réaliser notre enquête au niveau de service radiologie de EPH d’urgence
khenchela. lieu de notre stage de mise en situation professionnelle, et les autres services
radiologiques EPH nouvelle hôpital(route de Batna),et EPSP (bouchareb hamou)

A partir de 15 avril 2012 jusqu’à 12 mai 2012.

2-Choix de la population :

Nous avons choisi d’interroger les manipulateurs en radiologie pour cela nous avons réalisé
une étude sur un échantillon au nombre de 20.

3-Choix de l’outil :

Nous avons choisi le questionnaire élaboré à partir des questions ouvertes et fermés autour
notre problématique et nos hypothèses et nous avons garanti à chaque inter locateur
l’anonymat et la confidentialité de leurs propos.

4-L’imites de l’étude :

-Par contrainte du temps pour réaliser ce modeste travail et de moyens, n’aurons voulu
d’élargir notre recherche sur toutes les wilayas proches.

-par contrainte l’abandonnement de notre directeur du mémoire le milieu du son travail on a


obligé de faire un autre encadreur du mémoire (Melle FOUATHIA), et le problème de sa non
disponibilité pendant la période de la grève des PEPM pendant 2 mois donc ce qui nous avons
obligé de n’est pas réalisé une pré enquête.

Et nous avons basé sur nos observations sur le terrain+des lectures approfondies sur notre
thème pour renforcer notre problématique et notre question problème.

27
II. Analyse et résultats :

-Identification des participants :

A-selon le corps :

Tableau A : répartition selon le corps

Réponse Fréquence Pourcentage

Manipulateur en 19 95%
radiologie

Infirmiers 01 05%

Graphique A :

rèpartition selon le corps


5%
Manipulateurs en
radiologie
Infermieres

95%

Résultat et analyse :

D’après le graphique A ma population de recherche est Constitué de pourcentage :

-80% Manipulateur en radiologie.

-05% Infermières.

La majorité des participant dans ma population de recherche ont le corps des


manipulateurs en radiologie .

28
B- selon L’âge:

Tableau B : rèpartition selon L’âge:

réponse fréquence Pourcentage

[22-40]ans 09 45%
55%
[41-52] ans 11
Graphique B :

rèpartition selon L'àge

45%
l'àge èntre [22-40]ans
55% l'àge èntre[ 41-52]ans

Résultats et analyses :

D’après le graphique B ma population de recherche est Constitué de pourcentage 45% de


l’âge entre [22-40]ans et 55% de l’âge entre[41-52].

-la majorité des manipulateurs sont plus de 41ans et le reste des Manipulateurs sont moins
de 41ans .

C- selon l’ancienneté :

Tableau C : répartition selon l’ancienneté.

Réponse Fréquence Pourcentage

[1-10] 08 40%

[11-27] 12 60%

29
Graphique C :répartition selon l’ancienneté.

rèpartition selon l'anciennetè

40%
L'àge entre [1-10]
l'àge entre [11-27]
60%

Résultats et analyses :

D’après le graphique C ma population de recherche est Constitué de pourcentage 40% des


Manipulateurs sont travailles dans une période entre [1-10]ans et 60% des Manipulateurs
sont travailles dans une période entre [11-27]ans.

-la majorité des manipulateurs sont des anciens dans la profession du manipulateur.

30
-Analyses et résultats du Questionnaire :

Question N°01 :

-A votre avis , c’est quoi la Qualité de l’image ?

Tableau N°01 : la Qualité de l’image.

Réponse fréquence Pourcentage


Netteté 18 90%
contraste 18 90%
fidélité 05 25%
Un bon appareillage 03 15%
Respecter 02 10%
l’incidence
radiologique
Graphique N°01 :

la Qualitè de l'image
90% 90%

25%
15%
10%

Nettetè contraste fidèlitè un bon respecter


appareillage l'incidence
radiologique

Résultats et analyses :

D’après le graphique N°01 on a trouvée les résultants suivants:

-la majorité des manipulateurs 90% ont dit que la qualité de l’image dépend de la netteté et
le contraste du cliché radiologique.

Le reste des manipulateurs ont dit que la qualité de l’image radiologique dépend à d’autres
facteurs qui sont : la fidélité, un bon appareillage, respecter l’incidence radiologique.

- la qualité de l’image radiologique dépend à plusieurs facteurs qui sont :

31
Un bon appareillage radiologique, le respect des incidences radiologiques, pour donner
image nette, fidèle, et bien contraste.

Question N°02 :

-la qualité de l’image radiologique de votre service-elle ?

-bon qualité -mauvaise qualité -plus ou moins.

Tableau N°02 :

réponse fréquence Pourcentage

Bon qualité 06 30%

Mauvaise qualité 10 50%

Plus ou moins 04 20%


Graphique N°02 :

20% 30% bon Qualitè


mauvaise Qualitè
¨plus ou moins

50%

Résultats et analyses :

D’après le graphique N°02 on a trouvé les résultat suivants :

- 30% des manipulateurs ont dit que la qualité de l’image radiologique est bon qualité

- 50% des manipulateurs on dit que la qualité de l’image est mauvaise

- 20% des manipulateurs ont dit que la qualité de l’image est plus ou moins

- la majorité des manipulateurs ont dit que la qualité de l’image est mauvaise.

32
La qualité de l’image radiologique lorsque est mauvaise c’est un grand problème pour arriver
à un diagnostic bien précis.

Question N°03 :

- Quel sont les causes qui influent sur la qualité de l’image radiologique ?

Tableau N°03 : l’influence sur la qualité de l’image radiologique.

réponse fréquence Pourcentage

Le développement 15 75%
numérisé
Appareillage et accessoires 05 25%
radiologiques récents

Graphique N°03 :

l'influence sur la Qualitè de l'image radiologique


75%

25%

le développent appareillage et
numérisé accessoires
radiologiques
récents

Résultats et Analyses :

D’après le graphique N°03 on trouvée les résultats suivants :

-la majorité des manipulateurs 75% on dit que les causes qui influent sur la qualité de
l’image radiologique dépend de développement numérisé et le reste 25% on dit que
l’influent sur la qualité de l’image radiologique dépend à un appareillage et accessoires
radiologiques récents.

33
Parmi les causes qui influent sur la qualité de l’image radiologiques sont :

Un développement numérisé et un bon appareillage radiologiques lourds et accessoires.

Question N°04 :

-est-ce que le nombre des examens radiologiques dans votre service est élevé ?

Tableau N°4 : la répétition des examens radiologiques.

réponse fréquence Pourcentage


OUI 14 70%
NON 06 30%
Graphique N°04 :

la rèpitition des examens radiologiques

30%

OUI
NON
70%

résultats et analyses :

- d’après le graphique N°04 70% des manipulateurs ont dit oui et 30% des manipulateurs
ont dit non.

- la majorité des manipulateurs ont dit le nombre des examens radiologiques élevés.

- le reste des manipulateurs ont dit le nombre des examens radiologique n’est pas élevés.

-le nombre élevé des examens radiologues confirme la mauvaise qualité de l’image
radiologique.

34
-Question N°05 :

- est-ce que le nombre des examens radiologiques à refaire aussi élevé dans votre service ?

Tableau N°05 : les examens radiologues à refaire

réponse fréquence Pourcentage

OUI 12 65%
NON 07 35%

Graphique N°05 :

les examens radiologiques à refaire

35%

OUI
65% NON

Résultats et Analyses :

-d’après le graphique N°05 65% des Manipulateurs ont dit oui et 35% des Manipulateurs
ont dit Non.

-la majorité des manipulateurs ont dit le nombre des examens radiologiques à refaire est
èlèvé.et le reste des Manipulateurs ont dit que le nombre des examens radiologiques à
refaire n’est pas élevé.

35
Question N°6 :

- le matériel radiologique lourd (appareil radiologique) est- il bon état ?

Tableau N°06 : L’état de matériel radiologique

réponse fréquence Pourcentage

OUI 09 45%
NON 11 55%

Graphique N°06 :

l'ètat de matèriel radiologique

45%
OUI
55% NON

Résultats et Analyses :

D’après le graphique N°06 45% des manipulateurs on dit oui et 55% des manipulateurs ont
dit non.

- la majorité des Manipulateurs ont dit que le matériel radiologique lourd n’est pas de bon
état et le reste ont dit le matériel radiologique lourd est bon état.

-l’état du matériel radiologique (appareillage) participe d’une façon importante sur la qualité
de l’image radiologique.

Question N°07 :

-est -ce que les accessoires du matériel radiologique(les grilles) sont disponible ?

36
Tableau N°07 : les accessoires radiologiques

réponse fréquence Pourcentage

OUI 8 40%
NON 12 60%

Graphique N°07 :

les accessoires radiologiques

40%
OUI
60% NON

Résultats et analyse :

D’après le Graphique N° 07 40% des manipulateurs ont dit oui et 60% des participants ont
dit non.

-la majorité des Manipulateurs ont dit que les accessoires du matériel radiologique ne sont
pas disponibles, et le reste des Manipulateurs ont dit les accessoires radiologiques sont
disponibles.

Les accessoires radiologiques(les grilles) sont nécessaires pour améliorer la qualité de


l’image radiologique.

Question N°8 :

- vous -avez une développeuse automatique dans votre service ?

37
Tableau N°08 : la disponibilité de développeuse automatique

réponse fréquence Pourcentage

OUI 16 80%
NON 04 20%

Graphique N°08 :

la disponibilitè de dèveloppeuse automatique

20%

OUI
NON
80%

Résultats et Analyses :

-d’après le graphique N°05 :-

-80% des Manipulateurs ont dit oui et 20% des Manipulateurs ont dit Non.

-la majorité des Manipulateurs ont dit la développeuse automatique est disponible dans le
service radiologique.

-le bon développement des films radiologiques donne des bons résultats sur le cliché.

Question N°09 :

-Est-ce que la développeuse de votre service est de bon état ?

Tableau N°09 : l’état de développeuse.

Réponse Fréquence Pourcentage


OUI 07 35%

NON 13 65%

38
Graphique N°09 :

l'ètat de dèveloppeuse

35%

OUI
65% NON

Résultats et Analyses :

-d’après le graphique N°09 :

- 35% des Manipulateurs ont dit oui et 65% des Manipulateurs ont dit Non.

-la majorité des Manipulateurs ont dit que la développeuse de leurs services n’est pas de
bon état.

-un mauvais développement influe sur la qualité de l’image radiologique.

Question N°10 :

-les films radiologiques sont-ils souvent la même marque que la développeuse ?

Tableau N°10 : la marque des films radiologiques .

Réponse fréquence Pourcentage

OUI 06 30%
NON 14 70%

39
Graphique N°10 :

la marque des films radiologiques

30%
OUI
NON
70%

Résultats et Analyses :

-d’après le graphique N°10 :

- 30 % des Manipulateurs ont dit oui et 70% des Manipulateurs ont dit Non.

-la majorité des manipulateurs ont dit que les films radiologiques souvent la même marque
que la développeuse.

Lorsque les films radiologiques et la développeuse ont la même marque, donnent une image
radiologique de bonne qualité.

Question N°11 :

-Au même temps ,vous-avez une développeuse numérisée dans votre service ?

Tableau N°11 : la disponibilité de développeuse numérisée.

Réponse Fréquence Pourcentage


OUI 02 10%
NON 18 90%

40
Graphique N°11 :

la disponibilitè de dèveloppeuse numèrisèe

10%

OUI
NON

90%

Résultats et Analyses :

-d’après le graphique N°11 10 % des Manipulateurs ont dit oui et 90% des Manipulateurs
ont dit Non.

-la majorité des manipulateurs ont dit que n’ont pas une développeuse numérisée dans leurs
services.

Le développement numérisé donne toujours des images radiologiques excellentes.

Question N°12 :

-selon vous ,le développement numérisée donne-il des bons résultats sur le cliché
radiologique ?

- OUI -NON

Si oui pour Quoi ?

Tableau N°12 A : le développement numérisée.

Réponse Fréquence Pourcentage


OUI 15 75%

NON 05 25%

41
Graphique N°12 A : le développement numérisée.

le dèveloppement numèrisèe

25%

OUI
NON
75%

Résultats et Analyses :

-d’après le graphique N°12 :

- 75 % des Manipulateurs ont dit oui et 25% des Manipulateurs ont dit Non.

-la majorité des Manipulateurs ont dit que le développement numérisé donne des bons
résultats sur le cliché radiologique.

Le développement numérisé : Une image peut se présenter sous deux formes :

Analogique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est conforme à la vision

de l’observateur.

Numérique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est le résultat abstrait

d’une construction mathématique figurée par une succession des nombres.

L’image numérique n’est donc pas conforme à la vision de l’observateur et elle ne le


deviendra

qu’après conversion en une image analogique.

42
Tableau N°12 B : les avantages de développement numérisé.

Réponse fréquence Pourcentage

Le développement 14 70%
sophistiqué
Netteté de l’image 13 60%

Graphique N°12 B :

les avantages de dèvelpppement numèrisè

70%

60%

developpement Nettetè de
sophistiquè l'image

Résultats et analyses :

D’après le graphique N°12 B on a trouvée les résultants suivants:

-la majorité des manipulateurs 70% ont dit que le résultat de développement numérisé
dépend de développement sophistiqué.

60% des Manipulateurs ont dit que le résultat de développement numérisé dépend de la
Netteté de l’image.

Le développement numérisé c’est développement sophistiqué donne une image très nette
par apport au développement automatique.

Question N°13 :

-Que proposez-vous pour améliorer la Qualité de l’image radiologique standard dans votre
service ?

43
Tableau N° 13 : Propositions pour améliorer la qualité de l’image radiologique

Réponse fréquence Pourcentage


Le développement numérisé 15 75%

Appareillage et accessoires 11 55%


radiologique récents

Graphique N°13 :

propositions pour amèliorer la qualitè de l'image radiologique


75%
55%

le Appareillage et
dèveloppement accèssoires
numèrisè radiologiques
recents

Résultats et analyses :

D’après le graphique N°13 on a trouvée les résultants suivants:

-la majorité des manipulateurs 75% ont dit que l’amélioration de la Qualité de l’image
radiologique standard dépend au développement numérise.

55% des Manipulateurs ont dit que l’amélioration de la Qualité de l’image radiologique
standard dépend d’un appareillage et accessoires radiologiques récents.

Pour améliorer la qualité de l’image radiologique standard on a besoin de :

Un développement numérisé, et un appareillage et accessoires radiologiques récents.

44
III- Synthèse générale :

Notre enquête est réalisée sous forme d’un questionnaire destiné aux manipulateurs
dans le service d’urgence de khenchela avait pour objectif de collecter le maximum
d’informations sur la qualité des images radiologiques, et les causes qu’élève le nombre
d’examen.

Nous avons essayés de cerner le phénomène en tenant compte ce qui suit :

les moyens de traitement de l’image radiologique (numérisation, moyens de contention) le


matériel radiologique lourd.

D’après l’analyse et interprétation des données obtenues par les questionnaires destines
aux manipulateurs en radiologie la majorité de notre population confirment que l’utilisation
des Moyens de traitement du film (numérisation) et les moyens antis diffusants, l’affichage exact des
constantes, le respect de distance foyer film, la technique et le matériel adéquat sont les
éléments principaux d’obtenir une image de bon qualité.

45
IV. Vérification des hypothèses :

Les résultats de l’analyse de questionnaire destiné aux manipulateurs en radiologie, nous


permettons de valider nos hypothèses de notre recherche qui sont les suivants :

Hypothèse 01 :

1-Matériels radiologiques lourds est accessoires ne sont pas de bon état.

Hypothèse 02 :

2-Le manque de développement numérisé au niveau des pluparts des services radiologiques.

46
Conclusion :

Le bute du contrôle qualité en imagerie médicale est certainement d’améliorer le


diagnostic, tout en diminuant les doses des rayons ionisants délivrées au patient…des bonnes
pratiques sont proposées pour le contrôle qualité en radiologie.

Le manipulateur en radio diagnostic de part sa fonction joue un rôle important à travers


l’imagerie radiologique, le manipulateur est tenu en plus de mettre en pratique toutes les
connaissances acquises sur la physique de RX, sur l’anatomie et sur les examens afin de
fournir des documents radiologiques irréprochables.

Il le faut appliquer certains précaution simple permettent une bon qualité de l’image
radiologique :

• maintenir entre le foyer et la peau une distance suffisante (au mois 60cm) le respect de
distance foyer film.
• L’utilisation des moyens antis diffusants, l’affichage exact des constantes, la technique

et le matériel adéquat .
• La mise en uvre d’appareils nouveaux ne peut être performante sans qu’elle soit
adéquate, c’est-à-dire le savoir de leur utilisation et l’application des mesures et des
techniques doivent être classés en premier rang.

Sont les éléments principaux d’obtenir une image de qualité.

47
Suggestions :

- Préciser les conditions et les éléments d ‘un cliché de bonne qualité aux manipulateurs.

-sensibiliser les responsables d’installer un matériel radiologique lourd et accessoire


sophistiqué.

-sensibiliser les responsables de l’importance du développement numérisé pour donner une


image nette.

48
BIBLIOGRAPHIE :

1/ : VIGOT FRERES, Guide pratique de technique du radiodiagnostic.1982(paris).

Web Graphique:

Books.googl.com/books? ISBN

* WWW.eugenol.com./attachements/0004/…/coursradiologie.pdf

49
ANNEXE
Ministère de la santé de la population et de la reforme hospitalière

Institut national de la formation supérieure paramédical de Tébessa

MEMOIRE PROFFESSIONNEL EN VUE DE L’OBTENTION DU DIPLÔME

DE MANIPULATEUR EN RADIOLOGIE DIPLOME D’ETAT

THEME

La qualité de l’image radiologique standard

Protocole de recherche

Dans le but de réalisé un mémoire professionnel sur la qualité de l’image

Radiologique standard, on vous sollicite d’apporter votre aide,

en remplissant ce questionnaire

De manière sereine et dans le plus complet anonymat.

On vos remercie pour votre collaboration


Identification des informations :

Corps :………………………………………………………………………….

Age :………………………………………………………………………….....

Ancienneté :……………………………………………………………………

Question N°=1 :

-Avorte avis, c’est quoi la qualité de l’image radiologique ?

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

Question N°=2 :

-La qualité de l’image radiologique de votre service est-elle ?

-Bonne qualité

-Mauvaise qualité

-Plus ou moins

Question N°=3 :

-Quel sont les causes qui influent sur la qualité de l’image radiologique ?

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..

Question N°=4 :

-Est-ce que le nombre des examens radiologiques dans votre service est élevé ?

Oui Non

I
Question N°=5 :

-Est-ce que le nombre des examens radiologiques à refaire aussi élevé dans votre service ?

Oui NON

Question N°=6 :

-Le matériel radiologique lourd (Appareil radiologique) est-il de bon état ?

Oui Non

Question N°=7 :

-Est-ce que les accessoires du matériel radiologique(les grilles) sont disponibles ?

Oui Non

Question N°=8 :

-Vous -avez une développeuse automatique dans votre service ?

Oui Non

Question N°=9 :

-Est- ce que la développeuse de votre service est de bon état ?

Oui Non

Question N°=10 :

-Les films radiologiques sont –ils souvent la même marque que la développeuse ?

OUI Non

Question N°=11 :

-Au même temps, vous-avez une développeuse numérisée dans votre service ?

II
OUI NON

Question N°=12 :

-Selon vous, le développement numérisé donne-il des bons résultats sur le cliché

Radiologique ?

OUI Non

Si oui pour quoi ?


……………………………………………….……………………………………………………………………………………………………………

………….………………………………………………………………………………………………………………………………………………...

Question N°=13 :

-Que proposez-vous pour améliorer la qualité de l’image radiologique standard dans votre

Service ?

…………………………………………………………………………………………………………………………………………

……………………………………………………………………………………………………………………………………………..

………………………………………………………………………………………………………………………………………

III

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