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2. Mesure de la valeur
En fonction de la typologie du site web la mesure de la valeur se fera de façon différente.
Rmq : La plupart des sites proposant des services « marchands », leur valeur peut être mesurée
financièrement à l’aide du chiffre d’affaires.
a) Les sites d’information
Il s’agit de l’ensemble des sites hors médias diffusant de l’information :
• informations commerciales : sites d’entreprises, sites de marques, mini-sites événementiels... ;
• informations non commerciales : sites des organismes publics, sites gouvernementaux, sites d’ONG...
La valeur recherchée par ces sites est l’attention que l’internaute accorde au message qui lui est proposé.
La capacité du site Web à créer de la valeur dépend, dans ce modèle, de sa capacité à « accrocher »
l’internaute.
Exemples : www.garnier.fr , www.finances.gov.tn
b) Les sites média
Il s’agit de l’ensemble des sites de presse en ligne ou de sites à vocation éditoriale (Webzine, blogs, etc.).
La valeur recherchée par ces sites est directement inspirée du modèle des médias traditionnels puisqu’il
s’agit de l’audience : plus l’audience d’un site est importante et/ou qualifiée, plus il est possible de la
monétiser à travers de la publicité.
La capacité du site à retenir l’internaute pendant sa visite et à lui faire consommer un grand
nombre de pages avec publicités est au cœur de ce modèle.
Exemples : www.lemonde.fr, www.rue89.com
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c) Les sites d’e-commerce
Il s’agit de l’ensemble des sites vendant en ligne des biens ou des services. Il peut être question de sites «
pure player » ou « click & mortar ».
La valeur recherchée par ces sites est la vente.
La capacité du site à transformer un visiteur en acheteur est un bon indicateur d’efficience du
site.
Exemples: www.fnac.com, www.spartoo.com, www.opodo.fr.
d) Les sites transactionnels
Il s’agit de tous les sites dont l’objectif est de réaliser une transaction non immédiatement monétaire, c’est-
à-dire de récolter des leads.
Un lead est une opportunité commerciale pour l’entreprise. Il s’agit des coordonnées d’internautes
pouvant être intéressés par les produits ou les services de l’entreprise.
Ce type d’approche est particulièrement bien utilisé dans le domaine de la banque ou de
l’assurance, où il est souvent proposé des formulaires de simulation (crédit immobilier, assurance auto...)
qui invitent à laisser ses coordonnées, ensuite utilisées par les équipes commerciales pour recontacter le
prospect.
Exemples: www.cetelem.fr (crédit en ligne), www.assurland.com (assurance), www.renaultshop.fr
(leads pour les concessions du groupe).
e) Les services en ligne
Il s’agit de tous les sites proposant de manière vaste un service en ligne.
La valeur recherchée par ce type de site est l’utilisation du service.
Exemples : Viadeo, Linkedin, Deezer
Une stratégie marketing digitale doit être pensée de façon globale et s’appuyer sur ces trois éléments afin
de créer de la valeur.
A) Attirer
L’attraction consiste à faire venir du trafic sur le site.
Il est ainsi possible de mesurer précisément l’impact de chaque stratégie d’acquisition dans la contribution
à la création de valeur.
En comparant l’investissement à la valeur créée, il est possible de calculer le retour sur
investissement (ROI) de chaque stratégie d’acquisition.
Trois indicateurs peuvent être employés pour faire l’arbitrage entre différents leviers d’acquisition :
• volume : quel volume de trafic ce levier peut-il m’apporter ?
• coût : combien me coûte le trafic apporté par ce levier ?
• qualité : quelle est la qualité du trafic obtenu à travers ce levier ? Ce critère n’est pas mesurable à priori, il
s’évalue une fois le trafic arrivé sur le site, dans la mesure où la qualité se mesure à travers l’appétence du
trafic pour l’offre proposée sur le site.
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Exemples : campagne de collecte d’adresses e-mail pour un e-commerçant :
• première solution : un jeu-concours qui va permettre de recruter en masse des adresses à faible coût,
mais peu qualifiées ;
• seconde solution : une enquête en ligne qui va permettre de récolter des profils très qualifiés et
intentionnistes sur le produit.
Ces deux tactiques permettent d’avoir un retour sur investissement identique, mais elles n’ont pas
joué sur les mêmes leviers :
• jeu-concours : fort volume, faible coût unitaire et faible qualité de la collecte (taux de transformation de
1,5 %) ;
• enquête qualifiée : faible volume, fort coût unitaire et forte qualité de la collecte (taux de transformation
à 10 %).
Dans ce cas précis, les deux tactiques sont gagnantes. Au marketeur de choisir ce qu’il souhaite faire pour
atteindre le même niveau de valeur : une collecte massive par trimestre ou une collecte qualifiée par mois.
B) Convertir
La conversion est une étape essentielle dans la chaîne de création de valeur car elle est intrinsèquement
liée au site Web.
Pour travailler au mieux la conversion, le marketeur doit avoir au moins un indicateur précis à
mesurer pour connaître la « quantité » de valeur créée en fonction d’un indicateur de trafic.
Exemple : pour un site média, il peut être intéressant de mesurer le nombre de visites avec plus d’une page
consultée (l’indicateur réciproque est le taux de visites à une page appelé « taux de rebond »).
Améliorer la conversion consistera alors à diminuer le taux de rebond, c’est-à-dire à inciter les
internautes à rester sur le site et à « consommer » d’autres pages affichant de la publicité.
Voici quelques indicateurs qui peuvent être utilisés selon le type de site.
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L’optimisation de la conversion passe par la mise en place d’un tunnel de conversion efficace.
Le tunnel d’achat est le parcours que suit un internaute dès son arrivée sur le site (page-produit) à la page
de confirmation de la commande. Il est conseillé de ne pas dépasser cinq ou six étapes, qui sont
généralement les suivantes : l’identification de l’internaute, la confirmation des adresses de livraison et de
facturation, la confirmation du panier, le choix des options d’emballage de livraison et de paiement, la
validation finale de la commande, puis la confirmation. À chaque étape, le nombre d’acheteurs potentiels
diminue du fait d’abandons successifs. Ces sorties du tunnel d’achat sont à analyser afin d’identifier les
origines des sorties et de diminuer leur fréquence. De façon générale, il est important de travailler la
présentation et la navigation dans le tunnel d’achat et le simplifier et d’indiquer l’ensemble des étapes en
cours et à venir, si possible sur une même page (one page checkout).
Il est recommandé de recibler les visiteurs qui ont abandonné leurs paniers à travers des opérations de
retargeting. Il s’agit de pratiquer des campagnes d’e-publicité, grâce aux cookies. En retrouvant les visiteurs
sur d’autres sites, il s’agit de leur réafficher les produits vus et mis dans le panier du site e-commerce de
l’entreprise.
Exemple, sur un site d’e-commerce, si pour 1 000 visites 20 ventes ont lieu, le taux de conversion est de
20/1 000 = 2 %.
C’est d’ailleurs le taux généralement admis pour une activité de e-commerce (un taux très faible par
rapport au monde physique, où pour 1 000 visites dans une boutique 550 ventes seront effectuées en
moyenne, soit un « taux de conversion » de 55 %).
C) Fidéliser
Avoir un utilisateur fidèle est un objectif important. C’est un chiffre d’affaires récurrent garanti.
La satisfaction de l’utilisateur est un moteur décisif de la fidélisation et permet de réduire le taux
d’attrition, c’est-à-dire le pourcentage d’utilisateurs perdus sur une période donnée. Cette logique
s’applique à tout type de site.
Seul diffère le type de valeur après fidélisation.
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Le marketeur devra donc essayer de maximiser la valeur procurée lors de l’acquisition tout au long de la
période d’activité de l’internaute. Cette notion d’« activité » est essentielle, car la valeur issue de la
fidélisation ne sera pas identique tout au long du cycle de vie de l’internaute.
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La stratégie de marketing digital est considérée comme une stratégie de commercialisation, qui définit la
manière dont l’entreprise fixe des objectifs spécifiques au canal et développe des propositions et des
communications qui y sont spécifiques et cohérentes, à la fois avec les caractéristiques du canal
(notamment sa propriété interactive), la stratégie de l’entreprise (notamment son identité de marque) et
les exigences de l’utilisateur final (notamment ses préférences pour tels ou tels canaux).
Efficacité commerciale
Il s’agit de mesurer la contribution directe ou indirecte des canaux digitaux aux ventes et aux bénéfices. Ces
indicateurs mesurent notamment :
- les leads ;
- les ventes ;
- la rétention et la fidélité des clients.
- Les coûts relatifs associés à la production, à l’actualisation et à la promotion du site (analyse coûts-
bénéfices).
Efficacité marketing
Il s’agit de mesurer la contribution directe ou indirecte des canaux digitaux aux indicateurs de performance
marketing. Ces indicateurs mesurent notamment :
- la notoriété ;
- la préférence ;
- la considération ;
- la recommandation.
-
Efficacité du marketing digital
Il s’agit d’indicateurs spécifiques qui servent à évaluer comment les canaux digitaux sont utilisés et à
déterminer les caractéristiques des utilisateurs. Les indicateurs clés de performance (KPI, Key Performance
Indicators) liés à la présence en ligne comprennent notamment :
- le nombre de visiteurs uniques – nombre de visiteurs individuels distincts sur le site ou sur
l’application mobile ;
- le nombre total de sessions ou de visites enregistrées ;
- le nombre de visites répétées – nombre moyen de visites par personne ;
- la durée – temps moyen passé ;
- le taux d’abonnement, indiquant par exemple le nombre de visiteurs qui s’inscrivent à des services
(newsletter, par exemple) et les taux de réponse associés ;
- le taux de conversion – pourcentage des visiteurs convertis en clients ;
- le taux d’abandon au cours du processus d’achat en ligne ;
- le taux d’attrition – pourcentage de clients qui cessent d’acheter auprès de l’entreprise ;
- le taux de clic (click-through rate) à partir de sites tiers.
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b. L’analyse des ressources et des compétences
- Les ressources financières – Les composantes de coût liées à l’entretien d’une présence en ligne,
incluant le développement, la promotion et la maintenance des dispositifs digitaux.
- Les ressources technologiques – l’infrastructure nécessaire pour assurer la gestion des dispositifs,
comme l’analyse de la performance, la gestion de contenus ou la gestion de la relation client.
- Les ressources humaines – recrutement de collaborateurs ou la mise à niveau des équipes
marketing actuelles, pour la gestion d’activités comme le merchandising, le marketing par moteur
de recherche (SEM), l’affiliation ou l’e-mailing
- Les capacités – capacités dont dispose l’entreprise – savoir-faire, routines, processus – pour utiliser
au mieux les ressources financières, technologiques ou humaines.
- L’organisation – Quels sont les responsabilités, les structures et les mécanismes de contrôle mis en
place pour coordonner le marketing digital entre les différents services et domaines d’activité.
c. L’analyse de la concurrence
- Anticiper les mouvements des concurrents : exemple analyse des contenus sur les réseaux sociaux
- Comparer les KPI
- Déceler les évolutions de marché
- Établir une veille automatisée
- Analyser les publicités de ses concurrents
d. L’analyse des intermédiaires
Les intermédiaires (portails, blogs, etc.) peuvent permettre d’accroître la notoriété et de stimuler
la fréquentation du site Web de l’entreprise et de ses autres dispositifs digitaux (une page de fans
ou une application mobile, par exemple).
Il s’agit d’identifier les intermédiaires les plus pertinents sur un marché donné et de regarder
comment l’entreprise et ses concurrents les utilisent pour générer du trafic et proposer leurs
services.
Un site marchand aura par exemple besoin de déterminer à quels « endroits » les clients cibles
comparent les offres (certains comparateurs de prix, par exemple), ou encore de savoir si les
concurrents ont signé un accord de partenariat avec certains intermédiaires.
e. L’analyse SWOT
Il est recommandé de mener l’analyse SWOT non pas au niveau de l’entreprise tout entière, mais au
niveau de ses domaines d’activités stratégiques.
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2. La fixation des objectifs
a. Fixer des objectifs SMART
- Spécifique
L'objectif doit se rapporter à un élément précis et clairement déterminé.
- Mesurable
Il doit pouvoir être quantifié pour savoir s'il est atteint.
- Atteignable
L'objectif doit être à la portée des ressources financières et humaines de l'entreprise.
- Réaliste
Il doit être pertinent par rapport au contexte.
- Temporellement défini
Il doit contenir une échéance.
b. Les catégories d’objectifs
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A. Stratégies de développement de marchés et de produits
DIMENSION PRODUIT
B. Segmentation- ciblage
1. La segmentation
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La segmentation RFM : segmentation selon Le comportement de réponse et la valeur
d’achat
a. Définition
La segmentation RFM consiste à segmenter les clients en fonction de leur comportement d’achat. C’est
une segmentation 100% comportementale.
Le principe sous-jacent est que : un client qui a acheté récemment, qui achète fréquemment et qui
génère beaucoup de chiffre d’affaires commandera à nouveau.
La segmentation RFM prend en compte la Récence (date de la dernière commande), la Fréquence des
commandes et le Montant (de la dernière commande ou sur une période donnée) pour établir des
segments de clients homogènes.
b. Méthodologie
1ere étape : Pour construire une segmentation RFM, il est nécessaire d’avoir 4 informations :
Le montant se calcule en faisant la somme de toutes les transactions réalisées sur la période.
2eme étape :
ID Client Nom Récence (jours) Fréquence (nombre de fois) Montant (en dinars)
1 Ines B 3 6 540
2 Oussama A 6 10 940
3 Lotfi H 45 1 30
4 Rim N 21 2 64
5 Amel L 14 4 169
Comment lire ce tableau : Le dernier achat d’Amel L à 14 jours. Elle a commandé 4 produits sur la période
pour un total de 169 dt.
Dans cette méthode, il s’agit de définir des plages fixes pour déterminer les scores de Récence de
Fréquence et de Montant. La détermination de ces plages et paliers dépend de la nature de l’activité.
Ex : Si une personne achète au cours des 24 dernières heures, elle aura le score de 5. Si elle achète au cours
des 3 derniers jours, elle aura le score de 4. Si elle achète au cours du dernier mois, elle aura le score de 3.
Le score de 2 si elle achète au cours des 6 derniers mois et le score de 1 si on dernier achat remonte à plus
de 6 mois.
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ID Valeur Score ID Valeur Score ID Valeur Score ID SCORE
Client Client Client Client RFM
R R F F M M
1 3 4 2 10 4 2 940 5 1 434
2 6 3 1 6 3 1 540 4 2 345
5 14 3 5 4 2 5 169 2 5 322
4 21 3 4 2 2 4 64 1 4 321
3 45 2 3 1 1 3 30 1 3 211
Le score RFM d’un client est calculé en combinant les trois scores obtenus à R, F et M. Par exemple, le client
qui a l’ID 1 a un score de 4 en Récence, un score de 3 en Fréquence et un score de 4 en Montant. Son score
RFM est donc de 4-3-4, 434.
c. Utilités
La segmentation RFM permet de cibler les offres, d’adapter l’offre et également d’établir des segments
basés sur la valeur des clients et de prévenir l’attrition (L'attrition est le phénomène de perte de clientèle, il
s'agit donc du phénomène contraire à la fidélisation) en identifiant des segments à risque.
Cette méthode rend compte des différents rangs des clients en fonction de la valeur du panier de leurs
achats :
- Les plus grands consommateurs sont à choyer et à privilégier.
- Ceux dont les achats sont mitigés sont à surveiller et à encourager afin qu'ils accèdent à la catégorie
supérieure.
- Quant aux anciens clients il serait intéressant de les relancer pour essayer de les reconquérir.
2. Le ciblage
a) Il s’agira de sélectionner les segments les plus attractifs en termes de croissance et de rentabilité.
Parmi les cibles du marketing digital, on trouve notamment :
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b) Persona
Le persona est un personnage imaginaire représentant un segment cible. Les personas sont utilisés pour
vérifier l’ergonomie d’un site, notamment dans le cadre d’une refonte. On affecte au persona un âge, un
sexe, une CSP, un centre d’intérêt et on imagine sa navigation au sein d’un site. Les indicateurs ainsi
dégagés permettent d’améliorer les performances globales d’un site, notamment e-commerce, mais les
personas sont également utilisés par les sites de contenu pratiquant l’inbound.
Les personas sont, entre autres, pris en compte pour le développement des caractéristiques produits /
services, pour le développement des contenus d'un site web et pour l'optimisation des parcours client.
Exemple
C. Positionnement et différenciation
Dans le contexte digital, les entreprises ont la possibilité de positionner leurs produits selon quatre grands
axes :
1. qualité du produit
2. qualité du service
3. prix
4. délai d’exécution
L’ensemble de ces variables rendent compte de la manière dont elles influencent conjointement la valeur
perçue par le client à travers de l’équation suivante :
Les responsables marketing doivent examiner dans quelle mesure l’augmentation de la qualité du
produit et/ou du service peut être contrebalancée par les variations de prix et de délai.
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Les options de positionnement
1. Performance sur l’offre de produits/services : Proposer une offre différente de celle des
concurrents. Exploiter éventuellement les opportunités offertes par le digital pour personnaliser les
produits et les services.
2. Performance sur les prix. Proposer des avantages aux clients les plus fidèles. Ajuster les prix selon
le niveau de la demande (yield management).
3. Performance transactionnelle. Apporter aux clients un grand nombre d’informations sur les
produits offerts. Faciliter, simplifier, fluidifier et accélérer l’expérience d’achat.
4. Performance relationnelle. Renforcer les relations avec les clients, sur un plan fonctionnel comme
sur un plan émotionnel (empathie et connivence, reconnaissance, etc.). Aller au-delà de la
satisfaction (attachement à la marque, engagement des clients, etc.).
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