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Fiche outil 1

La méthode PPRR :
Prévenir, Préparer, Répondre et Rétablir.
Il s’agit d’un modèle mis au point dans les années 1970 par l’association des gouver-
neurs des États-Unis. Celui-ci est largement développé dans les systèmes éducatifs
du monde entier, particulièrement dans les pays anglo-saxons.
La méthode PPRR est ici adaptée. Elle permet une approche structurée de la gestion
des risques et des crises en milieu scolaire, à travers quatre étapes :
1. Prévenir : l’idée est, au moyen de plans et d’actions, d’éviter les crises, et de mini-
miser ou même d’en annuler les dommages. On prend soin, à cette étape, de ren-
forcer les capacités de résilience de chacun.
2. Préparer : quand on se prépare, on anticipe les effets d’une crise sur l’activité pour
permettre la continuité des missions, tout en ayant identifié les points forts et les
axes d’amélioration des ressources à mettre en œuvre pour gérer une crise.
3. Répondre : répondre, c’est contenir, contrôler ou minimiser les impacts et assurer
la communication, qui tient une place importante dans le processus de gestion
de crise.
4. Rétablir : enfin, cette quatrième étape prend en compte les mesures visant
à minimiser le temps de récupération, diminuer les traumatismes éventuels, et
favoriser la résilience afin de retrouver un climat scolaire serein et favorable aux
apprentissages.

Prévention

Rétablissement Risque Préparation

Réponse

Figure 1. La démarche PPRR

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2 Fiche outil
Créer les conditions favorables
pour implanter un programme d’intervention

Facteurs déterminant les effets d’un plan de prévention

Globalité Fidélité

Intensité Durée
Importance
des effets
du
programme

Globalité :
1. Un programme d’intervention efficace cible les enseignants, les parents, les élèves
ainsi que le personnel non enseignant.
2. Il tient compte des relations interpersonnelles, de la dynamique d’une classe, des
différents lieux fréquentés par les élèves (internat, cour de récréation…) et des
environnements familiaux des élèves.
3. Il fournit des supports expliquant la démarche et encourageant la participation de
tous les acteurs.

Fidélité :
1. Les programmes qui marchent sont ceux qui sont déployés avec rigueur et
organisation.
2. Le choix et le respect des pratiques, méthodes et outils dont l’efficacité est réelle-
ment prouvée, sont primordiaux.

Intensité :
1. L’intervention a lieu à la fois de manière sélective et universelle.
2. Le programme est soutenu et légitimé par une direction convaincue.
3. Il utilise des techniques positives et des punitions légères.
4. Le droit à l’erreur et aux réajustements est reconnu à chacun.

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Chapitre 1 | Climat scolaire et gestion de crise

Fiche outil 2
Durée :
1. L’intervention est prévue pour une durée déterminée.
2. L’implantation est prévue sur du long terme, dans le quotidien et requiert un faible
coût en ressources humaines et matérielles pour ne pas s’essouffler.
3. Un suivi est prévu sur le long terme et prévoit des « rappels » de son existence
aussi souvent que nécessaire.
Adapté de Hill Walker, Elizabeth Ramsey, Franck Gresham, Antisocial Behavior in
Schools : Evidence-Based Practices, Wadsworth Publishing Company, 1999.

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3 Fiche outil
Élaborer un Plan de Prévention
de la Violence

Aide à la démarche en 5 étapes

Étape 1 : Préparer et planifier


Principes de la démarche :
–– Une action collective
–– Penser aux actions qui visent à prévenir les phénomènes de violence, mais aussi
à la manière de traiter les actes violents, auprès des auteurs, des victimes, des
témoins
–– Si cela paraît pertinent, associer un partenaire extérieur (EMS, Référent départe-
mental violences, GACS…) selon les possibilités offertes dans l’académie

Étape 2 : Évaluer et dresser l’état des lieux


Autodiagnostic :
–– Se réunir en groupes et/ou sous-groupes thématiques pour réaliser un auto­-
diagnostic
–– Aborder différents thèmes et expliciter les points forts et les faiblesses de l’école
–– Évaluation quantitative : recueillir des indicateurs objectifs par le biais d’un ques-
tionnaire d’enquête de type ELCS (enquête locale climat scolaire) qui aborde le
sentiment de sécurité, la victimation, le harcèlement, le sentiment de justice…

Étape 3 : Analyse et élaboration d’un plan d’action


Diffusion des résultats et reprise du travail d’équipe.
Élaboration du plan de prévention :

Moyens Indicateurs Temporalité


Thèmes Objectifs Référents
d’action de réussite prévue

Pensez-vous à des actions envers tous les membres de la communauté scolaire ?


Par exemple : formations du personnel y compris autres qu’enseignants, sensibilisa-
tion des parents, implication des élèves…

Étape 4 : Mise en œuvre du plan d’action


Nommer des pilotes d’actions Communiquer-Valoriser-Faciliter-Promouvoir.

Étape 5 : Évaluer
Utiliser la même démarche que celle entreprise à l’étape 1. Évaluer avec les indica-
teurs identiques à l’état des lieux initial.

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Fiche outil 4
Traiter les situations de harcèlement
Méthode Pikas : « shared concern »
ou « préoccupation partagée »

Principes :
Cette méthode vise à prendre en charge les élèves cibles de mises à l’écart, moque-
ries, rumeurs, intimidations, humiliations, insultes, menaces, et cyberharcèlement…
La méthode du psychologue suédois Anatol Pikas, dite de la « préoccupation par-
tagée », est développée dans plusieurs pays depuis plus de trente ans. Une équipe
spécifiquement formée (enseignants, agents, médiateurs à l’école…) vient en sou-
tien aux élèves confrontés à différents phénomènes. En France, Bertrand Gardette et
Jean-Pierre Bellon en sont les principaux développeurs.
Dès lors qu’elle est mobilisée, l’équipe travaille en lien étroit avec l’enseignant qui suit
l’élève cible et ses parents, informés à chaque étape du processus.
Les intervenants reçoivent les élèves impliqués lors d’une série d’entretiens courts,
sans approche moralisatrice ni punitive, par souci d’efficacité.
La mise en œuvre se déroule sur une période de deux semaines. Les autres adultes
ne tentent pas de résoudre le problème (pas de convocations dans le bureau de la
directrice ni de leçon de morale en pleine classe…).

Rencontres individuelles avec les élèves :

Étape 1 :
Entretien avec l’élève cible : c’est un entretien long (1 h) qui vise à accueillir la souffrance
de l’élève cible, connaître les faits, les émotions ressenties et les besoins de celui-ci.

Étape 2 :
Entretiens avec les intimidateurs et des témoins, ce sont des entretiens courts (maxi-
mum 10 min) au cours desquels on invite les élèves à s’exprimer : qu’en savent-ils ?
Qu’en pensent-ils ? Que pourraient-ils faire pour améliorer la situation ?

Étape 3 :
Entretiens de suivi : il s’agit de rencontres ayant lieu la semaine suivante pour évaluer
les effets de la mise en œuvre.

Étape 4 :
Réunion du personnel qui suit la situation en cours et information à l’équipe sur les
résultats. À cette étape, l’équipe décide de poursuivre éventuellement une troisième
semaine ou de mettre fin au dispositif.
À chaque étape, les adultes se retrouvent et font le point.

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Fiche outil 5
Repérer les signaux faibles
du harcèlement

Grille de repérage

Répétition/
Nombre d’élèves
durée : un peu,
Signaux « auteurs », si cela
beaucoup, très
est pertinent
régulièrement.

Élève qui s’isole ou isolé


par les autres

Élève moqué et/ou insulté


(surnom…)

Élève agressé physiquement :


« croche-pied », tape sur la tête,
cheveux tirés, pincements, coups,
crachats…

Élève qui conserve ses affaires


avec lui par crainte de vol
ou de dégradation

Affaires scolaires et/ou


personnelles abîmées/cachées/
volées

Cible de jeux dangereux

Cible de jets d’objets (ballon…)

Élève cherchant la compagnie


des adultes sans leur parler
nécessairement (passe souvent
devant la salle des maîtres
ou le bureau de la direction)

Élève impliqué dans des conflits


dont il sort souvent « perdant »

Élève qui se fait filmer


ou photographier à son insu

Élève qui fréquente régulièrement


des lieux avec forte présence
d’adultes pendant les pauses

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Main courante
6

96
Main courante rédigée par…………………………………………… Le :……………………………… No page :…………..

Événement/fait/ Destinataire (pour prise Décision ou action


Fiche outil

Heure Personne référente


communication en charge) mise en œuvre

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Garder la trace

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Fiche outil 6
La main courante est un document essentiel, à préparer avant qu’une crise ne sur-
vienne, pour être utilisée dès que les protocoles d’urgence sont activés. Une fois la
crise passée, la main courante constitue un document support pour reprendre le fil
des événements, rédiger les écrits qui peuvent être demandés par les autorités, et si
besoin faire évoluer ses plans d’action.

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7 Fiche outil
Élaborer le plan particulier
de mise en sûreté

Concevoir des fiches thématiques


Fiche 1 : Description de l’école
Fiche 2 : Plan de l’école (alimentations gaz, électrique, eau ; accès ; stockages…)
Fiche 3 : Identification des risques couverts par le présent PPMS
Fiche 4 : Annuaire de crise
Fiche 5 : Zones de mise en sûreté si nécessaire
Fiche 6 : Cellule de crise
Fiche 6bis : Main courante
Fiche 7 : Procédure générale de gestion de crise
Fiche 8 : Alerte
Fiche 9 : Missions du personnel
Fiche 10 : Communication interne : rendre compte (« qui est où »)
Fiche 11 : Effectifs attendus en marche normale
Fiche 12 : Identification des secouristes sauveteurs du travail
Fiche 13 : Mallettes de premiers secours
Fiche 14 : Déroulé d’un exercice de PPMS attentat-intrusion
Fiche 14bis : Grille d’observation en cas d’exercice
Fiche 15 : Conduite à tenir en cas de soins d’urgence
Fiche 16 : Identification des personnes à mobilité réduite en cas d’évacuation
Fiche 17 : Calendrier des sorties et voyages
Fiche 18 : Emplois du temps des salles et des classes
Fiche 19 : Gestion de fin d’alerte
Fiche 20 : Dimension éducative – sensibilisation des élèves
Fiche 21 : Information et sensibilisation des familles
Fiche 22 : Mises à jour

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8 Fiche outil
Communiquer dans le cadre du PPMS
F Maîtres et maîtresses

ALERTEZ :
Composez le 17 ou le 112 si la menace est imminente,
Puis, si vous êtes en sécurité, informez la directrice de l’école par SMS en donnant
les informations suivantes :
–– votre identité
–– le lieu précis où vous vous situez
–– le nombre d’élèves ou de personnes présentes avec vous
–– le nombre et l’identité des élèves absents dont vous auriez la charge
–– le nombre de personnes blessées (et nature des blessures)
–– la localisation éventuelle de la menace à l’instant T

Exemple : Mme X. CE1, salle d’activités, 23 élèves. RAS


Un accusé de réception « OK » vous sera renvoyé dans un délai de 5 minutes.
En l’absence de réponse, contactez la personne suivante.
Contact n° 1 : Directrice – 06 XXX
Contact n° 2 : IEN de circonscription – 06 XXX

Ce format permet la mise à disposition de consignes claires et efficaces à suivre


en cas d’urgence. Nous verrons par la suite que la préparation sur la base de plans
d’urgence ne fait pas tout. La crise oblige en effet chacun de nous à s’adapter et à
faire preuve d’agilité. S’astreindre à suivre à la lettre des plans d’urgence préalables
pourrait corrompre l’efficacité de la réponse à donner lorsque la crise survient.

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9 Fiche outil
Préparer la gestion
des situations exceptionnelles
FICHE RÉFLEXE (exemple à adapter et compléter)

À FAIRE TOUT DE SUITE ATTENTION !


• Protéger… • Ne pas…
• Rechercher… • Éviter de…
• Transmettre… • En cas de…, ne surtout pas
• En cas de….

QUI CONTACTER ? À FAIRE PLUS TARD


•Protéger… • Rendre compte à l’autorité acadé-
•Rechercher… mique dès que possible
•En cas de….

RÉGLEMENTATION

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10 Fiche outil
Répondre à une situation de crise :
réflexes de bases
1. Utiliser la méthode PEDA pour aider à la prise de décision :
Perception : quel est le CADRE ? Quel est le Contexte, la cartographie des Acteurs ?
Que puis-je faire et quelles sont mes obligations au niveau du Droit ? quelle est
l’intensité Émotionnelle ?
Évaluation : Quels choix et options sont possibles ?
Décision : Une fois la décision prise, penser à la communication (à qui, quoi et par
quel biais)
Action : Si possible, se faire aider
Ne pas hésiter à commencer à prendre des repères (identité des interlocuteurs,
horaire précis de départ d’incident, en vue des écrits possibles à venir). Une main
courante est-elle appropriée ?

2. Gérer ses émotions :


Prendre du recul au sens propre comme au sens figuré pour éviter l’effet tunnel.
Respirer profondément.
En cas de stress important, ne pas hésiter à métacommuniquer (mettre des mots
sur les émotions).

3. Adapter sa stratégie s’il s’agit d’une situation de violence :


En priorité, c’est la sécurité des personnes qui compte.
Alerter ou faire alerter si besoin (services d’urgence de l’État ?).
Adopter la posture du Sphinx : ne pas se laisser piéger par le triangle du danger
(tutoiement, insultes, rapprochement physique jusqu’à la sphère intime).

4. Si les services de secours doivent être informés en urgence :


Si nécessaire : dire que la situation est urgente, qu’elle a lieu en ce moment même
et que la sécurité physique de personnes est menacée.
Si un signalement de personne est demandé par les services de secours (forces
de l’ordre), utiliser l’acronyme SACHEM : Sexe, Âge, Corps (taille, poids, cheveux),
Habits, Mobilité (comment et dans quelle direction la personne se déplace).

( Téléphones d’urgence :
15 : Urgences médicales (SAMU)
17 : Police Secours
18 : Sapeurs -pompiers
I Signalement de fait grave éventuellement à réaliser auprès des autorités
académiques.

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Fiche outil 11
Organiser un débriefing ou un RETEX

Le débriefing émotionnel collectif


Ce dispositif, qui a lieu assez vite après la fin d’une crise (dans les trois jours), est
l’occasion de symboliser par un rituel le retour à la normalité, tout en donnant l’occa-
sion à chacun de décharger ses émotions, intenses ou négatives.
Plus les événements vécus ont été graves, et plus la charge émotionnelle est lourde.
Plus elle est lourde et plus le débriefing doit être conduit par une personne qualifiée.
L’introduction : elle consiste en une très brève introduction et de courtes consignes
de cadrage de la parole.
Les faits : chacun exprime son vécu des faits.
Les réflexions : l’animateur invite les participants à exprimer leurs premières sensa-
tions au début de l’événement.
Les émotions : les émotions passées et présentes sont alors exprimées.
Les symptômes : à cette étape, on fait le point sur ce qui demeure de la période
traversée.
La normalisation : l’animateur reformule et synthétise.
La futurisation : les participants sont amenés à se projeter dans les jours, les semaines
et les mois à venir, pour un retour à un fonctionnement quotidien après la crise.

Le RETEX (retour d’expérience)


C’est l’analyse des processus de cause à effet. Celle-ci se fait dans l’idéal la semaine
qui suit la fin de la crise, tout juste après que l’émotion est digérée et pendant que les
souvenirs sont encore bien présents.
Le RETEX aborde les aspects techniques, organisationnels et humains. Il se fonde sur
l’enchaînement des faits objectifs et de leurs conséquences.

Constitution du groupe de travail : animateurs/analystes et personnel impliqués.


Recueil des faits (main courante, entretiens avec les différents acteurs impliqués :
parents, élèves…, réunion de type brainstorming)
Construire l’arbre des causes : outil pertinent pour structurer les échanges. On com-
mence par les dommages ou impacts (faits ultimes) et l’on remonte le fil des faits
(faits antécédents) jusqu’aux sources de la crise.
Restituer : document synthèse assorti de témoignages, ajustements à venir…

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12 Fiche outil
Prendre en compte les facteurs
de rétablissement dans la période post-crise
Tableau synthétique des facteurs post-événement, de protection et de risque,
qui entrent en compte dans le rétablissement du personnel.

Environnement général

École
Facteurs
de protection:
Facteurs 1. Soutien de l’équipe
de protection: d’intervenants internes
formés en cas de crise
̣ Soutien
des proches 2. Entraide entre
les enseignants Individu
3. Confiance
de la direction
envers les enseignants
et soutien sur
une période prolongée Facteurs de risque:
Facteurs de protection:
Facteurs de risque: 1. Sentiment de culpabilité
Facteurs de risque: 1. Capacité à apprendre et à grandir
̣ Jugement négatif 2. Perception négative à l’égard
1. Accumulation à la suite d’un évènement traumatique
de la société envers des interventions de la direction
les enseignants d’expériences de crises 2. Se confier à quelqu’un
2. Peur du jugement 3. Manque d’expérience
̣ Désinformation des collègues 3. Maturité dans l’enseignement
3. Manque de soutien
pour les enseignants

D’après Dufresne, 2019 et Séguin et coll., 2006


I Lecture :
Le premier cadre englobant l’individu représente l’ensemble des caractéristiques
propres à la personne.
Le deuxième cadre, plus large, de l’école comprend l’organisation du milieu scolaire.
L’environnement général est lié au contexte global, hors individu et milieu scolaire. Il
s’étend de la famille à la société.
Lorsque les facteurs sont numérotés, le premier facteur identifié est celui qui semble
le plus marquant dans son aspect protecteur ou au contraire à risque pour le rétablis-
sement du personnel enseignant.
Dans beaucoup de districts scolaires et d’écoles d’Amérique du Nord, des équipes pluri­
disciplinaires sont formées pour intervenir en temps de crise : c’est « l’équipe d’inter­
venants internes formés » dont il est fait mention en premier facteur de protection.

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