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MENDÉLIENNE
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NOTIONS LA DOMINANCE ET LA
GENERALITÉS/DEFINITION
FONDAMENTALES RECESSIVITÉ DES ALLELES
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NOTIONS LA DOMINANCE ET LA
GENERALITÉS/DEFINITION
FONDAMENTALES RECESSIVITÉ DES ALLELES
Les allèles sont les différentes formes que peut prendre un même
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NOTIONS LA DOMINANCE ET LA
GENERALITÉS/DEFINITION
FONDAMENTALES RECESSIVITÉ DES ALLELES
Un individu ayant deux allèles identiques à un locus est dit: homozygote.
Un individu ayant deux allèles différents à un locus est dit: hétérozygote.
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NOTIONS LA DOMINANCE ET LA
GENERALITÉS/DEFINITION
FONDAMENTALES RECESSIVITÉ DES ALLELES
Maladie congénitale:
Une maladie congénitale est présente à la naissance; elle peut être
génétique ou non (la rubéole contactée au cours de la grossesse peut
engendrer des anomalies congénitales, toxoplasmose…).
A l'inverse, beaucoup de maladies génétiques ne sont pas congénitales et
ne s'expriment qu'au cours de la vie ( 10% des maladies monogéniques
ne sont découvertes qu'à l'âge adulte).
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NOTIONS LA DOMINANCE ET LA
GENERALITÉS/DEFINITION
FONDAMENTALES RECESSIVITÉ DES ALLELES
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L’ARBRE GÉNÉALOGIQUE
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Les individus
Les
générations
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HEREDITE AUTOSOMIQUE HEREDITE
DOMINANTE AUTOSOMIQUE RECESSIVE
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HEREDITE AUTOSOMIQUE DOMINANTE
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DEFINITION
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Diabète familiale du jeune adulte (MODY)
Tout sujet porteur d'un allèle morbide AD à un risque de 50% (1/2) de le
transmettre à ses enfants quelque soit leur sexe.
Homozygote sain
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EXEMPLES DE MALDIES AD
Hypercholestérolémie familiale: maladie due à des mutations du gène codant
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Maladie de Marfan: affection touchant notamment le squelette , l’œil, les gros
vaisseaux, et due à des mutations dans le gène codant pour la fibrilline1 (15q21).
1-Pénétrance incomplète
2-Expressivité variable
3-Néomutations ou mutations de novo
4-Mosaiques germinales
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PARTICULARITES DE L’HEREDITE AD
1-Pénétrance incomplète
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En pratique: une pénétrance de 80% signifie qu’un sujet porteur de la
mutation à 80% de risque d’être malade.
Phénomène expliqué par l’interaction de l’allèle morbide avec des gènes
modificateurs et/ou des facteurs de l’environnement.
La pénétrance d'une maladie peut aussi varier en fonction d'autres
paramètres: l'âge ( par ex: la pénétrance du gène responsable de la chorée
de Huntington est de 0 à la naissance, de 50% vers 40 ans et de 100% vers
70 ans) ou le sexe.
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Dans cette famille, le père (I-1) est mort à 78 ans après avoir débuté sa maladie à 68 ans. Son
petit-fils (III-2) est atteint à l'âge de 50 ans.
Sa fille (II-2) est décédée accidentellement à l'âge de 42 ans. Du fait de l'apparition tardive de la
maladie elle n'a pas développé de signes cliniques, mais elle portait l'allèle muté puisqu'elle l'a
transmis à son fils.
Ces observations sont conformes au mode autosomique dominant avec pénétrance incomplète.
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2-Expressivité variable
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Dans la descendance du sujet porteur de cette nouvelle mutation, on
retrouve les caractéristiques de transmission de l'hérédité AD.
Pour certaines maladies, la proportion de néomutations est très élevée:
l'achondroplasie (90%) de la NF1 (50%) et de la maladie de Marfan (50%).
Ces néomutations dominantes sont favorisées par un âge paternel élevé .
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4-Le mosaïcisme germinal
6-La pléiotropie
Certaines maladies touchent de nombreux organes (ex : la sclérose
tubéreuse de Bournonville donne des signes cutanés, neurologiques,
rénaux, cardiaques, etc...). On appelle ce phénomène l'effet pléiotropique du
gène.
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HEREDITE AUTOSOMIQUE RECESSIVE
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DEFINITION
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CARACTERISTIQUES
Les deux parents sont en général sains, mais sont obligatoirement hétérozygotes,
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Exemples de maladies AR
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La mucoviscidose est la maladie AR la plus fréquente en Europe, due à des
mutations dans le gène CFTR (chr 7).
Enfant thalassémique
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Enfant drépanocytaire
Particularités de l’hérédité AR
1-La consanguinité
2-L’hétérogénéité génétique
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Particularités de l’hérédité AR
1-La consanguinité
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Particularités de l’hérédité AR
1-La consanguinité
On parle d’union consanguine quand les deux membres d’un couple ont au
moins un ancêtre commun (risque plus grand d’avoir reçu de leur ancêtre
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*hétérogénéité génique ou interlocus (plusieurs gènes → une maladie):
>150 gènes impliqués dans les rétinites pigmentaires (AD, AR, RLX).
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RISQUE DE TRANSMISSION
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Les autres enfants seront sains mais tous porteurs de l'allèle responsable de la maladie et
donc susceptibles de la "transmettre", si son conjoint est lui-même porteur sain.
Ce type d'union pourrait être confondu avec le mode de transmission autosomique dominant.
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Calcul du risque
Le risque pour un couple d’avoir un enfant atteint d’une maladie récessive
autosomique est égal à :
Risque que la mère soit hétérozygote X Risque que le père soit hétérozygote X 1/4
1/4 : Un risque sur deux que l’allèle issu de la mère hétérozygote soit muté et un
risque sur deux que l’allèle hérité du père hétérozygote soit muté : 1/2 x 1/2 = 1/4
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La probabilité qu’un individu soit hétérozygote pour une mutation dans un gène
donné dépend de l’existence ou non d’un antécédent familial :
1 Lorsque l’individu est apparenté à un individu atteint (homozygote) d’une
1.
maladie récessive, son risque d’être porteur d’une mutation à l’état
hétérozygote dépend du lien de parenté avec l’individu atteint.
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S m
S S/S [S] S/m [S]
m S/m [S] m/m [m]
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22. En l’absence d’histoire familiale, on considère qu’un individu est
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HÉRÉDITÉ RÉCESSIVE LIÉE AU CHROMOSOME X
(RLX)
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DEFINITIONS
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CARACTERISTIQUES GENEALOGIQUES DES MALADIES RLX
Dans les formes familiales, les sujets mâles atteints se retrouvent uniquement
XN Xm
Y XN/Y[N] Xm/Y[m]
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Cas d'une mère conductrice et d'un père sain
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Particularités de l’hérédité RLX:
1-inactivation de l’X
2-détection des femmes conductrices
3-Mutations de Novo
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Particularités de l’hérédité RLX:
1-inactivation de l’X:
Dans chacune des cellules somatiques féminines, les allèles d’un seul X sont
fonctionnels. L’inactivation se fait au hasard à un stade précoce de
l’embryogenèse.
Chez une femme HTZ pour une maladie RLX, l’inactivation peut toucher soit le
chromosome porteur de l’allèle muté, soit celui porteur de l’allèle sain.
La répartition aléatoire des X actifs dans tous les tissus explique la variabilité de
l’expression de l’allèle muté qui peut entrainer des anomalies biologiques, voire
cliniques, chez les conductrices. 59
2- Détection des femmes conductrices (hétérozygotes):
Dans une famille touchée par une maladie RLX, le dépistage des conductrices
+++ (Dg et DPN)
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Calcul du risque
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2• En l’absence d’histoire familiale, il n’est pas possible d’exclure une mutation
de novo.
Pour une maladie génétiquement létale au sens que les individus atteins
n’ont pas de descendance (comme par exemple la dystrophie musculaire de
Duchenne), la probabilité pour la mère d’un cas sporadique d’être
hétérozygote est de 2/3 (puisqu’un tiers des cas sont liés a des mutations de
novo).
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HÉRÉDITÉ DOMINANTE LIÉE AU CHROMOSOME X
(DLX)
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Définition
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Caractéristiques généalogiques des maladies DLX et risque de récurrence
avec un risque de ½.
Homme atteint: toutes les filles reçoivent le gène muté, il n’ya jamais de
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Risques de transmission
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La transmission des maladies dominantes liées à l'X est différente suivant
que le parent atteint est le père ou la mère:
Cas d'une mère malade et d'un père sain
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Cas d'un père malade et d'une mère malade
Analyse de l'arbre
On constate que toutes les filles d'un homme atteint sont atteintes, mais qu'il n'y a pas de transmission père-fils.
Par contre, les enfants d'une femme atteinte ne sont pas tous malades. Il y a plus de femmes atteintes que d'hommes
atteints. 73
Caractères particuliers de la transmission DLX
1-Mosaïcisme par inactivation d’un chromosome X
Définition
Dans chaque cellule d'une femme, l'un des deux chromosomes X est en partie inactivé.
Cette inactivation a lieu aléatoirement dans chacune des cellules très tôt au cours du
développement.
Chaque femme a donc des cellules dans lesquelles l'X d'origine paternelle est inactivé
et des cellules dans lesquelles l'X d'origine maternelle est inactivé.
Le mosaïcisme dans ce cas n'affecte que le chromosome X. Les autres chromosomes
sont identiques dans les deux types cellulaires.
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Caractéristiques
Si chez une femme hétérozygote, l'inactivation touche le X porteur du gène normal, la
cellule n'exprimera que le gène muté.
Si l'inactivation touche le X porteur du gène muté, la cellule exprimera le gène normal.
Les femmes hétérozygotes pour le gène impliqué dans une maladie dominante liée à
l'X sont plus ou moins atteintes
Selon que le X porteur de l'allèle qui donne la maladie est inactivé dans un grand
nombre de cellules ou non, la maladie sera très grave ou moins grave.
Dans certaines maladies, quand le taux de cellules ayant inactivé le X porteur du
gène muté est très élevé, les femmes hétérozygotes sont peu, voire non atteintes.
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Caractères particuliers de la transmission DLX
Symptômes allant de
vomissements chroniques à
des anomalies psychiatriques.
Analyse de l'arbre
Transmission verticale
Pas de transmission père-fils. Un coma néonatal
II-2 et III-4 sont faiblement atteintes, II-4 et III-2 souffrent de symptômes graves :
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LA MITOCHONDRIE
métabolisme cellulaire.
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La chaine respiratoire
Les gènes qui codent les protéines des complexes CR
Gènes nucléaires (≈100 gènes)
Gènes mitochondriaux (13 gènes)
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Le génome mithochondrial
Les mitochondries possèdent leurs propres molécules d’ADN
10 copies/ organite
Génome circulaire, bicaténaire ( brin lourd et brin léger)
Très compact ≈ 16,5 Kb
Pas d’introns
2 régions non codantes :origines de réplications des 2 brins.
La réplication de l’ADNmt est indépendante de l’ADN nucléaire
Son propre code génétique
Code pour 13 protéines de la chaine respiratoire
2 ARN ribosomaux, 12S et 16S (rose)
22 ARN de transfert (vert)
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Le génome mithochondrial
Les gènes localisés dans la mitochondrie sont peu nombreux, mais les mutations
contenu du cytoplasme du zygote est donc celui de l'ovule. C'est pourquoi toutes
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CARACTÉRISTIQUES
1. Transmission maternelle
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Particularité : Homoplasmie - Hétéroplasmie
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Les arbres généalogiques ne sont pas toujours caractéristiques et
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Particularité : Homoplasmie - Hétéroplasmie
Lors de la division cellulaire, la répartition des mitochondries non
fonctionnelles peut être inégale :
- une cellule-fille peut avoir uniquement des mitochondries avec la mutation ou
uniquement sans la mutation (homoplasmie).
- une cellule-fille peut avoir un mélange de mitochondries avec mutation et sans
mutation (hétéroplasmie).
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cette hétérogénéité de la composition de l’ADNmt explique la pénétrance
mitochondriale.
mitochondriales .
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Ségrégation non mendélienne
Au cours des divisions mitotiques, l’ADN muté peut être amené soit à disparaître, soit à s’étendre à
d’autres mitochondries.
Ces changements dans la proportion des allèles mutés peuvent survenir soit par variation aléatoire
soit par avantage sélectif.
Rechercher une mutation de l’ADN
mitochondrial au niveau du tissu
atteint
Expression de la maladie
HOMOplasmie : une cellule ne comporte qu’un seul type d’ADN mitochondrial (ADN sauvage ou ADN muté
Variation d’une cellule à une autre/ d’un organe à un autre/ au cours du temps au sein d’un même organe :
expressivité variable
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Exemples de cytopathies mitochondriales
Prévalence 1/50000
Adulte jeune (fin de l’adolescence)
Perte le plus souvent brutale de l’acuité visuelle touchant un seul œil au début, le
2ème œil est atteint par la suite.
Dégénérescence du nerf optique
Les manifestations extra oculaires sont rares
Transmission maternelle
Homoplasmique +++ 85% des cas
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Conseil génétique
Complexe
Possible uniquement en cas de confirmation du Cas Index (mise en évidence du déficit
enzymatique, étude moléculaire)
Le DPN reste difficile sur le plan biochimique et moléculaire
DPN biochimique : la mesure des activités de la CR se fait sur villosités choriales (VC)/
amniocytes résultat normal n’exclut pas la pathologie
DPN moléculaire : difficile de prédire le taux de molécules mutées transmises au fœtus
(proportion VC/ proportion autres tissus) et l’évolution au cours du développement
Taux intermédiaires ininterprétables .
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L’EMPREINTE GENOMIQUE PARENTALE
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La plupart des gènes autosomiques expression biallélique +++
Hérédité
mendélienne
classique
Equivalence entre le
génome paternel et le
génome maternel
La plupart des gènes autosomiques expression biallélique +++
certains gènes
expression monoallélique
Hérédité
mendélienne
classique
Equivalence entre le
génome paternel et le
génome maternel
gènes soumis à empreinte
parentale
(EP)
Définition
mécanisme physiologique
inactivation de l’un des deux allèles de certains gènes en fonction de leur origine
parentale
Haploïdie fonctionnelle
1- Définition
mécanisme physiologique
inactivation de l’un des deux allèles de certains gènes en fonction de leur origine
parentale
Haploïdie fonctionnelle
Bases moléculaires
L’empreinte parentale résulte d’une marque épigénétique apposée sur certaines
régions du génome, dans les cellules germinales de l’organisme.
Épigénétique :
Modification de l’architecture chromatinienne
SANS modification de la séquence nucléotidique des gènes
Contrôlant l’expression des gènes
Stable au cours des mitoses successives tout au long de la vie de l’individu .
Les gènes soumis à empreinte parentale jouent un rôle dans la croissance fœtale
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Empreinte parentale et pathologies humaines
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Syndrome d’Angelman
Les gènes impliqués dans le sd de Prader-Willi sont des gènes qui sont actifs
maternelle.
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Mécanismes moléculaires à l’origine d’une anomalie de l’empreinte
mutation génique
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Mutations par expansion instable
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• Nombreuses régions répétées dans le génome
Rare: plus fréquent chez les garçons que les filles (1/4000 chez les garçons et 1/6000 à
de la protéine. 110
LES MALADIES GÉNÉTIQUES "COMPLEXES"
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DEFINITION
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dans les maladies génétiques complexes il s'agit d'un déterminisme
génétique polygénique: de nombreuses altérations aux niveaux de
nombreux gènes sont les déterminants multiples de la maladie. On
parle aussi de maladie "multifactorielle".
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Chaque effet individuel de chacune des altérations génétiques est à lui seul
insuffisant pour induire à la maladie.
C'est la présence simultanée de ces
altérations génétiques chez un même
patient qui conduit à l'apparition de la maladie.
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L'environnement étant à prendre au sens très large: ce qui environne ou a
environné le patient ainsi que certains aspects du mode de vie du patient. La
partie génétique du déterminisme de la maladie peut être considérée comme
une susceptibilité, une prédisposition génétique à la maladie.
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EXEMPLE DE MALADIE MULTIFACTORIELLES:
Le diabète type II, l’obesité et les maladies cardiovasculaires, sont plus
fréquents dans certaines familles, que dans d’autres familles.
Ces maladies sont influencées par l’environnement:
- Absence d’activité physique.
- Alimentation hypercalorique riche en glucides et en graisses.
- Cadre de vie générateur de stress.
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Estimation du risque de récurrence
Bien que difficile à analyser sur le plan génétique, l’intérêt de l’étude de ces maladies
permet l’estimation du risque de survenue chez une personne de la même famille et de
savoir quel conseil génétique donner.
Le risque de récurrence est estimé de façon empirique par observation de la maladie
dans la population générale, son observation dans les familles semblables et
parallèlement au degré de parenté.