Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
avoir à faire en tant que personnes dans l’entreprise ou à l’extérieur de l'entreprise tout ça pour
essayer d’identifier ces personnes pour pouvoir imaginer les interactions et les réactions qu’on
pourrait avoir entre la DSI et les différents acteurs.
La DSI
Création de valeur avec le SI : on va créer des services et des logiciels pour ajouter de la valeur
auprès des différentes directions de métiers
Orientation service délivré à un client : la DSI n’a pas toujours été dans cette démarche de créer de
la valeur au client (les clients pour la DSI ce sont les clients internes, ce sont les autres directions de
l’entreprise)
Les parties prenantes / acteurs : les acteurs qui vont composer la DSI
Orientation multipolaire de la DSI : quand on travaille dans la DSI on doit devoir s’adresser à
différents métiers et le problème c’est que la DSI doit se spécialiser en autant de métiers que
l’entreprise a (exemple : à la fois chef de projet et spécialisé à la comptabilité si on s’adresse à des
métiers de comptabilité, chef de projet SI et RH si jamais on doit s’adresser à la RH il faut savoir ce
qui se cache dans les fiches de paie, les congés… parce que si on ne sait pas comment ça fonctionne
on va pas pouvoir spécifier les logiciels et utiliser le logiciel le plus adéquat possible)
Objectifs
Qui manager ?
les évolutions nous permettent de voir par quoi ça a commencé et où ça devrait en être mais ça
permet aussi de voir aussi les problématiques que rencontre l’entreprise, par exemple si on est sur
du SIG l’idée c’est de migrer sur soit du SIO ou du SIE donc ça donne des pistes d’améliorations pour
essayer de transformer le SIG. C’est pareil dans ce cours on va essayer de voir d’où vient la DSI pour
que quand on sera en entreprise on peut nous situer (est ce que la DSI est puissante, est ce que la DSI
est impuissante)
-> Une DSI puissante : elle maitrise toutes les activités de l’entreprise, elle propose un SI facile
d’utilisation, en fonction d’où la DSI est placée dans l’organigramme et à quel point elle va être
reconnue à travers les outils performants et le fait de pouvoir proposer aux métiers, la DSI sera plus
puissante et aura plus de poids dans les décisions. Exemple : quand une DSI puissante ira voire la
direction générale pour demander plus de budget elle sera sûrement plus écoutée, alors que si
jamais la DSI impuissante, une DSI un peu plus bas dans l’organigramme et quand elle va demander
du budget ça ne sera pas pareil.
Aperçu
Tout comme le SI, la DSI n’est pas un concept figé : c’est quelque chose qui a évolué et qui continue
d’évaluer
Comme la DSI travaille pour tous les métiers de l’entreprise, c’est un acteur très important
pour la direction générale parce que c’est la seule qui va interagir avec autant de profondeur
avec tous les métiers. La DSI peut par exemple faire un compte rendu et un retour de tous les
utilisateurs métiers de toute l’entreprise.
A l’époque l’utilisation de l’informatique était locale : on avait un seul métier (le service financier qui
avait un mécanisme d’automatisation) et l’objectif était d’automatiser les tâches de comptabilité, de
paie et de facturation.
Chef d’atelier mécanographique : à l’époque c’était via des cartes perforées qu’on faisait de la
programmation, on faisait des algorithmes avec on n’avait pas encore l’informatique moderne.
L’objectif c’était de compiler le code depuis le premier essai sans erreurs ce qui est compliqué
L’informatique était tout en bas de la hiérarchie elle était juste en dessous du chef comptable.
On va avoir l’émergence d’un directeur informatique qui va permettre de donner plus de poids à
l’informatique et on va avoir l’émergence du poids informatique, on a le directeur informatique qui
va gérer l’équipe informatique et à côté on a la direction comptable qui va gérer l’équipe comptable,
l’idée de cette époque c’est de commencer à créer des applications complexes et abouties, on
commence à avoir des langages de programmation et l’idée pour le directeur informatique c’est de
faire le ou les métiers, la direction informatique a pour rôle d’automatiser ce qui est fait
actuellement sans trouver de levier supplémentaire de performance on est juste dans
l’automatisation et on ne cherche pas de performance supplémentaire à travers l’informatique.
Extension de l’informatique aux autres domaines fonctionnels : on n’est plus que localisé au niveau
de la direction financière on va proposer des outils informatiques aux autres domaines fonctionnels
et aux différents niveaux de décisions. L’informatique va commencer à monter en hiérarchie.
On a une approche conceptuelle en silos : on est dans du SIG on fait des outils qui font le métier mais
on ne relie pas les métiers en eux.
La DSI va s’émanciper de la direction financière et on va avoir un métier à part qui va avoir un budget
à part. On a également une professionnalisation qui commence à arriver avec une équipe de DSI qui
va être constituée par la nomenclature CIGREF (c’est un listing de différents postes qui existent dans
l’informatique) à cette époque il n’y avait pas de formations et de diplômes, et on commence à avoir
des diplômes, des postes matérialisés, on commence à mettre des termes sur les différents emplois
qu’on a dans la DSI, ça permet de structurer le service (une équipe plus cohérente).
L’objectif c’est de rechercher des solutions avec les utilisateurs opérationnels : on n’est plus en mode
tu fonctionne comment voici un outil tu te débrouille avec, mais on est plutôt en mode comment tu
travailles est ce que l’informatique pourrait t’aider à donner quelque chose.
Et la DSI commence à apparaitre dans le comité de direction, avec le système d’aide à la décision et
le système intelligent d’aide à la décision, la direction générale s’est rendue compte que la DSI
pouvait fournir des outils d’aide à la décision et elle commençait à être vitale pour prendre des
décisions.
Le SI devient un levier de la performance de l’entreprise :On considère que le SI n’est pas que pour
automatiser l’entreprise ou pour travailler, on se rend compte que la DSI a une place capitale et que
le SI a une place capitale pour augmenter la performance de l’entreprise, on se dit que la
performance de l’entreprise est par l’évolution du SI.
Quand on met en point une stratégie dans l’entreprise, derrière on fait quoi ? Comment on fait pour
que les métiers s’inscrivent dans la stratégie, il va falloir faire une action concrète opérationnelle
pour les inscrire dans la stratégie.
On va essayer de les inscrire dans la stratégie et en développant un outil qui suit la stratégie qui a été
fixée et en faisant utiliser cet outil informatique aux utilisateurs on va forcer les utilisateurs à
s’inscrire dans la stratégie qui a été donnée par l’entreprise.
Le SI est un outil qui permet d’inscrire les gens dans la stratégie de l’entreprise qui a été fixée plus ou
moins de force. (On force les gens à s’inscrire dans le process)
Exemple (club d’escalade) : il ont changé le SI ils ont mis un ERP, l’idée était de travailler en synergie
et d’éviter de réécrire ce que d’autres personnes avaient écrit. Ils ont “obligé” les gens à utiliser cet
ERP et ça permet de mutualiser les choses, se décloisonner et travailler ensemble.
Évolutions réglementaires et contraignantes sur le SI : autre chose c’est qu' avant personne ne
contrôlait le système d’information et s’était l’expert-comptable qui demandait à ce qu’on lui édite
par exemple un papier parce qu’il ne pouvait pas rentrer dans leur système, maintenant quand il y a
un outil on lui donne accès à tout l’ordinateur et il a accès aux données. Les SI n’étaient pas
respectueux mais récemment on a le RGDP et on s’est rendu compte que les entreprises stockent les
informations qu’elles ne devaient pas stocker.
Référentiels de bonne gouvernance (ITIL COBIT, ...) : pour cadrer les choses qui sont faites dans le
DSI, avant la DSI on a un système d‘information et on emploie des gens qui sont forts en
informatique, on développe une table pour faire des tests, et même si on veut faire mieux on n’a pas
trop de ressources documentaires (internet, référentiels…). Ces référentiels vont être comme des
guides (comment on va gérer les ressources de la production informatique de l’entreprise on va voir
ce qu’une entreprise performante en terme de production IT va faire, la production IT c’est la
production de logiciels)
DSI commence à apparaitre dans le comité exécutif voire dans le conseil d’administration
La DSI est sous la finance chez Total en 2017, parce que ça a toujours marché comme ça étant donné
que l’industrie pétrolière apporte beaucoup d’argent donc il n’ y a pas trop de concurrence et de
challenge. On n’a pas eu l’obligation d’améliorer le SI.
La conséquence de cette position de la DSI : elle n’est pas de poids dans l’entreprise parce que si
jamais elle veut assister aux comités exécutifs le représentant est le directeur des finances donc ça va
être compliqué pour la DSI d’assister aux réunions importantes, de négocier du budget…
on a le président, le directeur général délégué aux ressources et la DSI, cette organisation la DSI est
en dessous des délégations régionales et au-dessus des métiers, donc elle a plus de poids que chez
Total et on a plus quelque chose qui ressemble à une organisation moderne (SI moderne)
La DSI est juste en dessous de la direction générale, elle est dans les directions opérationnelles et
normalement la DSI est une fonction support direction fonctionnelle et là on a la DSI qui a un métier
à part chez Air France dans la direction opérationnelle.
Supposition : étant donné que le système d’information est ultra important pour leur activité et que
ça ne peut pas fonctionner sans, la DSI a un métier à part qui fait fonctionner l’entreprise.
on a 1680 personnes dans cette DSI, 13 personnes qui gèrent la coordination SI (l’urbanisation, ces
13 personnes essaient de coordonner, piloter et faire en sorte que le SI ne part pas dans tous les
sens, d’avoir des règles d’urbanisation précises pour que derrière on soit sur du SICoop et qu’on ne
fasse pas de sac de nœuds en mode SIG à travers le SI.
on a 42 personnes aux RH, dans la DSI on a besoin de beaucoup de monde dans les RH parce que
pour embaucher un comptable on va regarder bien sûr sa formation et ses compétences dans la
comptabilité on a des grandes branches comme c’est un expert-comptable avec une formation de
base classique il devrait se débrouiller, par contre si on embauche un développeur on va voir dans
quelle thématique d'organisation il peut s’insérer (est ce qu’il fait du Devops, de l’agilité…), quels
langages de programmation il sait faire (au moins 20 casquettes courantes), après on doit aussi voir
les chefs de projets, les urbanistes, les architectes donc on a plusieurs métiers et c’est quelque chose
de complexe pour pouvoir recruter la bonne personne. Donc avec plus de personnes dans la RH on va
avoir un meilleur recrutement au niveau de la DSI
19 personnes qui vont gérer les achats (les fournitures, les licences, en gros tout ce qui est achat
hardware, tout ce qui est software)
15 personnes qui font du marketing commercial : essayer de donner une bonne image de la DSI au
sein de l’entreprise
736 personnes au niveau du développement de solutions applicatives : DEV, fait la recette pour
faire en sorte que le produit fonctionne
312 personnes qui gèrent la production : une fois qu’on a développé un logiciel qui marche bien on
le test, on fait de la maintenance, le déployer et tout ça passe par la production qui va faire la recette
de production, c’est à dire que si dans l’environnement de recette ça fonctionne la production va le
mettre dans de vrais serveurs et vont faire en sorte d’avoir une continuité de service. Il va aussi y a
avoir une maintenance qui va être faite, une maintenance collective, si jamais un utilisateur détecte
un bug il est censé le remonter à la production et la production va essayer de corriger le code pour le
débuguer. Si jamais on a une maintenance évolutive (on doit rajouter une fonctionnalité) on passera
par le développement de solutions applicatives.
Les termes importants : Construire des solutions applicatives - Run (ça tourne)
448 personnes qui gèrent les systèmes distribués : La distribution d’application, tous ce qui est
distribué sur le réseau local et internet, le fait de gérer tout ce qui est collectivité entre les clients
finaux qui vont acheter les billets et les clients internes (les métiers) et les entreprises partenaires.
L’idée de cette association (club informatique) c’est de réunir des personnes qui vont discuter des
systèmes d’information pour faire les référentiels. C’est un échange entre les DSI de plusieurs
grandes entreprises, qui vont parler entre.
En 1991, il y avait plus de technique mais aussi quelques postes pour tout ce qui est MOA (gestion de
projet, étude des besoins, supervision… Les métiers sont assez limités
A partir de 1995 il est devenu plus intéressant que la DSI apporte du support aux utilisateurs. Et une
partie administration et gestion de la DSI, on commence à structurer la DSI pour répondre à des
normes de performances et à des contraintes de gestion.
On rajoute MOA et intégration, il y a 5 thématiques mais pas de subdivisions.
On est passé d’une DSI qui est très simpliste et très technique à une DSI qui a beaucoup de couches
de gestion.
1970-1980 :Le host centric : le SI était fermé donc si jamais on veut ajouter des choses ou ouvrir un
autre logiciel ça ne marche pas, propriétaire qui n’est pas spécifique à chaque fois et qu’on peut
essayer de faire des collections entre le SI et le logiciel c’est compliqué comme le côté propriétaire
est fermé.
Client/serveur : on a un serveur d’un côté qui fait des calculs qui harmonise et crée des choses
unifiées et on a de l’autre côté des clients sont connectés à ce serveur dans d’autres pc qui vont
communiquer et qui vont faire tourner l’application
1990-2000 : Internet
2000-2015 : les entreprises ont commencé à s’intéresser à tout ce qui est cloud
Utilisateurs dominés : des utilisateurs qui ne savent pas se servir de l’informatique, difficile de
récupérer des informations
Intégration interne :
Economie à flux rapide : flux tendus, juste à temps, fabrication à la demande, etc.
B to C (Business to Customer)
Modification de la relation informatique / utilisateur : avant les gens ne savaient pas trop se servir
des ordis, mais maintenant les gens commencent à voir l’outil informatique comme un outil qui leur
permet de faire leur travail.
Les utilisateurs utilisaient le logiciel mais ne contribuaient pas trop donc l’idée de l’utilisateur
travailleur de l’information c’est que les métiers vont être inclus dans la boucle de conception des
logiciels.
B to E (Business to Employee)
B to A (Business to Administration)
B to actionnaires, public
Ensuite les métiers pouvaient commencer à s’alimenter sur l’informatique réelle, le métier va
pouvoir chercher et faire des choses sur l’ordi.
De nos jours dans les entreprises modernes, le métier va façonner l’informatique et va pouvoir
interagir dans la conception des logiciels.
Les systèmes d’information au début étaient fait pour faire le travail répétitif de tout ce qui était
comptabilité, fiche de paie… ce qu’on appelle le traitement des transactions.
Ensuite le système d’information est passé à la PAO (publication assistée par ordinateur), tout ce qui
est Word où on n’a pas besoin de communication réseau (host centric).
Après on a eu l’arrivée de tout ce qui est client-serveur distribué on a commencé à faire des progiciel
de gestion intégré (ERP), qui permettront de faire une meilleure gestion opérationnelle et contrôle
de gestion. Pourquoi on place tout ce qui est PAO (publication assistée par ordinateur)en
traitement des transactions et gestion opérationnelle et les progiciels en gestion opérationnelle
contrôle de gestion ? En Word on travaille tout seul sur un pc local, les ERP sont faits pour gérer
les process éventuellement dans un métier complet voire inter métiers, on va gérer des choses
beaucoup plus complexes entre différents acteurs donc on commence à entrer dans tout ce qui est
contrôle de gestion.
Ensuite on va avoir des systèmes de reporting interne et de groupe, c’est à grâce à internet on va
pouvoir connecter plusieurs entreprises ensembles et plusieurs pôles d’entreprises ensemble qui ne
sont pas au même endroit géographiquement et éventuellement faire ces systèmes de reporting
pour voir ce qui se passe dans l’entreprise. L’intérêt du système de reporting interne et de groupe
pour le contrôle de gestion et pour le management stratégique : quand on est en contrôle de
gestion on gère les budgets par rapport à des objectifs qui sont fixés par la direction générale du
management stratégique, et ces objectifs on les suit par rapport à ce qui est fait réellement dans
l’entreprise, donc l’intérêt pour le contrôle de gestion d’avoir un système de reporting (ça peut
prendre diverses formes soit visuelle en mode graphique soit en tableau Excel et on va faire monter
les ventes par commercial, par catégorie de produit…) ces systèmes de reporting vont permettre au
contrôle de gestion de plus facilement comparer l’objectif qui a été fixé vs ce qui est en train de se
réaliser et au niveau du management stratégique ça va être plus facile pour la prise de décision, si
on a des chiffres par exemple on va baser les décisions sur des choses concrètes.
Donc le SI était localisé sur tout ce qui est traitement des transactions et petit à petit il a évolué à
tout ce qui est management stratégique. Tout ce qui est PDG, direction générale ont eu accès à
l’informatique après les métiers des traitements des transactions.
On a utilisé d’abord ce genre de système pour la direction générale et petit à petit on a eu ce SIAD
qui est descendu au niveau du traitement des transactions.
BI : logiciels pour l’analyse des données
BAM : business activity monitoring, un peu pareil que le BPM, c’est un suivi en temps réel de ce qui
va se passer au niveau des process et au niveau du métier.
Cas d’usages concrets d’un opérationnel, comment quelqu’un qui est dans un guichet ou quelqu’un
qui est en tête de rayon dans un magasin peut utiliser tout ce qui est système d’aide à la décision :
quand un banquier va avoir un entretient avec un client si c’est un étudiant il va lui pousser des prêts
étudiants, si c’est quelqu’un de riche il va lui pousser des frais de placement, donc le système
d’information va aider le commercial/banquier pour essayer de proposer des offres plus
intéressantes par rapport au client.
L’idée de créer de la valeur c’est d’accorter avec l’outil informatique quelque chose qui était faite
moins bien et moins vite de façon moins éfficace avant, donc quand on va utiliser l’outil informatique
ça va permettre de faire les choses mieux, plus vite et de façon plus fiable.
Si notre système d’information fait de l’automatisation des processus c’est un changement faible
dans l’entreprise parce que ça ne change rien on va juste faire les choses automatiquement et on va
avoir un potentiel assez faible en termes de gain.
Si on fait de l’intégration des processus, le degré de transformation va être un peu plus élevé, parce
qu’on dit aux gens de commencer à parler entre services ce qui va induire quelques changements
dans l’entreprise et le bénéfice potentiel sera plus fort.
si on change parce exemple tout le SI de l’entreprise, toute la façon de faire ça va être plus
compliqué à gérer mais derrière va avoir des degrés de transformation plus fort et des bénéfices plus
forts.
Refonte des processus : si on change la façon de faire de tous les process d’une entreprise ça va
forcément changer les habitudes des gens donc ça va être plus compliqué à bouger mais derrière on
va avoir des bénéfices potentiels plus forts.
Redéfinition du réseau d’affaires : le fait de ne plus travailler seulement en interne dans l’entreprise
mais on va essayer de commencer à travailler avec d’autres partenaires
Gestion d’un portefeuille de projets : d’avoir une personne ou un groupe de personnes qui
ont une visibilité globale de ce qui ce passe dans l’entreprise en termes de projet et
finalement ne pas gérer les projets de façon isolée, donc la personne va gérer les petits
projets et les plus grands et va être capable de les lier et de voir les approches potentielles
soit positives soit négatives.
Alignement des investissements IT avec les besoins Métiers : vérifier qu’on met de l’argent
là où les métiers on en a besoin. Exemple : pendant le covid les métiers avaient besoin de
communiquer (solutions ZOOM) donc l’idée au niveau de la DSI est de vérifier que
l’investissement fait est plutôt dans des solutions de mobilité, télétravail…
Calcul du ROI sur les investissements IT : c’est possible sur certains projets mais compliqué
sur d’autres, par exemple si on veut calculer le ROI de la mise en place d’un ERP on fait une
enquête de satisfaction en interne donc on peut pas calculer le retour sur investissement
avec un sondage sans investissement, par contre pour un logiciel qui tombe en panne
souvent si jamais on fait un projet qui permet de résoudre ce bug on pourra calculer le retour
sur investissement, parce qu’on pourra composer le temps que nous a coûté le projet pour
corriger le bug vs combien ça nous coûte tous les ans de corriger les bugs parce que ça plante
toutes les semaines
Catalogue de services aligné avec les besoins Métiers : l’idée c’est que la DSI met en valeur
ce qu’elle fait et que si jamais un métier a un besoin il peut consulter le catalogue pour savoir
si la DSI le fait (au lieu d’appeler la DSI on peut directement chercher dans le catalogue), si
par exemple la DSI ne propose pas le logiciel dont le métier a besoin on peut chercher le
logiciel en externe
Benchmark du prix des services IT : une sorte de calcul pour vérifier que ce que propose la
DSI est aligné en termes de prix (moins cher) par rapport à ce que propose l’extérieur de la
DSI, exemple un métier qui recherche un logiciel de big data ils demandent à la DSI s’ils
proposent le logiciel et s’ils le trouvent ils peuvent chercher par exemple sur internet
beaucoup moins cher ils peuvent ne pas passer par la DSI
Modalité de pricing des services IT : comment on va faire payer les métiers qui vont utiliser
le service, on peut essayer de facturer en fonction du nombre d’utilisateurs, l’utilisation de
cpu…
Facturation des services IT basée sur la consommation : AWS Amazon on paye à la seconde
de consommation
Difficultés de dialogue
Difficultés de collaboration
Le schéma montre l'évolution de l'orientation service au sein d'une organisation, passant d'une
organisation centrée produit à une organisation centrée client.
L'organisation est structurée autour des produits et services informatiques qu'elle propose.
La DSI (Direction des Systèmes d'Information) est au centre, avec ses compétences
informatiques.
Les clients sont en bout de chaîne, recevant les produits et services finis.
Les clients sont au centre, et les services SI (Système d'Information) sont organisés pour
répondre à leurs besoins.
La DSI s'adapte pour fournir les services nécessaires aux clients, en s'appuyant sur ses
compétences et en collaborant avec d'autres parties prenantes.
Adoption d'une approche centrée client : l'organisation doit comprendre les besoins et les
attentes des clients pour leur proposer des services adaptés.
Développement d'une culture de service : l'ensemble des collaborateurs doit être sensibilisé
à l'importance de la satisfaction client et s'engager à fournir un service de qualité.
Mise en place d'une organisation flexible et agile : l'organisation doit être capable de
s'adapter rapidement aux besoins changeants des clients.
Investissement dans les technologies et les outils adéquats : l'organisation doit disposer des
outils nécessaires pour fournir des services efficients et performants.
Amélioration de la performance
Meilleure collaboration
Le schéma présente les différentes étapes et services proposés par une DSI (Direction des Systèmes
d'Information) orientée client pour délivrer un service à un client.
1. Conseiller: La DSI conseille le client sur les services informatiques les plus adaptés à ses
besoins.
2. Formuler des offres: La DSI propose au client des offres de services personnalisées.
3. Former: La DSI peut former les utilisateurs du client aux nouveaux outils et services mis en
place.
Le cercle central:
Le cercle central représente le client, qui est au cœur de la démarche de la DSI orientée service
client.
Remarques:
Interprétation:
Le schéma montre que la DSI joue un rôle central dans la relation entre le client et les services
informatiques. La DSI doit être capable de comprendre les besoins du client et de lui proposer des
solutions adaptées. Elle doit également être capable de gérer les projets informatiques et de fournir
un support technique de qualité.
Conclusion:
Le schéma d'orientation service délivré à un client est un outil pédagogique qui permet de
comprendre les différentes étapes et services proposés par une DSI orientée client. Il est important
de noter que ce schéma est une simplification de la réalité et que chaque DSI est unique.
Le schéma représente les interactions entre la DSI (Direction des Systèmes d'Information) et les
différentes parties prenantes de l'entreprise.
Utilisateurs finaux: les employés qui utilisent les outils informatiques au quotidien.
Les interactions:
DSI <=> Direction Générale: la DSI traduit la stratégie de la direction générale en plans
d'actions informatiques.
DSI <=> Directions Métiers: la DSI collabore avec les directions métiers pour comprendre
leurs besoins et leur fournir des solutions informatiques adaptées.
DSI <=> Utilisateurs finaux: la DSI fournit aux utilisateurs finaux les outils informatiques dont
ils ont besoin et assure le support technique.
Les défis:
Comprendre les besoins des parties prenantes: la DSI doit être capable de comprendre les
besoins et les attentes des différentes parties prenantes pour leur proposer des solutions
adéquates.
Communiquer efficacement: la DSI doit communiquer clairement avec les parties prenantes
pour éviter les malentendus et les frustrations.
Gérer les conflits: il peut y avoir des conflits entre les différentes parties prenantes, la DSI
doit jouer un rôle de médiateur pour trouver des solutions acceptables par tous.
En conclusion, la DSI est un acteur central de l'entreprise qui doit collaborer étroitement avec les
différentes parties prenantes pour garantir le succès des projets informatiques.
AMOA (Assistance à Maîtrise d'Ouvrage): aide la DSI à comprendre les besoins des métiers
et à définir les solutions informatiques adéquates.
AMOE (Assistance à Maîtrise d'Oeuvre): aide la DSI à mettre en oeuvre les solutions
informatiques choisies.
Utilisateurs finaux: les employés qui utilisent les outils informatiques au quotidien.
Les interactions:
DSI <=> Direction Générale: la DSI traduit la stratégie de la direction générale en plans
d'actions informatiques.
DSI <=> Directions Métiers: la DSI collabore avec les directions métiers pour comprendre
leurs besoins et leur fournir des solutions informatiques adaptées.
DSI <=> AMOA: la DSI travaille avec l'AMOA pour définir les besoins des métiers et les
traduire en spécifications techniques.
DSI <=> AMOE: la DSI collabore avec l'AMOE pour mettre en oeuvre les solutions
informatiques choisies.
DSI <=> Utilisateurs finaux: la DSI fournit aux utilisateurs finaux les outils informatiques dont
ils ont besoin et assure le support technique.
Les défis:
Comprendre les besoins des parties prenantes: la DSI doit être capable de comprendre les
besoins et les attentes des différentes parties prenantes pour leur proposer des solutions
adéquates.
Communiquer efficacement: la DSI doit communiquer clairement avec les parties prenantes
pour éviter les malentendus et les frustrations.
Gérer les conflits: il peut y avoir des conflits entre les différentes parties prenantes, la DSI
doit jouer un rôle de médiateur pour trouver des solutions acceptables par tous.
En conclusion, la DSI est un acteur central de l'entreprise qui doit collaborer étroitement avec les
différentes parties prenantes pour garantir le succès des projets informatiques.
INTERPRETATON : Le schéma montre que la DSI est au cœur d'un réseau d'interactions entre les
différentes parties prenantes. La DSI doit être capable de comprendre les besoins des différentes
parties prenantes et de leur proposer des solutions adaptées. Elle doit également être capable de
gérer les projets informatiques et de fournir un support technique de qualité.
Le schéma représente les différentes parties prenantes impliquées dans la DSI (Direction des
Systèmes d'Information) et leur interaction. Il met en lumière la collaboration entre la DSI et les
autres départements de l'entreprise pour une meilleure performance et une maturité accrue.
Direction Générale:
Directions Métiers:
Utilisateurs finaux:
Aide les directions métiers à définir leurs besoins et à formuler les cahiers des charges.
Instances de gouvernance:
Le schéma montre également les différentes interactions entre les parties prenantes :
Déléguées: Collaboration entre les directions métiers et la DSI pour traduire les besoins en
solutions informatiques.
Opérationnelle: Collaboration entre la DSI et les utilisateurs finaux pour la mise en place et
l'utilisation des outils informatiques.
Ce schéma met en évidence l'importance d'une collaboration étroite entre toutes les parties
prenantes pour une DSI performante et mature.
La DSI n'est pas une entité isolée, mais elle est au cœur d'un réseau de collaborations.
SILCA (DSI groupe): La SILCA est la DSI centrale du groupe bancaire. Elle est responsable de la
définition des architectures et des standards informatiques, de la gestion des infrastructures et de la
sécurité du système d'information.
ECO (Métier): ECO représente un métier de la banque, par exemple la banque de détail, la banque
d'investissement ou la gestion d'actifs. Chaque métier a sa propre DSI métier, responsable des
applications et des services informatiques spécifiques à son activité.
DSI ECO: La DSI ECO est responsable de la mise en œuvre et de la gestion des applications et des
services informatiques pour le métier concerné. Elle travaille en étroite collaboration avec la SILCA et
les autres parties prenantes du métier.
Parties prenantes: Les parties prenantes sont les différents acteurs qui interagissent avec la DSI, tels
que les utilisateurs finaux, les métiers, les prestataires externes et les régulateurs.
Les interactions entre les différentes parties prenantes sont représentées par les flèches du
schéma.
La SILCA définit les architectures et les standards informatiques pour les métiers.
La DSI ECO met en œuvre et gère les applications et les services informatiques pour le
métier.
Ce schéma permet de visualiser les différentes interactions entre la DSI et les parties prenantes. Il
est un outil important pour la communication et la coordination entre les différents acteurs.
En plus des éléments du schéma, il est important de noter les points suivants :
La DSI doit avoir une vision claire de la stratégie de l'entreprise et des besoins des métiers.
La DSI doit être capable de s'adapter aux évolutions technologiques et aux besoins des
utilisateurs.
La DSI doit travailler en étroite collaboration avec les autres parties prenantes pour garantir
le succès des projets informatiques.
Le schéma de la DSI et des parties prenantes est un outil précieux pour la gouvernance du système
d'information. Il permet d'améliorer la communication, la coordination et la prise de décision entre
les différents acteurs.
Acteurs clés:
Direction Générale: Définie la stratégie globale de la banque et valide les projets métiers.
DSI Groupe: Définie la stratégie informatique globale et les orientations pour les projets
métiers.
DSI Métier: Décline la stratégie informatique au niveau du métier et pilote les projets
métiers.
AMOA (Assistance à Maîtrise d'Ouvrage): Représente les besoins du métier et exprime les
exigences fonctionnelles du projet.
Chef de projet SILCA: Coordonne les équipes de SILCA et assure le suivi du projet.
Utilisateur Final: Les employés de la banque qui utiliseront le système développé dans le
cadre du projet.
Comité de pilotage: Valide les étapes clés du projet et arbitre les décisions importantes.
Flux d'informations:
DSI Groupe -> DSI Métier: Traduction des orientations stratégiques en objectifs
informatiques.
DSI Métier -> AMOA: Expression des besoins du métier.
Utilisateur Final -> DSI Métier: Remontée des incidents et des demandes d'évolution.
La DSI joue un rôle central dans la coordination des différentes parties prenantes.
La collaboration entre les parties prenantes est essentielle pour le succès du projet.
Le schéma met en évidence les différents flux d'informations entre les parties prenantes.
Exemple d'application:
Prenons l'exemple d'un projet de développement d'une nouvelle application mobile pour les clients
de la banque.
La Direction Générale souhaite offrir une meilleure expérience client et augmenter les
interactions mobiles.
Le chef de projet SILCA coordonne les équipes de développement et assure le suivi du projet.
L'application est ensuite déployée auprès des utilisateurs finaux et supportée par la DSI
Métier.
Schéma de la DSI et des parties prenantes
Le schéma montre l'orientation multipolaire de la DSI (Direction des Systèmes d'Information) dans
une organisation. La DSI est au centre, entourée de plusieurs directions métiers (Direction métier 1,
Direction métier 2, etc.) et de leurs maîtrises d'œuvre (MOE 1, MOE 2, etc.). La direction générale est
également représentée en haut du schéma.
Les directions métiers: elles définissent les besoins métier et s'assurent que le système
d'information répond à leurs attentes.
La direction générale: elle valide la stratégie de la DSI et alloue les ressources nécessaires à
son développement.
Les flèches du schéma indiquent les relations entre les différentes parties prenantes:
Les directions métiers et la DSI: les directions métiers expriment leurs besoins à la DSI, qui
les traduit en solutions informatiques.
La DSI et les maîtrises d'œuvre: la DSI définit les orientations et les priorités pour le
développement du système d'information, et les maîtrises d'œuvre les mettent en œuvre.
Ce schéma met en évidence l'importance de la collaboration entre les différentes parties prenantes
pour garantir le succès du système d'information d'une organisation.
En plus des relations illustrées par les flèches, le schéma montre également que la DSI est:
Au service des directions métiers: la DSI doit répondre aux besoins des directions métiers et
leur fournir les outils dont elles ont besoin pour mener à bien leurs missions.
Ce schéma est une représentation simplifiée des relations entre la DSI et les parties prenantes. En
réalité, ces relations sont souvent plus complexes et peuvent varier d'une organisation à l'autre.
La DSI est au centre d'un réseau de relations complexes avec les autres parties prenantes de
l'organisation.
La collaboration entre les parties prenantes est essentielle pour garantir le succès du système
d'information.
La DSI doit être à la fois au service des directions métiers et un partenaire de la direction
générale.
Le schéma montre l'organisation des départements d'une banque, avec la DSI (Direction des
Systèmes d'Information) au centre et les différentes parties prenantes.
Les départements
Directions métiers: Chaque direction métier est responsable d'une activité spécifique de la
banque, comme la banque de détail, la banque d'investissement, etc.
DSI groupe: Coordonne les activités des DSI des différentes filiales de la banque.
La DSI est au centre du schéma car elle est en relation avec tous les autres départements.
Elle fournit des services informatiques à l'ensemble de la banque.
Les directions métiers définissent les besoins informatiques et la DSI les met en œuvre.
Centralisation des services informatiques: La DSI est en mesure de fournir des services
informatiques à l'ensemble de la banque de manière centralisée, ce qui permet d'améliorer
l'efficacité et la cohérence des systèmes d'information.
Sécurité des systèmes d'information: La SILCA est responsable de la sécurité des systèmes
d'information de la banque, ce qui permet de garantir la protection des données sensibles.
Rigidité: L'organisation peut être rigide et difficile à adapter aux changements rapides de
l'environnement.
Conclusion
Le schéma montre une organisation classique des départements d'une banque. Cette organisation
présente des avantages et des limites. L'organisation optimale dépend de la taille et de la complexité
de la banque, ainsi que de son environnement.
Le schéma montre les différentes parties prenantes de la DSI (Direction des Systèmes d'Information)
et comment elles interagissent entre elles.
Les interactions
La DSI collabore avec les directions métiers pour comprendre leurs besoins et leur fournir des
solutions informatiques adaptées.
La DSI fournit aux clients internes un support technique et des formations sur les outils informatiques.
La DSI développe et maintient le système d'information pour répondre aux besoins des clients
externes.
La DSI négocie avec les fournisseurs pour obtenir les meilleurs produits et services informatiques au
meilleur prix.
La DSI est responsable de la sécurité du système d'information et de la protection des données de
l'organisation.
La DSI doit respecter les réglementations et les normes imposées par l'Etat.
Le schéma montre également que la DSI est orientée vers plusieurs pôles :
Front Office: Le front office est la partie du système d'information qui est en contact direct avec les
clients externes.
Back Office: Le back office est la partie du système d'information qui est utilisée par les employés de
l'organisation pour leurs activités quotidiennes.
Conclusion
Le schéma de la DSI et des parties prenantes est un outil important pour la DSI car il permet de
visualiser les différentes interactions entre les parties prenantes et de comprendre leurs besoins. Ce
schéma permet à la DSI de mieux planifier et gérer le système d'information de l'organisation.
Le schéma que vous avez envoyé montre la structure d'un système d'information (SI) par niveau et les
interactions entre les différentes parties prenantes de la DSI (Direction des Systèmes d'Information).
Les niveaux du SI
Niveau 1 (N1): Plateforme d'affaires - Ce niveau représente la vision globale de l'entreprise et les
objectifs métier. Il s'agit de la couche stratégique du SI.
Niveau 2 (N2): Architecture d'affaires - Ce niveau traduit la vision globale en architecture métier et en
services. Il s'agit de la couche tactique du SI.
Niveau 3 (N3): Aspects conceptuels et physiques - Ce niveau implémente l'architecture métier en
composants logiciels et matériels. Il s'agit de la couche opérationnelle du SI.
MOA (Maîtrise d'Ouvrage): La MOA représente les directions métiers et les clients internes. Elle est
responsable de la définition des besoins et des attentes du SI.
MOE (Maîtrise d'œuvre): La MOE représente la DSI et ses équipes. Elle est responsable de la
conception, du développement et de la maintenance du SI.
Acteurs humains et non humains: Il s'agit des utilisateurs du SI, qu'ils soient des employés de
l'entreprise ou des clients externes.
Gartner Group: Un cabinet de conseil en informatique qui a développé ce modèle.
Les interactions
Conclusion
Ce schéma est un outil pédagogique utile pour comprendre la structure d'un SI et les interactions
entre les différentes parties prenantes de la DSI. Il permet de visualiser les différentes couches du SI
et les responsabilités de chaque partie prenante.
Le schéma représente une approche multipolaire de la DSI (Direction des Systèmes d'Information), en
prenant en compte le contexte méso-économique des clients internes et externes.
1. Contexte méso-économique:
Client interne: Les employés de l'entreprise qui utilisent les services de la DSI.
Client externe: Les clients finaux de l'entreprise qui interagissent avec ses systèmes d'information.
2. Pilotage:
Stratégie: Définition de la vision et des objectifs de la DSI en lien avec la stratégie globale de
l'entreprise.
SI: Mise en œuvre et gestion des systèmes d'information pour répondre aux besoins des clients
internes et externes.
3. Systèmes:
Système opérationnel: Système d'information utilisé pour les opérations quotidiennes de l'entreprise.
Système décisionnel: Système d'information utilisé pour la prise de décision stratégique.
4. Organisation:
5. Orientation multipolaire:
La DSI s'oriente vers plusieurs pôles pour répondre aux besoins des clients internes et externes :
Pôle client interne: Se concentre sur les besoins des employés de l'entreprise en matière d'outils et
de services informatiques.
Pôle client externe: Se concentre sur les besoins des clients finaux en matière d'interaction avec les
systèmes d'information de l'entreprise.
Pôle innovation: Se concentre sur la recherche et le développement de nouvelles technologies pour
améliorer les systèmes d'information de l'entreprise.
Pôle performance: Se concentre sur l'optimisation des performances des systèmes d'information de
l'entreprise.
Ce schéma montre que la DSI est une organisation complexe qui doit répondre à de multiples
demandes et défis. L'approche multipolaire permet à la DSI d'être plus agile et flexible pour
s'adapter aux changements du contexte méso-économique et aux besoins des clients internes
et externes.
Le schéma représente une DSI (Direction des Systèmes d'Information) dans un contexte méso-
économique, c'est-à-dire en tenant compte des interactions entre l'organisation et son
environnement.
Fournisseurs: Ils fournissent à l'organisation les logiciels, le matériel et les services informatiques
dont elle a besoin.
Clients: Ils utilisent les services informatiques fournis par l'organisation.
Organismes de réglementation: Ils définissent les règles et les normes que l'organisation doit
respecter en matière d'informatique.
Actionnaires: Ils investissent dans l'organisation et attendent d'elle un retour sur investissement.
Concurrents: Ils rivalisent avec l'organisation sur le marché.
2. L'environnement :
3. L'organisation :
Entrée: Les informations entrent dans l'organisation via les fournisseurs, les clients et les organismes
de réglementation.
Traitement: Les informations sont traitées par le SI.
Sortie: Les informations sortent de l'organisation vers les clients, les actionnaires et les concurrents.
Classification: Les informations sont classées selon leur importance et leur confidentialité.
Calcul: Les informations sont traitées par des ordinateurs.
Stockage: Les informations sont stockées dans des bases de données.
Réseau: Les informations sont transmises via un réseau informatique.
6. Le feedback :
Ce schéma montre que la DSI est un élément central de l'organisation. Elle doit tenir compte des
besoins des différentes parties prenantes et de l'environnement dans lequel elle évolue pour fournir un
système d'information efficace et efficient.
L'orientation multipolaire de la DSI: La DSI doit être capable de répondre aux besoins de
différentes parties prenantes, qui ont des intérêts et des exigences parfois divergents.
Le contexte méso-économique: La DSI doit prendre en compte les facteurs économiques,
technologiques, sociaux et juridiques qui influencent son activité.
Le feedback: La DSI doit être à l'écoute des utilisateurs du SI pour l'améliorer en permanence.
Le schéma que vous avez envoyé montre les différents acteurs qui interagissent avec la DSI (Direction
des Systèmes d'Information) d'une entreprise. Il est divisé en deux parties : les préoccupations
stratégiques et les préoccupations opérationnelles.
Clients externes : Ils sont préoccupés par la qualité des produits et services de l'entreprise,
ainsi que par la satisfaction client.
DSI : La DSI est responsable de la gestion du système d'information de l'entreprise. Elle doit
s'assurer que le système d'information est aligné sur la stratégie globale de l'entreprise et
qu'il répond aux besoins des clients internes et externes.
Clients internes : Les clients internes sont les employés de l'entreprise qui utilisent le
système d'information pour effectuer leur travail. Ils ont besoin d'un système d'information
fiable et performant qui répond à leurs besoins spécifiques.
Métiers : Les métiers représentent les différentes fonctions de l'entreprise, telles que la
vente, le marketing, la production et la finance. Ils ont des besoins spécifiques en matière de
système d'information.
Le rôle de la DSI
La DSI est au centre de ce schéma. Elle doit jouer un rôle de coordination entre les différents acteurs
afin de s'assurer que le système d'information répond aux besoins de tous.
Conclusion
Le schéma que vous avez envoyé montre la complexité du rôle de la DSI. La DSI doit être capable de
gérer un large éventail de préoccupations et de travailler avec un grand nombre d'acteurs différents.
La DSI est là pour faire la direction, la coordination et du conseil, au niveau des actionnaires et au
niveau de la direction générale ça sera des préoccupations stratégiques, c’est-à-dire la DSI ce doit
d’avoir une vision stratégique de ce qui se passe dans l’entreprise, et on a au niveau des métiers des
préoccupations opérationnelles (comment fonctionne l’entreprise) avec les fournisseurs, les clients
et les différentes parties du processus.
On a des clients qui vont être internes et des clients qui vont être externes donc la DSI va toujours
avoir une préoccupation de savoir aussi bien parler en interne qu’en externe et de savoir aussi bien
parler de préoccupations opérationnelles que de préoccupations stratégiques.