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Droit Constitutionnel

Introduction :

A° Constitution de la Ve République

Elle est indétachable à l’histoire de la constitution française et est rattaché à la fin de


la IVe République suite à deux crise. La crise institutionnel car en réalité la IV n’a fait
que reproduire l’instabilité gouvernemental de la IIIe république sans doute liée au fait
qu’il y ait eu une souveraineté parlementaire au cœur de la IVe République. La Ve
république est une réponse à la défaillance de la IIIe et IVe République. De plus la
guerre d’Algérie a déclenché la fin de la IVe ce qui a permis la mise en place d’une Ve
République

B° Un régime en évolution

Le régime de la Ve a beaucoup évolué depuis sa mise en place, le texte adopté en


1958 a beaucoup évolué comparée a aujourd’hui. Il y a des modifications essentiel
qui ont modifier le fonctionnement de la Ve République.
1. La révision de 1962 qui a permis l’élection du peuple cette révision a permis
d’introduire le président au suffrage direct universel, de plus la révision de
2000 qui a modifier le septennat au quinquennat.
2. La révision de 1974 qui modifie la saisine du Conseil constitutionnel en
l’élargissant, de plus en 2008 n’importe quelle citoyens peut demander au
conseil constitutionnel le contrôle de la loi.
3. La révision de 2008, plus de la moitié des articles ont été modifiée ce qui a
modifier le texte.
Cela a un effet sur la détermination de ce régime, le régime de 1958 prévue est
différent de celui d’aujourd’hui. La révision de texte a permis le changement du
régime, mais aussi la pratique par différend acteurs a modifié le régime.
1. La présidentialisation du régime (= le président à un rôle important). C’est
surtout la pratique des acteurs qu’il y a cet modifications du régime.
2. Le conseil constitutionnel s’est attribué des compétences spécifiques tel que le
renvoie et le contrôle des lois a des textes important et dans la constitutions.

C° La place du droit constitutionnel

C’est une matière très particulière et abstraite, dès lors que l’on se pose une question,
par exemple sur le droit de l’environnement il y a plusieurs approche possible. Il y a
une approche philosophique, scientifique, anthropologique, juridique, historique mais
notamment une approche constitutionnel qui va permettre de mettre en ordre
l’approche juridique. On parle de plus en plus de constitutionnalisation du branche du
droit, peu importe quel branche du droit ou quel domaine travailler un moment ou un
autre on sera confronter a une question constitutionnel. Dans la constitution il se
trouve un cadre dans lequel se trouve une réponse à la question sur lequel nous
sommes confrontée.

Partie I°/ Les caractère généraux de la constitution de la Ve


République :
La Ve république a été créer afin de remédier au vicissitude de la IV e république, c’est
pourquoi la Ve est en rupture total avec la IVe république. L’idée est de mettre fin a ce
qui a été qualifiée a un régime d’assemblée. IIIe et IVe étaient un régime d’assemblée
et c’est pour cela que sous la Ve on essaye de ne pas refaire un régime d’assemblée.

Chapitre I°/ La genèse constitutionnel de la Ve république :

Section I°/ La fin de la IVe République :

I°/ La crise algérienne :

Certains pays sont devenus indépendant tel que le Laos, Indochine, … Le Front
Libéral National est entrée en conflit avec l’armée française depuis les année 50 et en
1956 cela c’est détériorer car les pays voisin de l’Algérie sont devenue indépendant
alors que l’Algérie reste sous l’autorité de la France. C’était compliqué d’accepter
l’indépendance de l’Algérie et la question a commence a compromettre la France
notamment du a 7 gouvernement durant les quatre dernière année de la IVe
République a cause de la crise d’Algérie. En 1958 il y a eu un bombardement dans un
village tunisien S cela a créer une tension entre la France et la Tunisie et notamment
sur la question de l’Algérie. Le 15 avril 1958, le gouvernement de Félix Gaillard
démissionne et pendant plusieurs semaine il est difficile d’avoir un gouvernent en
France car il est difficile d’avoir une réponse pour l’Algérie et donc il est compliqué
d’avoir un gouvernement avec la confiance de la majorité de l’Assemblée nationale.
Le 13 mai 1958 un général Jacques Massu qui avait gagner la bataille d’Alger en
1957 créer le commité du salut publique civil et militaire et ce commité accorde les
pleins pouvoir au général Raoul Salan et est invité a prendre toute mesure pour la
garantie des biens et des personnes. Il s’agit d’un coup d’état qui créer de l’agitation à
Paris. Le 14 mai 1958 on a le président du conseil un certain Pierre Pflimlin qui avait
l’attention d’avoir une approche un peu plus libéral à l’attention de l’Algérie. Raoul
Salan le 15 mai 1958 fait un discours sur le balcon du bâtiment du gouvernement
général en disant « Vive le général de Gaulle ». Le jour même de Gaulle annonce être
prêt a assumer les pouvoirs de la République « La dégradation de l’État entraine
infailliblement l’éloignement des peuples associée, la dislocations nationale et la
perte de l’indépendance. Depuis 12 ans la France est prises des problèmes trop rudes
pour le problème des parties est engagée dans ce processus désastreux. Naguère le
pays dans ses profondeur ma fait confiance pour l’y conduire tout entier jusqu’à sont
salut. Aujourd’hui dans les épreuves qui monte de nouveau vers lui qu’il sache que je
me tiens prêt a assumez les pouvoirs de la républiques ». En 1958 il se déclare prêt a
revenir a la présidence de la France.
Le 28 mais Pierre Pflimlin présente sa démission au président de la république auprès
de René Coty et annonce qu’il va proposer la présidence du Conseil à de Gaulle «
Devant le péril de la patrie je me suis tourné vers le plus illustre des Français ». Il
avait la crainte que surtout du gouvernement de gauche il y ai un gouvernement de
Gaulle et donc propose la candidature de Gaulle en lui demandant la confiance en
engageant sa démission si l’Assemblée nationale refuse de Gaulle. Il lui demande
indirectement sa confiance. Le premier juin René Coty et de Gaulle se réunissent afin
de se mettre en accord selon un plan en quatre étape.
1. Octroyer les pleins pouvoir a de Gaulle
2. Mettre le parlement en congé
3. Élaborer une nouvelle constitution qui sera soumise au referendum
4. Obtenir l’investiture le jour-même [329 pour et 224 contre]
Le 1er Juin de Gaulle est investie et est charger de mettre en place sont plan en action
accorder par René Coty. Le 3 juin 1958 il y a une loi constitutionnel qui autorise le
gouvernement de réviser la constitution par dérogation que ce qui étais prévue. Le 4
juin 1958 depuis le même balcon de Gaulle dit « Je vous ait compris ». Cela a mis fin
a la guerre d’Algérie qui est à l’origine de la fin de la IVe République.

II°/ Les insuffisance des institutions de la IVe République :

Avec la constitution de la IVe République, on a voulu rationaliser le parlementarisme


mais cela a échouer. On voulait un gouvernement stable et fort pour la IVe
République cependant cela est compliqué car c’est contradictoire et cela créer
l’instabilité gouvernemental du a deux facteur.
- Pour la double investiture : En 1954Paul Ramadier demande et sollicite une double
investiture collective.
- Pour la question de confiance : Certains président du conseil afin d’avoir le vote de
confiance disait a l’assemblée qu’il ne redemanderait pas de vote de confiance, si il
n’avait pas le vote de texte il démissionnait. 22 cabinet gouvernementaux en deux
ans, en partie 10 jours minimum et le recors de 1 an et 10 jours.

C’est surtout une question de pratique car on répète les même erreur du au même
personnel. Le contrôle parlementaire n’étais pas assez efficace sous la III e
République. Surtout la crise algérienne qui a permis de prendre conscience de
insuffisance de la IVe République.

Section II°/ L’élaboration de la Constitution du octobre 1958

I°/ La loi constitutionnel du 3 juin 1958 :

On a présenter cela comme une révision de la Constitution de 1946 cependant on a


pas suivie la procédure de révision de l’article 10 de la Constitution 1946. On a
adopté une nouvelle loi Constitutionnel de 1958 qui a encadrée la modification de
1958. Elle a d’abord donné le pouvoir au gouvernement de prendre toutes les mesures
nécessaires pour le redressement de la nation et de procédé par voie d’ordonnances.
C’est un texte adopté par le gouvernement dans le domaine de la loi ayant la valeur
législatif. Elle a pour objet de délier les membres du gouvernement afin de ne pas
passer par les membres pour adopter un texte. La constitution sera réviser par le
gouvernement investie le 1er juin 1958. C’est une loi constitutionnel qui viens à
réviser la révision constitutionnel, en réalité c’est le gouvernement qui révise la
nouvelle révision. Formellement c’est la révision de la constitutions de 1946, en
réalité on sait très bien qu’il s’agit d’un nouveau régime qui est différend de la III e et
de la IVe République. De Gaulle ne voulais passer en aucun cas passer par une
révision avec les politiques du Sénat et de l’Assemblée nationale.
Michel Debré sera chargé de la préparation du texte constitutionnel et rappelle a
certain la loi constitutionnel du 10 juillet 1940 qui a accorder au maréchal Pétain
cependant cela est différend car De Gaulle ne met pas en place une dictature mais un
nouveau régime et la loi du 3 juin 1958 met en place de nouvelle règle procédural et
de fond.
Principe de fond :
1. Suffrage universel doit être la source du pouvoir
2. La séparation des pouvoir entre les pouvoir exécutif et législatif
3. Le gouvernement doit être responsable devant le parlement
4. Autorité judiciaire doit être indépendant et garantir les droit et libertés
5. La constitutions doit permettre d’organiser les rapports de la république avec le
peuple qui lui sont associée
Procédure doit être respectée :
1. Comité consultatif mis en place siège du parlementaire
2. Projet de développement doit être accordée par conseil d’État
3. Projet de développement doit être soumis au référendum
4. Promulgation dans les 8 jours du référendum adoptée

II°/ Le processus de création de la constitution de 1958 :

Pour toutes les constitutions antérieures il a fallu l’intervention d’une assemblée


constituante, en revanche pour la constitution de 1958 il a eu la création de la
Constitution par le gouvernement en huit clos et sans donné d’information pendant 4
mois. Debré a dirigé la création de cette constitution durant cet période et comparée
aux constitutions antérieur il n’y a pas eu de débat parlementaire. Il y a eu quelques
avis du commité consultatif et pas d’autre avis. Il y a eu un certain nombre de texte
préparatoire en 1987 ces documents sont parue dans les archives française. Cet place
central du gouvernement, cela s’explique par l’ajournement de la cession
parlementaire pendant la durée de la constitution. Les parlementaire été uniquement
présent dans le comité consultatif constitutionnel et non pas dans la rédaction. La
première réunion des travaux a eu lieu le 13 juin 1948 et est apparue en octobre.
- Le comité d’expert qui été constitué des spécialistes du droit et des membres du
conseil d’état réunis autour de Debré afin de faire un travail préparatoire.
- Une équipe interministérielle qui se réunis à Matignon autour de De Gaulle
composé de quatre ministre d’État et de deux spécialistes juristes ils font es
propositions et corrige les travaux des experts
= Rédaction d’un avant projet le cahier rouge qui est un dossier de 40 page avec une
couverture rouge.
Le comité consultatif constitutionnel va préparer le projet définitif composée de :
• Présidence de Paul Reynaud
• 16 Membres de l’Assemblée nationale
• 10 Membres du Conseil de la République
• 13 Membres désigner par le gouvernement
Les travaux du comités sont influencée par la pensée de De Gaulle en donnant sa
vision qu’il a eu l’occasion de prononcée en 1958 mais bien plus tôt, lors du discours
du 16 juin 1946 à Bayeux entre les deux référendum constitutionnel. Il souhaite des
institutions efficace pour permettre de réaliser la grandeur de la France. Il préconise
une exaltation de l’État l’autorité du chef de l’État, l’attachement au bicamérisme,
défiance vis-à-vis des partie politiques. Les Idée de Debré ont également influencée
les travaux car il étais en accord avec les idée de de Gaulle, l’avantage est que Debré
est un juriste et il a pu permettre de rationaliser le parlementarisme et renforcer
l’exécutif. De Gaulle a une certaine vision et Debré est la pour mettre en place les
idée de De Gaulle. Il y a aussi l’influence de haut fonctionnaire et de certains membre
du commité notamment Pflimlin.

Le commité a donné son avis le 14 août 1958 et le 19 août le gouvernement a


accepter l’avant projet, le conseil d’État est saisie le 21 août et regarde l’avant projet.
Le discours de Debré met en avant le caractère parlementaire du régime en mettant en
avant une séparation souple et prévois une mention de censure et de dissolutions. En
même temps il insiste beaucoup sur le caractère rationaliser en mettant en avant un
droit efficient et efficace afin de ne pas reproduire les précédentes situations. Le 3
septembre le texte définitif est arrêter par le conseil du ministre et le lendemain De
Gaulle présente ses projets publiquement sur la place de la république. Il voulait
répondre au accusations des bonapartisme surtout de l’extrême gauche, ce discours
prononcée le 4 septembre 1958 joins en guise d’explication au texte soumis au
peuple. Il y a un moi de campagne avant le référendum et finalement le texte est
adopté par un référendum avec 89 % de participation et 80 % d’acceptation de cette
constitution c’est une large acceptation du peuple. Le 4 octobre 1958 René Coty
publie la Constitution et les élection législative ont lieu le 23 et 30 novembre 1958, le
21 décembre 1958 l’élection du président de la république qui accorde a De Gaulle la
présidence face a deux candidat de Gauche. Le 8 janvier 1959 il prend ses fonction en
tant que premier président de la Ve République et Michel Debré deviens premier
ministre.

La nouvelle constitution prévoit à l’article 17 des dispositions transitoire dans un


délai de 4 mois après l’entrée en vigueur et l’article 92 prévois que les différentes
mesures législatives qui sont nécessaire pour la mise en place de nouvelles
Institutions seront prise par Ordonnance. Plusieurs ordonnances ont été adoptée au
début de la Ve République.Notamment l’ordonnance de l’élection du président de la
république, celle pour le conseil constitutionnel, à propos de l’élection du député et
celle du conseil supérieur de la magistrature. Le gouvernement a créer près de 300
ordonnances durant la période de quatre mois.

Chapitre II°/ Les principes de la Constitution de la Ve république :

Section I°/ Les principes fondant la Constitution

I°/ Le rappel de la déclaration de 1789 et du préambule de 1946 :

Il y a deux alinéa dans le préambule de 1958, le premier alinéa renvoie a trois autres
texte la DDHC de 1789, le préambule de 1946 et la charte de l’environnement de
2004. Ces textes ont eux aussi une valeur Constitutionnel. Le second alinéa prévoie
des conditions des territoires d’outre-mer.

A°/ La déclaration des droits de l’Homme et du citoyens :

Ce texte a été repris souvent mais pas lors de la IIIe République et annonce les droits
de l’Homme. C’était une déclaration au début mais il y a l’intégration de la DDHC
ayant une valeur constitutionnel.

B°/ Le préambule de 1946 :

C’est un texte en vigueur depuis 1946, il rappelait déjà la déclaration de 1789 mais
l’article 93 de la IVe excluaient expressément que ces textes pouvaient servir pour
faire un contrôle de constitutionnalité. Il y a les principes fondamentaux reconnu par
les lois de la république, la constitution fait référence a ces droit et par conséquent le
conseil constitutionnel prend ces principes pour contrôler les lois qui contraignent ces
principes. Il y a plusieurs principes garantissant des droits et des proclamations
d’autres principes qui permettent d’avoir d’autre droit (= santé, emploie, instruction,
culture, …)

II°/ Une république unitaire :

Article 1er de la constitution de 1958 proclame que la république est indivisible, mais
aussi une organisation décentraliser de république.

A°/ Le caractère indivisible de la république :

1° Le principe d’indivisibilité de la république :

Ce caractère est répétée dans la Constitution Française depuis la révolution française


et entraîne l’intangibilité du territoire nationale. La libre détermination des peuples
limite ce principe et cause notamment des problèmes tel que la Nouvelle-Calédonie.
Ce principe d’indivisibilité implique trois aspect principaux.
1. Indivisibilité de la souveraineté : dans un état unitaire il existe en principe
une seul source de souveraineté.
2. Indivisibilité du territoire : N’exclue pas le droit de la sécession et que le
principe de libre détermination des peuples est prévue par l’alinéa 2 du
préambule de 1958.
3. Indivisibilité du peuple : Décision de 1991 statut de la corse, la constitution
ne connaît que le peuple français composée de tout les citoyens français.
Unité du peuple et un ordre juridique.
Pour reconnaître les langues régionales ont a du réviser la Constitutions, l’article 72-3
qui nous dit que la république reconnaît le peuple d’outre mer et que les langues
régionales appartiennent au patrimoine de la France selon l’article 75-1.

2° Le caractère unitaire de l’État

L’État en France est un État unitaire et elle a qu’une seul Constitution avec un seul
législateur. La centralisation signifie qu’il y a un seul centre de pouvoir, il existe la
centralisation administrative qui signifie que toute l’administration se réunis dans un
centre dirigée par l’autorité central de l’État. Cet centralisation ne veut pas dire que
tout les autorité central ne siège pas dans la Capital on a toujours besoin de l’autorité
dans les autres villes. Le fisc par exemple n’est pas à Paris mais plutôt dans les villes,
au mans pour nous et ne siège pas à paris pourtant il est au service de l’État. La
déconcentration sont quand les services et les agents de l’État central et siègent en
dehors de l’État central. Ces services et ses agents peuvent prendre des décisions au
nom de l’État pour son territoire. Ils sont soumis au contrôle de l’État et donc l’État
central transfère certaines décisions a des autorités local qui reste des autorités de
l’État. L’État garde cette compétence et prendre des décision qui sont proche de la
réalité du territoire. Le préfet est soumis à l’autorité de l’État et doit prendre des
décision pour le territoire notamment sur la sécurité ou autre critère sur la réalité du
territoire. Ils sont soumis au pouvoir hiérarchique de l’autorité central qui dispose de
plusieurs compétences.

• Un pouvoir d’instruction, le ministre peut donner a ses subordonnée des ordres


et des instructions d’ordre général mais aussi d’ordre précis dans tel hypothèse
une interdiction d’interdire une chose.
• Le pouvoir d’approbation préalable le supérieur doit approuvé une décision
avant qu’elle soit effective.
• Pouvoir d’annulation, il peut annuler une décision qu’il n ‘aime pas ou qu’il ne
veut pas.
• Pouvoir de réformation, il peut modifier la décision si nécessairede la décision
prise..
• Pouvoir de suspension, suspension provisoire d’une décision prise par le
subordonnée.
L’intérêt est d’avoir un service sur tout le territoire national. Le décret du 7 mai 2015
portant Charte de Déconcentration dans l’article 1er est mentionné que la
déconcentration est la règle général de répartition des attributions et des moyens de
l’État. L’État essaye dans la mesure du possible de déconcentrer son pouvoir sur plein
de domaine différent. La principal autorité de déconcentration est le préfet a hauteur
de la Région et Communes Le service de la justice est aussi une autorité déconcentrée
il ne faut pas oublier que la justice est au service de l’État.

B°/ L’organisation décentraliser de la république :

L’article 1er de la constitution de 1958 nous dit que la République est indivisible et
que sont organisation est décentralisée. Cette dernière formule a été ajoutée lors de la
révision constitutionnelle de 2003 et désormais sont organisation est décentraliser.
Cela doit être une république décentraliser et indivisible il faut donc faire une
distinction. Décentralisation et Déconcentration n’est pas la même chose, le président
du département est une autorité décentralisé alors que le préfet est déconcentrée.
- Déconcentrée : Autorité de l’État et représente toujours l’État.
- Décentralisation : Odilon Barrot « C’est le même marteau qui frappe on en a
raccourcie le manche » Personne moral de droit publique. Elle peut prendre deux
forme principal :
1. Décentralisation par service : On va créer une entité distincte doté d’une
personnalité juridique pour la gestion d’un service. Elle va prendre la forme
d’un établissement publique qui est soumis de spécialité il a donc une vocation
spécial. Hôpital / Université / … . Il sont soumis à la tutelle de l’État, elle
exerce donc un contrôle sur le service publique.

2. Décentralisation territorial : Consiste à reconnaître la personnalité juridique et


à transférer des compétences a des groupement infra-étatique qui sont définis
géographiquement et charger de gérer de manière autonomes les besoins des
habitants. Tout le territoire va être découper pour créer les Régions, puis
redécoupée pour créer les département et enfin découpée pour créer les
communes.

Dans le cas de décentralisation le pouvoir central transfère des compétence a d’autres


entités et reconnaît a ces entités une personnalité juridique. L’État reste toujours au
centre de la France car c’est elle qui est souveraine, l’État adopte la constitution et la
loi.

 Garantie de la libre administration des collectivités territorial. Le code général des


collectivités territorial prévoit que qu’elles gèrent par leur délibérations toutes les
affaires relatives de leur composition. L’État laissent les collectivités territorial se
gérer en autonomie.
 Garantie de l’octroi de la personne moral. Besoin pour avoir une certaines
autonomie de plus ils ont leur propre budget et leur propre recette mais aussi bien et
organes.
 Garantie de l’élection des collectivité locales. A l’article 72 de la constitution ils ont
une autonomie légitime.
 Garantie du contrôle du pouvoir central, il y a une autonomie mais pas
d’indépendance et sont donc soumises au contrôle de l’État. Elle peuvent demander
au juge de contrôler la légitimité d’une loi adopté. Inscrite dans la constitution avec la
révision de 2003 et désormais dans l’article 72 il est mentionner que l’État exerce une
autorité de contrôle.

III°/ Une république démocratique qui instaure la parité :

Elle pose dans son article 1er que la France est une république démocratique est
sociable. On a en France depuis 1958 le suffrage universel qui s’applique avec le vote
des femmes en 1944. La démocratique à l’article 2 de la constitutions américaine est
définis comme une « République c’est le gouvernement du peuple, pour le peuple,
par le peuple ». La souverainetés national appartient au peuple qui l’exerce par ses
représentant et par voie de référendum. Le partie politique se définis à l’article 4. La
loi constitutionnelle de 1999 introduis à l’article 1er « La loi favorise l'égal accès des
femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux
responsabilités professionnelles et sociales ». Cela a été ajoutée afin de répondre a
une décision du conseil constitutionnel de 1982 qui a contrôlé la constitutionnalité
d’une loi qui disait que 75 % de même personne était interdis.Le conseil
constitutionnel a dit que cela n’est pas conforme à l’article 6 de la déclaration des
droits de l'Homme et du citoyens. Pour trouver une solution il a fallu modifier la
constitution en introduisant cette phrase dans la constitution. Après cette révision de
1999 il y a eu la loi du 6 juin 2000 qui a prévue la parité dans tout les scrutin de liste
et désormais dans chaque scrutin de liste l’écart entre le nombre de candidat de
chaque sexe ne peut pas être supérieur à 1.

IV°/ Le principe de laïcité :

L’article 1er dispose que la France est un État laïque ce qui veut dire que l’État et la
religion n’a aucun lien. Article 10 dispose que nul ne doit être inquiété de son opinion
religieuse ou autre.
A partir de la loi de 1905 l’État ne subventionne plus les cultes. En 1919 quand
l’Alsace est la Moselle sont redevenue français le concorda est maintenue. Le conseil
constitutionnel dans une décision de 2013 nous dit que ces dispositions particulière
ne sont pas contraire à la constitution et au principe de laïcité.
De plus la Guyane depuis l’ordonnance royal de 1828 est toujours en vigueur est que
les ministres catholiques sont rémunéré par l’État. La loi de 2004 a introduis dans les
dispositions de l’interdiction a un élève de porter un signe religieux. De plus la loi de
2010 il est interdis de couvrir son visage afin d’interdire le voile complet.

V°/ Le développement des droits environnementaux :


On a eu en 2004 l’adoption de la charte de l’environnement par l’Assemblée
nationale et le Sénat avec la révision constitutionnel de 2005 la charte de
l’environnement a été ajoutée au préambule de 1958. Par son inscriptions dans le
préambule de 1958, la charte de l’environnement a pris une valeur constitutionnel. «
Le conseil constitutionnel nous a confirmé que la charte de l’environnement a une
valeur constitutionnel et que désormais il contrôle la conformité de la loi à la charte
de l’environnement. L’article 6 de la charte de l'environnement nous dit que « Les
politiques publique doivent promouvoir un développement durable ».

« La France garantie la protection de l’environnement et de la diversité biologique et


lutte contre le dérèglement climatique ». Le Sénat songe a changer le terme de
garantie a préserve afin d’enlever toute incertitude et le texte reviens à l’assemblée
nationale et donc décide a nouveau d’utiliser le terme initial garantie pour éviter
d’une conséquence financière pour inaction. La charte offre suffisamment de
protection pour l’instant et par conséquent il y a un abandon de cette proposition de
2021.

Section II°/ Une rupture de l’organisation général du pouvoir :

Il y a la présence d’une coexistence des pouvoirs, cela ne veut pas dire qu’il n’y ai
pas d’interaction entre les pouvoir ce n’est pas une séparation stricte.
1. Faire la loi
2. Exécuter la loi
3. Trancher les litiges
La théorie politique grecque pose les bases , John Lock définis ses théorie et ont été
approfondie par Montesquieu.

I°/ La rationalisation du parlement :

Elle a pour but d’éviter de retomber dans les constitutions précédente et donc ne pas
laisser l’hégémonie des constitutions anciennes en réduisant le pouvoir du parlement
en le rationalisant. C’est la mise en place de mécanisme afin de renforcer la stabilité
gouvernemental, cette notion de rationalisation n’est pas un phénomène propre à la
France. L’idée est d’encadrer juridiquement le pouvoir législatif avec les autres
organes constitutionnel. Pas uniquement le pouvoir exécutif car le conseil
constitutionnel participe aussi.
La notion a été théoriser par un juriste Boris Mirkine-Guetzévitch, mais qui a
enseigné le droit constitutionnel en France. Pour lui elle consiste a enfermer dans le
réseau de droit écrit l’ensemble de la vie politique. On a tendance que la
rationalisation va en paire avec la stabilité cependant il y a certain contre exemple
comme par exemple en Suède qui sont consensuel d’origine et qui sont stable. On
introduis plusieurs règle pour rationaliser le parlement.
✗ Incompatibilité entre la fonction ministérielle et le mandat parlementaire qui
n’étais pas présent sous la IIIe et IVe République. Elle participe a l’instabilité
gouvernemental.
✗ Limitation du pouvoir du gouvernement. Les domaines d’action dans la IIIe et
IVe était large. Dans n’importe quel domaine ils pouvaient agir toutefois dans la
IIIe République on ne pouvait pas accepter cette hégémonie et donc il y a eu la
présence de décret loi qui avait pour valeur de loi et qui est adopté par le
parlement et pouvait modifier une loi.
• Mettre en place de décret loi en cas d’urgence article 38 de la
Constitution.
• Introduction article 34 et 37 de la Constitution qui encadre le champ
d’action du parlement.
✗ L’ajout d’autres éléments. Le conseil constitutionnel participe a cet
rationalisation car il a été créer en tant que chien de garde de l’exécutif et a
pour mission de faire respecter l’article 34 et 37 de la Constitution. Permettre
au parlement d’habilité le gouvernement et de prendre des mesures initialement
prévue par la loi. Article 49-3, le vote est votée sauf si il y a une motion de
censure sur le texte en engageant la responsabilité et donc il faut une majorité
contre le gouvernement. Article 27 de la Constitution pose le vote personnel du
députée et pose des limites. Maintien du bicaméralisme avec une division en
deux chambres. Le mode de scrutin majoritaire.
Le chef de l’État nomme le premier ministre et le premier ministre est responsable
devant le Parlement. Le premier ministre peut engager sa responsabilité devant
assemblée nationale tout les premiers ministre ont fait le choix de prononcée un
discours général et sur le fondement de l’article 49 il demande un vote de confiance
de la part de l’an

II°/ Le développement du pouvoir exécutif :

L’idée de 1958 est de renforcer l’exécutif en renouvelant la place du président de la


République et en réaffirmant le gouvernement.

A° Le renouvellement de la place du président de la République :

Lors du discours de Bayeux, De Gaulle a affirmer son objectif et sa vision politique et


notamment à propos du rôle de l’exécutif. Initialement en 1946 lors de son discours il
était ignoré c’est que lors du développement de la Ve République que les idée de De
Gaulle est repris. De Gaulle nous dit que le président doit être élue par un collège
plus large que le parlement. « la rivalité des partis revêt chez nous un caractère
fondamental, qui met toujours tout en question et sous lequel s'estompent trop
souvent les intérêts supérieurs du pays ». 4000 électeur qui avec tout les
parlementaire mais pas tous sont des élus locaux juste en 1958 cela a fonctionner
pour De Gaulle.
Le président de la république doit être un arbitre des partie et pour cela il lui faut de
véritable pouvoir que les président de la IIIe et IVe République n’avait pas depuis la
Constitution Grévy. Article 19 de la Constitution, contreseing de la responsabilité des
actes du président. Le président sous la Ve république il a de nouvelles compétences.
Le chef de l’État sous le discours de Bailleux peut promulguer les lois, prendre des
décrets, inviter le pays aux élections, présider le conseil du président afin d’assurer la
continuité de la Nation. La mission du président de la république veille au respect de
la Constitution assure par son arbitrage le fonctionnement des services publiques, il
est garant de l’indépendance nationale, de intégrité du territoire et du respect des
traités. « Le président de la République détiens le pouvoir de l’État » Bourdeau
Debré nous dit lors de son discours que le président de la république est « la clé de
voûte de la constitution de la Ve république

B° La réaffirmation de la place du gouvernement :

On a d’abord un changement de vocabulaire et on va revenir au terme de


gouvernement initialement le gouvernement était supprimé au profit de cabinet et de
conseil. La constitution de 1958 apporte a nouveau le terme de gouvernement,
d’après le discours de Bailleu et le discours de Debré c’est le président de la
république qui nomme le gouvernement et a charge si il veut le renverser ce
gouvernement.
De plus l’article 20 de la Constitution nous dit que le gouvernement détermine et
conduit la politique de la nation. Il n’y a pas de souveraineté parlementaire.
L’article 37 de la Constitution exclue certain domaine du gouvernement et même
dans les domaines réservée au gouvernement, il a sont mot a dire car il a un rôle
essentiel à l’adoption d’une loi c’est le directeur du travail parlementaire.

Section III°/ La Ve République un régime parlementaire ?

I°/ La constitution de 1958 organisant un régime parlementaire moniste :

Le gouvernement doit être responsable devant le parlement, c’est le principe d’un


régime parlementaire et ce n’est donc pas un régime présidentiel. On retrouve la
responsabilité du gouvernement devant le parlement et on peut soit avoir une motion
de censure, soit un vote de confiance et le refus du parlement de donner un accord au
gouvernement. Ces procédure sont difficiles et en réalité une seul motion de censure a
eu lieu en1962. On a un contrôle du gouvernement on peut parler des critères
principaux du régime parlementaire. On a toujours la possibilité de mettre en jeux la
responsabilité du parlement, mais aussi l’autre problème et que si on adopte une
motion de censure le gouvernement doit démissionner et nommer un nouveau
premier ministre et cela donne de l’importance au président. De Gaulle de 1962 a
adopté motion de censure et le peuple se prononce. Article 49-3 deviens un
instrument extrêmement important pour le gouvernement. Il y a un principe
d’équilibre afin de donner au pouvoir législatif et exécutif les pouvoirs de manière
assez équilibre.
Presque toujours c’est le chef de l’État qui peut dissoudre, dans la plupart des cas il
s’agit uniquement d’un pouvoir formel et il est soumis à une obligation de contre-
seing du premier ministre et par conséquent c’est le premier ministre qui dissout. En
France comme dans d’autre pays comme le Portugal le président de la république
décide tout seul de dissoudre ou de ne pas dissoudre. On commence a rencontrer le
problème de qualification de la Ve république, en effet il y a la présence d’un
président assez fort et est ce qu’on peut parlez d’un système présidentiel en France ?
Pourtant si on prend le texte de la constitution il ne s’agit pas d’un système
présidentiel car l’article 49-2 affirme que « Le gouvernement est responsable devant
le parlement », on a donc un système parlementaire bi-électif (= élection
parlementaire et du président de la république ). Maurice Duverger a introduis ce
terme en disant que c’est un régime semi-présidentiel, mais on a un président qui
occupe une place très importante en plus de la responsabilité du gouvernement devant
le parlement.

Système parlementaire de la Ve république moniste ou dualiste ? Un régime moniste


le gouvernement est responsable uniquement devant le parlement et un régime
dualiste dès lors que le gouvernement est responsable devant le parlement et le
président de la république. Selon le texte de 1958 il n’y a pas de responsabilité devant
le président de la république, sauf que ce qui est écrit dans le texte est différend de ce
qui est fait dans la pratique. Certains pensent que c’est un régime moniste, mais en
réalité c’est plutôt la responsabilité devant le président de la république qui est le plus
important selon des personnes. Dans la pratique puisque l’article 49-1 n’oblige pas au
gouvernement de se présenter et de demander la légitimité au parlement c’est au
président que le gouvernement demande la légitimité.

II°/ La présidentialisation de la pratique de la Ve république

Il ne s’agit pas de l’idée initial de la Ve république de donner de l’importance au


peuple et au début il était élue par un corps de représentation du peuple. Il s’agit donc
d’une présidentialisation car le président occupe une place de plus en plus importante
au sein du régime. Cela est facilitée car le parlement est en majorité du même bord
politique que le président de la république et donc il a une prédominance du pouvoir
exécutif et du gouvernement. Le président peut menacer le parlement et le
gouvernement par une motion de censure mais il ne peut pas être menacer. On a eu
tellement eu peur de la responsabilité du président du république que désormais le
président est irresponsable.

III°/ Le retour du parlementarisme moniste en cas de cohabitation :

On parle de cohabitation quand on a une différence politique entre le président de la


république et l’assemblée national.
Entre 1986-1988 Jacques Chirac premier ministre de François mittérand
Entre 1993-1995 Édouard Balladurd premier ministre de François Mittérand
Entre 1997-2002 Lionnel Jospin premier ministre de Jacques Chirac. La politique est
dominé par le gouvernement et non pas uniquement par le président de la république.
C’est un système parlement moniste et donc le le gouvernement est responsable que
devant le parlement.

Chapitre III°/ L’adaptation de la constitution :

La constitution s’adapte au grès de la société actuel par le biais de sa procédure elle-


même, mais aussi la pratique qui permet de faire évoluer la Constitution.

Section I°/ Les procédures de révision de la Constitution :

La constitution de 1958 affirme une disposition de la révision de la constitution c’est


l’article 89 de cette constitution. Cependant à coté de cette procédure il y a l’article
11 de la constitution qui propose un référendum législatif qui peut modifier la
Constitution. Il y a eu 24 révision de la constitution de la république depuis la V e
république, et cela fait 16 ans que la Constitution n’a pas été révisée. Parmi ces 24
révision 22 ont eu lieu selon le fondement de l’article 89, une seule sur le fondement
de l’article 11 et enfin 1 sur le fondement de l’article 85 qui a été abrogée en 1995.
✗ 1962 : Modification de l’article 6 et 7
✗ 1974 : Élargissement de saisine du Conseil constitutionnel
✗ 1992 : Ratification du traité de Maastricht
✗ 2000 : Septennat en Quinquennat
✗ 2008 : Plus de 50 articles de la Constitution révisé.

I°/ La révision de la Constitution selon l’article 89 :

A° Les procédures de révision :

Si il y a pas de moyen de révision il sera possible qu’un jour il faille enfreindre la


Constitution c’est pourquoi il faut accorder une procédure. Elle fait intervenir
plusieurs autorité dans le processus de révision de la Constitution.
1. Initiative : Pouvoir Exécutif, c’est-à-dire le président de la république sur
proposition du premier ministre et le Législatif c’est-à-dire le parlement.

2. La procédure est différente selon quel partie est à l’initiative, dans les deux cas
le texte doit être soumis et débattu par les deux assemblée. Les deux chambres
doivent se mettre d’accord sur le texte et cela permet au Sénat d’avoir le même
poids que l’assemblée national.

3. La révision est définitive après quelle soit approuvé par référendum, mais il y a
une exception le président peut décider de soumettre la révision au parlement
et non plus en référendum, avec une majorité qualifié de 3/5ème et c’est
uniquement le projet donc l’exécutif et non pas du législatif. On ne veut pas
permettre au législatif de dominer la procédure de révision.

B° Les limites à la révision constitutionnel :

Elle prévois deux limites principales :


✗ La limite temporel, elle nous dit qu’il est impossible de réviser la constitution
pendant l’intérim présidentiel et lorsqu’elle porte atteinte à une intégrité du
territoire.Décision du conseil constitutionnel du 2 septembre 1992, lorsque le
président de la république utilise l’article 16 de la constitution il ne peut pas y
avoir de révision.
✗ Article 89 de la constitution qui dit que la révision de la constitution ne peut
pas remettre en cause la forme républicaine du gouvernement. Qu’est ce que la
forme républicaine du gouvernement ? D’un point de vue historique cela
remonte à la II république qui est une forme définitive de la république.
Quelle est l’effectivité des limites ? Peut on modifier ces limites ? Il y a deux avis
sans évolutions et sans élément majeur il n’est pas possible de réviser la révision mais
d’autre auteurs pensent qu’on peut le faire avec la procédure de révision. Si on
respecte la procédure de révision on peut réviser l’article révisé de manière antérieur.
Dans la décision de 1992 le conseil constitutionnel a expliquer les principes de
limites de la révision, mais dans une décision du 26 mars 2003 le conseil
constitutionnel se déclare non compétent pour contrôler la révision.

II°/ Le recours critiqué à l’article 11 de la Constitution :

On a l’article 11 de la Constitution qui permet en autre au président de la république


d’organiser un référendum. Mais il ne peut porter que sur une loi ordinaire et non pas
constitutionnel. De Gaulle a essayer a deux reprises de passer par un référendum en
1962 qui a été réussi et en 1969 ou elle à été rejetée. Motion de censure suite à la
décision de De Gaulle d’utiliser l’article 11 de la Constitution.

Section II°/ : L’adaptation de la constitution par la pratique :

I°/ Les conventions de la Constitutions :

C’est un auteur britannique Dicey qui nous parle des conventions de la convention au
Royaume-Unis. Il n’y a pas besoin d’un pratique continue et il n’y a pas de sanction
juridique, il y a uniquement des sanctions politique. En France Pierre Avril nous dit
qu’en France aussi il y a des conventions constitutionnel et que c’est une sorte de
contrat ente le pouvoir publique et qui décide d’établir des règles entre leur accords.

II°/ L’interprétation de la constitution par le juge constitutionnel :

Il peut par son interprétation faire évoluer la constitution, le conseil constitutionnel


par exemple a interpréter les disposition diverse liée a son rôle et ses capacités en
refusant de contrôler les lois référendaire et qu’il ne peut pas contrôler les révisions.
De plus le conseil constitutionnel a dit pour la loi IVG « Je ne peut contrôler que la
conformité de la loi à la Constitution ». Les juges ordinaires ont décidé qu’ils étaient
capable de juger de la conformité de la loi. En 1971 dans une décision dite libertés
d’association à décider que les normes de préambules de 1958 sont respecter par le
conseil constitutionnel. On ajoute des normes dans la constitution ce sont des
principes fondamentaux reconnu par les lois de la république (PFRLR)

Partie II°/ Un pouvoir exécutif bicéphale dominé par le


président de la République :
On dit qu’il est bicéphale car il y a deux tête le président de la république et le
premier ministre. Dans la pratique ce n’est pas le cas le premier ministre n’est pas le
chef de l’exécutif c’est le président de la république qui est au cœur du pouvoir
exécutif.

Chapitre I°/ : Le président de la république renforcée :

• Charles de Gaulle élu au suffrage universel direct en 1965.


• George Pompidou élue de 1969-1974.
• Valérie Giscard d’Estaing élue de 1974-1980
• Mitterrand élue de 1981-1988 et 1988-1995
• Jacques Chirac élue de 1995-2002 et 2002-2007
• Sarkozy élue de 2007-2012
• Hollande élue de 2012-2017
• Macron élue de 2017-2022 et 2022 - 2027

Section I°/ : L’élection du président de la république source de sa


légitimité :

Deux évolutions depuis 1958 :


✗ La loi constitutionnel de 1962 → Suffrage universel direct
✗ La loi constitutionnel de 2000 → 7 ans a 5 ans
Malgré ces évolutions on a toujours pas de régime présidentiel, certes on est passer a
un régime bi-électif mais on est pas dans un régime présidentiel

I°/ : L’élection au suffrage universel direct et la loi constitutionnelle de


1962 :

A° Les objectifs initial de la Constitution de 1958 :


Dans les autres république, l’élection du président de la république se faisait par un
collège électoral et non pas un suffrage universel. De Gaulle en 1946 ne voulais pas
un suffrage universel direct et c’est ce qu’on a introduis dans la constitution de 1958.
✗ Députés
✗ Sénateur
✗ Membres des conseils généraux
✗ Les membres des assemblée d’Outre-Mer
✗ Certains représentant des conseils municipaux
Grâce a ces membres qui s’unissent en collège électoral le président de la république
bénéficier d’une légitimité importante qui était différente de la légitimité
parlementaire.

B° La révision du 6 novembre 1962 :

1° La mise en œuvre de la révision de 1962 :

 Contexte historique : On a eu le 22 aout 1962 on a eu l’attentat « du Petit-Clamart »


c’est la tentative de l’assassinat du général de De Gaulle et c’est l’OAS
( l’organisation d’armée secrète ) qui est dirigé par Bastien Tillery et cela a permis de
remettre en cause la légitimité de du président de la république. Léon Bloom a joué
un rôle après avoir publier un article après le discours de Bayeux sur le fait que c’est
inévitable d’avoir un suffrage universel direct pour nommer le président. Le 4 octobre
1962 il y a une allocation a la télévision « Français, Française […] que ce soit vous
qui votez le président il n’a rien de plus démocratique ». Afin de ne pas entre en
conflit avec l’assemblée national il passe par l’article 11 de la Constitution.

2° Les conséquences de cette révision :

Partie III°/ Le pouvoir législatif :

Chapitre I°/ :

Section I°/ :

I°/ :
Partie IV°/ Les évolutions démocratique :

Chapitre I°/ :

Section I°/ :

I°/ :

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