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Le soleil, charles baudelaire

comment le soleil est t’il d’abord representé comme l’inspiration du poète avant de
representer les divins pouvoirs guerrisseurs de la poesie ?

I evocation d‘une situation etrange


Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures
Les persiennes, abri des secrètes luxures,
Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés
Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés,
Je vais m’exercer seul à ma fantasque escrime,
Flairant dans tous les coins les hasards de la rime,
Trébuchant sur les mots comme sur les pavés,
Heurtant parfois des vers depuis longtemps rêvés.

« faubourg » lieu intermediaire entre la ville et la campagne souvent representé dans lees poeme de
baudelaire comme un lieu mal famé ; a une passante

« masures » on parle de delabrement materiel de plus le terme « les persiennes » (aussi apelés aussi
« jalousie » parce que elles permettent d’observer depuis l’interieur sans etre vu

« l’abri des ssecrete luxures » peut a peu le theme du secret du mal qu’on dissimule apparaît petit a
petit dans le poème

le poéte place son poeme dans un cadre loin de l’’ideal romantique, on se trouve dans un
espace magrinale ou regne la misere tant materielle que morale mais qui est choisi comme lieu
de creation poetique

le soleil apparaît comme un enemis ; « le soleil cruel frappe à trait redoublés » ou l’on retrouve le
champ lexicale de la guerre, les rayons du soleil evoque la metaphore des flèches d’un arc

hemistiche de la ville et de la campagne avec « sur les champs », « sur les toits » « sur les blés » « sur
laa ville »

le soleil frappe partout indiscretement,la ville, la ccampagne, les faubourg.. rien n’e chappe à
son rayonnement

l’eecriture poétique semble etree une lutte penible et solitaire « seul » « fantastique escrime »

c’est dans le paysage periurbain qu’il cherchera son inspiration « flaairant dans tous les coins de
hasards de la rime » « heurtant parfois des vers depuis long-temps revés »

choc dans la creation poétique « trébuchant » « heurtant » le pooéte se cogne contre les mots sur les
pavés mal agencés

l’inspirzaation poétique se trouve dans les faubourgs mal famé, le poete trouve les mots « depuis
longtemps revés »

ce poème du debut des fleurs du maol confirme l’’idée du recueil ; celle de la beauté qui surgit
de la laideur tous les lieux y compris ceuxs mal famé recèle la possibilité de trouvailles
poétiques
II l’eloge du soleil

Ce père nourricier, ennemi des chloroses,


Eveille dans les champs les vers comme les roses ;
Il fait s’évaporer les soucis vers le ciel,
Et remplit les cerveaux et les ruches de miel.
C’est lui qui rajeunit les porteurs de béquilles
Et les rend gais et doux comme des jeunes filles,
Et commande aux moissons de croître et de mûrir
Dans le coeur immortel qui toujours veut fleurir !
Dans le premioer huitain il apparaît comme hosstile et dans le second il est personifié en
« pere nouricier » ; le soleeil prends donc un coté materneele rassurantt et bon

le soleil est ddon cl’ennemi de ce qui affaiblit l’humain ; laa luxure, la


misere,l’enfermement … , le pfemer huitaiin doit etre relu à nla lumiere de ce nouvel
eclairage

le soleille soleil est personnifiés avvec de nombreux verbes d’action : »eveille » « les vers
comme les roses » avec la plynesie de « comme » , les vers se transformerais donc en rose,
(le mal en bien)

« il fait s’evaporer les soucis » metaphore de la rosée qui disparaît sous l’effet de la chaleur

« il remplit les cerveaux et les ruches de miel » zeugma, miel au sens figuré qui est la
richesse créatrice pour l’esprit, de plus le miel est le produit alchimique par excellence et
donc une ironie de l’auteur

Quand, ainsi qu’un poète, il descend dans les villes,


Il ennoblit le sort des choses les plus viles,
Et s’introduit en roi, sans bruit et sans valets,
Dans tous les hôpitaux et dans tous les palais.

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