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Mancehtee touche de balle 20 fois 14 joueuses par match / sinon lequipe a droit a

18joueeuses
Prevention des blessures
I. ECHAUFFEMENT

a. 1. Échauffement cardiovasculaire : I la course, le saut (en place, latéraux,


Etoile) à la corde ou le vélo d'appartement, marche rapide, monter et descendre
les escaliers quelques minutes.

b. 2. Échauffement articulaire : les rotations dans les deux sens (tête, bras,
épaules, hanches et des genoux), étirements dynamiques (cercle des bras,
mouvement de rotation des hanches, mouvements latéraux des bras flexion et
extension du genou, marche du talon aux fesses, rotation du tronc, fentes
alternées, échauffements spécifiques aux articulations).

c. 3. Échauffement musculaire :

- Squats (jambes, fessiers, corps)


- Fentes (jambes, fessiers, hanches)
- Les pompes (bras, épaules, poitrine)
- Jumping jacks (muscles entiers)
- Planche (bras, tronc, jambes)
- Jump squat (bas du corps, +fréquence cardiaque)

d. Échauffement spécifique au sport : passes, frappes, sauts, mouvements de


défense.

II. Renforcement musculaire ciblée et stabilisation

1. Muscles des jambes : (sauts) squats, fentes, sauts verticaux et les exercices de
pliométrie

2. Muscle des fessiers : sauts et déplacements. Les squats, les fentes et les exercices de
ponts marche latérale avec bande élastiques au niveau des chevilles, glute bridge, hips
trust

3. Muscles du tronc : une posture stable Les planches, les crunches, gainage, russian
twist (abdominaux, obliques), planche latérale, superman, bird dog,

4. Muscles des épaules et des bras : Pompes (push-ups), Triceps Dips (triceps),
Élévations latérales (Lateral Raises), Curls biceps (biceps) Extensions triceps,
5. Muscles du dos : posture stable rowing avec haltères, extension de la colonne
vertébrale, gainage dorsal, pull-ups, lat pulldowns, supermans

III. Surveillance sur l’utilisation d’équipements de protection et des contraintes physiques.


- Genouillères
- Coudières
- Chevillières
- Protège-poignets
- Lunettes de protection
- Chaussures appropriées

IV. Suivi médical régulier

- Troubles cardiaques
- $troubles de vision
- Troubles respiratoires
- Examen de dépistage
Evaluation nutritionnelle
- Suivi des blessures
- Evaluation psychologique

GESTION DE LA RECUPERATION

V. Nutrition et hydratation
e. Hydratation
1) Pendant l’entrainement

- Boire de l’eau toutes les 15 à 20 mn


- A plus de 1H (boisson avec électrolytes)
- Collations (banane, biscuits ou crakers,
Ingrédients :
- 500 ml d'eau (ou plus selon vos besoins)
- Le jus d'un demi-citron ou d'une demi-orange (pour apporter une saveur et des vitamines)
- 1 à 2 cuillères à café de miel ou de sirop d'érable (pour un léger apport en glucides)
- Une pincée de sel (pour les électrolytes)
Consommer pendant l'exercice pour maintenir une hydratation adéquate.
2) Apres l’entrainement
- 30mn qui suivent l’entrainement réparation des muscles
o Lait au chocolat
o Suffisamment d’eau

f. Nutrition
1. Avant l’entrainement

- Manger 2 a 3H de temps avant l’entrainement


- Evitez les aliments gras (fritures, hamburger etc.) épicé (piments, sauce
piquante, fibres (brocoli, chou,), légumineuses (haricot, lentilles),
ralentissent la digestion.
- Aliments sucrés peuvent provoquer une augmentation rapide de la
glycémie, et d’une chute d’énergie pendant l’entrainement)
2. Apres l’entrainement

- 1. Protéines maigres : récupération musculaire. Poulet, dinde, le


poisson, les œufs, légumineuses.
-
- 2. Glucides complexes : reconstituer les réserves de glycogène dans les
muscles. Les céréales complètes, les patates douces, le riz brun ou les
pâtes de blé entier.
-
- 3. Fruits et légumes : réduire l'inflammation. Optez pour une variété de
fruits et légumes frais ou congelés.
-
- 4. Produits laitiers ou alternatives végétales : lait, yaourt grec ou
fromage cottage, soutenir la récupération musculaire.
-
- 5. Noix et graines : amandes, noix de cajou, graines de chia ou de lin

- 6. Boissons pour sportifs : Les boissons pour sportifs peuvent être utiles
pour reconstituer les électrolytes perdus pendant l'entraînement intense.
Choisissez des options avec une teneur modérée en sucre.

REEDUCATION POST-LESION
g.
1. Respectez les périodes de récupération : après des séances d'entraînement intenses
et des compétitions.

2. Renforcement musculaire : améliorer la force, l'endurance et la flexibilité.

3. Échauffement et étirements :

4. Équipement approprié
5. Évitez la surcharge : Évitez les entraînements excessifs

6. Soyez attentif aux signaux de votre corps : Écoutez votre corps douleur persistante
ou une gêne

h. Restauration de la mobilité et de la flexibilité.


1. Étirements réguliers : sur les groupes musculaires spécifiques utilisés des étirements
statiques ou dynamiques pour améliorer la flexibilité.
- Etirements statiques ( 15 à 30s ) rep 3 a 5 apres
L’entrainement (développer la souplesse musculaire envoyer un signal d’arrêt à votre corps,
préserver la mobilité articulaire, abaisse la température corporelle)
 Actifs (actif tenues)
Ischio jambiers

2. Entraînement en mobilité : Ajoutez des exercices de mobilité à votre programme


d'entraînement. Ces exercices visent à améliorer l'amplitude de mouvement et la stabilité
articulaire. Travaillez sur des mouvements spécifiques à votre sport et incorporez des
exercices tels que des rotations, des balancements et des mouvements fonctionnels.
3. Utilisation de rouleaux en mousse : Les rouleaux en mousse peuvent être utilisés pour
l'auto-massage et le relâchement des tissus musculaires tendus. Utilisez-les pour cibler les
zones de tension et de raideur, en roulant doucement sur les muscles pour favoriser la
circulation sanguine et détendre les tissus.

4. Entraînement de la stabilité : La mobilité et la flexibilité sont étroitement liées à la stabilité.


Intégrez des exercices de renforcement de la stabilité, tels que des exercices de gainage,
d'équilibre et de proprioception, pour améliorer votre contrôle musculaire et articulaire.

5. Travail sur les déséquilibres musculaires : Identifiez les déséquilibres musculaires éventuels
dans votre corps et travaillez à les corriger. Renforcez les muscles faibles et étirez les muscles
tendus pour rétablir l'équilibre musculaire.

6. Consultez un professionnel de la santé : Si vous rencontrez des problèmes persistants de


mobilité ou de flexibilité, consultez un professionnel de la santé spécialisé dans le sport,
comme un physiothérapeute ou un kinésithérapeute. Ils pourront évaluer vos besoins
spécifiques et vous fournir des exercices et des techniques adaptés à votre situation.

N'oubliez pas de progresser graduellement dans votre travail de mobilité et de flexibilité, en


écoutant votre corps et en évitant les mouvements douloureux ou forcés. La patience…
[omitted]

i. Réapprentissage des journées sportives

1. Travaillez sur les fondamentaux : Revenez aux bases (service, la réception, le passage,
l'attaque et le blocage. Pratiquez ces habiletés de manière isolée pour renforcer vos
fondamentaux.

2. Entraînez-vous régulièrement : Répétez les mouvements et les habiletés encore et encore


pour qu'ils deviennent naturels et automatiques.
3. Entraînez-vous en équipe : pour vous habituer aux interactions et à la dynamique de jeu en
équipe. Travaillez sur la communication, la coordination et la compréhension des rôles et des
positions sur le terrain.
4. Visualisation et analyse : Utilisez la visualisation mentale pour imaginer des situations de
jeu spécifiques et répéter mentalement les mouvements et les décisions que vous devez
prendre sur le terrain. Analysez également vos performances en vidéo pour identifier les
points à améliorer et ajuster votre technique.
5. Entraînement physique : l'endurance, la puissance, la vitesse et l'agilité.
6. Pratiquez dans des situations de jeu réelles : Intégrez des exercices et des jeux qui simulent
des situations de jeu réelles pour vous habituer aux conditions de match. Travaillez sur la
prise de décision rapide, l'adaptation aux différentes situations et la gestion du stress.
7. Soyez patient et persévérant : Le réapprentissage des habiletés sportives peut prendre du
temps, alors soyez patient avec vous-même

Il existe plusieurs types de tests de la flexibilité musculaire en kinésithérapie, voici quelques


exemples couramment utilisés :

1. Test de l'extension de la hanche : Le sportif est allongé sur le dos avec une jambe tendue et
l'autre jambe pliée. Le thérapeute soulève la jambe tendue jusqu'à ce que le sportif ressente
une tension dans la hanche. La mesure est prise à l'angle maximal d'extension de la hanche.

2. Test du quadriceps : Le sportif est allongé sur le ventre avec les jambes pendantes hors du
bord de la table d'examen. Le thérapeute fléchit lentement la jambe à la cheville jusqu'à ce
que le sportif ressente une tension dans le quadriceps. La mesure est prise à l'angle maximal
de flexion du genou.

3. Test du tronc : Le sportif est assis sur le sol avec les jambes tendues devant lui et les pieds
contre un mur. Le thérapeute mesure la distance entre les doigts du sportif et le mur lorsqu'il
atteint vers l'avant en gardant les jambes tendues.

4. Test de l'épaule : Le sportif est debout avec le bras à tester à 90 degrés d'abduction et le
coude fléchi à 90 degrés. Le thérapeute applique une pression douce pour amener lentement le
bras en arrière jusqu'à ce que le sportif ressente une tension dans l'épaule. La mesure est prise
à l'angle maximal d'abduction de l'épaule.

5. Test du dos : Le sportif est allongé sur le dos avec les jambes tendues devant lui. Le
thérapeute soulève lentement les jambes tendues jusqu'à ce que le sportif ressente une tension
dans le dos. La mesure est prise à l'angle maximal d'élévation des jambes.

Ces exemples ne sont pas exhaustifs et il existe d'autres tests de flexibilité pour différents
groupes musculaires. Il est important d'utiliser des tests spécifiques pour évaluer chaque
groupe musculaire et de considérer les résultats dans le contexte des objectifs et des besoins
spécifiques du sportif.*

H(-è_çà
Il existe plusieurs tests articulaires en kinésithérapie pour évaluer un sportif. Voici quelques
exemples couramment utilisés :

1. Test de flexion et d'extension du genou : Le sportif est assis ou allongé, et l'amplitude de


mouvement du genou est mesurée en fléchissant et en étendant la jambe.

2. Test d'abduction et d'adduction de la hanche : Le sportif est allongé sur le dos, et


l'amplitude de mouvement de la hanche est mesurée en écartant et en rapprochant la jambe du
corps.

3. Test de rotation interne et externe de l'épaule : Le sportif est assis ou debout, et l'amplitude
de rotation de l'épaule est mesurée en tournant le bras vers l'intérieur (rotation interne) et vers
l'extérieur (rotation externe).

4. Test de flexion dorsale et plantaire du pied : Le sportif est assis ou debout, et l'amplitude de
mouvement du pied est mesurée en fléchissant (flexion dorsale) et en pointant (flexion
plantaire) le pied.

5. Test de flexion et d'extension du coude : Le sportif est assis ou debout, et l'amplitude de


mouvement du coude est mesurée en fléchissant et en étendant le bras.

6. Test de flexion latérale et de rotation de la colonne vertébrale : Le sportif est debout ou


assis, et l'amplitude de mouvement de la colonne vertébrale est mesurée en se penchant
latéralement (flexion latérale) ou en tournant le tronc (rotation).

Ces exemples ne sont pas exhaustifs, il existe d'autres tests spécifiques pour évaluer les
différentes articulations du corps. Il est important d'utiliser les tests appropriés en fonction des
besoins spécifiques du sportif et des exigences de so

8Y9008n sport.
Pour évaluer l'équilibre statique chez un sportif en kinésithérapie, voici quelques méthodes
couramment utilisées :

1. Test de Romberg : Le sportif est placé en position debout, les pieds joints ou écartés, et doit
maintenir son équilibre sans bouger pendant un certain temps. Le thérapeute observe les
mouvements de balancement ou les perturbations de l'équilibre.

2. Test de la plateforme de force : Le sportif se tient debout sur une plateforme de force qui
mesure les fluctuations de pression et le déplacement du centre de gravité. Cela permet
d'obtenir des données précises sur l'équilibre statique, la stabilité et la répartition du poids.

3. Test de l'index de stabilité : Le sportif est évalué en utilisant des tests spécifiques qui
mesurent l'index de stabilité, comme le test de l'index de stabilité unipodale. Il s'agit d'une
évaluation subjective où le thérapeute observe la capacité du sportif à maintenir son équilibre
sur une seule jambe.

4. Évaluation subjective : Le thérapeute peut également discuter avec le sportif de ses


antécédents médicaux, de ses plaintes actuelles et de ses sensations subjectives concernant son
équilibre. Cela peut fournir des informations supplémentaires sur d'éventuels problèmes
d'équilibre.

Il est important d'adapter l'évaluation à chaque sportif en fonction de ses besoins spécifiques
et des exigences de son sport. Une fois que vous avez identifié les problèmes d'équilibre, vous
pouvez élaborer un plan de traitement pour améliorer l'équilibre statique du sportif, en
utilisant des exercices spécifiques visant à renforcer les muscles stabilisateurs et à améliorer la
proprioception.

Pour évaluer la coordination chez un sportif en kinésithérapie, voici quelques méthodes


couramment utilisées :

1. Test de la coordination motrice fine : Le sportif est évalué sur des tâches qui nécessitent une
coordination précise des mouvements, telles que l'utilisation d'un stylo pour tracer des lignes
ou des formes spécifiques, ou la manipulation d'objets de petite taille.

2. Test de la coordination motrice globale : Le sportif est évalué sur des tâches qui impliquent
des mouvements plus amples et coordonnés, tels que l'exécution de séquences de mouvements
complexes ou la réalisation de gestes spécifiques liés à son sport.
3. Test d'équilibre et de coordination : Le sportif est évalué sur des exercices qui mettent à
l'épreuve sa capacité à maintenir l'équilibre tout en effectuant des mouvements coordonnés,
comme des exercices d'équilibre sur une jambe ou des exercices de coordination œil-main.

4. Évaluation subjective : Le thérapeute peut également discuter avec le sportif de ses


antécédents médicaux, de ses plaintes actuelles et de ses sensations subjectives concernant sa
coordination. Cela peut fournir des informations supplémentaires sur d'éventuels problèmes
de coordination.

Il est important d'adapter l'évaluation à chaque sportif en fonction de ses besoins spécifiques
et des exigences de son sport. Une fois que vous avez identifié les problèmes de coordination,
vous pouvez élaborer un plan de traitement pour améliorer la coordination du sportif, en
utilisant des exercices spécifiques visant à renforcer les connexions neuro-musculaires et à
améliorer la précision des mouvements.

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