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: DEPIT Lorène
groupeD1
UE1.3 – R1.14
TP1 : Contrôle microbiologique de l’environnement ; Analyse microbiologique des eaux,
des surfaces et de l’air
Ce TP est réparti en trois étapes. Premièrement le but de ce TP est de faire une étude
qualitative de la flore bactérienne de l’eau du robinet. Ensuite d’analyser la contamination de
surfaces en tout genre (« sales » et « propres ») avec des analyses qualitatives comme quantitatives.
Pour finir ce TP permet de se rendre compte de la charge microbienne de l’air des salles de TP au
niveau d’une fenêtre et d’un robinet via la méthode de sédimentation sur boîtes ouvertes dans les
deux cas.
I - L’eau
On cherche ici à faire une étude qualitative de la flore bactérienne de l’eau du robinet. Pour cela il a
fallu suivre le protocole ci-contre :
II – Les surfaces
Ici nous avons réalisé l’étude de surfaces avec deux méthodes différentes : l’analyse qualitative et
celle quantitative. Afin de pouvoir analyser la contamination des surfaces pour pouvoir réaliser une
prise de conscience collective.
contamination manuportée par empreinte sur GO puis par écouvillonnage et dépôt direct.
Protocole de manipulation :
Après avoir divisé la boîte en 4 parties égales on a réalisé une contamination directe avec une
empreinte différente en chaque partie…
la boîte contaminée a été mise à
incuber 24-48h à 37°C avant
d’obtenir les résultats suivants
Etudiant 1 Etudiant 2
Pour la seconde analyse qualitative on a fait un écouvillonnage et dépôt direct de deux objets
différents au sein du binôme afin de pouvoir de rendre compte de la croissance bactérienne qu’ils
entrainaient.
Protocole de manipulation à réaliser autour d’un bec bunsen :
2) Pour ce qu’il est de l’analyse quantitative on a d’abord réalisé des prélèvements sur boîte
Etudiant 1 Etudiant 2
Ta
bleau des résultats
Dans le cadre du carreau sale on a pu observer la croissance de nombreuses bactéries avec une
charge bactérienne de en moyenne 0,125bactéries/cm^2. En effet, les carreaux des paillasses sont
nettoyés lorsque celle-ci est utilisée. Autrement ils sont contaminé par l’air, le matériel qu’on peut
déposer dessus ainsi que les poussières. De plus, le carreau utilisé étant dans un angle je peux
supposer que le nettoyage y est rarement effectué de la façon la plus efficace possible ce qui
explique la charge bactérienne.
….
III – L’air
Dans cette dernière partie notre but est de comparer la charge microbienne de l’air de notre salle de
TP avec la méthode de sédimentation sur boîtes ouvertes à proximité de la fenêtre et à côté du
robinet.
Protocole de manipulation :
Tableau des
résultats