Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
P : 3
Dédicace..........................................................................................................................P : 4
INTRODUCTION…………………………………………………….….P : 5
I) HISTORIQUE…………………………………………………………………....P : 8
V) ACTIVITES….......................................................................................................P : 22
1
PARTIE 2 : IMPACT DES ERP SUR LA FONCTION CONTROLE DE
GESTION………………………………………………..…P : 43
A- En partant de la comptabilité..................................................................P : 44
B- Unicité et intégrité de l’information........................................................P : 46
C- Décentralisation des tâches......................................................................P : 47
D- Augmentation des activités à forte valeur ajoutée.................................P : 48
E- Meilleure visibilité sur le contrôle des flux..............................................P : 49
F- Une meilleure circulation des données.....................................................P : 49
G- Un dialogue plus égalitaire avec les opérationnels.................................P : 50
CONCLUSION………………………………………………………...…P : 65
Bibliographie...................................................................................................................P : 66
2
Je tiens à remercier la direction des ressources humaines pour m’avoir
accordé un stage au sein de RENAULT MAROC.
3
A mes très chers parents :
Que Dieu vous prête longue vie pour que je puisse vous combler à
mon tour.
4
INTRODUCTION
5
Les entreprises sont ainsi passées de systèmes budgétaires manuels à des
budgets informatisés, de calcul de coûts manuels à des procédures
automatiques à chaque fois qu’un élément nouveau apparaît.
PROBLEMATIQUE
INTERET DU SUJET
METHODOLOGIE
6
7
I) HISTORIQUE
8
2005 : Lancement du grand projet L90 : Première voiture économique au
monde « LOGAN »
9
II) FICHE TECHNIQUE
10
III- ORGANIGRAMME
11
IV) DIFFERENTES DIRECTIONS DE LA SOCIETE
·personnel
·transit
·contentieux
·informatique
1) Le service du personnel
- Pour les hors cadres, le salaire est établit selon une grille de mise à
jour annuelle avec l’augmentation générale accordée.
12
- Pour les cadres, le salaire est établit en fonction du nombre de points
attribués (position).La valeur du point est mise à jour chaque année
en tenant compte du coût de la vie.
Une prime annuelle est accordée au directeur général par le
président du conseil en fonction des résultats réalisés par la société.
- les budgets
- l’inventaire
- les travaux mensuels d’exploitation
- les bilans
3) Le service transit
13
Selon la marchandise, il existe différentes procédures :
- Pour les CKD et les Built Up, la facturation est effectuée par Renault
France et envoyée par voie postale.
14
4) Le service contentieux et recouvrement
Le service contentieux est sollicité par tous les autres services pour
recouvrer les créances douteuses, intervenir en cas de litige avec les tiers
et assister la société en fournissant les documents et les témoignages
nécessaires au tribunal.
A chaque fin de mois le service contentieux a recours au service
comptable qui lui fournit l’état des comptes des clients.
A partir de cela le service contentieux procède, selon le cas, à différentes
opérations :
5) Le service informatique
15
B) DIRECTION RESEAU
1) La succursale
2) Le développement réseau
16
compris celle des appels d’offres et enfin structurer et animer l’équipe
commerciale du DVS.
Ce département envoie régulièrement à chaque concessionnaire des
appels d’offres de sa région et son invitation à y soumissionner.
Les inspecteurs commerciaux ont pour tâches de surveiller les ventes, les
vendeurs, l’état des véhicules, la force de vente de chaque vendeur. Ils
devront déposer un compte rendu sur tout ce qui se passe au niveau des
ventes à la direction marketing pour que celle-ci réagisse rapidement à
n’importe quel problème.
4) Le centre livreur
17
C) DIRECTION MARKETING
- la publicité
- les chefs de produits
- la formation promotion
- l’administration commerciale
1) la publicité
3) la formation promotion
4) l’administration commerciale
18
D) DIRECTION APRES-VENTE
- service technique
- service marketing après vente
- service magasin pièces de rechanges national (MPRN)
1) service technique
3) service MPRN
19
E) SERVICE DE COMMUNICATION
20
Renault mesure les résultats, en remarquant que la remontée
d’information est meilleure, les employés sont plus motivés, ils sont plus
efficaces au travail, une bonne entente entre les directions et les
employés.
Renault Maroc a pour objectif d’introduire Internet pour pouvoir
communiquer avec les autres Renault du monde entier.
Aussi, faire un renforcement des procédures de communication pour les
situations de crise.
Mais aussi, établir un pilotage des réseaux pour accompagner la réflexion
et le déploiement. Ce service sera divisé en deux branches : celle des
responsables de la communication métiers et usines et celle des relations
publiques.
Ce service permettra d’assurer une interface quotidienne entre les
réseaux et la direction de la communication afin que Renault Maroc
rejoigne les autres Renault du monde.
21
V) ACTIVITES
¾ Les CKD :
De l’anglais Completely Knocked Down cette activité consiste à
importer des véhicules en pièces détachées puis les monter localement
par le biais de la S.O.M.A.C.A et ce moyennant un forfait de montage.
2) Pièces de rechange :
22
VI) RESEAU RENAULT MAROC
• Les concessionnaires :
• La succursale de Casablanca :
23
Dans la succursale, se trouve le hall d’exposition de l’ensemble de la
gamme Renault, l’atelier de réparations ainsi que le magasin central de
pièces de rechange.
Ce hall permet aux visiteurs de découvrir les derniers modèles de
véhicules Renault et de pouvoir les acquérir.
24
25
SECTION 1 : NOTION D’ERP
Le mot progiciel est la contraction de " programme " et " logiciel ". C’est
un logiciel commercialisé par un éditeur destiné à plusieurs utilisateurs,
en d’autres termes, c’est un ensemble de programmes conçu pour être
fourni à différents utilisateurs en vue d’une même application ou d’une
même fonction. Paramétrable par le client, il constitue donc un outil
répondant aux attentes spécifiques de l’entreprise. Il se distingue en cela
du simple logiciel applicatif qui, lui, est considéré comme un outil à usage
générique adapté à la résolution d’un problème particulier.
B- Définition de l’ERP
26
ORGANISATION D’UN ERP
27
Mais on ne se lance pas dans un projet ERP à la légère ! Il faut bien en
mesurer tous les aspects… intuitivement, on constate aisément que la
redéfinition du mode de fonctionnement de l’entreprise, la remise à plat
des processus métier, l’accompagnement du changement peuvent être
vécus comme sources de soucis… Des difficultés qui ne doivent jamais
occulter les premiers objectifs d’un ERP qui sont qualitatifs et
opérationnels, tout en estimant les coûts induits par sa mise en place :
formation des utilisateurs dont les processus de travail évoluent,
conversion des données qu’il faut récupérer des systèmes existants,
recrutement sur des compétences techniques…
28
Les outils de gestion doivent contenir un certain nombre de qualités
incontournables qui peuvent être considérées comme des critères
d’efficacité des systèmes d’information de gestion :
29
• Reposer sur une mise à jour en temps réel des informations
modifiées dans tous les modules affectés ;
30
9 L’ERP favorise aussi une plus grande cohérence entre les différentes
fonctions de l’entreprise (en évitant les ressaisies, les ruptures du
passage d’un système à un autre).
31
Progiciels de Gestion Intégrés
Engagements
Budget
Comptabilité
tiers
Immobilisations
Comptabilité
analytique
Finance
Analytique
industrielle
Comptabilité
générale E-
Données
techniques commerce
Configurateur
PGI
Base de
données Ventes
unique
Campagne
Production Commerce marketing
Marketing
Stocks
Outils de CRM
pilotage Action
Achats commerciale
Support client
Ordonnancement Réapprovisionnements
32
SECTION 2 : ERP : UNE REPONSE AUX BESOINS DU CONTRÔLE DE
GESTION ?
DE L’ORGANISATION »
STRATEGIES DE L’ORGANISATION. »
R.N. ANTHONY
33
Le PCG contient les dispositions suivantes :
« Gérer une entreprise, c’est la conduire vers les objectifs qui ont été
assignés dans le cadre d’une politique concertée en faisant mettre en
œuvre, par les responsables, les ressources qui leurs sont confiées. »
« Contrôler la gestion de cette entreprise, c’est maîtriser sa conduite en
s’efforçant de prévoir les évènements pour s’y préparer avec son équipe
et s’adapter à une situation évolutive. »
34
o Définition du contrôle de gestion par l’analyse des tâches
● Profil
35
Le conseiller économique de l’entreprise, dans les structures
fonctionnelles lorsqu’il est placé au sein de la technostructure ou au siège
d’une multinationale (c’est-à-dire de tous les responsables).
36
● Place dans l’entreprise
Stratégie
Gestion de la
production
Comptabilité
de gestion
Gestion financière
Ressources
Humaines Contrôle
de gestion
37
Il est également chargé de la gestion des conditions de frontière de
l’organisation et de ses relations avec l’environnement. Enfin, il doit
développer la stratégie de l’organisation.
38
- Etablissement de budgets annuels, mensuels et hebdomadaires ;
39
Ils entreront à terme dans la panoplie de base des outils du contrôleur de
gestion : benchmarking, méthodes de costing et dévaluation d’entreprise,
veille technologique et intelligence économique.
Enfin les systèmes d‘information de gestion se retrouvent littéralement
remis en cause sous l’effet de deux causes majeures. Tout d’abord en
raison d’une évolution considérable de la technologie qu’est la mise au
point des ERP qui constitue des opportunités énormes pour mieux
maîtriser l’information et la canaliser. Ensuite les critères d’efficacité et de
performance attendue de la part du système d’information de gestion
imposent un fonctionnement complètement transformé de ce dernier.
Le contrôle de gestion doit aujourd’hui être animé par de nouvelles
valeurs. La vitesse à laquelle évolue l‘environnement rend la maîtrise du
futur et l’anticipation de plus en plus complexes. Elle implique de
connaître plus rapidement ce qui se passe et de disposer d’informations
plus complètes. Mettre en place une culture complètement tournée vers le
futur devient alors indispensable. Le contrôleur de gestion doit donc
s’inscrire dans une dynamique de progrès pour traduire ces nouvelles
valeurs dans les faits.
Une des nouvelles logiques qui anime le contrôle de gestion est le lien
entre la qualité de l’information et la pertinence des décisions.
D’autre part, il est indispensable qu’il y ait entre les différents acteurs et
les dirigeants, un échange permanent car l’une des caractéristiques des
systèmes complexes repose sur l’autorégulation que favorise cette
pratique de la circulation des données « de bas en haut et de haut en
bas ».
Pour apprécier la performance de l’entreprise et sa capacité à continuer à
produire des richesses et de la valeur, il faut utiliser des outils de plus en
plus précis qui nécessitent de s’orienter vers les sources et les origines à
partir desquelles se génère cette valeur. Il faut donc mettre en évidence
les indicateurs qui explicitent les relations entre le profit et ses sources
si l’on veut capter l’intérêt des investisseurs.
40
Ainsi cela permet de mieux comprendre les risques de telle ou telle
décision et également de mieux apprécier les avantages qui peuvent en
découler. Cette visibilité représente pour les partenaires externes une
demande fondamentale.
Pour mettre en place des outils pertinents, le contrôleur de gestion doit
ainsi bien comprendre le fonctionnement de l’entreprise et maîtriser le
cycle de fabrication. Pour qu’il puisse exercer ses fonctions avec efficacité,
il est souhaitable qu’il se situe auprès des acteurs opérationnels et puisse
vivre avec eux le quotidien de leur métier. Même s’il faut aussi des
contrôleurs de gestion pour consolider l’information, donc loin du terrain,
ces derniers doivent disposer d’une vue aussi précise que possible des
processus opérationnels et de leur impact sur la performance de
l’entreprise. Pour produire notamment les tableaux de bord de synthèse,
ils doivent comprendre les raisons qui sont à la base de ces résultats.
41
Le module CO se décompose quant à lui en sept fonctions : calcul des
coûts de production, comptabilité des centres de profit, contrôle de
gestion de l’entreprise, analyse des coûts par nature, comptabilité des
ordres et projets, compte de résultat et analyse de segment de marché et
gestion des activités.
L’apport de SAP à la pratique de contrôle de gestion ne réside pas dans
l’originalité des outils, mais plutôt dans les capacités du système à traiter
et trier les nombreuses informations. Cela est vrai pour les autres ERP, et
les argumentaires commerciaux déployés insistant précisément beaucoup
sur ces potentialités systémiques : le temps réel, l’ouverture, la
synchronisation, etc.
42
43
SECTION 1 : APPORTS DES ERP
Au travers d'une enquête réalisée par Ernst & Young auprès de 40 PME
clientes de SAP et d'une étude menée par ce même cabinet de manière
indépendante, on s'aperçoit que les bénéfices clairement mesurables en
termes qualitatifs et de performance opérationnelle sont attendus. Quand
on s'interroge sur les critères de choix d'un ERP par les PME clientes de
SAP, la couverture fonctionnelle, l'évolutivité de la solution et la pérennité
de son éditeur forment le trio de tête. Ce classement témoigne de
l'importance stratégique que revêt l'installation d'un ERP, au-delà des
seules contraintes financières.
Ainsi, l'accès plus rapide à une information partagée et
l'optimisation de la performance globale (ou de certains processus
critiques) sont des buts que les PME veulent prioritairement atteindre,
dans une démarche affirmée de déclinaison de leurs objectifs
stratégiques.
A- En partant de la comptabilité
44
Certains documents proviennent d’une manipulation des données, par
exemple le compte de résultat et le bilan seront directement construit par
le système de comptabilité, ainsi que la situation de trésorerie.
L’information disponible dans le module CO proviendra directement des
autres modules financiers, ce qui évite les écarts dus aux différences de
calculs et de sources. Ainsi l’accès aux données comptables nécessaires à
l’élaboration du budget et au suivi des dépenses sera facilité. De plus les
entreprises ont besoin d’une comptabilité analytique et veulent aussi
procéder à un suivi budgétaire par centre de coûts qui concernera plus le
contrôle de gestion. Les nouveaux progiciels permettent donc d’obtenir
différentes vues sur l’activité.
ERP
Harmonisation de la comptabilité à
Les ERP permettent de
l’intérieur de l’entreprise
plus d’harmoniser la
comptabilité à l’intérieur
Comptabilité Comptabilité de l’entreprise car à
Générale Analytique chaque échelon de
l’entreprise seront
appliquées les mêmes
règles décidées au
niveau du groupe.
Données intéressantes pour le contrôle
de gestion
45
Une véritable gestion par processus peut alors se mettre en place, ce
qui permet aux comptables de sortir de leur isolement traditionnel afin de
partager avec les autres fonctions en amont des activités de mesure et de
contrôle visant à améliorer l’efficacité et la qualité des modes opératoires.
ERP
Base de données unique, mise en réseau
INFORMATION
plus rapide, plus accessible, plus abondante,
plus cohérente, plus fiable
46
C- Décentralisation des tâches
¾ Meilleure traçabilité
47
D- Augmentation des activités à forte valeur ajoutée
Plus rapide
Plus fiable
48
E- Meilleure visibilité sur le contrôle des flux
49
G- Un dialogue plus égalitaire avec les opérationnels
50
SECTION 2 : LIMITES ET RISQUES DES ERP AU NIVEAU DU CONTROLE DE
GESTION
B- Risque organisationnel
51
S’ils n’y prennent garde, les responsables du contrôle de gestion vont se
retrouver enfermés dans la sphère budgétaire. Dans tous les cas, le
passage à un contrôle de gestion intégré provoquera des transformations
organisationnelles qui concerneront la fonction contrôle de gestion, tout
en la dépassant, de par la multiplicité des partenariats qu’elles impliquent.
C- La dérive informatique
Les grands projets liés à l’informatique ont plutôt mauvaise presse. Parfois
accusés de créer plus de problèmes qu’ils n’apportent de solutions, ils
sont également très souvent plus longs et plus coûteux que prévu.
L’éditeur SAP a d’ailleurs fort bien compris le problème, en identifiant les
retards des projets d’implantation comme étant le principal risque de
complications. Une méthodologie spécifique créée à cet effet, intitulée
accelerated SAP (ASAP), témoigne de cette prise de conscience.
Au-delà du cas SAP, une étude internationale a été menée en 1999 par
ProSci auprès de IT managers (responsables de l’informatique) et
d’opérationnel managers de 205 grandes entreprises. Le thème en était
« le rôle futur de l’informatique », et certaines conclusions sont ici
intéressantes :
52
- 49% des responsables de l’informatique ont été en conflit avec les
équipes de projet.
53
Il est important de rappeler que l’implantation d’un ERP n’est pas
seulement un projet informatique.
Il est, au contraire, énormément orienté et piloté par le métier. En ce
sens, il constitue donc un projet stratégique.
Le changement se déroule comme suit : on part d’une base existante
connue et « stable » (le système d’information existant de l’entreprise, les
règles de gestion de l’entreprise, ses processus, ses employés) pour aller
vers un système, une organisation nouvelle. Cette évolution passe par
une phase intermédiaire de transition, qui est d’autant plus difficile que
l’écart entre l’existant et la cible est important.
En effet, un des principaux risques de ce genre de projet ne réside pas
dans la technique mais plutôt dans les individus qui utiliseront le nouveau
système. Ce sont donc ces individus qui, en partie, détermineront les
conditions de succès du changement. Un progiciel de gestion intégré
induit des impacts organisationnels et humains importants : vocabulaire
et concepts nouveaux, procédures de travail différentes, évolution des
activités et des responsabilités, de la charge de travail, de l’organisation
des services, des relations avec les clients ou avec les fournisseurs, etc…
Face au changement, les individus traversent quatre phases :
1. Le rejet :
2. La résistance :
54
3. La recherche :
4. La réaction :
● L’importance de la communication
55
SECTION 3 : MISE EN PLACE D’UN ERP DANS L’ENTREPRISE
56
• S'assurer que la construction et l'implantation s'effectue sur la base
d'un système d'information pérenne, solide et intégré. C'est un
allègement important pour la gestion des applications, leur
maintenance et leur mise à niveau.
• Planifier
2/ Organisation
- Cadre de l'intervention
Gestion de projet :
Phase audit :
57
Equipe de projet dédiée et qualifiée :
- Nature de l'intervention
58
• Suivi des développements
Test :
3/ paramétrage
59
• Connaissance des processus et leur maîtrise, ainsi que de la
documentation associée.
Paramétrage :
• Plan de compte
60
4/ Accompagnement du changement
61
B- Exemple de mise en place associé à un logiciel d’aide à la décision au
niveau du contrôle de gestion : Business Warehouse de SAP
62
Les objectifs étaient de terminer le projet en six mois et d’assurer la
cohérence entre les deux systèmes. Dans cette optique, Renault France
choisit le logiciel Business Warehouse de SAP et confie les deux
autres chantiers (back office et aide à la décision) à la même société de
service informatique. Ces choix techniques, l’expérience du contrôle de
gestion permettent de fournir six mois plus tard les éléments
indispensables au suivi du pilotage : historique comptable de l’année
précédente et compilation des données relatives aux achats deux ans en
arrière. Les contrôleurs de gestion expliquent que leur but était de passer
« d’une logique où toute l’information était stockée sans intelligence, à un
pilotage basé sur des indicateurs et des systèmes d’alerte, en cas de
dépassement de seuil ou d’anomalies ».
63
Le prochain défi pour l’entreprise sera d’étendre ce projet à tous les sites
de l’entreprise et réussir à extraire et consolider les données provenant de
quinze systèmes de gestion différents dans plusieurs pays pour doter le
groupe d’un portail décisionnel global pour tous les achats.
Les évolutions des solutions ERP couplées à des logiciels d’aide à la
décision constituent ainsi l’avancée la plus significative pour le contrôleur
de gestion. Grâce au logiciel d’aide à la décision qui prend ses
informations de l’ERP pour les stocker dans sa base de données, il pourra
élargir son éventail d’analyses réalisé directement à partir du système
informatique.
64
CONCLUSION
Dans cette optique, on pourrait croire que l’ERP est un « outil magique »
susceptible d’apporter une solution à tous les problèmes liés au
fonctionnement de l’entreprise aussi bien stratégiques, organisationnels et
opérationnels.
65
BIBLIOGRAPHIE
LIVRES :
INTERNET :
- http://directory.google.com/Top/Computers/Software/ERP
/Resources/
66