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SES Chapitre 6

L'Union européenne compte 27 pays depuis la sortie de la Grande Bretagne le 31 janvier 2020.
Avec 15837 milliards de dollars de PIB en 2022, l'Union européenne à 27 est la 3ème
puissance économique du monde.
L'Union économique actuelle résulte aussi d'approfondissement régulier de l'intégration
européenne depuis la mise en place d'un marché unique de 1957, encadré par des politiques
de concurrence, mais également d'une monnaie unique : l'euro pour 20 pays d'où découle une
politique militaire unique et qui est accompagnée de règles budgétaires pour chacun des États
membres.

C'est à la suite de la seconde guerre mondiale que les gouvernants européens ont voulu
construire l'Europe.
Les conflits ont laissé des traces et donc les pays ont une nécessité de reconstruire les
alliances économiques et politiques

C'est donc un objectif de paix qui fait construire L’UE.

1951 : Création de la CECA (Communauté européenne du charbon et de l'acier) entre 6 pays

Cet accord entraîne la suppression des droits de douane et des restrictions quantitatives
entravant la libre circulation du charbon et de l'acier. Elle symbolise la réconciliation et le désir
d'un avenir économique florissant.

Désir d'amélioration du niveau de vie des populations


L'Union européenne a également pour ambition de développer un grand marché de producteurs
mais aussi de consommateurs (Libre Echange)

La construction de l'Union européenne et son développement économique se sont donc faits à


travers des politiques de libre échange et de concurrence.

L'intégration économique désigne le développement des interdépendances entre les pays par le
développement des échanges et la mise en oeuvre de politiques communes et harmonisées
L'intégration économique a pour but de faciliter les échanges économiques entre les pays

Zone de libre échange : Zone pour les échanges commerciaux de biens et services ne sont
soumis à aucune entrave à l'échange : pas de barrières tarifaires et non tarifaires

1957 : Traité de Rome : Création de la CEE (Communauté économique européenne) à 6 pays


pour commencer

Union douanière : Zone de libre échange + barrière tarifaire et non tarifaire commune vis à vis
des autres pays → 1968 : Création d'une union douanière

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Marché commun : Union douanière + libre circulation des facteurs de production → 1986 : Le
marché commun est fondé par l'acte unique

Union économique : Marché commun plus harmonisation des politiques économiques et


sociales qui doivent aller dans le même sens pour tous les pays, ou du moins tenter d'aller dans
la même sens → 1992 : Signature du traité de Maastricht : Il affirme la volonté des pays
membres de mettre en place des politiques économiques harmonisées. Ils préparent la création
de la monnaie unique en précisant les conditions exigées pour pouvoir l'adopter.

Union monétaire : union économique + adoption d'une monnaie commune. A l'Union


économique s'ajoute donc une zone monétaire : la zone euro → 1999 : Création de l'euro dans
12 pays dont la France. D'autres pays rejoindront cette zone le dernier entrée et la Lituanie en
2015

La construction européenne n'est pas qu'une construction économique


Elle répond aussi à un désir d'une construction politique

L'intégration économique des pays de l'Union européenne se fait à des vitesses différentes
Les étapes de construction ne sont pas si progressives que la théorie le propose.

Pour favoriser davantage les échanges économiques les pays membres de l'Union européenne
ont souhaité réaliser une union monétaire : L'euro a été créé en 1999 Toutefois elle n'était
utilisée que par les entreprises dans les transactions scripturales.
Son utilisation pour les ménages et ses circulations sous forme de fiduciaire date de 2002.
Les critères pour entrer dans la zone euro ont été définis par le traité de Maastricht de 1992.

L'Europe s'est engagée dans la construction d'un espace économique dans l'espoir de favoriser
les consommateurs.
En effet grâce à la concurrence et aux échanges commerciaux.
Les consommateurs bénéficient d'une baisse des prix favorables à leur pouvoir d'achat ils
bénéficient aussi d'une diversité des produits
→ Objectif d'augmentation du niveau de vie des populations

Avantage de l'euro :

● L'adoption de l'euro permet de réduire les coûts de transaction ce qui permet de baisser
les prix de vente → Hausse de la production.
○ L'euro supprime les opérations de change
○ L'euro simplifie les démarches à l'exportation est donc réduit les coûts pour les
entreprises notamment en termes de temps
○ L'euro supprime le risque de change : Les fluctuations des taux de change
peuvent entraîner une perte d'argent
● L'adoption de l'euro permet d'améliorer la concurrence qui est favorable aux
consommateurs

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● L'euro permet de supprimer la stratégie nationale qui pouvait consister à faire baisser la
valeur de la monnaie (par l'inflation en baissant les taux d'intérêt par exemple) afin d'être
plus compétitif avec les exportations.
● La création d'une monnaie forte au niveau international présente des avantages
○ L'euro est une monnaie forte qui remplit son rôle de monnaie internationale et
peut concurrencer le dollar
○ L'euro assure bien les 3 fonctions nécessaires pour être une monnaie
internationale :
■ Unité de compte
■ Un instrument d'échange
■ Réserve de valeur
○ La mise en place de l'euro permet d'attirer des placements financiers et les IDE
○ L'euro permet la fin de la domination au sein des monnaies européennes du
Deutsche Mark qui avait le statut de monnaie internationale
● Une monnaie unique renforce le sentiment d'appartenance à l'Europe permettant de
construire une identité européenne plus affirmée.

Remarque : Comment se détermine le taux de change ?

● Il se détermine au niveau international sur le marché des changes


● Qu'est ce qui fait varier la demande et l'offre de monnaie ?
○ Le différentiel des taux d'intérêt entre pays
○ Le différentiel des taux d'inflation entre pays

Remarque : L'euro présente de nombreux avantages en termes de développement économique


et présente aussi des limites pour le pays qui l’adopte.

● L'euro a longtemps été une monnaie forte volontairement via un contrôle de l'inflation et
des taux d'intérêt élevés conduisant à pénaliser les balances extérieures des pays
● L'adoption d'une monnaie unique conduit à renoncer pour un pays à mettre en place sa
propre politique monétaire. En effet avec l'euro cette dernière devient unique quels que
soient les écarts de situation entre les pays. C'est la Banque centrale européenne qui
fixe le taux d'inflation en essayant de maintenir le taux d'inflation en Europe autour de
2%

L'inflation pénalise donc les créanciers, investisseurs et favorisent les emprunteurs.

Les agents économiques qui ont de l'épargne peuvent acheter des produits financiers.

Les ménages peuvent acheter des


● titres de propriété
● des titres financiers
● prêter de l'argent aux entreprises
● prêter aux administrations publiques

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Les titres de créances rapportent des intérêts

Les agents économiques qui souhaitent placer leur argent pour être vigilants au taux d'inflation
des pays ainsi qu'au taux d'intérêt nominal

Les taux d'intérêt pratiqués pour les obligations sont généralement très proches du taux d'intérêt
directeur. La Banque Centrale Européenne va donc avoir un pouvoir sur les taux d'intérêt
nominaux des produits financiers.

La Banque Centrale Européenne va donc augmenter les taux d'intérêt directeurs dans le but
d'attirer les capitaux pour acheter des titres de créances.
Elle va aussi surveiller le taux d'inflation.

Le taux de change d'une monnaie par rapport à une autre dépend de l'offre et la demande sur le
marché des changes
Demande d’€ contre $
Offre d’€ contre $

Pourquoi peut on vouloir une monnaie ?


➔ Commerce international : Une personne veut importer des biens il faut qu'elle paye dans
la monnaie du pays qui exporte les biens
➔ Pour réaliser des placements financiers qui sont exprimés libellés dans une monnaie
donnée
➔ Pour avoir une monnaie solide (pas, peu d’inflation)

La confiance libre et non faussée cherche à réunir les conditions d'une concurrence qui
permettent que le marché puisse fonctionner librement, C'est à dire que le prix résulte
uniquement d'une concurrence et de la rencontre de l'offre et la demande.

La fixation libre du prix permet ainsi la meilleure allocation des ressources, des avantages en
termes de qualité et d'innovation pour le consommateur.
La concurrence est stimulante pour la recherche et l'innovation elle permet la disparition des
entreprises les moins performantes pour ne garder que celles qu'ils le sont

5 conditions de la concurrence pure et parfaite :

● Atomicité des agents : sur un marché il doit y avoir une multitude de demandeurs et une
multitude d'offreurs pour que les agents soient price taker et non price maker. Ainsi le
prix résulte de la rencontre entre l'offre et la demande, aucun agent ne pouvant
influencer le niveau de prix sur le marché. Ainsi, le monopole, les oligopoles menacent la
fixation libre du prix sur un marché.
Le prix fixé par un monopole peut en effet être supérieur au prix de marché ce qui
défavorise le consommateur.

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● Homogénéisation des produits : la décision d'achat (demande) ne doit se faire que sur le
critère de prix. Les produits doivent donc être comparables.
On rappelle que lorsque la décision d'achat d'un consommateur se fait sur un critère de
qualité et non sur le prix, on parle de concurrence monopolistique.
Cette stratégie de différenciation des produits est souvent à l'cœuvre pour échapper à la
concurrence par les prix (voir chapitre un sur les innovations, chapitre trois sur le
commerce international et les stratégies de compétitivité hors prix)

● Libre entrée sur le marché et libre sortie du marchés : il ne doit pas y avoir de barrières
à l'entrée pour les producteurs (exemple des licences, des frais d'entrée) car cela
réduirait la possibilité de concurrencer les entreprises déjà présentes sur le marché.

● Parfaite transparence du marché (information parfaite) : cette condition suppose que les
offreurs et les demandeurs soient parfaitement informés des caractéristiques des
produits et des prix auxquels ils sont proposés. Cela permet les agents de pouvoir
comparer véritablement les prix entre eux et de connaître véritablement les
caractéristiques des produits qu'ils achètent.

● Libre circulation des facteurs de production : le travail et le capital doive pouvoir se


déplacer librement à la recherche de la meilleure opportunité de rémunération

La politique européenne de la concurrence désigne l'ensemble des principes et des mesures


qui visent à favoriser une concurrence libre et non faussée entre les entreprises. Il s'agit d'une
politique structurelle.

En France c'est l'autorité de la concurrence qui se charge de faire respecter la politique de la


concurrence. En Europe c'est la Commission européenne.
Lorsque le non respect est prouvé les entreprises sont soumises à des amendes qui peuvent
être très importantes ou à l'interdiction dans le cas d'une fusion.

La politique de la concurrence européenne se décline à travers l'application de règles


anti-trust et la surveillance des aides d’Etat.
L'application de règles anti-trust passe par la lutte contre les ententes et les abus de position
dominante ainsi que par le contrôle des concentrations.

1. Les ententes aux cartels entre les entreprises qui pourraient conduire à se mettre
d'accord sur un prix plus élevé que le prix du marché conduisant ainsi à défavoriser le
consommateur
2. Les abus de position dominante : L'abus de position dominante consiste, pour une
entreprise présente sur un marché ou un groupe d'entreprises à adopter un
comportement visant à éliminer à contraindre ou encore à dissuader tout concurrent
d'entrer ou se maintenir sur ce marché faussant donc la concurrence
3. Les fusions concentration dans les entreprises : Une fusion et tasha d'une entreprise qui
fabrique le même type de produit (rachat d’un concurrent).

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Ca risque de conduire à une situation de monopole ou d'oligopole la Commission
européenne examine le dossier avant de donner son accord ou de refuser la fusion
demandée si elle estime que cette dernière menace la concurrence

4. Interdiction des aides aux entreprises (pas un loi anti-trust) : Pour l'Union européenne
donner des subventions aux entreprises est assimilé à une aide qui pourrait les conduire
à abaisser leurs prix faut se lancer la concurrence. (distorsion de concurrence)

Toutefois cette politique stricte est parfois accusée de nuire au développement des entreprises
européennes

La politique européenne de la concurrence présente cependant certaines limites


L'application de règles en titre est relativement peu débat en Europe, notamment quant à leur
capacité à être bénéfique au consommateur.
Cependant il y a 3 cas qui font l'unanimité et qui divise
1. Le contrôle des fusions : Le contrôle de concentration qui empêche certaines fusions
peut parfois être accusées de limiter la croissance de certains groupes européens et
donc leur compétitivité sur les marchés mondiaux. Le contrôle des fusions peut parfois
ainsi apparaître comme pénalisant pour les entreprises européennes dont la taille est
contrôlée et donc empêche l'existence de grands groupes forts au niveau international
2. Les aides aux entreprises : D'autres pays non européens réalisent et n'hésite donc pas à
aider leurs entreprises à gagner en compétitivité par rapport aux firmes européennes.
La principale critique est ici que la politique industrielle ne peut s'exprimer que dans les
exceptions de la politique de la concurrence européenne jugée insuffisante par certains
observateurs.
3. Les services publics : La promotion de la concurrence est parfois accusée de remettre
en question le service public alors qu'il génère des externalités positives ou réduisent
des externalités négatives.

La politique industrielle européenne est faible.

La politique économique désigne l'ensemble des objectifs et des instruments par lesquels les
pouvoirs publics cherchent à orienter l'économie.

Ce sont les pouvoirs publics c'est à dire les APU (État + collectivité locale + sécurité sociale +
Europe)

Politiques:
structurelle → long terme
conjoncturelle → court terme et s’appuie sur la politique budgétaire ou monétaire.

4 objectifs des services publics qui vont de paire et inconciliables :


● La croissance économique / le plein d'emploi
● Stabilité des prix / équilibre extérieur

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Remarque : La mise en place de politiques économiques conjoncturelles va à l'encontre de la
pensée néoclassique qui prône la non-intervention de l'Etat en cas de déséquilibre : le marché
s'autorégulera pour retrouver l'équilibre selon eux.
La gravité de la crise de 1929, montrera que le marché est parfois impuissant et que
l'intervention de l'Etat est nécessaire Révolution de la pensée économique dans les 1930's que
John Maynard Keynes théorisera, en 1936.

1. Politique budgétaire
Elle utilise comme outil de budget
Selon son objectif elle va être qualifiée de relance ou d'austérité
● Relance : Politique qui utilise le budget pour atteindre la croissance économique
et lutter contre le chômage.
Elle agit pour se lancer en stimulant la demande globale intérieure via la
consommation finale des ménages et l’investissement des entreprises ou de
l’état
Demande Globale = consommation finale des ménages + FBCF + (X-M)

● Austérité : Politique qui utilise le budget pour atteindre la stabilité des prix et
améliorer l'equilibre extérieur
Elle cherche à faire diminuer ou ralentir la demande globale intérieure via la
consommation finale des ménages

2. La politique monétaire
● cherche à agir sur la quantité de monnaie en circulation (masse monétaire) afin,
selon les objectifs, de faire augmenter ou au contraire de réduire la demande
globale, selon que la politique monétaire est de relance (on dit aussi politique
expansionniste ou expansive but faire augmenter la MM) ou de rigueur
(=d’austérité but contracter la MM).

Pour faire varier la MM, la Banque Centrale va faire varier son taux d’intérêt directeuril existe
plusieurs taux directeurs, de court terme et de long terme.
En effet, pour faire varier (à la hausse ou à la baisse) la masse monétaire dans l’économie, les
banques de second rang vont plus ou moins accorder de crédits aux ménages et/ou aux
entreprises, ce qui aura un effet sur le niveau de la DG (via la consommation des ménages et
l’investissement des entreprises) et donc sur la croissance et l’emploi.

Politiques monétaires non conventionnelles : Les banques commerciales possèdent des titres
financiers (= obligations d’États ou des obligations d’entreprises, des bons du trésor, des
actions) qui leur appartiennent ou qui appartiennent à leurs clients. La BCE peut garder leurs
titres un certain temps (= les prendre en pension) contre de la monnaie banque centrale (les
banques second rang récupéreront leurs titres contre de l’argent plus tard).
La BCE peut aussi acheter aux banques de second rang, toujours contre de la monnaie banque
centrale, leurs titres à un prix intéressant (=supérieur à leur valeur si les Banques devaient les
revendre sur le marché financier).

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Cela conduit donc les banques à disposer de plus de capacité pour prêter de l’argent aux
agents économiques. Cette politique s’appelle le quantitatif easing.

Les pouvoirs publics mettent en place des politiques budgétaires ET monétaires en même
temps et cherchent à les combiner, à les articuler pour chercher à atteindre les équilibres
économiques LE POLICY MIX

La mission première de la BCE est d'avoir un taux d'inflation stable autour de 2 %


L'inflation fait perdre de la valeur à la monnaie.

La banque centrale européenne utilise donc le taux d’intérêt directeur


● Pour agir sur le niveau d’inflation : hausse du taux pour lutter contre l’inflation (comme
c’est le cas depuis 2022), ou baisse du taux pour faire augmenter l’inflation si celle-ci est
trop basse (ce qui fut le cas en 2015 et 2016 en Europe)
● Pour stimuler la croissance (et agir sur le chômage) : elle peut alors réduire le taux
d’intérêt directeur pour relancer l’économie (ce fut un peu le cas suite à la crise de 2008
ou durant la crise covid)
● La BCE peut donc être tiraillée entre deux objectifs contradictoires : soutenir l’économie
ou maintenir le taux d’inflation faible à 2 % : c’est ce qui s’est passé suite à la crise de
2008 puisque dans un premier temps la BCE a baissé ses taux d’intérêt pour relancer
l’économie qui s’effondrait, mais pas suffisamment car elle redoutait que l’inflation
n’augmente. La Fed (Banque centrale américaine) a baissé ses taux directeurs à 0 %
dès le début de la crise des subprimes. La BCE attendra 2015 pour le faire.

En rejoignant l’euro, la France a donc renoncé à sa souveraineté monétaire. Concrètement cela


signifie qu’il n’existe désormais qu’une seule politique monétaire, mise en place par la BCE,
pour l’ensemble de ses 20 pays, quelle que soit leur situation économique respective que ce
soit par rapport à leur taux de croissance, leur taux de chômage, ou leur taux d’inflation. Le taux
directeur décidé par la BCE, s’applique donc à l’ensemble des économies de la zone euro.

En adhérant à l’UE Les pays ont accepté de contraindre sur leur budget : Pacte de Stabilité et
de Croissance.

Contraintes du PSC : Le déficit public < 3% PIB , Dette publique <60 % PIB

Pourquoi ce PSC ?
● Avant l'entrée dans l'UE pour faire une monnaie unique entre pays
● Pour éviter que certains pays ne s'endettent trop

On ne peut pas appliquer de politique budgétaire unique car les états sont différents
(inflation, croissance eco, chômage)

Le PSC empêche certains pays d'avoir une relance bugétaire.

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Chocs asymétriques : Il s'agit d'une perturbation qui affecte l'offre ou la demande dans un
secteur d'activité spécifique ou dans un seul pays.

La politique monétaire unique ne va pas être adaptée à tous les pays tout comme les
contraintes de politiques budgétaires qui vont réduire les possibilités de réaction aux chocs.

Défaut de coordination possible entre la BCE et les différents états.

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