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Rapport de fin de formation présenté en vue d’obtention du diplôme de Technicien Supérieur d’Agriculture (DTS)
Rapport de fin de formation présenté en vue d’obtention du diplôme de Technicien Supérieur d’Agriculture (DTS)
Maitre de stage :
Pr. BASSSEKA CHARLES
Directeur de stage : Géologue et chef
d’exploitation
ESSIMI Christophe Didier
Je soussignée, BANYAMNGA ELIE MACTAR atteste que le présent rapport est le fruit de mes travaux ;
effectué au sein de l’exploitation de pr. BESSAKA. Sous la direction de M. ESSIMI Christophe Didier,
Ingénieur des Travaux Agricoles, et sous l’encadrement de M. BESSAKA.
Ce rapport est authentique et n’a pas été antérieurement présenté pour l’obtention de quelques grandes
universitaires que ce soit.
Signature de l’auteur :
Date Date
Dédicace
Remerciements
La réalisation de ce travail a fait l’objet de la contribution de plusieurs personnes auxquelles j’exprime toute
ma gratitude et mes plus profonds remerciements. A cet égard, nous pensons à :
Mr ESSIMI Christophe Didier mon directeur de stage pour m’avoir parfaitement encadré et
suivi et aussi beaucoup conseiller pour mener à bien ce travail
PR BASSEKA CHARLES mon maitre de stage pour sa disponibilité et son désir de transmettre
non seulement par la théorie mais également la pratique ;
Aux dirigeants de l’ISAGO : Mr LOUIS NDJIE, Mr NKOA ALIMA, Dr ELOUNDOU
CHRISTIAN pour les opportunités qu’ils offrent aux étudiants en proposant des stages
enrichissants ;
A mes parents, pour les sacrifices qu’ils font pour me donner une meilleure éducation
A mes frères et sœurs qui me soutiennent et m’encouragent tous les jours ;
Tous ceux qui n’ont pas été nommés mais qui de près ou de loin m’ont apporté une modeste
contribution à la réalisation du présent rapport
i
Sommaire
Dédicace..........................................................................................................................................ii
Sommaire........................................................................................................................................v
Abréviations et sigles..................................................................................................................viii
Résumé...........................................................................................................................................ix
Abstract..........................................................................................................................................x
1. Contexte et justification.........................................................................................................1
2. Objectifs du stage...................................................................................................................1
3. Organisation du rapport.......................................................................................................1
ii
III.3. Les conseils agropastoraux..............................................................................................2
IV.5. Investissements..................................................................................................................3
V.3. Cash-Flow...........................................................................................................................3
Conclusion générale.......................................................................................................................4
Références bibliographiques.........................................................................................................I
Annexes éventuelles........................................................................................................................I
iii
Liste des figures
iv
Abréviations et sigles
v
Résumé
vi
Abstract
vii
Chapitre 0 : Introduction Générale
1. Contexte et justification
Pour recourir à l’autosuffisance alimentaire et accroitre l’économie Camerounaise ; les structures
telles que le MINADER , MINEPIA œuvrent aussi dans l’accompagnement des institutions de
formation agricoles et entrepreneurs agropastoraux permettant aux jeunes de prendre la relève et
assurer l’avenir du pays et aussi le MINESUP en partenariat avec le programme AFOP
permettant d’ouvrir les différents centres de formation offrant un cycle de formation de
deux (2ans) , d’où la formation réussie a une obtention d’un brevet de technicien supérieur (BTS)
offrant aux étudiants un avantage comme une obtention de l’emploi. Parmi ces institutions on
retrouve l’institut supérieur d’agriculture de gestion d’Obala dans lequel parmi les cycles de
formation on a le cycle de technicien supérieur d’agriculture avec les différentes options a savoir
la production animale, la production végétale et l’entrepreneuriat agropastoral qui sera objet de
notre formation.
2. Objectifs du stage
Ce stage intitule gestion d’une exploitation agropastorale a pour particularité de susciter chez
l’étudiant à la connaissance du secteur d’entrepreneurial. Durant son cycle de formation,
l’étudiant est soumis à deux stages dans des exploitations agropastorales, de consolider la théorie
et la pratique chez l’étudiant, de découvrir et d’appréhender comment est géré une exploitation
agropastorale afin d’analyser la rentabilité de celle-ci.
3. Organisation du rapport
1
Chapitre I : Présentation de la localité de stage
Le stage s’est déroulé dans la localité de DOUALA plus précisément à MASSOUMBOU
PK21situéé dans la région du littoral Littoral, département du NKAM dans l’arrondissement de
Yabassi. Nous présenterons les caractéristiques du milieu sur les aspects géographiques,
agronomiques, et socio-économiques.
I.1.1. Relief
Le relief désigne l’ensemble des inégalités du sol. Le relief du village MASSOUMBOU
est constitué en plusieurs en plateaux peu accidentés. Dans l’ensemble on y rencontre des
collines qui ont une altitude de 900km.
I.1.2. Climat
Par climat, on entend la description statistique de l’ensemble des conditions météorologiques
pour un lieu déterminé sur une période. MASSOUMBOU possède un climat de savane. C’est
une zone avec des précipitations importantes. Même pendant le mois le plus sec, il pleut
beaucoup. Sur L’année la température moyenne varie beaucoup. Elle se situe autour de 22 et les
précipitations sont en moyenne de 290mm. En somme, le climat de MASSOUMBOU présente
les caractéristiques suivantes :
.Le climat est oppressant tout au long de l’année d’où des variations de températures de 20 à 32
et est rarement inférieure à 17 ou supérieur à 34 .
I.1.3. Pédologie
La Pédologie est la science qui étudie les cractères, l’évolution et la repartition des sols. Dans la
commune de MASSOUMBOU on distingue 03 types de sols :
- Les sols ferralitiques ou sols basiques : ce sont les sols dérivés du basalte. Ils sont argilo
sablonneux, généralement profonds et rajeunis par l’érosion. Ils sont riches en humus et
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se prêtent aux cultures vivrières et pérènes telles que : l’acajou, palmier à huile les arbres
fruitiers.
- Les sols limoneux : ceux-ci sont plus adaptés aux cultures des céréales, d’ananas etc…
- Les sols hydro morphes marécageux : ils caractérisent les zones marécageuses et
connaissent une exploitation laborieuse notamment pour les cultures maraichères.
I.2.1. Végétation
La végétation est l’ensemble des plantes qui poussent en un lieu donné selon leur nature. Ce
village est couvert par trois types de formation végétale :
I.2.1.1. Flore
La formation végétale est la forêt dense humide sempervirente de moyenne altitude,
Constituée de forêts vierges, de vieilles forêts secondaires, de jachères forestières, de
jachères à chomolaenaodorata. Les essences forestières de la commune sollicitées pour
l’exploitation Sont: Le Bubinga, le Moabi, le Sapelli, le Sipo, le Tali, le Movingui, le
Bibolo, l’Ayous, le Bilinga, l’Ekop, l’Azobé, l’Ébène et l’Iroko. Ces différentes essences
subissent une Surexploitation due à la pauvreté.
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I.2.2. Elevage
1.2.2. ELEVAGE
L’élevage est l’ensemble des techniques permettant de faire naitre les animaux, de veiller à leur
développement, leur entretien, leur reproduction. La population du village MASSOUMBOU
n’est pas investie dans l’élevage. Mais nous pouvons observer une minorité de la population
s’investissant dans l’élevage de poisson, volaille, petits ruminants (chèvre), gros ruminant (bœuf)
et rarement du porc.
I.2.2.1. Faune
Plusieurs activités d’élevage sont pratiquées par les populations du dit arrondissement
parmi lesquelles, nous avons l’élevage des petits et gros ruminants comme bovins,
caprins et ovins ; la porciculture qui est moins pratiquée ; plusieurs pisciculteurs actifs
font dans le système de grossissement des poissons silures et tilapias à l’exception
d’une minorité qui fait dans la production d’alevins comme le cas de notre maitre de
stage monsieur
Djam Wilfried ; l’élevage des poulets de chair (2 bâtiments) et poulets du village est
également pratiqué. L’élevage est fait généralement de style traditionnel. Les bêtes
(chèvres, poules et porcs) sont laissées en divagation, s’alimentent dans les poubelles du
village sans soins vétérinaires et dorment dans les vérandas ou les cuisines. Les rendements
sont très bas. Les bêtes généralement de petits gabarits, mettent beaucoup de temps pour
atteindre la maturité.
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I.3.1. Population
La population du village MASSOUMBOU est estimée à 441 habitants dont 258 hommes et 183
femmes lors du recensement de 2005. De ce fait, la population est constituée de l’ethnie
autochtone : les BASSA’A qui occupent 80% de la population. Nous pouvons également
observer plusieurs autres ethnies à savoir :
- Les Bamiléké,
- Les Haoussa,
Les Bamenda
I.3.3. Education
En ce qui concerne le volet éducatif, ce village compte un Lycée nommé le Cetic de
MASSOUMBOU, une école publique et une école maternelle.
I.3.4. Santé
Le village possède plusieurs centres de santé tel que le centre d santé Emilienne ainsi qu’une
Pharmacie.
I.3.5. Commerce
Dans cette localité, il n’existe vraiment pas de marché propre, pour laquelle, les riverains ont
décidé de programmer un jour dis : jour du marché ; unique pour présenter chacun son produit
à commercialiser.
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I.3.7. Infrastructures
Dans la localité de MASSOUMBOU on rencontre une brigade garantissant ainsi la sécurité des
populations, une église pour le recueil des chrétiens, nous pouvons observer des routes couvrant
l’axe principal et point d’eau ou ils peuvent s’abreuver.
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Chapitre II : Présentation globale de l’exploitation agropastorale
II.1 Présentation du promoteur
Dans cette partie, nous parlerons de l’historique du promoteur et par la suite de sa trajectoire de
vie.
II.1.1. Historique du promoteur
Professeur BASSEKA Charles, né en 1969 à Douala et âgé de 55 ans est marié et a 4 enfants.
II.1.2. Trajection de vie du promoteur
Pr. BASSEKA dans son parcours, a obtenu plusieurs diplômes parmi lesquels : un Baccalauréat,
un DEUG, une licence et une maîtrise. Egalement, il débute sa carrière professionnelle en tant
que professeur de géologie à l’université de Douala ou il obtiendra ce titre quelques années
après.
II.2. Présentation de l’exploitation
Ce volet regroupera la genèse de l’exploitation d’une part et l’évolution de l’exploitation d’autre
part.
II.2.1. Genèse de l’exploitation
Afin de mettre sur pieds cette structure, Pr. BASSEKA a commencé par obtenir un terrain d’une
superficie de 9ha. L’idée part d’un échange avec des amis ou collègues lors d’un rassemblement
entre eux ou l’un d’eux soulève les avantages et les inconvénients de ce secteur en soulignant
par-là que ce secteur prometteur est très rentable et serait de ce fait le métier de l’avenir. Alors
Pr. BASSEKA se projeta et décida de faire de ces terres une exploitation ayant pour objectif
principale, la contribution dans l’autosuffisance alimentaire.
II.2.2. Evolution de l’exploitation
- En 2014, il décide de mettre sur pieds une exploitation de palmier a huile et de
cacaoyer en utilisant 4ha,
- En 2017, il décide d’associer à ces cultures, des arbres fruitiers et de la banane plantain
tout en occupant également le reste de la surface,
- En 2020, la structure devient un complexe agropastoral au nom de GIC-AGRELCAM
(groupement d’initiative commune pour l’agriculture et l’élevage au Cameroun).
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II.3. Système de production
Le système de culture intègre la combinaison des cultures, leur ordre d’introduction, leur
position dans le dispositif de la parcelle, et les techniques culturales mises en œuvre en vue de
satisfaire les objectifs de l’exploitant. Plusieurs systèmes de culture peuvent être développés au
sein d’une même exploitation. Ainsi, nous dénombrons 2 ateliers de production sur lequel mon
stage a été accentué dans cette exploitation, à savoir : un verger de cacaoyer en culture pure et
une association de cacaoyer et banane plantain.
II.3.1. Atelier 1 : Verger de cacaoyers en monoculture
La monoculture est une forme d’agriculture qui repose sur la culture d’une seule espèce végétale
au niveau des parcelles cultivées.
II.3.1.1. Description de l’itinéraire technique
Choix du site
Ce critère est très important dans ce sens ou il faut s’assurer de la qualité du sol qui devra
recevoir la culture. Ici, la prise en compte du précédent cultural est à prendre à considération
pour éviter des maladies à répétition.
L’aménagement du site qui consiste à :
- Effectuer un abattage sélectif,
- Une défriche,
- Dessoucher,
- Andainer,
- Brûler.
➢ Préparation du terrain :
La défriche et l’abattage Il demande assez de temps surtout lorsqu'il s'agit d'une forêt. On
procède d'abord à l'abattage du sous‐bois puis à l'élimination des arbres incompatibles
aux cacaoyers ; ensuite nous procédons au défrichement des mauvaises herbes.
Le piquetage : est l'opération technique qui consiste à indiquer par les piquets
l'emplacement futur des plants en pépinière. La densité recommandée est de 1 111 pieds à
l’hectare, avec des écartements de 3 m x 3m. Le matériel utile pour le piquetage est
constitué de :
- Un décamètre de 50 m au moins et ou une corde graduée de la même longueur ;
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- 1111 piquets d'un mètre de hauteur, bien taillés ;
La trouaison Pour faciliter la reprise des jeunes cacaoyers issus des pépinières, il faut
ameublir le sol. La trouaison est une opération technique qui consiste à l'ouverture des
trous de 40 cm x 40 cm x 40 cm à l'emplacement des piquets. Pendant la trouaison, la
terre de surface (terre noire) est mise d'un côté, et la terre rouge de l'autre côté. Après la
trouaison l'on rebouche les trous avec la terre humifère de surface mise de côté complété
par celle qui les entoure. La trouaison a lieu après les premières pluies, un mois avant la
mise en place des plants.
Mise en place des plants de cacaoyers doit se faire pendant les pluies, tôt le matin, puis
arrêter pendant les heures chaudes. Les précautions suivantes sont à observer :
- Bien arroser les plants en pépinière la veille de la plantation ;
- Réaliser un calibrage en mettant en réserve les plants chétifs ;
- Manipuler les plants avec beaucoup de précaution pour ne pas briser les mottes de terre.
Pour la mise en place proprement dite, il faut :
- Fendre le plastique avec la machette et enlever le sachet ;
- Placer verticalement la motte dans le trou de plantation ;
- Veiller à ce que le collet du plant reste au niveau du sol ;
- Ramener la terre autour de la motte en tassant avec les mains au fur et à mesure du
rebouchage autour du plant ;
- Réaliser l’habillage des plants pour favoriser une meilleure reprise.
Entretien des plants Cette opération est très importante pour la réussite de la plantation.
Elle est constituée des activités suivantes :
Le nettoyage ou désherbage : c’est l'opération technique qui consiste à éliminer toute la
végétation adventice par fauchage (désherbage manuel) ou par l'emploi d'herbicide
(désherbage chimique). Cette opération se déroule de manière régulière et permet d'éviter
aux cacaoyers d'avoir des concurrents nutritionnels, ainsi que des insectes ravageurs
La taille d'entretien et de production : c’est l’opération qui consiste à éliminer les tiges et
les gourmands improductifs du cacaoyer. Elle est très importante parce qu’elle permet
d'améliorer la productivité.
Les traitements phytosanitaires : consistent à éliminer les insectes ravageurs du cacaoyer
à l'aide de produits agro chimiques tels que Toner super, Romil ; Rodox etc. Cette
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opération se fait à la demande. Les jeunes cacaoyers sont très souvent exposés aux
attaques de psylles.
Le réglage de l’ombrage : cette opération joue un rôle important dans la vie de la
cacaoyère. Il permet un bon développement du cacaoyer dans son jeune âge (0 à 3 ans) et
aide à lutter contre la virulence des parasites tels les mérides, les psylles, etc. Cependant
l'excès d'ombrage favorise l'installation de certaines maladies telle la pourriture brune, à
cause de l'humidité qu'il produit. C'est pourquoi il est important de porter une attention
particulière sur l'ombrage que nous mettons à la disposition de notre cacaoyer.
L'élargage : il consiste à la suppression des branches improductives. Il permet de :
- Réduire l’humidité dans l’arbre ;
- Augmenter le nombre de cabosses par branche ;
- Limiter l'apparition des insectes, des guis, des loranthus ;
- Faciliter les activités d'entretien et de récolte. L'élargage se fait 1 à 3 fois par an. Il faut
éviter les tailles excessives, car trop de lumière favorise le développement des insectes
nuisibles tels que les mirides.
Le réglage de la densité, consiste à la suppression des cacaoyers en surnombre ou au
remplacement des pieds morts afin d'obtenir la densité idéale
La récolte : La technique de récolte consiste à :
- Récolter uniquement les cabosses mûres c’est‐à‐dire celles qui sont complètement jaunes,
mais également celles qui sont à moitié ou aux ¾ mûres tout en nous rassurant que celles‐
ci ne constituent pas la majorité de la récolte ;
- Faire une coupe nette à la machette ou à l’aide d’un sécateur tout en évitant le coussinet
floral car c’est ici que les futures cabosses pousseront ;
- Éviter de ramasser les cabosses à la machette car cela peut favoriser l’entrée de la
moisissure.
- Les cabosses récoltées peuvent être stockées par terre pendant 5 à 7 jours en attendant
qu’il y en ait assez pour former un bon tas de fermentation.
L’écabossage : Cette opération doit être réalisée sept (07) jours au plus tard après la
récolte. Utiliser une machette ou un bâton.
La fermentation des fèves se fait pendant 5 à 6 jours dans des bacs en planche construit
à cet effet ; le cacao fermenté doit être séché, car le séchage réduit le développement des
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moisissures et permet d’améliorer l’arôme. Les fèves de cacao sèches sont plus faciles à
stocker et à transporter.
NB : L’intérieur d’une fève bien fermentée et séchée doit être de couleur brune.
Le séchage Après 5 à 6 jours de fermentation, nous devons étaler les fèves au soleil pour
les sécher. Ne jamais employer le feu pour sécher le cacao car cela donne un mauvais
goût aux fèves :
- Le séchage sur les plates-formes est la meilleure méthode, car elle évite le contact des
fèves avec le sol, la terre et les pierres et permet la circulation de l’air en dessous.
- Sous un soleil ardent, les fèves à sécher doivent être remuées au moins une fois toutes les
deux heures. Poursuivre l’opération jusqu’à séchage complet des fèves. Les fèves sont
sèches lorsqu’elles émettent un craquement sec quand on les presse légèrement.
Stockage :
- Après le séchage, mettre les fèves de qualité uniforme dans des sacs propres ;
- Stocker les sacs dans un endroit sec et bien ventilé ;
- Se rassurer que le lieu de stockage ne suinte pas et que l’eau de pluies ne coule pas le
long des murs ;
- Dans le magasin de stockage, se rassurer que les sacs ne sont pas en contact direct avec le
sol ;
- Ne jamais stocker les sacs près du feu ou dans un endroit où on fait la cuisine
II.3.1.3. Politique de marché
La politique du marché se définit comme suit :
Les produits issus de la cacao culture sont fermentés, séchés, puis conditionnés dans des sacs
de 100kg qui seront par la suite acheminés à la direction générale de la SODECAO afin d’être
commercialiser ;
• Le défrichement et abattage
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Il demande assez de temps surtout lorsqu'il s'agit d'une forêt. Il consiste à éliminer les
mauvaises herbes et les arbres afin de régler l’ombrage.
• Le piquetage
Le piquetage est l'opération technique qui consiste à indiquer par les piquets
l'emplacement futur des plants. La densité choisie est de 1 111 pieds par hectare, soit un
dispositif de 3 m x 3m.
• La trouaison
Pour faciliter la reprise des jeunes plants issus des PIF, il faut ameublir le sol. La
trouaison est une opération technique qui consiste à l'ouverture des trous de 40 cm x 40 cm x
40 cm à l'emplacement des piquets.
La mise en place des plants de pif doit se faire pendant les pluies, tôt le matin.
Cette opération est très importante pour la réussite de la plantation. Elle est constituée des
activités suivantes :
• L’œilletonnage : c’est une opération qui consiste à enlever tous les rejets en
excès, considérés comme parasite afin de limiter la concurrence ;
• La suppression du bourgeon mâle : elle se fait 7 à 10 jours après la sortie de la
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• Les traitements phytosanitaires, consistent à éliminer les insectes ravageurs du
nutritifs sous forme minérale ou organique afin de maintenir la fertilité du sol indispensable à
la croissance et au développement d'une plante. Les engrais font partie, avec les amendements,
des produits fertilisants.
• Le tuteurage ou haubanage : ces opérations consistent soit à soutenir le
bananier
plantain à l’aide d’un tuteur soit à les at tachés entre eux à l’aide d’une corde.
➢ La récolte
Elle se fait 2 à 3 mois après la floraison par section du tronc ; le régime recueilli avant
la maturité complète peut être conservé entre 15 à 30 jours.
NB : Le planting se fait en ligne droite et que chaque plant de bananier plantain sera
intercalé de deux plants de cacaoyers.
II.3.2.2. Investissement
L'investissement du centre de production de pr. BESSAKA est représenté dans le
tableau ci-dessous par les équipements et matériels ayant une durée d'utilisation considérable et
pouvant s'amortir sur plusieurs années. Il est annoté que les éléments constituants
l’investissement de la société sont utilisés autant pour les activités de la cacao culture que ceux
de la banane plantain ; globalement l’investissement est estimé à Trois millions trente-neuf
mille (3.039.000) F CFA avec un amortissement globale d’environ Six cent trente-trois mille
deux cent (633.200) F CFA.
Durée
Designations Quantities PU PT Amortissements
de vie
Machettes (crocodile) 15 2 500 37500 3 12500
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Plantoirs 10 3000 30000 3 10000
Ficelles (100m) 5 1000 5000 3 1666
Sachets pépinière 20 700 14000 1 14000
Râteaux 10 1500 15000 3 5000
Tronçonneuses 2 150000 300000 5 60000
Pulvérisateurs 10 35000 350000 5 70000
Atomiseurs 2 150000 300000 5 60000
Motopompe n°1 1 120000 120000 10 12000
Motopompe n°2 1 250000 250000 10 25000
Bâches de séchage n°2 2 21000 42000 5 8400
Bottes 5 5000 25000 2 12500
Arrosoirs 12 4000 48000 3 16000
Secateurs 15 3500 52500 5 10500
Bidons (20L) 4 1500 6000 3 2000
Fût 1 16000 16000 3 5333
Pelles 6 2500 15000 3 5000
Brouettes 2 21000 42000 3 14000
Moto (Yamaha) 1 1200000 1200000 5 240000
Emondoirs 4 1000 4000 3 1333
Scies 12 2500 30000 3 10000
2902000 595 234
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présenté les employés temporels et permanents présents et travaillants au compte de
l’exploitation.
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II.5. Analyse économique et financière de l’exploitation
L’un des objectifs de ce stage est d’être capable de réaliser une analyse économique et
financière d’une entreprise. Cette analyse passe par des outils d’analyse économique tels que :
les charges, les produits, les marges brutes et l’excédent brute d’exploitation.
Le tableau suivant présente ainsi de façon estimative le produit brut du Verger de cacaoyer
en monoculture avec en moyenne une production estimée à Un millions huit cent quatre-
vingt-dix mille (1 890 000) F CFA.
Charges de l'exploitation
• Charges opérationnelles : les charges opérationnelles de cet atelier ont un coût
d’Un million cinquante-neuf mille (1 059 000) F CFA ; et sont illustrées dans le tableau
cidessous :
PU Prix total
Désignations Unité Quantités
(F CFA) (F CFA)
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Insecticide n°1 (Cypercal 50) L 12 7000 84000
Insecticide n°2 (Toner Super 45 SP) L 12 6500 78000
Fongicide n°1 (Romil 66 WP) g 100 650 65000
Fongicide n°2 (Rodox 75 WG) g 100 600 60000
Fongicide n°3 (Penncozeb 80 WP) g 8 4500 36000
Agrovert production L 10 12000 120000
Super Gro 5L 2 25000 50000
Herbicide n°1 (La daba) L 12 4000 48000
Herbicide n°2 (Glyphader360 SL) L 12 4000 48000
Counter Kg 25 4000 100000
Yara Mila n°1 (NPK 6-15-28) 50Kg 4 35000 140000
Yara Mila n°2 (NPK 10-18-18) 50Kg 4 35000 140000
Urée 45% N 50Kg 2 45000 90000
Total charges opérationnelles 1 059 000
Source : Auteur 2023
• Charges de structure : les charges de structure de l’atelier ont une valeur de cinq
cent quatre quinze mille deux cent trente-trois (595 233) F CFA et sont représentées dans le
tableau ci-après :
De façon générale, la marge brute est évaluée à huit cent trente un mille (831 000) F CFA
comme l’indique le tableau suivant ;
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Produits bruts Charges opérationnelles
(F CFA) (F CFA)
1.890.000 1 059 000
Marge brute 831 000
(F CFA)
II.5.2. Atelier 2 :
➢ Produit de l'exploitation
Le tableau suivant présente ainsi de façon estimative le produit brut du verger de cacaoyer
associé au bananier plantain avec en moyenne une production estimée à Deux million cent
soixante-quinze mille (2 175 000) F CFA.
Les charges opérationnelles pour l’ensemble de l’atelier ont un coût de cinq cent
quatrevingt-trois mille (583 000) F CFA.
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Herbicide n°2 (Glyphader360 SL) L 6 4000 24 000
Yara Mila (NPK 6-15-28) 50 Kg 2 35 000 70 000
Yara Mila (NPK 10-18-18) 50 Kg 1 35 000 35 000
Urée 45% N 50 Kg 1 45 000 45 000
Counter 25 Kg 25 4 000 100 000
Total charges opérationnelles (F CFA) 583 000
Source : Auteur 2023
De façon générale, la marge brute est évaluée à deux million cent soixante-quatorze
mille quatre cent dix-sept (2 174 417) F CFA comme l’indique le tableau suivant :
19
II.5.3. Analyse globale des différents ateliers
Dans cette partie, il sera question pour nous de calculer l’excèdent brute d’exploitation, le
résultat et le chiffre d’affaires du Pr. BESSAKA 2 à partir de la marge brute globale et des
amortissements.
De façon générale, la marge brute générale de l’exploitation est évaluée à cinq million
cent quatre-vingt-dix-huit mille trois cent dix-sept (5 198 317) F CFA comme l’indique le
tableau suivant :
MB atelier 2 MB atelier 3
(F CFA) (F CFA)
831 000 2 174 417
Marge brute
globale (F CFA) 3 005 417
EBE = Marge brute globale - Charges de structure (hors mis amortissements et frais
financiers)
20
EBE
(F CFA) 1156417
➢ Résultat d'Exploitation
C’est un outil de mesure qui exprime le solde réalisé par la structure et la performance de
ses activités à la fin de l’exercice ; il se traduit par la formule suivante :
RE (F 561183
CFA)
21
III.1. Diagramme de VEN
marché eglises
exploitation
22
diagnostic interne de leur structure afin d'identifier respectivement des forces / faiblesses et
des opportunités / menaces.
Atouts Faiblesses
•
Opportunités Menaces
23
III.3.1. Sur le plan agronomique
- Utiliser des variétés résistantes à la sécheresse et aux maladies pour remplacer les
plants morts ;
- Aménager un puits au sein de l’exploitation pour faciliter l’approvisionnement en
eau pour les usages divers.
24
III.4.2. Activités quotidiennes dans l’exploitation
Arrosage
pépinière de
cacaoyers
Traitement
pépinière de
cacaoyers
25
III.4.3. Difficultés rencontrées
Durant notre séjour, au sein du centre de l’exploitation nous avons été soumis à quelques
contraintes et difficultés parmi lesquelles celles liée au l’environnement du lieu de stage et celles
imposées par le maitre de stage. Exposition à la poussière sur les routes et risques de maladies ;
Les moucherons qui gênaient pendant le travail.
III.5. Apports du stage
Au cours du cursus académique, le stage est un module dont le but est de permettre aux
étudiants d'acquérir des compétences pratiques, nous a permis d’éprouver la vie de
l’agriculteur et d'avoir certaines aptitudes et expériences sur trois plans : académique,
professionnel et social.
La vie du paysan sur les plans de la solidarité et de la charité (partage des biens et des
épreuves) ;
Les rapports interpersonnels et la soumission en travaillant sous les ordres d’un encadreur
de stage et des ouvriers agricole ;
Le respect du prochain et de sa propriété ;
Le respect des autorités et institutions traditionnelles ;
Les pratiques coutumières propres au peuple bantou (partage des biens : kola, vin de
palme, bière, …).
2
Chapitre IV : Présentation globale du Projet Entrepreneurial
De manière générale ce chapitre a pour objectif de présenter le projet de fin de cycle de brevet
des techniciens supérieur dans sa globalité
IV.1. Justification du projet et titre du projet
De son nom scientifique Théobroma cacao, le cacaoyer est un arbuste originaire des régions
tropicales d’Amérique central et d’Amérique du sud qui pousse principalement dans les
forêts tropicales et pluvieuses. Au Cameroun, le cacao est la première denrée exportée,
devant la banane, le café, la fibre de coton et le caoutchouc. Il représente 58,7% des recettes
d’exportation agricole (2017). Il assure la deuxième ressource en devise du pays (13% des
exportation) derrière les hydrocarbures (39,6% des exportations). La campagne 2021 a donné
une production de 111 393 tonnes de fèves de cacao ; plaçant ainsi le pays cinquième
producteur mondial (source : commerce extérieur du Cameroun au premier semestre 2021).
Depuis 2016 le gouvernement fait du secteur cacao et café une priorité. En 2014, on
prévoyait une production de six cent mille (600.000) tonnes de fèves de cacao à l’horizon
2020. Mais certains experts demeuraient sceptiques. Ces derniers avaient raison puisque le
ministère écrit que « la cible de 600 000 tonnes prévue en 2020 ne sera vraisemblablement
pas atteinte ». Lors du lancement de la campagne 2019-2020 cet objectif a été proroger à
l’horizon 2020-2030. (Source : Camerouninfonet.com) Pour se faire, l’Etat compte sur
l’utilisation des engrais spéciaux cacao qui multiplie le rendement. Il est donc évident que le
pays est dans les objectifs d’augmenter sa production en fèves de cacao.
3
De manière spécifique ce projet a pour objectifs de ;
Le site où sera réalisé le projet est situé dans la région du Centre, Département de la
Lekié arrondissement d'Obala plus précisément dans un petit village appelé Minkama.
L’arrondissement d’Obala situé sur la nationale n°1 est délimité comme suit :
IV.3.1. Climat
L’arrondissement d’Obala est soumise à un climat de type guinéen à quatre (04) saisons
annuelles d’inégales durées :
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IV.3.2. Relief
Le relief de la localité d’Obala est représenté par des plateaux peu accidenté dans
l’ensemble.
IV.3.3. Sols
On distingue trois types de sols dans la localité d’Obala :
Les sols ferralitiques ou sols basiques : Ce sont les sols dérivés du basalte. Ils sont
argilo sablonneux, généralement pas profonds et rajeunis par l’érosion. Ils sont riches
en humus et se prêtent aux cultures vivrières et pérennes telles que le cacaoyer, le
palmier à huile, les arbres fruitiers.
Les sols sablo limoneux : ce sont des sols plutôt acide, léger qui se réchauffe
rapidement, mais qui contiennent moins d’éléments nutritifs. Ceux-ci sont plus adaptés
aux cultures de céréales, d’ananas, et potager.
Les sols hydromorphes : Caractéristiques des zones marécageuses, ces sols connaissent
une exploitation laborieuse en saison de pluie à cause de leur engorgement, tandis
qu’en saison sèche ils sont adaptés à l’agriculture de contre saison, notamment les
cultures maraichères.
IV.3.4. Végétation
Les formations végétales du territoire de la localité d’Obala sont constituées par une
mosaïque de forêts, savanes arborées ; les peuples y vont pour les activités agricoles car
elle possède une pluviométrie favorable tel que mentionné plus haut. C’est une zone rurale
car l’agriculture demeure la principale activité économique. Les cultures les plus pratiquées
et qui apportent une valeur ajoutée à l’économie sont répertoriées dans le tableau ci-après :
5
Bananier plantain Ikon Musa paradisiaca
IV.3.4. Faune
La faune est un ensemble d’espèces animales dans un milieu donné. Le tableau suivant illustre
les espèces fauniques de la localité.
Mammifères
6
14 Epervier Obam
15 Pintades Nkang Numidasp
16 Perdrix Opal Perdix perdix
IV.3.5. L’élevage
L’élevage se défini comme un ensemble de techniques et pratiques de suivi mis en
œuvre pour la production, le traitement et la nutrition des animaux. Ainsi, on dénombre
plusieurs animaux d’élevage dans la localité à savoir :
IV.3.5. Population
La population de l’arrondissement d’Obala est estimée à 133 000 habitants repartie
sur une superficie de 475km² pour une densité de 280 habitants au km². L’ethnie dominante
est Eton dont les principaux clans sont les Esselé, les Mvocani, les Mendoum. Par ailleurs
d’autres tribus minoritaires y sont représentées dans l’arrondissement à l’instar des
Bamiléké, des Haoussa, les Bamoum, les Yambassa, les Bassa, les Manguissa.
L’arrondissement compte quatre-vingt-quatre (84) villages rattachés à huit groupements à
savoir : Edinding, Efok, Loua, Nkol Edouma, Mendoum, Nkolfep, Menyakda et Obala. Sur
le plan religieux, la majeure partie de la population est d’obédience catholique suivie de
l’Islam. Traditionnellement, l’éssani est une danse commune à toute la communauté d’Obala
; c’est une danse qui est célébrée lors des funérailles et d'autres manifestations importantes.
7
IV.4. Conduite et organisation des activités
Dans cette partie, il sera question de décrire de façon détaillée, comment seront réaliser les
activités du début jusqu’à la fin du projet et comment seront reparties ces activités durant
l’exécution du projet. Les activités sont reparties en trois : les travaux de mise en place,
d’entretien de la jeune plantation et d’entretien de la plantation en production.
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ACTIVITE Jan Fév Mars Avr Mai Juin Juil Aout Sept Oct Nov Déc
Année1
Preparation du site
Piquetage
Trouaison
Planting
Année2
Année 3,4 et 5
Recolte sanitaire
Taille
Recolte et écabossage
fermentation et séchage
Commercialisation
1
IV.5. Investissements
L’investissement c’est l’ensemble des équipements que dispose le promoteur pour mener à bien
les activités de sa ferme. Il s’agit des différents matériaux et outillages qui sont utilisé. Ces
équipements seront présentés dans le tableau ci-contre :
PRIX
désignations QTES PU TOTAL DUREE DE VIE Amortissements
machettes 6 2500 15000 2 7500
pulvérisateurs 2 45000 90000 2 45000
Arrosoirs 8 4000 32000 5 6400
EPI 4 40000 160000 3 53333,33333
SECATEURS 12 3500 42000 5 8400
fut 1 16000 16000 5 3200
atomiseurs 2 150000 300000 3 100000
brouettes 2 21000 42000 5 8400
total 697000
IV.5.1. Investissements existants
Comme investissement prévus, nous disposons d’un terrain de 4 hectares
IV.5.2. Investissements prévus
designations MONTANTS
QTS PU Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année5
Plants Cacaoyers (Pour 2 334 150 350 100 0 175 050 0 0
densité 3m*3m)
PIF 2 334 200 466 800 0 233 400 0 0
Brouettes 2 21 000 42 000 0 0 0 0
Pulvérisateurs 2 35 000 70 000 0 0 70 000 0
Balance 1 36 000 36 000 0 0 0 0
Futs 200L 2 18 000 36 000 0 0 0 0
Machettes 4 2 500 10 000 0 0 10 000 0
Limes 4 1 000 4 000 0 4 000 0 4 000
Achat baches 2 20 000 40 000 0 0 0 0
Bottes 2 5 000 10 000 0 10 000 0 10 000
Decamètre 1 7 000 7 000 0 0 0 0
Bache de séchage 2 15 000 30 000 0 0 0 0
Emondoirs 3 1 500 4 500 0 0 4 500 0
1
Sécateurs petit model 3 3 500 10 500 0 0 0 0
Scies 3 3 500 10 500 0 0 10 500 0
Sécateurs grand model 2 20 000 40 000 0 0 40 000 0
Ficelles 3 1 000 3 000 0 0 3 000 0
Seaux 4 1 500 6 000 0 6 000 0 6 000
Sacs de jute 120 500 0 0 60 000 0 0
Atomiseur 1 150 000 150 000 0 0 0 0
Râteaux 3 2 500 7 500 0 7 500 0 7 500
Plantoirs 3 5 000 15 000 0 0 15 000 0
Pelles 2 2 500 5 000 0 0 0 0
Motopompe 1 150 000 150 000 0 0 0 0
Puit aménagé 1 500 000 500 000 0 0 0 0
TOTAL 2 003 0 495 950 153 000 27 500
INVESTISSEMENTS 900
2
Chapitre V : Analyse Technico-Economique
L’analyse technico économique permet d’étudier la faisabilité de notre projet et d’estimer les
couts liés à sa mise en œuvre. Il sera question de ressortir un compte d’exploitation prévisionnel,
un besoin en fond de roulement, un cash-flow et enfin un tableau de financement
V.1.1. Produits
Conclusion générale
3
4
Références bibliographiques
Annexes éventuelles
I
Table des matières
Fiche de certification de l’originalité du travail..........................................................................i
Dédicace..........................................................................................................................................ii
Abréviations et sigles...................................................................................................................vii
Résumé........................................................................................................................................viii
Abstract.........................................................................................................................................ix
1. Contexte et justification.........................................................................................................1
2. Objectifs du stage...................................................................................................................1
3. Organisation du rapport.......................................................................................................1
I.1.1. Relief..............................................................................................................................1
I.1.2. Climat.............................................................................................................................1
I.1.3. Pédologie........................................................................................................................1
I.2.1. Végétation......................................................................................................................1
I.2.1.1. Flore.........................................................................................................................1
II
I.2.2. Elevage...........................................................................................................................1
I.2.2.1. Faune.......................................................................................................................1
I.3.1. Population......................................................................................................................1
I.3.3. Education.......................................................................................................................1
I.3.4. Santé...............................................................................................................................1
I.3.5. Commerce......................................................................................................................1
I.3.7. Infrastructures..............................................................................................................1
II.3.1.2. Investissement.......................................................................................................2
III
II.3.2.2. Investissement.......................................................................................................2
IV
Chapitre IV : Présentation globale du Projet Entrepreneurial.................................................3
IV.5. Investissements..................................................................................................................3
V.1.1. Produits........................................................................................................................3
V.1.3. Charges.........................................................................................................................3
V.1.4. Rentabilité....................................................................................................................3
V.3. Cash-Flow...........................................................................................................................3
Conclusion générale.......................................................................................................................4
Références bibliographiques.........................................................................................................I
Annexes éventuelles........................................................................................................................I