Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Un sujet comporte 51 questions, chacune avec 4 ou 5 réponses proposées, repérées par les lettres A, B, C, D
et E. Une seule réponse est correcte pour chaque question à choix multiples. Le candidat doit écrire la lettre
correspondant à la réponse de son choix. Les autres questions, qui ne sont pas à choix multiples, doivent être
rédigées d'une manière claire et nette.
Dans le triangle didactique " Teaching, training, learning" cela se traduit par "Enseignement, formation,
apprentissage".
Teacher/Trainer, Content et Student/Learner. En français, cela se traduit par "Enseignant/Formateur,
Contenu et Étudiant/Apprenant".
Assessment development Curriculum, se traduit par Développement de l'évaluation, Programme
d'études.
Il est généralement représenté sous la forme d'un triangle équilatéral, ce qui montre que les trois relations sont
toutes aussi importantes ou devraient être considérées comme égales en réalité. Les axes peuvent beaucoup
changer si, par exemple, l'attention est exclusivement portée sur le contenu, ou sur le processus, ou sur le
formateur, ou si l'apprenant est occupé par d'autres préoccupations.
Le triangle didactique se compose de trois éléments égaux : l'enseignant, l'apprenant et le contenu.
L'apprenant englobe des aspects tels que la croissance de l'apprentissage et l'interaction sociale. L'enseignant
comprend des éléments tels que votre histoire personnelle et votre éducation. Le contenu comprend tout le
contenu du programme d'études.
Le processus d'enseignement-apprentissage est très sensible. Les enseignants doivent être conscients du fait
que ce qui se passe dans les trois relations entre ces points et dans l'espace pédagogique détermine le succès
ou l'échec du cours.
Les exemples les plus simples pour ces relations sont le jeu de paramètres et de facteurs suivant, qui définissent
le système éducatif et les conditions adéquates pour toute situation d'enseignement-apprentissage :
Paramètre de préparation de l'enseignant ou du formateur, du contenu et du sujet : comment les enseignants
ou les formateurs comprennent-ils personnellement le contenu et le sujet ?
4. Enseignant/Formateur - Contenu/Sujet : Préparation (paramètre)
Comment les enseignants ou formateurs comprennent-ils personnellement le contenu du programme
ou du sujet ?
Comment ont-ils acquis des connaissances sur le sujet à discuter ?
Quel est leur niveau d'expérience et leur expertise dans un sujet donné ?
Quels sont leurs préférences individuelles et les obstacles rencontrés dans ce sujet ?
Nous devrions garder à l'esprit que la sélection et la présentation des données dépendent des perceptions
individuelles de l'enseignant, de ses antécédents, de ses attitudes et des pratiques en classe.
2- Contenu/Sujet-Étudiant/Apprenant : Apprentissage (paramètre)
Comment l'apprenant peut-il aborder le sujet ?
Quelles expériences antérieures a-t-il ou elle avec le sujet ?
Quels intérêts, peurs et hypothèses le sujet suscite-t-il chez lui ou chez elle ?
Quelle utilisation concrète peut-il ou elle faire du contenu appris ?
Notez que le processus d'apprentissage de l'élève est soumis à un ensemble de facteurs interdépendants,
principalement l'expérience en classe, l'interaction et l'apprentissage, les perceptions individuelles, les
antécédents, les attitudes, la motivation, les connaissances et les stratégies d'apprentissage.
3. Enseignant/Formateur - Étudiant/Apprenant : Enseignement (paramètre)
Quelle est la connexion entre les personnes qui se rencontrent ici ?
Comment définissons-nous nos rôles et que savons-nous les uns des autres ?
Quelle est notre histoire commune et notre expérience partagée ?
Une telle relation pédagogique repose sur l'interaction, les relations socio-culturelles, la motivation et le
soutien pédagogique.
L'enseignant agit en tant que médiateur et guide plutôt que comme principale source d'information. Les
activités et les chercheurs praticiens soutiennent que promouvoir la communication, la collaboration et
l'apprentissage actif, ou l'apprentissage par la découverte, centré sur l'élève vise à transformer les étudiants en
apprenants indépendants et autonomes en créant et en développant des compétences d'auto-motivation et
d'autorégulation.
De nos jours, l'opinion prédomine selon laquelle le triangle doit être placé dans un contexte social complet qui
lui ajoute une quatrième dimension. Il est généralement représenté par un cercle entourant le triangle, mais ce
dernier peut également être utilisé pour analyser des contextes bien plus complexes.
23- lorsqu’un professeur utilise la méthode Maïeutique pour expliquer sur le concept d'énergie : Quelle
est la principale caractéristique de l'énergie selon le principe de la conservation de l'énergie en
physique ?
A) Elle peut être créée à partir de rien. B) Elle peut être détruite complètement.
C) Elle peut changer de forme mais reste constante dans un système isolé.
D) Elle dépend uniquement de la masse d'un objet.
E) Elle est indépendante de la vitesse et de la position.
La bonne réponse est : C) Elle peut changer de forme mais reste constante dans un système isolé.
24- un chercheur mène une étude par méthode expérimentale, la première phase de sa démarche sera :
A) La définition du problème, B) L’expérimentation effective, C) La formulation de
l’hypothèse, D) L’interprétation des résultats, E) Le traitement des données
La réponse définition du problème. A. La définition du problème est généralement la première
étape d'une démarche expérimentale car elle permet de clarifier l'objectif de la recherche et de
définir précisément ce que le chercheur souhaite étudier ou comprendre. Cela implique de poser
des questions claires, d'identifier les variables pertinentes et de délimiter le champ d'étude. En
établissant une définition précise du problème, le chercheur peut ensuite formuler des hypothèses
et concevoir une méthodologie expérimentale adaptée pour répondre à ses questions de recherche.
25- Lorsqu'un maître détermine les finalités de l'éducation, il applique la pédagogie en tant que :
A) Art, B) didactique, C) philosophie, D) science, E) technique.
La réponse est B) didactique.
La réponse B (didactique) est la plus appropriée car la détermination des finalités de l'éducation
et la manière dont elles sont transmises et enseignées relèvent de la didactique. La didactique
concerne l'ensemble des méthodes et des techniques d'enseignement, ainsi que la manière de
concevoir et de structurer le processus d'apprentissage. C'est donc la discipline qui englobe les
aspects pratiques et méthodologiques de l'éducation et de l'enseignement.
26- La transposition didactique est :
A) Le processus selon lequel un savoir savant se transforme en un savoir à enseigner.
B) Le processus par lequel s’établissent les règles de la relation pédagogique entre l’enseignant
(e) et l’élève.
C) Le processus de transmission du savoir en classe avec la participation centrale de l’élève.
D) Le processus de construction d’un savoir chez l’élève à partir de ses représentations
La bonne réponse est :
A) Le processus selon lequel un savoir savant se transforme en un savoir à enseigner.
27- Le manuel scolaire est un outil d’enseignement et d’apprentissage :
A) Pour mettre en œuvre les programmes seulement et aider l’élève dans son auto-apprentissage.
B) Pour mettre en œuvre les directives pédagogiques et dispense l’enseignement € de la
préparation des cours.
C) Pour mettre en œuvre les programmes et les directives pédagogiques sans se substituer à eux.
D) Pour mettre en œuvre les programmes et les directives pédagogiques et s’y substituer.
28- Manuels scolaires :
Années’90, certains entreprennent de la réhabiliter……
« Le manuel scolaire reste (…) un élément déterminant dans la qualité de l’enseignement »
(ADEB, 1991).
« un rôle favorable sur le plan de (…) la transmission démocratique des savoirs, l’autonomie
des élèves et la structuration de l’esprit » (conseil du livre, communauté française, 1998)
Un « vecteur de soutien à l’apprentissage de manuels scolaire » (contrat pour l’Ecole, 2005).
« le Gouvernement de manuels scolaires » (Déclaration de politique communautaire, 2014)
29- Quel est le rôle du manuel scolaire ?
Le manuel scolaire est destiné à être utilisé en classe comme :
A) Support de cours avec l'aide directe d’un enseignant
B) Support de cours avec l'aide indirecte d'un enseignant.
C) Il doit tenir compte du caractère progressif de l'apprentissage (âge des élèves, capacités cognitives).
D) Un vecteur de soutien à l’apprentissage
E) Un élément déterminant dans la qualité de l’enseignement.
Les manuels scolaires sont des outils pour organiser les activités en classe et en dehors de la classe, il
s’agit d’outils qui conditionnent, en grande partie, le processus d’enseignement-apprentissage. Les
manuels scolaires sont devenus des éléments essentiels des processus d’apprentissage mais également
des méthodes d’enseignement. Ils renferment implicitement, pour chaque cours, une méthodologie à
suivre pour atteindre les objectifs assignés. « Extrait de l’article Revue Marocaine de l’évaluation et de
la Recherche en Education. N°4. Décembre 2020 »
Selon le texte
30- Quel est le rôle principal des manuels scolaires selon le texte ?
A) Organiser les activités en classe.
B) Conditionner le processus d'enseignement-apprentissage.
C) Renfermer les méthodes d'enseignement.
D) Faciliter les activités en dehors de la classe.
E) Atteindre les objectifs assignés.
31- Comment les manuels scolaires sont-ils décrits dans le texte ?
A) Comme des éléments accessoires.
B) Comme des éléments optionnels.
C) Comme des éléments essentiels.
D) Comme des éléments peu utilisés.
E) Comme des éléments de décoration.
32- Comment les manuels scolaires sont-ils liés aux méthodes d'enseignement ?
A) Ils sont opposés aux méthodes
B) Ils sont indépendants des méthodes
C) Ils renferment des méthodes spécifiques
D) Ils ne sont pas liés aux méthodes
E) Ils soutiennent toutes les méthodes.
33- Quel contenu les manuels scolaires renferment-ils selon le texte ?
A) Uniquement des activités.
B) Uniquement des cours magistraux.
C) Une méthodologie implicite.
D) Des théories complexes.
E) Des objectifs non atteignables.
La méthode interrogative : c’est une méthode qui consiste à poser des questions aux apprenants de manière
ciblée, plutôt que de poser des questions de manière aléatoire. L'intérêt de cette méthode est qu'elle permet de
repérer les apprenants en difficulté et de générer plus de motivation. Cependant, elle peut prendre plus de
temps car elle implique une interaction plus importante, ce qui nécessite une certaine prudence dans sa mise
en œuvre. J'apprécie de discuter du rôle du professeur, de l'enseignant ou du formateur. Celui qui transmet le
contenu doit avoir une maîtrise de l'espace et du temps.
34- Quelle est la principale caractéristique de la méthode interrogative selon le texte ?
a. Poser des questions de manière aléatoire
b. Poser des questions de manière ciblée
c. Ne pas poser de questions du tout
d. Poser des questions complexes
e. Poser des questions motivantes
35- Quel avantage est associé à l'utilisation de la méthode interrogative ?
a. Repérer les apprenants en avance
B) Générer moins de motivation
C) Repérer les apprenants en difficulté
D) Impliquer moins d'interaction
E) Générer des réponses aléatoires
36- Quel inconvénient est mentionné concernant la méthode interrogative ?
a. Elle ne prend pas beaucoup de temps
B) Elle nécessite une interaction minimale
C) Elle repère les apprenants en difficulté
D) Elle implique une interaction plus importante
E) Elle ne génère pas de motivation
37- Quel sujet est abordé dans la discussion du texte ?
a. Le rôle des apprenants
b. Le rôle du contenu
c. Le rôle du formateur
d. Le rôle du temps
e. Le rôle de l'espace
Selon Kuhn, la science avance à travers ce qu'il appelle des "paradigmes", qui sont des cadres conceptuels
larges et cohérents guidant la recherche et la pratique scientifiques à une époque donnée. Ces paradigmes
déterminent quelles questions sont pertinentes, quelles méthodes sont acceptables et quelles théories sont
considérées comme valides. L'idée selon laquelle "ce ne sont pas les faits qui créent les paradigmes, ce sont
les paradigmes qui créent les faits" signifie que notre compréhension des faits et de la réalité est largement
déterminée par le cadre conceptuel dans lequel nous opérons. Pour illustrer cette idée, prenons l'exemple d'un
groupe de scientifiques travaillant dans un domaine de recherche particulier, tel que la physique. Ils adoptent
un certain paradigme qui définit les concepts fondamentaux, les méthodes expérimentales et les théories
acceptables dans ce domaine. Supposons que ce "paradigme" soit basé sur la conception de la lumière comme
étant composée de particules. Ces scientifiques mènent leurs expériences en se basant sur cette compréhension
établie de la nature de la lumière. Par conséquent, ils interprètent les résultats de leurs expériences à la lumière
de cette idée. Si ces résultats correspondent à leurs attentes basées sur cette théorie, ils les considèrent comme
des "faits" confirmant la validité de leur paradigme. Maintenant, imaginons qu'un autre groupe de scientifiques
utilise un "paradigme" différent, croyant que la lumière est composée d'ondes plutôt que de particules.
Lorsqu'ils mènent leurs expériences, ils interprètent les résultats à la lumière de leur propre paradigme. Ils
peuvent également trouver des résultats qui confirment leurs attentes basées sur leur compréhension de la
lumière en tant qu'ondes. Ils les considèrent comme des "faits" confirmant la validité de leur paradigme. Ainsi,
dans cet exemple, les "faits" sur la nature de la lumière sont façonnés et interprétés différemment selon les
paradigmes adoptés par les scientifiques. Ce sont les "paradigmes" qui dirigent la manière dont les
scientifiques voient et interprètent le monde, plutôt que les faits qui dictent les paradigmes.
Ainsi, dans cet exemple, les "faits" sur la nature de la lumière sont façonnés et interprétés différemment selon
les paradigmes adoptés par les scientifiques. Ce sont les "paradigmes" qui dirigent la manière dont les
scientifiques voient et interprètent le monde, plutôt que les faits qui dictent les paradigmes.
38- Quelle est la définition de "paradigme" selon le texte ?
A) Des faits scientifiques
B) Des concepts fondamentaux en science
C) Des méthodes expérimentales
D) Des cadres conceptuels larges et cohérents
E) Des théories valides
39- Quelle est l'idée principale exprimée dans l'exemple des scientifiques travaillant sur la lumière ?
A) Les faits créent les paradigmes
B) Les paradigmes créent les faits
C) La lumière est composée de particules
D) La lumière est composée d'ondes
E) Les scientifiques ne sont pas influencés par leurs paradigmes.
40- Comment les scientifiques interprètent-ils les résultats de leurs expériences selon leur paradigme ?
A) Ils les ignorent
B) Ils les rejettent
C) Ils les interprètent à la lumière de leur idée préconçue
D) Ils les discutent avec d'autres scientifiques
E) Ils les publient immédiatement.
41- Quelle est la conclusion principale tirée de l'exemple des paradigmes scientifiques ?
A) Les faits sont objectifs et indépendants des paradigmes
B) Les paradigmes déterminent la manière dont les scientifiques voient et interprètent le monde
C) Les scientifiques doivent toujours remettre en question leurs paradigmes
D) Les faits sont créés par les scientifiques
E) Les paradigmes ne jouent aucun rôle dans la science
42- Donnez deux exemples des paradigmes en physique-chimie.
43- Qu’est-ce que un modèle en physique ?
Les modèles occupent une place centrale en sciences1 (S. Bachelard, 1979 ; Bailer-Jones, 2002 ; Besson, 2010
; Bunge, 1973 ; Canguilhem, 1968). Ils jouent un rôle important dans le développement des disciplines
scientifiques, notamment pour la construction de leurs théories (Sanmartì, 2002). Comme le souligne Sanmartì
(2002, p. 45) : « Le cœur d’une théorie scientifique n’est pas constitué d’un ensemble d’axiomes ou de lois,
mais d’un ensemble de modèles ». C’est par le processus de modélisation que se fait la construction des
modèles ; ce processus dynamique et non linaire étant au cœur du fonctionnement du savoir en sciences.
Au Québec, les modèles et la modélisation font partie des composantes fondamentales d’enseignement et
d’apprentissage des récents programmes de sciences et technologies3 (S & T) au secondaire (ministère de
l’Éducation du Québec, 2004, ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, 2007, 2009). Dès le premier
cycle du secondaire, les élèves sont conviés à acquérir une diversité de modèles qui font partie des contenus
prescrits. Si, au premier cycle du secondaire (élèves âgés de 12 à 14 ans), les modèles sont considérés comme
des outils qui permettent de faire une description qualitative des phénomènes, au deuxième cycle, ils ont pour
fonction de décrire qualitativement et quantitativement les phénomènes. Pour le ministère de l’Éducation, du
Loisir et du Sport (MELS), un modèle « peut prendre diverses formes : texte, dessin, formule mathématique,
équation chimique, programme informatique ou maquette » (Gouvernement du Québec, 2009, p. 24). C’est au
moyen de la démarche de modélisation4 que les élèves sont appelés à construire des modèles : « La démarche
de modélisation consiste à construire une représentation destinée à concrétiser une situation abstraite,
difficilement accessible ou carrément invisible » (Gouvernement du Québec, 2009, p. 24). Cette démarche fait
partie des démarches à caractère scientifique et technologique à faire apprendre aux élèves en lien avec la
première compétence disciplinaire d’ordre méthodologique Chercher des réponses ou des solutions à des
problèmes d’ordre scientifique ou technologique.
Selon le texte ci-dessus répondez aux questions suivantes.
44- Quel rôle jouent les modèles dans le développement des disciplines scientifiques, selon le texte ?
A) Ils sont secondaires et ne contribuent pas à la construction des théories. B) Ils sont essentiels pour la
construction des théories scientifiques. C) Ils n'ont aucun impact sur le développement des sciences. D) Ils
sont utilisés uniquement pour illustrer les concepts théoriques.
45- Selon Sanmartì (2002), qu'est-ce qui constitue le cœur d'une théorie scientifique ?
A) Un ensemble d'axiomes et de lois. B) Un ensemble de modèles. C) Une série d'expériences
empiriques. D) Un cadre conceptuel abstrait.
46- Comment se fait la construction des modèles selon le texte ?
A) Par la simple observation des phénomènes naturels. B) Par l'application directe des lois
scientifiques. C) Par le processus de modélisation. D) Par la spéculation philosophique.
47- Quel est le caractère du processus de modélisation mentionné dans le texte ?
A) Il est statique et linéaire. B) Il est complexe et abstrait. C) Il est dynamique et non linéaire. D) Il
est purement théorique.
48- Quelle est la fonction des modèles au premier cycle du secondaire au Québec ?
A) Décrire qualitativement et quantitativement les phénomènes. B) Fournir une description détaillée
des phénomènes. C) Servir uniquement d'outils d'observation. D) Être des représentations abstraites.
49- Quelles formes peuvent prendre les modèles selon le ministère de l'Éducation du Québec ?
A) Texte, dessin, formule mathématique uniquement. B) Équation chimique, programme
informatique uniquement. C) Maquette, programme informatique uniquement. D) Texte, dessin,
formule mathématique, équation chimique, programme informatique ou maquette.
50- Quelle est la démarche utilisée par les élèves pour construire des modèles au Québec ?
A) Observation passive. B) Analyse quantitative. C) La démarche de modélisation. D) Résolution de
problèmes abstraits.
51- Quelle compétence disciplinaire est associée à la démarche de modélisation selon le texte ?
A) Observer passivement des phénomènes. B) Chercher des réponses ou des solutions à des problèmes
scientifiques. C) Rédiger des équations mathématiques. D) Concevoir des dessins de phénomènes
scientifiques.