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EXTRAIT
ISSU DE L’OFFRE

Machines hydrauliques, aérodynamiques et thermiques

Réservoirs métalliques : stockage des liquides à


température ambiante

par Régis CHAMAYOU

RÉSUMÉ

Les réservoirs de stockage à température ambiante constituent la presque totalité des capacités qui forment les parcs de
stockage. Lorsque la pression de vapeur au-dessus du liquide stocké est inférieure à la pression atmosphérique, on utilise des
réservoirs atmosphériques. Si, au contraire, cette pression de vapeur est supérieure à la pression atmosphérique, la capacité
de stockage est soumise à une pression interne. C'est le cas pour les liquides dont la température au point normal d'ébullition
est inférieure à la température ambiante. Pour ces produits, il est alors nécessaire de s'orienter vers des réservoirs sous
pression.

ABSTRACT

Storage tanks at ambient temperature constitute almost the totality of the capacity of storage systems. When the vapor
pressure above the stored liquid is below atmospheric pressure, atmospheric tanks are used. When, on the contrary, this vapor
pressure is higher than the atmospheric pressure, storage capacity is subjected to internal pressure. This is the case for
liquids whose temperature at the normal boiling point is below the ambient temperature. These products require the use of
pressurized tanks.

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Réservoirs métalliques : stockage
des liquides à température ambiante
par Régis CHAMAYOU
Ex-Responsable des Études de la Société Entrepose - DB (EDB)
et de la Société Nouvelle des Constructions Métalliques de Provence (SN-CMP)
du groupe Chicago Bridge and Iron Co (CBI)

1 Réservoirs atmosphériques ................................................................... BM 6 591 - 2


1.1 Généralités.................................................................................................... — 2
1.2 Cuve ouverte................................................................................................. — 3
1.2.1 Fond...................................................................................................... — 3
1.2.2 Robe ..................................................................................................... — 3
1.2.3 Poutre raidisseuse et raidissage de robe .......................................... — 3
1.3 Réservoirs à toit fixe .................................................................................... — 4
1.3.1 Généralités........................................................................................... — 4
1.3.2 Réservoir à toit fixe supporté ............................................................. — 4
1.3.3 Réservoir à toit fixe autoportant ........................................................ — 5
1.3.4 Pertes par respiration et remplissage................................................ — 6
1.4 Réservoirs à toit flottant .............................................................................. — 6
1.4.1 Généralités........................................................................................... — 6
1.4.2 Réservoirs à toit flottant externe........................................................ — 7
1.4.3 Réservoirs à toit flottant interne ........................................................ — 9
1.4.4 Joints d’étanchéité .............................................................................. — 10
1.4.5 Pertes par évaporation........................................................................ — 12
1.5 Codes d’étude et de construction ............................................................... — 12
1.6 Qualités des aciers utilisés .......................................................................... — 13
2. Réservoirs sous faible et forte pressions .......................................... — 13
2.1 Généralités.................................................................................................... — 13
2.2 Réservoirs cylindriques verticaux............................................................... — 13
2.2.1 Généralités........................................................................................... — 13
2.2.2 Réservoirs avec fond plat ancré......................................................... — 14
2.2.3 Réservoirs avec fond sphérique non ancré....................................... — 15
2.3 Sphéroïdes.................................................................................................... — 15
2.4 Ballons cylindriques horizontaux................................................................ — 16
2.5 Sphères ......................................................................................................... — 18
2.6 Codes d’étude et de construction ............................................................... — 19
2.7 Qualités des aciers utilisés .......................................................................... — 19
Pour en savoir plus ......................................................................................... Doc. BM 6 593

es réservoirs de stockage à température ambiante constituent la pres-


L que totalité des capacités qui forment les parcs de stockage, car, à l’évi-
dence, ils représentent la solution logique et naturelle pour stocker les liquides :
les produits sont conservés dans l’état physique où la température du site les
maintient.
Dans cette situation et en fonction de leur degré de volatilité, une pression de
vapeur plus ou moins importante s’établit au-dessus du liquide.
Lorsque celle-ci est inférieure à la pression atmosphérique, aucune pression
effective n’existe dans l’enceinte de stockage et l’on peut alors mettre en œuvre
des réservoirs atmosphériques.

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© Techniques de l’Ingénieur BM 6 591 − 1
RÉSERVOIRS MÉTALLIQUES : STOCKAGE DES LIQUIDES À TEMPÉRATURE AMBIANTE _______________________________________________________________

Si, au contraire, cette pression de vapeur est supérieure à la pression atmos-


phérique, la capacité de stockage est soumise à une pression interne. C’est tou-
jours le cas pour les liquides dont la température au point normal d’ébullition est
inférieure à la température ambiante. Pour ces produits, il est alors nécessaire de
s’orienter vers des réservoirs sous pression, étudiés et conçus pour résister à
cette contrainte.
L’article « Réservoirs métalliques pour stockage des liquides » fait l’objet de plusieurs
fascicules :
— Généralités [1] ;
— Stockages à température ambiante (le présent fascicule) ;
— Stockages à température contrôlée [3].
Les sujets ne sont pas indépendants les uns des autres ; le lecteur devra assez souvent se
reporter aux autres fascicules. Le numéro de fascicule est suivi du numéro de paragraphe ou de
figure.

1. Réservoirs atmosphériques
1.1 Généralités
Ce sont des réservoirs cylindriques verticaux à fond plat que
l’on peut différencier par le type de couverture.
Les cuves ouvertes (figure 1a) ne comportent pas de toit et leur
emploi est limité aux quelques liquides que l’on peut, sans danger,
a cuve ouverte
pour leur qualité ou pour l’environnement, exposer à l’air libre.
Les réservoirs à toit fixe (figure 1b) sont pourvus d’un toit et per-
mettent donc une meilleure conservation des liquides volatils, dan-
gereux ou polluants.
Les réservoirs à toit flottant (figure 1c) comprennent une struc-
ture flottante, directement posée sur le liquide, que l’on installe soit
dans une cuve ouverte, soit dans un réservoir à toit fixe. Ces rése-
rvoirs, en raison de leur remarquable capacité à réduire les évapora-
tions, sont réservés au stockage des produits les plus volatils.
La capacité maximale de ces réservoirs atmosphériques peut
être très importante. Elle est seulement limitée par la hauteur et le
diamètre qu’il est possible de réaliser. Le choix de la hauteur est lié
à la nature du terrain car les réservoirs reposent à même le sol. En Charpente à poteaux Charpentes autoportantes
tenant compte de la résistance moyenne des sols habituellement
rencontrés, elle est le plus souvent comprise entre 14 et 22 m. Bien b réservoirs à toit fixe
entendu, le diamètre maximal sera limité par la surface du terrain
disponible, mais également par l’épaisseur maximale autorisée par
les codes de construction pour la partie basse de la robe. Cette
épaisseur est généralement fixée à 45 mm par la plupart des codes
existants. Pour les réservoirs à toit fixe, le choix du type de toit peut
également constituer une limitation du diamètre.

Tableau 1 – Capacités maximales déterminées


à partir des règles du CODRES, avec une épaisseur Toit flottant externe Toit flottant interne
de robe en acier de 45 mm
c réservoirs à toit flottant
Volume et diamètre approximatifs
Hauteur de la robe
Figure 1 – Réservoirs atmosphériques
Re = 315 N/mm2 (1) Re = 335 N/mm2 (1)

14 m 215 000 m3 245 000 m3


(∅ = 140 m) (∅ = 150 m) A partir des règles de calcul définies par le Code français de
construction des réservoirs de stockage (CODRES) et en consi-
155 000 m3 175 000 m3 dérant une robe de 45 mm d’épaisseur en partie basse, réalisée
20 m
(∅ = 100 m) (∅ = 105 m)
en acier, on obtient les capacités maximales citées dans le
140 000 m3 155 000 m3 tableau 1.
22 m
(∅ = 90 m) (∅ = 95 m) La réalisation de capacités aussi importantes n’est pas rare,
(1) Re limite d’élasticité minimale de l’acier. en particulier sur les champs de production de pétrole brut.

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1.2.1 Fond

Il a une fonction principale d’étanchéité et assure le transfert de la


6 à 6,5 charge verticale, produite par le liquide stocké, sur la fondation. La
6 à 6,5
partie centrale du fond n’est donc pas soumise à des contraintes
mécaniques de tension. Par contre, la bordure périphérique, placée
Coupe A-A sous la robe et soudée à celle-ci, est fortement sollicitée par la pres-
sion hydrostatique horizontale qui agit au bas de la robe. Le fond

A
peut être plat ou légèrement conique avec une pente au moins égale
B à 0,2 % orientée vers le haut ou vers le bas. Cette pente facilite l’éli-
B
mination des dépôts en fond de bac, qui s’effectue par l’intermé-
A

A
Robe diaire d’une tuyauterie traversant la robe et débouchant dans une
cuvette installée au point bas du fond. Lorsqu’un tassement des fon-
A

50 dations est attendu, la pente du fond est orientée vers le haut pour
mini compenser les mouvements du terrain. Le fond est réalisé à partir
A A
de tôles rectangulaires de 6 à 6,5 mm d’épaisseur minimale, sou-
6 à 6,5 dées par recouvrement sur leur face supérieure (figure 2a).
En fonction des critères fixés par les codes de construction, une
Coupe B-B tôle annulaire de bordure peut être nécessaire sous la robe. Elle est
constituée de segments de tôles rayonnants, soudés bout à bout, en
a fond sans bordure
général plus épais que le reste du fond (figure 2b).

1.2.2 Robe

Elle doit résister aux contraintes développées par la pression


A

Robe
hydraulique du liquide stocké. Elle est constituée de rangées de
50 à tôles rectangulaires (de longueur L) superposées, appelées viroles,
A

100 500 mini 50 A A qui sont soudées bout à bout. Les joints verticaux de ces tôles sont
D 6 à 6,5 généralement décalés, à chaque changement de virole, du tiers de
B

leur longueur (figure 3a). L’épaisseur minimale de chaque virole est


calculée à partir de formules simples définies par les codes de cons-
B

truction. Sa valeur dépend des dimensions de la cuve, de la masse


D volumique du produit stocké, des caractéristiques mécaniques des
Coupe C-C aciers employés, des coefficients de sécurité imposés par le code,
de la température d’étude et de la surépaisseur de corrosion rete-
nue. L’épaisseur maximale autorisée par la plupart des codes de
construction est limitée à 45 mm. Par ailleurs, pour des raisons de
construction, ces codes précisent également une épaisseur mini-
Coupe D-D male de robe comprise entre 5 et 10 mm suivant le diamètre du
b fond avec bordure réservoir.
La liaison de la robe sur le fond ou sa bordure s’effectue par une
Les cotes sont exprimées en millimètres double soudure d’angle (figure 2). Cet assemblage est très sollicité
par la pression hydrostatique et les mouvements de rotation de la
robe qui en découlent. Il doit donc être considéré comme un détail
important de la construction.
Figure 2 – Fond de réservoir : exemples

1.2.3 Poutre raidisseuse et raidissage de robe


1.2 Cuve ouverte
En l’absence de toit, la partie haute de la robe doit être renforcée
par une poutre raidisseuse, pour conserver sa rotondité sous
Ce type de réservoir est principalement destiné au stockage l’action du vent. Cette poutre est placée en principe à un mètre du
d’eau incendie ou d’eau industrielle. Il ne convient pas pour sommet. Quand elle est assez large, elle est utilisée comme passe-
le stockage d’eau potable, de produits pétroliers volatils ou de relle de circulation autour du réservoir. Elle est souvent constituée
produits émettant des vapeurs polluantes. Son utilisation est de segments de tôles pliés formant sur sa partie extérieure un poly-
assez limitée, car les évaporations sur ce type de stockage sans gone régulier (figure 3b).
toit sont très importantes. Il faut de surcroît tenir compte de la Un raidissage intermédiaire de dimension beaucoup plus
pollution importante du produit stocké (par l’atmosphère, les modeste, peut être aussi nécessaire sur la robe, entre la poutre supé-
insectes et les oiseaux), en particulier pour les stockages de lon- rieure et le fond (figure 3c), pour assurer une résistance correcte au
gue durée comme, par exemple, les réserves d’eau incendie. cloquage local de la paroi cylindrique soumise à la pression dynami-
que du vent. On limite ce raidissage, ou on le supprime, en augmen-
tant légèrement l’épaisseur des viroles les plus minces. Lorsqu’il
Ces cuves ouvertes sont constituées essentiellement d’un fond, subsiste, il est réalisé par un ou plusieurs anneaux en profilés cintrés
d’une robe et d’une poutre raidisseuse au sommet de la robe ou par de petites poutres en tôle pliée comme la poutre au vent supé-
(figure 3). rieure.

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pour ce cas d’étude sont clairement exposées dans l’appendice E du


code de construction API-650 édité par l’American Petroleum Insti-
Détail 1
tute.

L’ensemble des informations données ci-avant pour le fond, la


robe et le raidissage des cuves ouvertes reste applicable aux
Détail 2 réservoirs à toit fixe (§ 1.3) et à toit flottant (§ 1.4).

1.3 Réservoirs à toit fixe


L L/3 L/3
1.3.1 Généralités
a vue d'ensemble
Le stockage des produits peu volatils et à faible tension
Cornière de vapeur est réalisé dans des réservoirs dont la partie supé-
A A
de tête rieure est obturée par un toit fixe. Il est ainsi possible d’assurer
plus facilement leur conservation et d’empêcher leur contamina-
tion par les agents extérieurs.
D’une manière générale, il s’agit de produits dont la tension de
 1 000 mm vapeur absolue à température ambiante est inférieure à 0,1 bar
Intérieur
du réservoir ou dont le point d’éclair est supérieur à 55 °C (cf. BM 6 590 [1],
b détail 1 : poutre raidisseuse tableau 3).
Poutre
Robe raidisseuse
Les produits les plus lourds sont à l’état pâteux à température
Gousset ambiante. Ils nécessitent l’installation d’un système de réchauffage
permanent, placé sur le fond des réservoirs, pour les maintenir suf-
fisamment liquides et permettre ainsi leur transfert. Dans ce cas, un
calorifuge est prévu sur la robe et, suivant la température de
réchauffage, sur le toit du réservoir.
Intérieur
du réservoir ■ Le fond et la robe de ces réservoirs sont du même type que sur
c détail 2 : raidisseur intermédiaire les cuves ouvertes (§ 1.2). Cependant, la présence du toit fixe assure
Robe une rigidité suffisante au sommet de la robe qui permet d’éviter
l’installation d’une poutre raidisseuse.
■ Les toits sont de forme conique ou sphérique. Ils sont étudiés
pour supporter une surcharge externe d’au moins 120 daN/m2 cor-
respondant aux effets combinés d’une charge temporaire (neige et
Cornière de tête dépression interne). La tôlerie de ces toits est réalisée à partir de
Goussets
tôles rectangulaires de 5 mm d’Ìépaisseur, soudées entre elles par
recouvrement sur leur face supérieure. La tôlerie est indépendante
de la charpente et il n’y a pas de liaison par soudure entre ces deux
éléments du toit.
On range les toits fixes en deux catégories : les toits supportés et
Poutre raidisseuse
les toits autoportants avec ou sans charpente (figure 1b).
Vue A-A

Figure 3 – Cuve ouverte 1.3.2 Réservoir à toit fixe supporté


Les toits fixes supportés ont un profil conique assez plat avec une
pente recommandée de 1/16 ou 1/12, notamment lorsque le toit est
calorifugé.
L’action horizontale d’ensemble du vent, agissant sur la structure, Ces toits sont constitués d’une charpente supportée par un ou
peut aussi nécessiter l’installation de boulons d’ancrage, à la base plusieurs poteaux, en tubes ou en profilés, qui s’appuient sur le
de la robe. Ils ont pour fonction de s’opposer au soulèvement du fond de l’ouvrage. Les tôles du toit reposent sur des chevrons rayon-
fond, lorsque le poids propre en pied de robe n’est pas suffisant nants qui prennent appui au centre du réservoir sur le poteau cen-
pour assurer l’équilibre de l’ouvrage. Lorsqu’ils sont nécessaires, tral, en périphérie sur la robe, et pour les réservoirs de diamètre
ces ancrages sont répartis à intervalles réguliers autour du réservoir supérieur à 25 m, sur des poteaux intermédiaires. Ces derniers sont
sur des chaises soudées à la robe. La fondation du réservoir doit disposés sur des cercles concentriques et sont reliés en tête par des
alors comporter sur sa périphérie un anneau de béton, de section pannes droites sur lesquelles viennent se poser les chevrons
suffisante pour s’opposer aux efforts de soulèvement repris par cha- (figure 4). L’espacement entre ces chevrons n’excède pas, selon les
que ancrage. codes, 1,7 m, sauf sur la robe où il peut être porté à 2 m.
Les effets d’un séisme peuvent également imposer la mise en Les charpentes à poteaux sont reconnues comme des structures
place de boulons d’ancrage, mais aussi le renforcement de l’épais- économiques car leur conception permet un montage simple sur le
seur des viroles basses et de la bordure de fond. Les vérifications site. Ce type de charpente peut être employé sur les plus grands

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